La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 12/04/24
Aujourd'hui, là où quelques jours, je me vois dans une situation lumineuse. Je m’aperçois que cette lumière que je me fixais était bien éphémère, je broie du noir, j'exclame et je crie en silence avec délicatesse ma noirceur qui me hante par dépit de ne pas pouvoir la faire subir à celle qui m’offrira avec délice son univers.  J'en ai fini d’être emprisonné de mes chaînes qui retiennent mon âme à s’adonner aux pensées des plus pervers et sadique soit-il.  Il est l’heure que cet oiseau noir vole à la recherche de sa proie auquel il prendra plaisir de la meurtrir de coups de griffes corps et âme jusqu’à la dernière goutte de son sang.  Passant stratégiquement dans la pénombre pour rejoindre le royaume de la lumière ou toute autre divinité qui serait bonne à visiter.
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Par : le 07/04/24
. Mais c'est vrai ça ! À force de voir défiler autant de "faux profils" par jour dans cette tranche d'âge, on pourrait oublier de se poser une question essentielle : À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ? Et si nous devions aller plus loin, est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ? Afin de se replacer dans le contexte sur le fait que l'âge pourrait influencer à se tourner vers des pratiques dites "extrêmes", posons-nous la question : Qu'est-ce qu'un(e) jeune tout court dans sa vie de tous les jours ? Je suis jeune. Je vis encore chez mes parents, qui me font ressentir tous les jours, qu'ils luttent pour joindre les deux bouts. M'aimant lorsqu'ils ont le temps, entre me dire ce que je devrais faire et ne pas faire pour mon bien. J'ai un animal de compagnie qui m'apprend la neutralité, et le réconfort à ne pas être juger. Je suis des études. Sans cesse, on me demande ce que je veux faire plus tard, sans se soucier de mon présent. Prétextant que la jeunesse est simplement une "étape". Je tchate avec des ami(e)s, je joue aux jeux vidéos, je claque ma thune pour sortir dès que j'en ai l'occasion. À la maison, on me dit qu'il faudrait que je m'investisse davantage pour mon avenir, tout en constatant que mes parents sont juste frustrés de ne pas avoir le temps, ni l'énergie, à faire la même chose que moi. J'ai un Copain / Copine qui a des vues sur moi, et je ne sais pas comment m'en débarrasser.. Ce mec / cette meuf est trop beau / belle ! J'ai juste envie de m'éclater et de voyager. Je suis jeune. D'après ce référentiel du comportement de la jeunesse moyenne, inutile de vous dire que le BDSM est à des années lumière d'intéresser ce type public, représentant pas moins de 90% de la population Française (Si je devais y attribuer un pourcentage sur les plus de 5 000 000 de jeunes Français(e)s entre 18 et 25 ans - Source INSEE). Si l'on part de ce postulat, qu'en est-il des 10% restants me direz-vous ? Représentant la bagatelle d'un peu plus de 500 000 âmes.. Se jettent-ils/elles toutes et tous sur les sites liés au sexe et au BDSM, s'inviter dans des donjons et muchs improvisés, que cela soit par envie, désoeuvrement, ou curiosité ? La réponse est non. Une / Un jeune a tellement de possibilités pour s'amuser dans ses joies, à contrebalancer dans ses perditions, son équilibre et crises existentielles, ou d'opportunités dans son éducation sexuelle, qu'il est juste impensable qu'elle / qu'il puisse penser l'ombre d'un instant, tirer profit d'un plaisir extrême. L'évocation de la Domination / Soumission, et toutes pratiques dites "BDSM", étant tout au plus des "MÊMES" propices à quelques blagues provocatrices et graveleuses. Cependant.. Il existe un petit pourcentage..   Je suis moins jeune que j'en ai l'air. - Je suis illustratrice. J'aime l'univers coloré et les licornes. J'ai des "Kinks". Je suis membre d'une association. Mes parents ne sont jamais là. - J'ai un petit Copain / Copine. Il est gentil, mais il ne comprend pas mes besoins. Je ne sais pas pourquoi je viens sur ce site. Je ne suis pas normale. - J'aime regarder des femmes attachées avec des cordes. J'ai envie de me débattre. Je n'aime pas mon physique. - J'ai besoin d'être sous emprise. J'ai été Punk à chien à 20 ans, et j'ai plus d'affinités avec l'inconnu qu'avec mes propres parents. - J'adore l'idée d'être à genoux face à un Dominant, et être à ses ordres.. Je suis obligé de vous dire que j'ai une maladie qui m'empêche de.. Mais je sais la gérer ! - J'ai besoin que l'on me voit et que l'on me traite comme je suis. Je pense que si je m'y prends maintenant, je pourrai espérer faire ma transition avant mes 30 ans. Je suis moins jeune que j'en ai l'air. À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ? Lorsque la jeunesse ne représente que les traits d'un visage innocent, au regard des idéalistes et des puritains. Une rupture dans la communication avec son corps, son mental, et son environnement. Avoir besoin d'expier, communier ou stagner.. dans l'isolement, la défiance, la résistance, la violence, la torture, l'exhibition ou la docilité. Une clameur à jalouser ceux qui ont toujours envie, alors que l'on ne possède que de terribles besoins. Avoir la liberté comme prétention, être excitée à l'idée de respirer, et ne savoir que se donner comme récompense pour le mériter. Clairement, il n'y a pas d'âge privilégié à s'éveiller au "BDSM". Seulement des périodes dans sa vie, où les possibilités sont restreintes ou épuisées, à se donner les moyens de pouvoir sortir la tête hors de l'eau, et se sentir bien dans sa peau. Chacun(e) peut être extrêmement jeune à l'éveil "BDSM", mais savoir ce que des pratiques extrêmes peuvent nous apporter, est une toute autre volonté ou travail. Il peut s'espacer de nombreuses années, avant de s'y intéresser ou de passer à l'acte. Que cela soit dans une excitation, un réconfort, une frustration, une libération, un moyen d'expression, un épanouissement, ou même de se donner de la "valeur" dans quelque chose.. Est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ? Pour répondre à cette question, il faut considérer deux perspectives et réactions à la vue d'un nouveau profil "jeune" : - Être Dominant. - Ne pas être Dominant. Ni bonnes, ni mauvaises, ces deux échantillons de réactions, ne sont présents qu'à vous renseigner sur vos rapports avec la jeunesse "d'âme" et la jeunesse "réelle". Plusieurs états d'esprits en résultent : Je ne suis pas dominant. - Elle est mignonne, je suis sûr qu'elle n'a pas eu assez d'attention et d'amour, je sais que je peux le lui apporter et la remettre dans le droit chemin. - Elle me fait bien bander cette petite vicieuse. Je suis un expert en fessées.. Avec moi, il n'y a pas de problèmes : Elle a besoin, je suis là ! - Si elle m'accepte en favori, c'est que j'ai mes chances. Je me demande à quoi elle pense, et ce que je dois lui dire. Il ne faut pas que je me plante. - "Demande d'ami acceptée" -> Si ma femme le savait, elle me tuerait. Raah, je peux pas me connecter, sinon elle va me griller. - "Prem's !" -> Moi aussi j'aime bien la domination / soumission !! On peut se téléphoner ? J'habite dans la même ville :) :) :) :) Je suis aussi sur WhatsApp !! ... Tu es là ??? - "Bonjour, MaîtreMachin, dominant expérimenté, j'ai pleins d'accessoires et je peux me déplacer, je recherche une" (Copié / Coller lambda) - "Ton profil m'intéresse ! On peut dial si tu veux ! Tu as des photos de toi à m'envoyer ?" Je ne suis pas dominant.   Je suis Dominant. - Je visualise que c'est un faux profil. Je zappe direct. Je regarde de temps en temps ces favoris, jusqu'à son bannissement ou la fermeture de son compte, histoire de voir les non-dominants ou les nouvelles têtes en quête d'espérance. - Je constate qu'il y un "humain" derrière ce profil de "jeune". J'entreprends un échange à savoir ces motivations à s'être inscrit(e) à des fins de divertissement. Car après tout, un humain qui ment.. est un(e) soumis(e) comme les autres. - "Au vu qu'être "jeune" et "novice" ne vous rend pas spécial à mes yeux, et que votre profil est à peine renseigné, je vous invite à vous présenter." - "Au vu de ce que vous me racontez, un simple "amant entreprenant" pourrait faire l'affaire à vous satisfaire. Si vous deviez vous présenter à moi en tant que Soumise, que me diriez-vous ?" - "Sodomie, fellation, envie de ceci, de cela.. Mais je ne vois aucune pratique liée à l'extrême. Avez-vous déjà vécu une expérience BDSM ou hors-norme ?" - "Si vous avez besoin de câlins ou d'attention, ce n'est pas sur un site internet que vous le trouverez, et encore moins sur un site de BDSM." - "Mériter mon attention est dans votre capacité à obéir et à travailler votre Soumission. Pas dans l'amour que vous souhaitez avoir pour vous donner." Je suis Dominant.   Après la vision de ces deux perspectives, il est possible d'appréhender que l'approche de la jeunesse "BDSM" se révèle être finalement similaire, à celles des Prétendant(e)s Soumis(e)s d'un autre âge. Avoir des prédispositions à s'exciter sur des pratiques hors-normes, ne créés pas des Soumis(e), et cela qu'importe l'âge que vous avez. Et le comportement de celles et ceux intéressés par ce public cible, se distinguera majoritairement dans une recherche d'oportunités, et non d'exigences. Le corps, l'âge, la mentalité, ne rentrant pas en ligne de compte, en termes de "qualité" ou "confort" de pratiques, ni de signe de durabilité dans une relation BDSM. Les rapports générationnels, tendancieux, existent certes dans leurs excitations de formes primaires entre deux êtres, mais seulement dans un "contraste" d'âge et de vision "d'innocence". Le BDSM quant à lui, est au service de la "complétude" des besoins et pulsions concrètes des deux parties (Et s'avère être un refuge dans certains cas). En conclusion : La sanité à se rendre compte qu'il y a très peu de jeunes de 18 à 25 ans dans le BDSM est clairement identifiable, et n'amène pas à une relation BDSM de meilleure "qualité" (Si je puis dire..) Ce nombre restreint de jeunes attirés par des pratiques extrêmes, n'est ni à déplorer, ni à valoriser, en raison des contextes qui les y amènent. Et se rendent visibles, en fonction des lois et applications légales définies par les notions de majorité de chaque pays, et "l'ouverture d'esprit" des plateformes internet et autres services commerciaux. Alors pourquoi, en définitive, autant d'internautes, d'hommes et de femmes, courent-ils toujours autant après la "jeunesse" BDSM ? La notion d'être jeune ou d'être avec des jeunes, est peut être représentative d'un désir d'être toujours dans l'air du temps, et d'avoir encore de la valeur à se sentir actif, et donc immortel ? Allez savoir.. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5242/J'ai-h%C3%A2te-de-vous-connaitre-! -> J'ai hâte de vous connaître ! https://www.bdsm.fr/blog/4928/La-jeunesse-a-les-dents-longues -> La jeunesse a les dents longues. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.  
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Par : le 03/04/24
[Ceci est le troisième volet d'une histoire en plusieurs actes. Honnêtement, ça vaut la peine de commencer par les premiers épisodes ! Vous les trouverez ici: https://www.bdsm.fr/blog/8314/Canis-lupus-[1]/ et là: https://www.bdsm.fr/blog/8329/Canis-Lupus-[2]/  J'avais prévu que ça ne fasse que trois épisodes, et voilà que mon histoire n'est toujours pas finie, au contraire! Celui-ci est presque comme un petit intermède avant de revenir à un peu plus d'action... J'espère quand même qu'il vous plaira. Bonne lecture !] ​​​​​​​ Alors voilà, pendant presque trois ans, j’ai été sa chienne. Vraiment, je ne sais pas comment le dire autrement, j’étais son animal apprivoisé, son amoureuse domestique, une bête domptée. J’ai continué ma propre vie, bien sûr, mais en parallèle, petit à petit et de mon plein gré, je me suis mise à l’écoute des désirs de cet homme, de mon Homme, et j’ai cherché à les satisfaire pleinement. J’ai fini par venir habiter chez lui, ce qui a été beaucoup plus fluide que je le pensais sur le plan professionnel. Et j’étais sa servante, son amie soumise, son amante animale. Ce qui était précieux pour moi, c’est qu’il n’avait pas besoin d’esclave : il s’occupait très bien tout seul de son existence, aussi bien sur le plan matériel que dans son équilibre mental. Aussi, lorsqu’il me demandait quelque chose, quand il exigeait de moi un comportement, c’était presque plus dans mon intérêt : je sentais bien que les services que je lui rendais étaient superflus pour lui, et qu’ils étaient plutôt un prétexte à l’intensité de notre relation. Bien sûr, ma présence lui était précieuse, essentielle, ce qu’il ne manquait pas de me rappeler, et notre lien nous donnait du sens à tous les deux. Mais à aucun moment, aussi loin que je me souvienne, je n’ai eu le sentiment qu’il profitait de la situation, alors même que vu de l’extérieur, il en était clairement maître et bénéficiaire. Si je me suis soumise à lui de la sorte, c’est donc déjà parce qu’il en avait le pouvoir, la stature, parce que je comprenais qu’il serait un bon maître. Mais surtout, je l’ai fait à cause d’un désir qui brûlait au fond de moi, et que notre relation asymétrique venait attiser et canaliser. Je voulais sentir mon énergie bestiale, réhabiliter mes pulsions profondes, que j’avais appris à réprimer depuis ma petite enfance. Mais je souhaitais aussi les maîtriser, et m’en sentant initialement incapable, je trouvai incroyablement sécurisant de les remettre entre les mains d’une personne qui ne s’en laisserait pas effrayer, qui au contraire comprendrait la valeur de cette offrande. Et c’est exactement ce qui s’est passé pendant mon dressage, mon éducation. Car c’est bien ainsi qu’il faut appeler ce processus, en arrivant dans sa vie je n’étais qu’un amas de désirs et de comportements désordonnés. Il m’a appris, avec patience et intransigeance, à faire le tri dans tout ça, à sentir monter des actions instinctives, et à laisser un petit espace à l’intérieur de moi pour décider si je souhaitais ou pas m’y engager – pour vérifier aussi, si cela serait conforme aux règles qu’il avait établies pour moi. Ça a commencé par de toutes petites choses, des petits rituels qu’il a instaurés. Par exemple, je devais le regarder commencer à manger avant qu’il m’autorise à entamer mon repas, et ce petit décalage me mettait en contact avec mon désir de me rassasier, et ma capacité à me retenir – tout en réaffirmant l’autorité qu’il avait sur moi, sans avoir à rien forcer. Je peux même dire que, passée une réticence initiale, j’aurais aimé aller plus vite dans le processus de ma soumission. Ma position d’obéissance nourrissait en moi une libido insatiable, piquante, brutale. Le voyant se détendre sur le canapé après avoir travaillé, il pouvait m’arriver d’être soudainement prise de l’envie de me tortiller, nue à ses pieds, et de renifler l’odeur de son sexe avant de l’engouffrer dans ma bouche. Mais même cela m’était interdit : je devais attendre que l’initiative vienne de lui, toujours. Mon enthousiasme dans la sexualité était le bienvenu, mais son désir devait primer sur le mien. Lorsque je dérogeais à une règle, il ne se faisait pas prier pour me châtier cruellement, avec amour pourtant. C’est là peut-être la principale différence qu’il y eut entre mon éducation et celle de sa petite chienne, Allkö, qui m’avait laissé une si forte impression lors de notre première rencontre. Elle était douce, folle et affectueuse, et je l’ai vite considérée comme une compagne, une sœur d’apprentissage. J’ai aimé sa disponibilité indéfectible, son sérieux pendant les jeux. J’ai passé des nuits lovée nue contre ses poils, j’ai envié sa chaleur omniprésente et son odeur bestiale. Elle semblait pouvoir offrir bien plus que moi à l’homme que nous aimions toutes les deux. Avec elle, il faisait preuve d’une patience infinie, et lui dédiait un temps spécifique pour des apprentissages, éprouvants mais toujours atteignables. Surtout, il s’attachait beaucoup à la rassurer dans les situations stressantes et la récompenser pour ses bons comportements. On pourrait dire qu’il créait ainsi un conditionnement, qu’il ancrait des habitudes ou des réflexes, mais je pense au contraire qu’il l’amenait en quelque sorte à réfléchir, à prendre du recul vis-à-vis de ses instincts. Avec moi, même s’il employait des méthodes similaires, il usait aussi de la badine, du martinet et de la fessée. Il m’obligeait à me déshabiller et à l’attendre à genoux, jambes légèrement écartées et tête baissée. Si j’avais fauté, je devais porter un cilice sous ma jupe, pendant toute une journée de travail. Et même si je mis un peu de temps à le comprendre, je sais aujourd’hui que ces punitions, ces sévices, sont un honneur qu’il me faisait. Déjà, parce qu’il y prenait du plaisir, je sentais nettement son désir gonfler quand il me ligotait, me fouettait. J’ai souvent su me réjouir et me satisfaire simplement de ça : ma soumission et ma souffrance le faisaient bander, c’était plus qu’il n’en fallait pour me rendre heureuse de les endurer. Pourtant il y avait aussi autre chose : s’il maniait les impacts, les liens et l’humiliation, c’est aussi parce qu’il savait que j’étais capable de comprendre, de relier les punitions qu’il m’infligeait avec les comportements que j’avais eus, de dépasser la peur et la souffrance pour les transformer en obéissance, en connexion, en amour même. En cela, peut-être plus qu’en toute autre chose, j’étais humaine, et ses châtiments étaient une manière de reconnaître et d’honorer mon intelligence. Et puis il y avait le sexe. C’est peu dire que j’ai aimé baiser avec lui, me faire prendre, pénétrer, posséder. J’ai joui de la brûlure de son sexe dans le mien, après le feu des lanières de cuir. Le tréfonds de mon corps a vibré, alors que ma langue goulue sur ses tétons lui extorquait un râle. J’ai imploré qu’il daigne transpercer mon cul, après avoir hurlé de douleur au travers du bâillon. Il m’a laissé ruisselante, turgescente et frustrée, éprouvant mes liens les yeux bandés, sans savoir quand la délivrance d’un orgasme me serait offerte. Je sais que jamais personne ne me fera plus l’amour comme ça, comme un Maître, un Dieu, un amant miraculeux. Il m’a offert, par ce biais-là aussi, de connaître la puissance de mon corps, l’étendue de mon pouvoir physique et spirituel contenu dans ses cordes et suspendu à son dard.
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Par : le 01/04/24
Bonjour Maîtresse reine, je vous écris cette lettre pour vous dire a quel point je vous suis dévoué et fidèle. Par la suite, je publierai cette lettre avec votre accord pour que les gens qui la liront sachent que ma soumission est totale en ver vous. Voilà quelques années, maintenant, que je suis votre soumis et cela me conviens très bien vous m'avez aidé pour trouver ma place au sein de notre couple, la place de l'homme est aux pieds de la femme, c'est ma conviction, j'aime vous voir et vous savoir supérieur à moi, moi l'esclave qui a mi ma vie entre vos mains le jour ou nous avons signé ce contrat qui nous lie. J'aime la manière que vous avez à me traiter à jouer avec moi, le ton autoritaire que vous prenez pour me dresser, votre sévérité pour corriger mes fautes. Je me plie à vos moindres désirs, je suis prêt à tout pour vous, je suis votre petite chienne en chaleur, j'aime quand vous me promenez en laisse dans le jardin ou dans des lieux insolites. J'aime quand je dois faire la pute pour vous quand vous m'exhibez en cam face à des gens que vous me dominez sauvagement devant eux. Vous me répétez sans cesse que j'ai un petit sexe et que ce n'est pas avec cette ridicule bite que je vous ferai jouir et que je ne suis pas digne d'avoir une érection en vous regardant sous peine de me faire torturer la chose qui me sert de sexe. Vous prenez votre pied chaque fois que vous me sodomisez avec votre god ceinture, je dois dire que moi aussi, j'aime quand vous me pénétrez sauvagement, je gémis je cris mes jambes trembles mon cul sert plus que mon sexe. J'adore sucer votre god ceinture après qui soit passé dans mon cul vous me le faite nettoyer et je le fais volontiers, tout comme je dois nettoyer avec ma langue vos pieds votre chatte et votre anus après une grosse journée de travail. J'apprécie également le fait que vous lâchez des pets dans ma bouche pendant que je vous leche l'anus. J'adore l'odeur que vous dégagez, j'aime vous renifler, c'est un parfum divin, je ne m'en lasse pas, c'est un réel plaisir de sentir vos odeurs. Cela fait un moment que je suis votre urinoir vous vous amusez à m'uriner dessus ou dans la bouche ou simplement que j'essuie votre chatte après pipi avec ma langue et j'apprécie aussi et depuis peu nous nous essayons a la scatologie, c'est moi qui vous ai demandé de me réduire un WC humain avec vos excréments. Bien que vous m'avez déjà réduit à esclave sexuel, je ne me sentais pas encore à ma place, je voulais être encore bien plus dégradé. Je vous ai alors soumis l'idée de faire vos besoins totalement sur moi, je vous ai même supplié de m'accorder cette faveur. Vous m'avez accordé seulement le droit de vous léchez le cul juste après que vous aillez fait vos besoins dans un WC sans vous essuyer, cela m'a bien plus oui, je l'avoue.Mais aujourd'hui, je vous le répète, je vous en supplie encore une fois, dégradez moi au plus haut point, souillez moi de vos excréments, je suis prêt a vous lécher même les pieds plein de votre caviar. Je me suis exercé seul dans la douche, j'en ai fait une vidéo, les photos sont publiées. Sur la vidéo, vous me verrez jouer avec mes excréments et tout étalé sur mon corps cela m'a beaucoup excité. merci Maîtresse Reine votre souis et esclave.       
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Par : le 28/03/24
Un week-end où je m'ennuyais, j'ai décidé de sortir boire un coup et faire de nouvelle rencontre. Je suis allé dans un bar à bière, il y avait pas mal de monde de la musique une très bonne ambiance, je me cale dans un coin, je passe ma commande, on me sert et je commence à boire. Derrière moi, il y a une table avec deux très jolies filles de 25 28 ans. Elles sont de natures plutôt joyeuses, je dirais de les entendre rire. Ça doit faire une demi-heure que je suis arrivé quand soudain une des deux filles vient m'aborder à ma table. Elle me demande si j'attends quelqu'un ou bien si je suis seul, je lui réponds que je suis seul que je suis venu boire un coup pour me détendre de la semaine. Elle me proposa de les rejoindre à leur table s'il n'y avait pas d'inconvénient. Je les ai donc rejoints, je paye ma tournée et on commence à discuter pour faire connaissance. Au bout de quelques bières, la glace se brise, on rigole bien tous les trois ensemble, il y a un bon feeling. Puis peu à peu l'alcool monte et les langues ce délies et les discutions tourne vite au tour du sexe elles m'avoue quelles sont lesbienne, je leur réponds que je n'ai aucun préjugé car moi-même, je suis bisexuel et le courant passe encore bien mieux entre nous trois, je me sens tellement bien, que je ne sais pas si c'est l'alcool ou bien la bonne ambiance qu'il y a entre nous que ma langue parle plus vite que mes pensées, je leur avoue que je suis également soumis. Soumis le mot est lâché je me mort les lèvres, je réalise ce que je viens de dire, je me dis elles n'ont peut-être pas entendu et là le drame elles me regarde et me font quoi tu es soumis, j'ai honte, je bégaye, je cherche une excuse, mais rien y fait elle le très bien entendu.  Je regrette d'avoir trop parlé les deux me passe a la questionnette et me demande plus de détails. Je bois un bon coup avoué pour avoué, je leur dis tout.  Je leur raconte toutes les pratiques que je fais dans le BDSM que ce soit avec des hommes ou bien des femmes le plaisir que j'y prends le fait de me faire diriger de me laisser aller aux désirs de mon ou ma partenaire tout en racontent mes ébats, je vois une des deux filles qui se mort les lèvres au moment même ou je leur raconte la fois où l'on m'a pissé dessus. Les filles se regardent, ce font un signe de la tête et me propose d'aller boire un dernier verre chez elles. Une fois arrivé chez elles on reprend la discussion sur l'uro avec des detailles plus précis qui ma deja pissé dessus ou on ma pussé dessus savoir si j'en ai deja avaler je leur reponds que oui j'aime la pratique uro et que je n'ai pas de limite avec. Je leur demande pourquoi toutes ces questions ? Elles me répondent. Aimes-tu les odeurs fortes ? Je leur dis que jusqu'à maintenant un seul partenaire homme aimait se faire renifler la bite odorante et que ça ne m'avais pas déplus. Elle s'échangea encore un regard encore un signe de tête avant une autre question. Et me demanda et la pratique scato tu as déjà fait ? Je leur répondis que non que j'en avais déjà entendu parlé, mais que je n'i jamais osé sauté le pas. Ça te dirait d'avoir ta première expérience scato avec deux lesbiennes en tant que soumis ? Et là, avec une voix tremblotante, j'ai répondu oui le oui d'un soumis qui ne peux qu'accepter la demande de ses maîtresses. Elles se sont mises debout face à moi, une s'est mise derrière moi elles mont attrapé sauvagement et ont commencé a me d'habiller en me brutalisant tout en m'insultant et me disent que j'allais regretter d'avoir dit oui. Une fois au sol et nu, elles m'ont attaché les mains derrière le dos avec des menottes elles portais toute les deux des bottes hautes noire, j'étais à genoux face à elles, je devais lécher leurs bottes pendant qu'elles s'embrasser langoureusement. Puis elles m'ont fait mettre la tête au sol le cul cambré les jambes écartées, j'avais peur, je ne savais pas ce qu'elles aller me faire ce n'était pas comme les séances auxquelles j'avais l'habitude elles étaient imprévisible et j'avais raison. Une fois dans cette position tête au sol jambes écartées, j'ai reçu un grand coup de pied dans les couilles, j'ai hurlé de douleur, je me suis couché sur le côté en position fœtale, je me tordais de douleur elle m'ont obligé à me remettre dans la même position pour recommencer, je les supplier, mais pas le choix, je me remis en position, je tremblais de peur, car je ne savais pas quand elles aller frappé.Comme j'ai dit, je tremblais littéralement de peur que je n'ai pas pu me retenir, la pisse a commencer à sortir toute seule. Je les ai entendu se moquer de moi, mais ce n'est pas pour autant qu'elles ont arrêté leur torture.  Puis une s'est mis à quatre pattes les fesses écartées et l'autre s'en est donné à cœur joie avec son plus gos god ceinture pour me sodomiser. Quant à celle qui s'est mise à quatre pattes, je devais lui renifler le cul. Elle avait le cul qui sentait très fort, elle me le collait sur mon nez, je devais renifler fort. Sa chatte pareille une très forte odeur et toute poilue aussi. Puis j'ai dû me mettre sur le dos et toute les deux m'ont pisser dessus et j'ai dû boire leur champagne doré. Puis une s'est assise sur mon visage plein de pisse elle a collé son trou du cul sur ma bouche grande ouverte et a commencer a pousser au départ des pets en son sorti puis très vite de la merde a commencer peu à peu à remplir ma bouche, j'avais des haut-le-cœur. Elle frotta son cul merdeux sur ma figure pour en étaler le plus possible quant à l'autre, elle m'a chié sur le torse qu'elle commença à étaler avec ses pieds. Ses pieds remplis de sa merde, elle me les fit lécher elle enfonça tous ses doigts de pied dans ma bouche comme une gorge profonde. Elles m'ont recouvert le corps de merde des pieds à la tête, plein de merde plein de pisse les mains attachées dans le dos souiller et dépravé les couilles éclatées par les coups de pied. En réalité, j'ai adoré cette séance scatologie.  Elles m'ont laissé attaché dans cet état pendant qu'elles sont allées prendre leur douche puis j'ai eu le droit à prendre la mienne. (Ce récit n'est pas du vécu, c'est un fantasme)     
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Par : le 27/03/24
Au cours des dernières décennies, l'intérêt pour les love dolls (poupées silicone & Latex) a connu une croissance exponentielle à travers le monde, marquant une évolution significative dans la manière dont la société perçoit et interagit avec ces compagnons artificiels. Jadis reléguées aux marges de la culture populaire et souvent entourées de stigmatisation, les love dolls ont progressivement gagné en acceptation, à mesure que les avancées technologiques ont amélioré leur réalisme et leur fonctionnalité. Cette transformation n'est pas seulement le fait de l'innovation, mais reflète aussi un changement dans les attitudes sociétales, avec une reconnaissance croissante de la diversité des besoins et des désirs humains en matière de compagnie et d'intimité. Dans ce contexte, le DollForum émerge comme une ressource incontournable, offrant un espace où la passion pour les love dolls et la quête d'informations se rencontrent. Ce forum anglophone s'est imposé comme une communauté de référence, où amateurs, curieux, fabricants et revendeurs convergent pour partager des conseils, des expériences et des connaissances. Que vous soyez un collectionneur chevronné à la recherche de la dernière innovation dans le domaine des love dolls ou un nouveau venu curieux de comprendre ce monde fascinant, DollForum vous accueille avec une mine d'informations très complète et une multitude d'espaces de discussion dédiés à chaque aspect de la passion pour les love dolls. L'existence et le succès du DollForum témoignent de l'importance grandissante de ces partenaires artificielles dans la vie de nombreuses personnes. Le forum sert non seulement de plateforme d'échange et de soutien pour ceux qui partagent cet intérêt, mais il agit également comme un vecteur de normalisation et de démystification, en ouvrant des discussions honnêtes et respectueuses sur un sujet encore souvent tabou. En fournissant un accès direct aux fabricants, ainsi qu'un espace pour les avis de consommateurs et des articles de fond, DollForum se positionne au cœur de l'écosystème des love dolls, facilitant une meilleure compréhension et une appréciation accrue de ces formes uniques de compagnie.  À la découverte de DollForum DollForum se distingue dans l'univers des love dolls par son histoire riche et sa mission centrale, qui consiste à offrir une plateforme d'échange et d'information dédiée à ces compagnons uniques. Né de la passion d'une communauté de niche, ce forum a rapidement évolué pour devenir la principale ressource en ligne pour tout ce qui concerne les love dolls. Dès ses débuts, DollForum s'est fixé comme objectif de créer un espace sûr et accueillant où les amateurs de love dolls, qu'ils soient novices ou experts, pourraient se rencontrer, partager des conseils, des critiques, et des histoires personnelles, contribuant ainsi à une meilleure compréhension et acceptation des love dolls. La mission de DollForum dépasse le simple partage d'informations techniques ou de nouveautés produit. Elle englobe la volonté de construire une communauté solidaire, où les membres peuvent discuter librement de leurs expériences, poser des questions sans crainte du jugement et explorer les divers aspects de la possession d'une love doll. En outre, le forum s'engage à promouvoir une image positive des love dolls, souvent mal comprises par le grand public, en mettant en lumière leur rôle dans la fourniture de compagnie, de confort et même d'art. L'importance de la communauté anglophone dans l'échange d'informations et d'expériences sur DollForum ne saurait être sous-estimée. En rassemblant des membres de divers horizons culturels et géographiques, le forum bénéficie d'une richesse d'opinions et de perspectives. Cette diversité enrichit les discussions, permettant aux membres de découvrir des utilisations, des histoires et des pratiques variées liées aux love dolls, qui pourraient rester inconnues dans des communautés linguistiques plus restreintes. La langue anglaise, servant de lingua franca, permet à DollForum de transcender les barrières linguistiques, facilitant ainsi un partage global des connaissances et des expériences. Grâce à sa communauté active et engagée, DollForum s'est établi non seulement comme un lieu d'échange d'informations pratiques sur les love dolls mais aussi comme un espace de soutien émotionnel et social pour ceux qui trouvent dans les love dolls bien plus que de simples objets : des compagnons, des œuvres d'art, et parfois même des catalyseurs de bien-être personnel. Ce faisant, DollForum contribue de manière significative à élargir les horizons de ses membres, tout en démystifiant et normalisant les love dolls dans la société plus large. Les espaces de discussion de DollForum DollForum offre une variété d'espaces de discussion qui répondent à une large gamme d'intérêts et de besoins liés aux love dolls. Chacun de ces espaces apporte sa propre valeur à la communauté, enrichissant l'expérience globale des membres. CoverDoll : Un magazine vivant CoverDoll se distingue comme une caractéristique unique et vibrante de DollForum. Ce magazine en ligne, intégré au forum, se consacre à la mise en avant des love dolls à travers des photographies artistiques et captivantes. Les publications de CoverDoll, régulières et attendues, offrent aux membres et aux visiteurs un regard raffiné sur l'art de la photographie de dolls, mettant en lumière la beauté et la diversité des dolls à travers le monde. L'objectif de CoverDoll va au-delà de la simple exposition de photos ; il s'agit de célébrer l'expression artistique, de partager des histoires visuelles qui captivent et inspirent, et de reconnaître les dolls comme des œuvres d'art en elles-mêmes. Cette publication régulière enrichit la communauté en offrant de nouvelles perspectives sur les love dolls, tout en fournissant une plateforme pour les photographes de talent au sein de la communauté. Espace pour les fabricants américains et européens DollForum propose également un espace dédié aux fabricants américains et européens de love dolls, offrant aux membres un accès direct aux créateurs de certaines des dolls les plus réalistes et innovantes du marché. Des noms tels que 4Woods Europe et ABYSS Creations – RealDoll y sont régulièrement mentionnés, ces entreprises étant reconnues pour leur excellence dans la conception et la fabrication de dolls. Cette section permet aux membres du forum de poser des questions directement aux fabricants, de s'informer sur les dernières innovations et de recevoir des conseils d'experts sur le choix et l'entretien de leurs dolls. L'interaction directe avec les fabricants enrichit l'expérience utilisateur, en fournissant des informations précieuses qui ne sont souvent pas disponibles ailleurs. Autres sections à visiter Le DollForum ne se limite pas uniquement à des espaces pour les amateurs et les fabricants de love dolls. Il étend son offre à plusieurs autres sections, toutes cruciales pour enrichir l'expérience de sa communauté. Ces sections offrent des perspectives variées et répondent à des besoins spécifiques au sein de la communauté des love dolls. Shop Lovedoll Adult Parmi les espaces significatifs, le Magasin Lovedoll Adulte tient une place particulière. Cette section est spécialement conçue pour les amateurs de poupées gonflables, offrant une plateforme où les membres peuvent explorer des produits, partager des recommandations et discuter des dernières nouveautés dans le monde des poupées gonflables. L'importance de cet espace réside dans sa capacité à rassembler une communauté souvent négligée ailleurs, offrant un lieu d'échange dédié où les utilisateurs peuvent partager leur passion, leurs conseils d'achat, et leurs expériences avec des produits spécifiques. Espace pour les revendeurs certifiés TDF L'Espace pour les Revendeurs Certifiés TDF est une autre section essentielle, soulignant l'engagement du forum envers la qualité et la fiabilité. DollForum reconnaît l'importance de la confiance dans les transactions, particulièrement dans un marché aussi spécialisé que celui des love dolls. Les revendeurs souhaitant être certifiés par TDF doivent passer par un processus de vérification rigoureux, garantissant ainsi que seules les entreprises légitimes et de bonne réputation soient recommandées aux membres. Cette exclusivité de DollForum, proposant des sites vérifiés en France, aux États-Unis, et au Japon, assure aux membres une tranquillité d'esprit lorsqu'ils cherchent à acheter une love doll. Avis sur les fabricants et de revendeurs Enfin, l'espace dédié aux Avis sur les fabricants et les revendeurs constitue une ressource précieuse pour les membres, leur permettant de partager et de découvrir des avis sur la qualité des modèles de dolls et les services des revendeurs. Cette section participe à la transparence essentielle dans le domaine des love dolls, permettant aux utilisateurs de prendre des décisions éclairées basées sur les expériences d'autres membres de la communauté. En offrant un espace pour que les avis, qu'ils soient positifs ou négatifs, soient exprimés librement, DollForum contribue à élever les standards de qualité et de service au sein de l'industrie des love dolls. Chacune de ces sections joue un rôle vital dans la communauté DollForum, offrant aux membres une gamme complète de ressources pour enrichir leur expérience avec les love dolls. Que ce soit à travers le partage d'expériences, la recherche de produits de qualité, ou la navigation parmi les revendeurs fiables, DollForum se positionne comme une plateforme incontournable pour tous les aspects de la culture des love dolls. L'Expérience utilisateur sur DollForum L'expérience utilisateur sur DollForum est façonnée par une communauté dynamique et engagée, où les interactions entre membres, fabricants, et revendeurs forment le cœur vivant du forum. Cette synergie unique entre différentes parties prenantes contribue à créer un environnement riche en informations, en soutien, et en inspiration pour tous ceux qui partagent une passion pour les love dolls. Interaction entre les membres, les fabricants, et les revendeurs L'un des aspects les plus remarquables de DollForum est la facilité avec laquelle les membres peuvent interagir directement avec les fabricants et les revendeurs. Cette proximité offre une opportunité inégalée d'obtenir des réponses directes à des questions techniques, de recevoir des conseils personnalisés, et de se tenir au courant des dernières innovations et offres dans le monde des love dolls. Les fabricants et revendeurs, de leur côté, bénéficient d'un canal direct pour comprendre les besoins et préférences de leur clientèle, ainsi que pour présenter leurs nouveaux produits ou services. Les discussions sur le forum englobent une variété de sujets, allant des détails techniques et de l'entretien des dolls à des réflexions plus larges sur la place des love dolls dans la société. Les membres partagent également des critiques de produits, des photos, des histoires personnelles, et des conseils, créant ainsi une bibliothèque vivante de connaissances et d'expériences. Cette inter Pourquoi DollForum est devenu incontournable ? DollForum s'est érigé en véritable pilier pour la communauté des amateurs de love dolls, offrant bien plus qu'un simple espace de discussion. L'ampleur des informations disponibles, couplée à la qualité exceptionnelle de sa communauté, en fait une ressource incontournable pour quiconque s'intéresse de près ou de loin au monde des love dolls. Quantité d'informations disponibles La richesse informationnelle de DollForum est sans égale. Les membres ont accès à une variété impressionnante de contenus, allant des revues détaillées de produits, des guides d'achat, à des conseils d'entretien, en passant par des discussions sur les dernières innovations technologiques dans le domaine des love dolls. Ce forum abrite également des espaces dédiés où les membres peuvent échanger directement avec des fabricants et des revendeurs, leur permettant de poser des questions spécifiques et d'obtenir des réponses personnalisées. Cette mine d'informations fait de DollForum un outil indispensable pour prendre des décisions éclairées, que ce soit pour un premier achat ou pour enrichir une collection existante. Qualité de la communauté Au-delà des informations, ce qui rend DollForum véritablement spécial, c'est sa communauté. Les membres, allant de novices curieux à des collectionneurs aguerris, partagent une passion commune qui transcende les frontières géographiques et culturelles. L'atmosphère du forum est marquée par le respect, l'entraide, et une volonté partagée de s'enrichir mutuellement à travers des échanges constructifs. Cette ambiance bienveillante encourage les membres à partager librement leurs expériences, leurs réussites, et parfois leurs difficultés, créant ainsi un espace de soutien et de partage unique. Si vous n'êtes pas anglophone, à défaut, vous pouvez échanger dans notre groupe Poupée Silicone & Latex ou sur notre forum en français dédié aux love dolls en français
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Par : le 19/03/24
en savoir plus Pas toujours évident de s'y retrouver dans le BDSM quand on débute. La question de la relation Dominant/soumise (D/s) et de ses ressorts occupent une place centrale, témoignant d'une recherche constante d'équilibre entre pouvoir, plaisir, et consentement mutuel. Cette quête d'harmonie dans l'intimité repose sur des fondations de confiance, de respect, et d'une communication sans faille. La relation D/s, loin d'être une simple dynamique de domination, se révèle être un échange profondément intime et respectueux, où chaque partie trouve son épanouissement dans le rôle qui lui est dévolu. Cette exploration du BDSM, parfois perçue avec scepticisme par le grand public, mérite une attention particulière pour en dévoiler les aspects les plus enrichissants et les moins compris. "Comment débuter une relation D/s: BDSM - Domination - Soumission", d'Alexandre Contart, se présente comme un guide  pour les novices désireux de s'y retrouver dans ce qui ressemble parfois à des méandres. A.Contart, fort de son expérience personnelle et de son engagement quotidien , offre une perspective à la fois pédagogique et empathique sur la mise en place d'une relation D/s saine et épanouissante. L'ouvrage aborde avec délicatesse et précision les fondamentaux de cette dynamique, en soulignant l'importance de la communication, du consentement, et du respect mutuel. Idéal pour les couples cherchant à explorer de nouvelles dimensions de leur sexualité ou à vivre pleinement leur identité, ce livre se veut un compagnon de route pour ceux qui aspirent à une relation authentique et décomplexée. Ce livre ne manque pas de pertinence et constituera une bonne source d'information pour les personnes explorant le BDSM. Il est clair, accessible et plutôt juste en matière de conseils prodigués. La force de cet ouvrage réside dans sa capacité à démystifier la relation D/s, en la débarrassant des idées reçues pour révéler sa véritable nature : une connexion profonde, basée sur la confiance et le respect mutuels. Le livre est a  salué pour son approche réaliste et sa qualité rédactionnelle, rendant les concepts accessibles sans jamais simplifier outre mesure la complexité des dynamiques D/s. Il apparaît comme une bonne introduction pour ceux qui, débutants ou curieux, aspirent à comprendre et à intégrer les principes du BDSM dans leur vie . "Comment débuter une relation D/s" se révèle donc être une lecture bien utile, offrant des clés pour un épanouissement personnel et partagé dans le cadre d'une relation D/s, soulignant l'importance de l'authenticité, de l'amour et du respect dans toute démarche BDSM. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 11/03/24
Acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Dans la quête de compréhension et d'acceptation des diverses expressions de la sexualité humaine, le BDSM occupe une place à part, qui si elle a l'attrait du mystère a à souffrir aussi de bien des préjugés. Historiquement marginalisées et mal interprétées, les pratiques  BDSM  ont longtemps été bien mal considérées (dans tous les sens du terme). Pourtant, au-delà des apparences et des idées reçues, ces pratiques révèlent une complexité et une profondeur qui méritent d'être explorées et comprises dans leur intégralité. Le BDSM, dans son essence, est un échange de pouvoir consensuel, où les participants négocient des dynamiques de domination et de soumission dans un cadre sécurisé et respectueux. Cette négociation repose sur une communication ouverte, le consentement éclairé et une confiance mutuelle, éléments fondamentaux pour une expérience satisfaisante et enrichissante pour toutes les parties impliquées. Contrairement aux perceptions courantes, le BDSM n'est pas uniquement axé sur la douleur ou la domination, mais sur l'exploration des limites physiques, émotionnelles et psychologiques, dans le but de renforcer les liens entre partenaires et de favoriser une plus grande intimité. Cette exploration des limites et de la dynamique de pouvoir nécessite une compréhension approfondie des besoins, désirs, et limites de chacun. Elle demande également une capacité à naviguer dans ces espaces avec soin, éthique et responsabilité. C'est dans ce contexte que "L'art de dominer" de Dossie Easton prend toute son importance. L'ouvrage propose un cadre réfléchi et éclairé pour aborder les relations de pouvoir érotiques, en mettant en lumière les nuances et les complexités du BDSM. Il s'adresse à ceux qui sont curieux de cette pratique, ainsi qu'à ceux qui cherchent à approfondir leurs connaissances et à affiner leurs compétences dans l'art de la domination et de la soumission. L'art de dominer" de Dossie Easton constitue une excellente approche. L'auteure ne se contente pas de tracer les contours d'une pratique  ; elle plonge au cœur de la complexité et de la beauté inhérente aux relations de domination et de soumission, offrant aux lecteurs un guide à la fois philosophique et pratique. Ce premier volet est destiné entièrement à à la domination (le second ouvrage "L'art de se soumettre" est lui, ça alors, dédié à la soumission)  Le livre dépasse les stéréotypes et les simplifications excessives. Easton démystifie l'idée réductrice selon laquelle la domination serait synonyme de tyrannie ou la soumission de faiblesse. Au contraire, elle révèle comment ces rôles peuvent être source d'empowerment et de croissance personnelle, soulignant la distinction cruciale entre "prendre" le pouvoir et "se voir confier" le pouvoir dans un cadre de confiance et de respect mutuel. Au fil des pages, "L'art de dominer" aborde avec clarté et profondeur les différents aspects qui constituent la base d'une relation BDSM saine : la communication, le consentement, la négociation des limites, et l'importance du debriefing après les sessions. Easton insiste sur le fait que ces éléments ne sont pas seulement des prérequis à une pratique sécuritaire du BDSM, mais qu'ils sont également fondamentaux pour renforcer la connexion émotionnelle et psychologique entre les partenaires. L'ouvrage se distingue par son approche pédagogique, guidant les novices à travers les premiers pas dans l'univers du BDSM, tout en offrant aux adeptes plus expérimentés des réflexions et des techniques avancées pour enrichir leur pratique. Que ce soit à travers la discussion des jeux de rôle, des scénarios de domination et soumission, ou encore de l'importance des aftercare, "L'art de dominer" se révèle être une ressource précieuse, soulignant la diversité et la richesse des expériences que le BDSM peut offrir. Enfin, l'auteure ne néglige pas les aspects éthiques et moraux inhérents au BDSM, confrontant les lecteurs aux questions de responsabilité, d'éthique du consentement et du respect des limites. Ce faisant, elle positionne "L'art de dominer" non seulement comme un guide pratique mais aussi comme une réflexion morale sur la nature du pouvoir, de l'amour et de la confiance dans les relations humaines. Avec "L'art de dominer", Dossie Easton livre donc bien plus qu'un simple manuel ; elle offre une invitation à repenser la manière dont nous comprenons et engageons les relations de pouvoir dans un contexte érotique, en mettant en lumière le potentiel de croissance, de découverte et d'intimité qu'elles recèlent. C'est un ouvrage indispensable pour tous ceux qui aspirent à explorer les profondeurs de leurs désirs et à tisser des liens plus authentiques et épanouissants avec leurs partenaires. Après une lecture approfondie, il est manifeste que cet ouvrage se démarque car il se fait véritable ressource pour quiconque s'intéresse à la dynamique de la domination et de la soumission dans le cadre du BDSM. À travers ses pages, Dossie Easton transcende la simple explication des pratiques BDSM pour toucher à l'essence même des relations humaines, enrichies par un échange de pouvoir consensuel et réfléchi. L'auteur parvient à déconstruire les mythes et préjugés qui entourent souvent le BDSM, le présentant non pas comme un ensemble de pratiques marginales ou déviantes, mais comme une forme riche et variée d'expression relationnelle et érotique. Sa capacité à rendre ces concepts accessibles sans jamais simplifier à l'excès témoigne d'une réelle maîtrise du sujet. Un aspect particulièrement appréciable de l'ouvrage est d'insister sur l'importance du consentement, de la communication et du respect mutuel. L'auteure souligne régulièrement par l'exemple que ces principes ne sont pas uniquement cruciaux pour la sécurité et le bien-être des participants, mais qu'ils constituent également le fondement d'une relation BDSM épanouissante. En mettant l'accent sur le consentement éclairé et la négociation des limites, l'auteure encourage une pratique du BDSM qui est non seulement sûre mais aussi profondément connectée aux besoins et désirs de chaque partenaire. Le livre brille également par son approche inclusive, reconnaissant la diversité des expériences et des identités au sein de la communauté BDSM. L'auteure parvient à ne pas sombrer dans  une vision monolithique de la domination ou de la soumission, mais explore plutôt la richesse et la variabilité des rôles, des pratiques et des désirs qui caractérisent la communauté. Cette approche permettra à bien des lecteurs de se retroiuver dans les mots de l'autrice, qu'ils soient novices curieux ou pratiquants expérimentés cherchant à approfondir leur compréhension. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 11/03/24
La Belle et la Bête (suite)   Elle s’éxécute, gravit prestement les marches, réajuste son maquillage de seins comme exigé. Puis elle s’installe sur le plancher, à quatre pattes, le cul en l’air, tête baissée, les mains posées bien à plat de chaque côté de sa tête, à genoux les cuisses bien écartées et la croupe cambrée, elle prend sa position de soumise, celle qu’elle aime qui précède des plaisirs intenses, qui rappelle sa condition de petite chienne. Rapidement, elle commence à s’impatienter, l’attente est interminable. Quand va-t-il monter pour enfin la rejoindre? Néanmoins, elle ne modifie pas sa posture de peur de lui déplaire et d’être forcément sanctionnée. Elle sait que son plug va décorer son petit trou et scintiller de mille feux à la lumière. Cette petite coquetterie l’excite un peu plus. Elle attend, le maître est toujours absent. L’absence est trop longue, peuplée d’angoisses et de désirs inavoués. Que va-t-il faire en arrivant? La féliciter de sa docilité ou seulement la chevaucher et l’enfiler de force juste pour vider ses couilles tout en l’inondant de sa semence poisseuse qu’elle devra recueillir avec ses doigts pour finir par la boire. Non, il ne peut se contenter de si peu. Il va jouir d’elle pour son unique plaisir à lui et lui faire subir les pires sévices qu’elle ne peut même pas imaginer encore.   Tara perçoit indistinctement ses pas, il approche, il est là enfin. Il lui tourne autour et de la pointe de sa cravage caresse cette croupe qu‘il ne trouve pas à son goût, trop relâchée. Il lui frappe violemment le bas des reins. Tara se cambre immédiatement sous la semonce. Elle le connait, il est sans concession et exige la perfection. Cette position le comble, Tara est à sa merci, mais pas suffisamment à son goût. Elle sait qu’il va vérifier les ajustement demandés. Elle pense ne rien avoir oublié. Il lui intime l’ordre de se lever et inspecte de nouveau chaque partie de son corps. Tara aime cette introspection et est fière de s’être apprêtée avec tant de minutie pour lui. Il commence par le haut : le maquillage de son visage semble à sa convenance, Il lui introduit deux doigts dans la bouche qu’elle suce goulûment et avec application. Puis il descend, titille le bout de ses seins qui pointent et dont les mamelons sont réhaussés de son collier. Il semble qu’il soit plutôt satisfait de son nouveau maquillage. Il descend toujours, en caressant son ventre et arrive sur sa chatte. Elle a pris soin de la tailler à la perfection comme il aime. De la distinction avant tout. Il enfile vigoureusement deux doigts dans son orifice intime afin d’en verifier l’état. Elle mouille bien sûr, tous ses préparatifs ont éveillé ses désirs. Il saisit une fesse d’une main ferme et la fait pivoter, elle exerce alors un léger déhanchement puis se penche en avant en exibant son derrière, fière de lui montrer son plug orné de sa pierre rouge qui scintille. Là encore il lui introduit deux doigts après lui avoir retiré son bijou de cul. Tara tressaille sous la douleur mais n’en laisse rien paraître. Soumise elle est, soumise elle reste pour l’unique plaisir de son Maître. Il prend soin de remplacer son plug par son crochet anal qu’il relie par un ruban à son collier, ce qui l’oblige à se cambrer un peu plus. Il saisit ensuite son collier de chienne et y accroche la laisse. Elle ne sait pas encore à quoi il veut jouer. Elle cherche par sa posture à déjouer ses desseins qu’elle devine funestes. Chienne, elle se doit de l’être. - A quatre pattes, - Oui Maître, à votre convenance. Elle obtempère, et endosse son rôle de chienne ; ce titre fait tressaillir tout son corps, elle subit cette humiliation dégradante, mais au fond d’elle, elle adore. Elle tire la langue, la passe avec gourmandise sur ses lèvres rouges, gémit, envahie par le désir de lècher une queue, de l’emboucher, l’aspirer, de la mordiller, de l’avaler jusqu’à la garde. Elle agite son corps en tout sens. Elle est rapidemment ramenée à son obligation d’obéissance lorsque la voix grave de son Maître associée à une tension sur la laisse lui intime l’ordre d’avancer. Ce dernier geste la fera se trémousser pour un petit plaisir anal conjugué à son oeuf de jade confiné dans son intimité. - Jappe comme un petit toutou et tortille des fesses. Oubliant toute dignité, elle s’exécute docilement. Il tire de nouveau sur la laisse tout en donnant un petit coup de cravache sur ses fesses afin de faire quelques mètres, elle se sent flattée par cette attention. Une petite tension sur la laisse, - Stop! - Lèche moi les pieds, suce mes orteils Elle s’éxécute, un peu réticente, mais respecte ces dernières consignes. Elle aspire consciencieusement chacun de ses doigts de pieds. - Lèche mes jambes et mes cuisses. Elle remonte lentement. Sa langue est un peu sèche. - Broute moi les couilles et ne touche pas à ma queue. Elle s’applique dans cette tâche plus qu’humiliante. Peut être y trouve-t-elle un plaisir indicible… Elle lui avale ses couilles, gourmande, les caresse de sa langue et les aspire avec douceur. Elle connait bien l’extrême sensibilité de ces jumelles. Elle regarde sa queue qui pointe fièrement au dessus, frustrée de ne pas avoir le droit de la flatter. Car elle l’aime ce pieu qui sait si bien la pilonner au plus profond de son intimité. Elle a mal parfois, mais cette douleur l’exalte aussi. Et puis l’avaler jusqu’au fond de la gorge à s’en étouffer,. Elle adore cette pratique jusqu’à ce qu’il explose dans sa bouche et l’inonde de sa semence. Ensuite tout avaler avec délectation. Tout en poursuivant son labeur, elle se permet de rêver. Allait-il l’honnorer ce soir ou alors la délaisser toute pantelante, ignorant ses désirs les plus profonds? Elle sait qu’il en est capable pour marquer un peu plus sa domination en la laissant inassouvie. “Tara cesse de penser et applique-toi”. - Lèche moi le cul à présent et rentre bien ta langue dans mon petit trou. Il fait volte face et elle se retrouve collée à ses deux fesses musclées. Elle les écarte et cherche sa voie. Elle trouve rapidement sa cible et d’une langue agile s’y enfonce le plus possible. Elle y trouve des goûts un peu forts mais néanmoins subtils, comme des fragrances de rut. Elle travaille de son mieux mais il se lasse vite de ce petit jeu. - C’est bien, va t’asseoir sur le lit, je n’en ai pas fini avec toi. Pose ton cadenas sur tes anneaux, je suis le seul détenteur de la clé qui le déverrouille, tu le sais. - Oui Maître, tout de suite.
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Par : le 06/03/24
Cette histoire se passe dans un club libertin, avec pour thème le BDSM. Mais cette soirée est particulière, chaque Dominants ou Dominatrices doivent présenter leurs soumis ou soumises à tout les autres invités, avec une liste de choses à subir qui est adapté pour chaque soumis soumise. Puis les soumis soumise sont mis à disposition à tous les membres Dominants Dominatrices. Le ou la soumise se retrouve au centre de la pièce et doit se laisser faire sans parler, sans crier, la seule chose qui lui ait autorisé, c'est de gémir. Puis viens mon tour, ma maîtresse me mène en laisse au centre, je suis nu les yeux bandés les mains liées de devant, j'ai peur, je marche d'un pas hésitent ma Maîtresse tire des coups secs sur ma laisse pour me faire avancer, j'arrive au centre, je sens des mains commencer à me toucher ce ne sont pas les mains de ma maîtresse, celles-là sont plus masculines, on tire très fort sur ma laisse pour me faire mettre a quatre pattes, je me retrouve dans cette position comme un chien apeuré on e fait écarter les jambes en me donnent des coups de pieds sur chaque chevilles je sens leurs mains sur moi jai les yeux encore bandé leurs doigts frole mon anus et mon sex, quand soudain on me leve le bando sur mes yeux la je vois au tour de moi une dixene hommes viril tres bien vetu classe ma maitresse avait choisie pour moi de beaux mals et au tour encore les autres Dominant Dominatrcies qui asite au spectacle assis pour d'autres debout flute de champagne a la main qui rigole ce regoussent de me voir dans cette situation. J'ai honte, c'est la première fois que je suis humilié devant d'autres personne, je suis là, a quatre pattes, nu, je ne bande pas mon sexe est mou, j'ai les couilles qui pendent on tir fort dessus les spectateurs ce moque de la taille de mon sexe. Puis je sens un doigt s'introduire dans mon anus un autre devant moi sort son gros sex de son pantalon et me le met dans ma bouche, il appuya sur l'arrière de ma tête pour me la mettre au fond de ma gorge quant à celui qui me doigtait le cul, il m'enfonça sa grosse bite. Il était dix à passer à tour de rôle dans mon cul et dans ma bouche un coup celui qui me sodomisait me la faisait sucer et celui que je suçais me sodomisait. On me fit allonger sur le dos les jambes en l'air un qui me sodomisait et un autre qui vient au-dessus de moi pour me cracher à la figure et un autre qui m'enjambe écarta ses fesses et vient poser son anus sur mon visage. Il frotta son cul pour étaler le crachat de l'autre et me dit de lui renifler le cul comme si j'étais un chien. Ils sont passés un tour chacun à me faire sentir leur parfum anal chaque mal avait une odeur différente. Je devais renifler et lécher. Quand soudain un me demanda d'ouvrir la bouche, il colla son anus sur ma bouche grande ouverte et lâcha un pet, je ne devais pas bouger et me laisser faire j'ai juste crispé les yeux, il se leva me mis des petites tape sur la joue en me disant brave chien. Puis ils se sont mis les dix autour de moi, et on commençait à m'uriner dessus à tour de rôle puis ma Maîtresse est intervenue, elle a apporté deux entonnoirs, un dans ma bouche et l'autre dans mon cul. Je vous rappelle que je suis toujours allongé sur le dos. C'étaient des entonnoirs avec un long tuyau. Ils ont continué à pisser, mais cette fois-ci dans les entonnoirs. J'avalais leur pisse au fur et à mesure, je sentais l'urine remplir mon cul, c'était comme un lavement anal, mais a la pisse. Une fois fini des jets de pisse qui sortait de mon cul, mon cul qui était bien dilaté. Pour certains, ils m'ont giclé sur le visage d'autre dans la bouche et d'autre dans mon cul. J'ai fini accroupi le visage au sol dans leur pisse plein de sperme et le cul dilaté avec du foutre qui en dégoulinait.  ( Ce si est un récit non vécu, c'est juste un fantasme)                                    
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Par : le 06/03/24
Je mets en évidence certains points que certaines personnes ont l'habitude de juger sans connaître la difficulté quotidienne que cela engendre. Loin d'être stupide, un dyslexique a une façon différente de raisonner lorsqu'il lit, les mots prennent vie comme de la poésie. (Évidemment, étant moi-même dyslexique, j'utilise un vérificateur d'orthographe et de grammaire car je ne vois pas mes erreurs) ! Lorsque vous êtes dyslexique, vous l'êtes toute votre vie. De toute évidence, cela pose un petit problème avec les autres, mais il faut le supposer. Dire aux gens : "Excusez-moi, aidez-moi, je fais cinq fautes d'orthographe par mot" n'est pas facile ! Ce n'est pas parce que vous êtes un imbécile. Vous pouvez travailler dur pour essayer de gérer comme les autres, mais la difficulté ne disparaît pas, c'est un trouble, un handicap. Certes cela nous empêche de nous exprimer et de nous faire comprendre, mais on peut être talentueux dans de nombreux autres domaines, soyez-en sûr ! Ce message concerne une situation complexe et vise à supprimer une étiquette pour beaucoup d'entre nous qui sont constamment confrontés aux corrections de science infuse. Je tenais à exprimer mes pensées et ma propre expérience. Mais plus particulièrement aussi afin de faire comprendre à certains que ce n’est pas fait exprès et que cela n’est pas pour autant que l’on n'a pas appris lorsqu'on faisait des études. Merci d'avoir pris le temps de le lire.
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Par : le 21/02/24
Dans l'ouvrage "Jouir d'avoir mal" d'Olivia Benhamou, le lecteur/ la lectrice est invité(e) à plonger au cœur d'une exploration du masochisme sexuel. À travers une enquête psychologique et sexologique menée de main de maître(sse), Benhamou, psychologue clinicienne et sexologue, déconstruit les tabous et les stéréotypes entourant cette pratique sexuelle sulfureuse. Ce livre, écrit à la première personne, se distingue par son approche introspective et empathique, offrant une perspective inédite sur le masochisme. Le point de départ de cette quête de compréhension est la rencontre de l'auteure avec un patient dont le besoin impérieux d'éprouver de la douleur pour atteindre le plaisir sexuel suscite sa curiosité et son intérêt professionnel. Ce cas catalyse une exploration plus large, à laquelle Olivia Benhamou nous convie, naviguant entre réflexion théorique, analyses des représentations culturelles du masochisme, et témoignages intimes de personnes pratiquant le BDSM. Olivia Benhamou propose un decryptage du masochisme sexuel loin des clichés, envisageant cette pratique comme une quête de sensations extrêmes, un moyen de lâcher prise totalement, ou encore comme une manière de forger une connexion amoureuse unique. Elle souligne également comment le masochisme peut servir d'échappatoire aux contraintes quotidiennes ou répondre à des difficultés sexuelles spécifiques. Le livre prend la forme d'une série de portraits intimes, où les individus partagent ouvertement leurs expériences sexuelles et la signification profonde de ces dernières dans leur parcours de vie. Ces histoires personnelles sont mises en perspective avec une analyse rigoureuse des enjeux psychiques du BDSM, dans un contexte où ces pratiques gagnent en visibilité et semblent de plus en plus acceptées socialement. "Jouir d'avoir mal" se révèle être une œuvre à la fois pédagogique et émouvante par certains côtés, qui brise les idées reçues et invite à la réflexion. L'auteure accompagne le lecteur à travers son processus de découverte, partageant ses questionnements, ses surprises, et ses conclusions. Ce faisant, elle offre un éclairage précieux sur les dynamiques complexes du plaisir et de la douleur, enrichissant la conversation sur la sexualité humaine dans sa diversité. Au-delà de son sujet qui sent le souffre, ce livre est une ode à la complexité des désirs humains, mettant en lumière la capacité de l'individu à trouver du plaisir dans l'atypique. Olivia Benhamou réussit le tour de force de traiter un sujet controversé avec respect, sensibilité, et une profonde humanité, faisant de "Jouir d'avoir mal" un livre essentiel pour quiconque s'intéresse aux intrications de la psyché humaine et à la richesse de ses expressions sexuelles. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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