Bonjour Wolfen,
Je vous informe que Monsieur Sitael n'est plus sur le site.
Avez vous trouvé votre perle ?
Soyez la première personne à aimer.
Alors de mon point de vue
"ou avec des règles dont le principal plaisir est de les transgresser !" on établit donc bien des règles quelque part quand même (humour) La question serait donc t'elle vide de sens ? non je ne pense pas tout comme vous :)
Mais on peut dire tout ce que l'on veut, il y a bien des règles que nous établissons dans nos couples D/S, libre à chacun de jouer avec le cadre et ses limites suivant la relation établie. Je ne reviendrai pas sur le sujet, je fonctionne un peu comme vous, un cadre dont les limites peuvent bouger.
Néanmoins, respecter un dogme ou être soumis à celui çi n'est qu'un point de vue, chacun y trouve sa façon de penser.
Par contre définissez correctement les deux grandes voix qui existent :
Dom /Soumis(e) et Maître(sse)/Esclave (oui j'ai bien dit esclave au risque de choquer certain(e)s ici), le cadre n'a plus rien a voir, ni les règles non plus. d'un coté ce sera plus ou moins souple, de l'autre plus ou moins rigide.
Chaque courant de pensée à ses avantages et inconvénients
Je ne me focalise pas la dessus, je me focalise plutôt sur ce que souhaite ma soumise dans la relation et la complicité dans celle ci.
Moi j'ai une petite question (voir plusieurs) :)
Si votre soumise a caractère brat, peut donc transgresser les rêgles, c'est bien que vous en avez érigés certaines ? non ?
Et si elle les transgresse toutes ? Allez vous laissez passer ? ah vous risquez de me répondre, il y a tant de jeux à faire...on peut tout découvrir avant....
Bien oui, certes, mais les jeux ne sont pas infinis, tôt ou tard vous arriverez à la case départ, vous allez faire quoi ?
Allez vous supporter jusqu'au bout du cercle son caractère brat ?
refaire le même cercle de jeux ? ou monter d'un niveau ? donc changement de cadre...d'ou installation de règles implicitement...ben oui votre caractère Dominant est quand même là non ?
Poursuivons, si votre brat peut vous défier facilement, n'allez vous pas vous lasser au bout d'un moment ? ou même elle ?..car elle peut vous trouver trop 'mou'...
Mais alors qui domine ? mais alors ou sont les rêgles que la soumise veut transgresser ? il faut bien en établir quelques unes non ?
Allez je lance une bouteille à la mer : bien que je vous rejoigne sur ce que vous avez écrit, je ne parle pas en tant que règles mais d'objectif à atteindre et partager à deux.
Pour moi, les règles sont des outils, on les utilise pas, peu ou pleinement, tout dépends de la relation établie,
Ps je vous titille avec les questions, ce n'est pas méchant, c'est juste planter l'envers du décors, discourir c'est bien, se mettre devant des faits, c'est bien plus intéressant :)
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Vous me surprenez agréablement Lady Spencer (aurait je fait école avec mon propre post la rupture une petite vue coté dominant ? désolé je vous taquine là.)
Mais force est de constater que oui, les doms n'aiment pas écrire ou discuter de leurs échecs, toujours cette fierté mal placée, mais ce n'est pas le fond du débat.
Donc pour vous répondre, je vais déjà définir regret et remord vu de mon coté.
Par regret, j'entends certaines pratiques que nous n'avions pas pu explorer faute de temps avec Chloé (mon ancienne soumise et son départ dans le sud)
Par remords, j'entends le fait d'avoir pousser le jeu trop loin, ou avoir fait certains jeux qui sont tabous pour ma soumise (exemple : pratique des aiguilles sur elle, ou comme vous l'avez raconté s'être laissé grisé par cette sensation de puissance)
Ceci peut donc être interprété différemment pour chacun(e) d'entre nous.
Donc, de mon coté des légers regrets, pour des jeux non pratiqués avec Chloé (faute de temps), donc aucune incidence, car pas de zone rouge atteinte
Des remords ? aucun, car je suis beaucoup plus rigide avec moi même qu'avec ma soumise, et je n'ai jamais atteint la zone rouge (coté dom), j'ai bien par contre ressentit cette sensation de puissance, celle qui peut nous griser.
Pour cela, le dialogue, toujours le dialogue pour ma soumise, avec un système de codification afin qu'elle puisse arrêter à tout moment.
Je suis le garant de sa sécurité physique et mentale, c'est à dire son garde-fou, je n'ai donc pas le droit de faillir dans la tâche. Je n'ai pas le droit de me laisser aller coté zone rouge.
Donc très régulièrement je m'interrompt, je lui demande "comment vas tu ?" ou "comment te sens tu ?" ou je lui demande "si elle désire faire une pause" ou "si elle désire continuer" ou encore "si je dois la pousser un peu plus", je ne fais rien sans son consentement, car je sais que cette petite ligne rouge, est très fine elle marque le respect complet ou le dégoût profond suivant qu'on l'atteint sans la franchir, ou qu'on la transgresse sans plus se soucier de l'autre.
De mon expérience avec Opale (d'ailleurs j'ai eu des très bonnes nouvelles il y a quelques jours sur cette rupture ou plutôt break cause personnelle de son coté), m'a permit de recommencer les jeux de façon soft et douce.
Car novice et jeune, d'ou beaucoup de questions, et donc de réponses de ma part, d'attentes à clarifier et être d'accord tous les deux, et donc toute une panoplie de jeux à faire ensemble et partager, car c'est pour une relation longue.
Il y a un code moral à garder, et toute la beauté du jeu réside dans la façon de montrer à l'autre qu'on se maîtrise, qu'on maîtrise le jeu, pour les deux et qu'on ne cède pas à ses pulsions intérieures.
Alors oui le sentiment de puissance est là, il est sournois, enivrant, tellement puissant car on a le contrôle. Mais il est dévastateur lorsqu'on lui laisse la place. Dans la relation D/S tout est exacerbé, la moindre dérive prend des proportions gigantesques car on flirte parfois avec des limites.
Une belle relation, c'est celle du dialogue, de la détente avant pendant et après, du respect de l'autre, de la complicité à entretenir, et de développer tout cet ensemble à deux (ou plusieurs).
"Le maître apprend tout autant de son élève..." je me répète cette maxime depuis très longtemps dans tous les domaines, et chaque jour elle me le rend bien.
Je n'ai pas à ce jour franchi la zone rouge pour mon plaisir, et j'entends bien poursuivre de cette façon, et savoir qu'elle existe côté Dom, me permet de garder le contrôle de moi même. Et quand bien même je devrai lui céder un jour, et bien je préfererai tout arrêter le lendemain car j'aurai honte d'avoir perdu le contrôle de moi même et avoir perdu le respect de ma soumise, je ferai un bien piètre dominant.
Bien à vous
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Sysyphe a très bien résumé
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Bonjour Monsieur Wolfen,
Je suis désolée d'apprendre la rupture avec O.
Monsieur Sitaël m'a chargé de vous dire qu'il ne peut communiquer avec vous à cause de son opérateur internet.
Bonne journée à vous.
maca
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@Lorelle : aucun soucis, faites le à tête reposée et prenez votre temps, je peux comprendre que vous ayez réagis instinctivement sur CE post:)
@ lilo : je vais essayer d'êre bref et si possible simple, sans trop dévier (qu'un(e) autre Dom me fouette si je me trompe trop lol)
Soumination : essayer d'induire une idée, une envie etc, non pas à la base, surtout que dans la relation on discute, on échange, on développe, on progresse, on évolue, on vas "titiller" la zone orange, parfois effleurer la zone rouge...
Au début, le /la soumise explique ses envies et aussi et surtout ses craintes, ses limites du moment. Puis le/la Dom doit maîtriser le jeu, tout en faisant en sorte que le/la soumise peut être séduit(e) pour tenter (non pas pour l'intérêt du Dom, mais bien de voir progresser le/la Soum), par forcément de suite, mais que l'idée germe dans son cerveau..
A partir de la , exprimer un souhait, une envie, est légitime, Le / la dom juge de la maturité atteinte et applique ensuite (avec discussions au préalable)
Par contre certain(e)s Soum font tout pour aller dans la direction qu'eux même imposent, c'est à dire que le/la dom ne maîtrise plus le jeu à un moment donner et vas donc suivre son/sa soum, comme l'a dit Lorelle, elle / il tentera de prendre la main
2 exemples
- jeux de pinces sur certains endroits du corps, le/la soum fera tout pour que le dom les place aux endroits stratégiques, si pas la bonne place, mais sans en parler
soit vas se forcer a rester en zone verte et se controlera à fond, pour le dom change les pinces de place
soit vas hurler le safeword, pour que la/le Dom se ravise et change de stratégie.
- limite du dom qui ne veut pas aller vers certaines pratiques, ou une punition trop "chargée", alors que la/le soum en raffole intérieurement..provocation pour recevoir une punition exemplaire (ce qui peut être admis) mais trop souvent
Partager / Evoquer une idée est une chose
Provoquer pour soi même de façon indirecte en est une autre
Bien souvent on est à la limite entre les deux, de mon point de vue,
d'un coté on en parle , et on agit conjointement
de l'autre on force par des moyens détournés (et on se focalise sur une seule pratique par exemple...le/la Dom ne peut plus trop inventer de jeux)
En fonction du/de la Dom ou Maitre(sse) et du contexte de la relation soft/medium/hard la limite est plus ou moins floue.
Mais ce sujet est très vaste lui aussi...(parce que ça peut devenir un jeu dans le jeu, quand le/la Dom s'en aperçoit)
et je ne parle que de relation Dom/Soum.... Maitre(sse)/Esclave c'est encore plus :)
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Bonjour Lorelle,
je ne le prends pas du tout pour une attaque :)
mais que vient donc faire une tentative d'analyse de ma personnalité sur le débat présent ? ou je parle de l'humanité qui est (je l'espère) présent chez chacun de nous ?
Parce qu'à vous lire, vous ne faites que ça, extraire des informations et dresser un sombre tableau qui n'est absolument pas le mien et je m'en défends.
Donc je vais vous répondre :
exemples :
visiblement je ne je vois mes soumises ou je me montre intransigeant, déjà il n'y en avait qu'une seule, ensuite rien ne vous permet d'affirmer cela, n'étant nullement présente lors des rencontres, des jeux, et des sessions.
Ensuite Opale, ça faisait 8 mois que je la connaissais, en mode vanille et depuis quelques temps en mode D/S
J'allais la chercher et la raccompagnais ensuite, et le tout avec ouverture de la porte du carrosse régulièrement
Et il n'y avait pas de tapes sur la tête, et jamais une gifle qui plus est.
Ne dressez donc pas une vision qui n'est pas réelle de ma personne ! (merci)
Vous comprenez ce que je fait et je recherche ?
c'est présomptueux de votre part je pense, la encore des sessions rapides ?
la plus courte rencontre était 3-4h, et bien souvent c'était la nuit (prenez donc quelques instants et allez donc relire mes chapitres de présentation, merci)
Quand à peindre un scénario préconçu, la j'explose de rire, les différents jeux avec Opale, étaient justement basé sur les imprévus de ses actes, réponses, comportements etc...elle a toujours eu des choix multiples, le choix précédent pouvant influencer sur les minutes suivantes....ou non :)
Et pour la partie sexe, puisque vous en parler, elle était plus que minimal, (voir mon dernier chapitre) et ce n'est pas moi qui voulait relancer la mécanique d'ailleurs... sourire (et pour la sacrosainte sodomie, je n'ai jamais sodomisé Opale)
Quand au phénomène de sans nouvelles, le dernier message était justement une proposition de me voir le samedi soir suivant afin de poursuivre à sa demande, car je lui avais laissé le choix, elle l'avait constamment, découvrir de plus en plus ou revenir au mode normal.
C'est justement le silence radio après qui était devenu inquiétant et ça ne lui ressemblait guère, le sms concernant la punition faisait partie du rituel conclut entre nous, je ne me suis pas retrouvé comme un bulot (rires).
Le silence radio était le jour du rdv, disons à l'heure du rdv et après...(et surtout qu'aucun volet de son appartement n'a bouger depuis, je suis repassé voir au cas ou il y aurait un truc grave car inquiet)
Pour professionnel
Bien me relire svp, je parle de la vie professionnelle, donc le travail, et donc la frontière entre la vie intime et travail. Je n'ai jamais parlé de professionnalisme dans le BDSM, et je m'en offusquerai moi même si je devais tenir ces propos, vous avez du lire entre les lignes ou en diagonale (désolé).
je ne suis pas Super Dominant, la preuve c'est que j'ose parler de la rupture.
Quand est ce que je suis moi ? tout le temps, j'ai simplement deux modes de fonctionnement, mon instinct dominant ne s'éveille que lorsque je suis en face de ma soumise et que nous tous les deux en phase, sinon il n'existe pas.
Vous avez une relation particulière et souple avec votre Dom, très bien (avec ma précédente Chloé c'était la même chose), par contre n'oubliez pas que chaque relation est unique, qu'elle est le fruit des composants de deux personnes.
Opale le disait elle même, "j'ai besoin que tu me canalise et que tu sois ferme, je préfère cela, j'en ai besoin et ton coté cérébral me tient à flot".
Donc maintenant, avez vous mieux comprise ? je vous invite à revisiter votre jugement.
Et aussi de revenir sur le fond du débat, et non la forme (ou je ne sais quelle analyse je ne cherche pas de conseils, je fais avec les événements et je n'ai nul besoin de psychanalyse je vous en remercie)
Bien à vous également
NB : j'aimerai assez que d'autres Dom (F/H) parlent aussi de leur vécu, (si ils le désirent), et que l'on démontre que nous sommes humains avant tout chose, et qu'on arrête une bonne fois de nous endosser de rôles parce que ceci ou cela...
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Bonjour HCL,
Moi ? non
faire du couper-coller, chose admirable qui permet de sortir une phrase ou un lot de phrases de son contexte initial.
(je ne vous agresse pas), je vous demande de remettre les choses en l'ordre...et de relire aussi mon texte du début, surtout le passage ou j'écrit "Je suis Dominant, mais je suis avant tout un être humain,..."
Je ne pense franchement pas raisonner comme une machine... :)
Pour avoir bien lu votre propre commentaire, donc bien répondre à votre question (je voulais vous répondre de façon plus approfondie hier soir mais un coup de fil du travail m'a obligé à rester au téléphone un long moment)
Alors Non il ne faut pas être un "Terminator" du BDSM pour être Dom, déjà rien que le terme...(enfin bref).
Relisez bien, le passage jusqu'à la ligne que je viens de reprendre entre guillemets au dessus
Ce n'est en rien que parce qu'on domine qu'on est pas un être humain, au contraire...
Pour le cadre de la rupture brutale sans explications, ce qui nous intéresse à vrai dire, c'est bien le côté humain (pour certains) qui prends le relais, et les réponses ne viendront jamais. Les doutes qui surgissent, etc...les émotions qui peuvent nous submerger par vagues.
Par contre la vie professionnelle est bien présente, et là il faut faire attention aux dérives, car il risque d'y en avoir et en milieu professionnel nous savons tous les conséquences désastreuses que cela peut avoir, sans compter sur le milieu biologique de notre corps, stress, nervosité, fluctuations des hormones, etc..
Je suis un professionnel et donc, ma vie privée doit influer un minimum sur mon travail, donc effectivement à un moment donné il faut enclencher ce morde Terminator comme vous le dites. Juste le temps de se reprendre ou du moins se ressourcer.
Mais il existe effectivement des Terminators, qui n'appliqueront pas ce schéma, et qui dès la fin de la relation passent à autre chose, soit par habitude, soit parce qu'ils ne s'investissaient pas réellement à 200%, soit tout simplement parce que le contrat était basé sur une période bien définie.
Je ne fonctionne pas en mode
IF....
Then ...
Else if ...
END IF
Comme vous je met en place des mécanismes pour prévenir ce genre de problèmes, mais les inconnues de la vie existe, et nous sommes obligés de faire avec...
Mettre en place des moyens pour prévenir l'autre au cas ou il nous arrive un malheur, ok assez facile
Mais quand c'est l'autre et qu'il/elle n'a rien prévue, ce n'est plus la même chose..
J'espère que je me suis mieux fait comprendre à vos yeux..
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depuis toujours j'aime exercer mon autorité sur les hommes, j'ai beaucoup de plaisir à dresser et à éduquer avec sévérité ; je recherche un nouveau soumis pour du suivi uniquement .:.
Tout à fait bien résumé,
Ce sont ces autres questions qui viennent naturellement à l'esprit et comme vous le dites, on digère et on passe à autre chose, ou quelqu'un d'autre en prenant éventuellement un peu de temps.
Rien n'est éternel dans la vie, il y a tellement d’événements qui peuvent survenir.
Alors autant se dire que finalement c'était une bonne relation ou une bonne expérience (comme je le dit toujours le Maître apprends autant de son élève).
Pour la confiance, on ne le saura jamais, ou alors petit à petit dans le cas ou la relation perdure et devient de plus en plus forte.
L'important c'est transformer ce pseudo échec en réussite sur la prochaine fois, ou tout au moins en tirer des leçons sur soi même ou sa façon de faire.
- Nespresso ?
- Why not without sugar or milk :)
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Disons que je ne boude pas le plaisir quand j'en reçois et je sais trouver les possibilités d'en rendre plein. légèrement dominante, je ne refuse pas d'être aussi tendrement guidée. Du plaisir du plaisir... .:.
Adepte du copier coller à ce que je constate.. :)
Si se surpasser ou ne pas montrer ses propres émotions pendant le moment d'une session, fait que vous pensiez que c'est un acte de Terminator, libre à vous, ce n'est nullement le mien...
J'ai bien écrit que j'étais un humain avant tout..
Et quel contenance aurait un(e) dominant (e) face au soumis si au moindre 'aie' il comencerait à fléchir ? Aucune...par contre il peut expliquer après, la phase de descente est là pour ça non ?
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Je ne vois franchement pas où il y a du Terminator la dedans...:)
Bon je suis au travail et avec mon smartphone. Je relirai vos propos plus calmement ce soir.
Sinon nous sommes bien d'accord que nous sommes humains avant tout, et c'est bien cela qui compte.
Pour ma part le deuil est déjà fait (mon post mort d'une étoile).
Et le pourquoi du comment restera comme vous le dite sans réponses, je suis bien d'accord.
Pour vous contredire, je ne parle pas de relation humaine entre moi et opale sur ce post (mais je suis d'accord avec vous que c'est la relation humaine qui est derrière, j'aurai sans doute du mieux formuler mes derniers propos).
Pour marina, le terme chasse est uniquement péjoratif...certains se mettent en chasse car c'est leur motivation, d'autres attendent..moi mon côté dominant ne s'éveille que lorsque la soumise s'éveille à moi et eveille ma curiosite
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La Rupture - une petite vue coté Domination
Une fois n’est pas coutume, et certainement non habituel, parlons un peu de la rupture entre Soumis(e) et Dominant(e), mais vu du coté Dominant(e). Je parle d’un lien fort et unique, quelque chose qui est sensé durer car une osmose est à l’œuvre entre les deux lorsque les deux, sont : soit au début de la relation, soit après une période plus ou moins longue et que la complicité s’est renforcée. Je parle du/de la Dominant(e) qui s’investit à 200% Puis d’un coup tout s’arrête du côté du/de la Soumis(e) sans aucune explication, le rideau est tiré, la salle est vide, les lumières se sont éteintes d’un coup. Autrement dit, aucune nouvelle… Alors que se passe-t-il du côté revers de la médaille ? Démystifions un peu tout ça. Nous savons que côté BDSM, les dominant(e)s n’aiment pas en parler, ou du moins ne s’exposent pas, (fierté mal placée, orgueil, compétition avec autrui, rang, etc…il y en a tellement..). De plus le côté D nous oblige à nous dépasser nous-mêmes pour deux personnes, le contrôle de l’autre et le contrôle de soi-même. Du coup, on apprend à se surpasser, à ne pas montrer nos émotions face au/ à la soumis(e), (sauf la petite approbation ou son contraire) mais tellement succinct et tellement contrôlé. Personne n’a jamais eu la main qui tremble un peu avec le paddle, cravache, martinet ou tout autres sévices lorsque le soumis tient et que l’on s’aperçoit qu’on vient de franchir le fameux mur de verre ? Oh que si, tous…aucune exception, la perfection n’existe dans aucun domaine. Avec l’expérience on maitrise cela, on change le jeu, on alterne etc…l’unique moment où le dominant peut lever le voile s’est dans les phases avant et après (surtout après). Mais dans la rupture brutale sans explications, ce n’est plus la même chose, on est seul face à soi-même. Je suis Dominant, mais je suis avant tout un être humain, et du coup, les mêmes questions vont se poser à moi : Ai-je fais mal ? Ai-je dit quelque chose ? Suis-je allé trop vite ? Trop loin ? Trop fort ? Ai-je bien respecté ses limitations ? L’ai-je bien écouté ? Etait-ce seulement un fantasme de sa part ? M’as t’elle/il fait de la Soumination ? Lui est-il arrivé quelque chose ? Etc… Et comme tout dans le BDSM est exacerbé, on va se repasser mentalement la dernière session en boucle, chercher la petite erreur, l’indice qui nous permettrait de comprendre. Mais des fois il n’y en a pas Dans le même laps de temps (puisque notre cerveau tourne à 200% de régime), nous évaluons et passons par La surprise L’incompréhension La colère (et là on imagine déjà une punition exemplaire histoire de bien montrer qu’on a les rênes en main) L’attente (plus ou moins longue) Un Questionnement (envoi d’un message pour s’enquérir de l’absence) Puis un Second, (explication comme quoi au vue de la faute, il nous faudra sévir la prochaine fois) Puis nouvelle attente. Mais… Le temps passe et rien…toujours le vide L’inquiétude (il est arrivé quelque chose) du coup troisième Questionnement (je n’ai pas de nouvelles de toi, reprends contact, je m’inquiète, ….est ce en rapport avec moi ? etc) Encore une phase d’attente La certitude (il / elle ne reviendra pas) La déception (ce qui nous oblige parfois à se retirer momentanément en mode vanille ou définitif ou nous reprenons la chasse en prenant des filtres plus élevés) C’est une trame générale, chacun(e) peut y retrouver des éléments qui lui sont propres ou pas. Oui nous pouvons souffrir tout comme vous, mais nous avons des « armes », un apprentissage, un code moral, une ligne de conduite qui fait que nous nous ressaisissons rapidement. Mais ne pensez pas que nous nous lamentons…ce serait une grosse erreur… Si d’autres confrères H/F désirent s’exprimer….libre à eux NB A l’intention des soumis(e)s qui tenteraient une Soumination grâce à ceci afin de voir si leur Dominant(e) est motivé(e) et investi(e)t, faites attention car : Si il/elle s’en aperçoit, (et il/elle s’en apercevra), votre punition sera vraiment exemplaire. Et vous risquez tout simplement de le/la perdre, car cela pourrait nous apparaître comme un manque de motivation profond…. Et surtout une perte de temps, chose que nous détestons tous en général. Je n’ai fait que lever le voile sur la boite de pandore, je ne l’ai pas ouverte… Comprendre la psyché d’un(e) Dominant(e) ? Hum…je vous laisse juge, chacun de nous est unique et le fruit de ses expériences passées
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