nounours_soumis
par le 21/01/19
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Octobre 2018
Les aléas de la vie ont failli nous contraindre à annuler, mais tu as fait en sorte que nous puissions quand même nous voir pour ce court mais bienvenu week-end. Moi aussi j’avais hâte de passer ces deux jours avec toi.
Après une première soirée câline, et une journée plutôt tranquille, mais pas totalement inactive, nous rejoignons ton antre pour la soirée. Tu commences par ouvrir ta toute dernière valise, celle qui contient toutes sortes de cordes. Je comprends vite que tu comptes couvrir pas mal de surface vu le nombre de liens étalés sur le lit. Si la première est désormais des plus classiques, tu me surprends dès la suivante et parant ma jambe gauche d’un beau bleu. Symétriquement, tu habilles la droite de la même manière. Jusque là, ça va encore, à condition que j’évite de trop pencher la tête pour regarder. Etonnamment, j’ai droit à un peu de confort pour la suite : tu me demandes de m’asseoir sur la chaise, pas dans le sens habituel, cela aurait été trop classique. Tu poursuis donc avec mon bras droit que tu finis par immobiliser en position repliée, le tout avec un nouage plus qu’esthétique, à base de corde blanche ourlée de bleu. Pour le second bras, tu ne trouves rien de mieux que de me nouer directement au dossier, toujours avec les mêmes motifs. Quelques ultimes nœuds dans mon dos et je me retrouve totalement solidaire de mon assise. A voir ton visage, tu sembles ravie et satisfaite du résultat. Et tu peux l’être… en tout cas moi je le suis.
Après avoir défait ces nouages au bas de mon dos, je crois d’abord une taquinerie de ta part quand tu me demandes de me lever et de poser un genou sur la chaise. Pourtant tu es tout ce qu’il y a de plus sérieuse. J’ai d’abord l’impression d’être complètement ventousé avant de parvenir à décoller mon postérieur. J’ai ensuite l’impression que je vais m’étaler par terre empêtré dans la chaise. Mais finalement j’arrive à prendre la position désirée, que tu t’empresses d’immortaliser.
En me libérant les bras, nous découvrons de jolies mais fugaces marques sur le bras droit. Tu m’abandonnes à mes autres liens le temps d’une pause bien méritée. Non sans mal, je finis par réussir à retirer les cordes restantes.
A ton retour, tu passes à des choses plus « frappantes », plus claquantes. D’abord allongé sur le dos, tu étrennes le nouveau flogger aux multiples lanières. La sensation est plutôt mitigée pour nous deux. J’ai l’impression d’un tube flexible qui s’abat sur mon dos plutôt que des lanières. Du coup, les effets me semblent moindres. Espérons qu’en raccourcissant les brins, il se révèlera plus efficace. Par contre, l’essai du chat à neuf queues est bien plus convaincant. Je ressens bien le lourd contact sur les flancs et les épaules. Tu t’amuses alors à alterner ces deux nouveautés avec le flogger rouge et noir à tel point que je finis par les confondre et ne plus les distinguer. J’avoue que je me suis fait allègrement piégé sur ce coup-là.
Quand tu me demandes de me mettre à genoux avec la tête protégée dans les bras, je devine assez sûrement que tu vas te faire plaisir avec le fouet court. La cote de ce pari n’était pas bien haute; je n’aurais pas gagné grand-chose à part bien sûr de mordants contacts avec le cuir de ton jouet. Je ressens assez vite ton plaisir de le faire claquer autour de moi. Tout comme je me rends bien compte que tu vises une zone précise sans parvenir à l’atteindre. Enfin après quelques tentatives … car le coup au but me fait littéralement basculé face contre le lit avant un énorme fou rire. Bizarre ce nounours qui se fait flageller et en éclate de rire tout en y prenant grand plaisir. Je crois que malgré tout les plus sensitifs sont les coups qui atterrissent dans le creux du dos, comme une colonne vertébrale externe. Frémissements garantis. J’ai perdu la notion du temps en profitant à fond de ce moment que tu me proposes, ne négligeant aucune partie de mon corps, soit en tournant autour de moi, soit en m’enveloppant avec la lanière. En voyant les marques sur mon dos, le bas du ventre et le haut des cuisses, je confirme que tu t’es bien amusée tout autant que tu m’as fait plaisir. Mais le fin du fin c’est quand tu t’aperçois que les marques sont en relief: tu me sembles à cet instant-là être particulièrement satisfaite.
Le lendemain soir et même le surlendemain, il reste encore deux traces rouges au bas du dos. Comme quoi, il arrive que je marque malgré ma réputation ;-)
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MseSamantha
Je n'ai jamais dit que tu ne marquais pas ... J'ai juste dit que tu marquais après !
J'aime 21/01/19
nounours_soumis
C'est vrai, je reconnais ;-)
J'aime 21/01/19