La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 01/03/18
Oui, j'aime terriblement fister Délicatement, doucement, profondément ... On parle souvent du plaisir de la personne fistée, on parle plus rarement du plaisir de la personne qui fiste Dommage ! Car en termes de plaisir, j'en ressens vraiment lorsque je m'introduis dans ce ventre offert  .   Je lui donne un ordre : déshabille toi Son corps m'apparait, une peau douce, chaude, ferme. Un corps sensuel Un cul superbe, attirant, un cul demandeur   Il prend place sur le lit : il aime s'exhiber ainsi, presque ouvert déjà, en attente de caresses indécentes et profondes Ses bras retiennent son front, son buste tendu frôle le drap, son dos se creuse sous la tension qu'il imprime à son corps , ses cuisses en appui et son cul tendu Je le palpe, le découvre, le caresse, l'apprends Mes mains vont et viennent , mes doigts se dirigent naturellement entre ses fesses Impatiemment Je suis désireuse de le posséder intimement : nous en avons longuement parlé, nous aimons ces jeux là, nous en avons besoin autant l'un que l'autre Je le lubrifie et le pénètre d'un doigt : je découvre sa souplesse anale, je teste sa résistance, j'accompagne ses gémissements, je cherche sa sensibilité prostatique, la titille et la masse . Je le quitte puis me présente de nouveau en ce cul demandeur : je place mes doigts à l'entrée de son orifice puis l'invite à s'empaler : son cul me prend, m'avale, m'absorbe : je me sens invitée, aspirée : j'aime ça .... Ma main entre, doucement, sans forcer, j'entends ses gémissements de mâle devenir plaintes de ce plaisir femelle Je le baise de ma main , il réclame plus de lubrifiant, Je force son intimité à me recevoir, il se recule plus encore, poussant un peu plus en me suppliant d'entrer plus loin Il se referme su mon poignet , m'enferme en lui et cette sensation est fabuleuse pour moi : cet instant où je me sens prisonnière de ce cul fouillé , où son sphincter s'est serré autour de mon avant-bras, cette force m'oblige à orienter ma présence pour gagner de la place Son ventre est à moi : cette caresse est d'une intimité redoutable Ma main tourne, mes doigts massent ses parois trempées, je frôle la zone si sensible, j'avance et recule, ses gémissements deviennent cris de plaisir, je veux m'enfoncer plus loin encore Il me demande de ralentir pour ne pas jouir encore, son corps semble trembler de l'intérieur Je pose mon autre main sur son dos pour le creuser plus encore et le voir prendre cette posture de femelle en chaleur Le plaisir monte au creux de son ventre sans que je puisse savoir quand il explosera Je suis en lui, je le tiens délicatement du bout des doigts, je le dépossède de sa maitrise, je lui offre mon plaisir, je brise sa résistance , ma main devient poing, j'aime cette sensation , je me fais dure et douce , pénétrante et sortante . Il crie, se donne, il prend Il en veut plus . Encore    
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Par : le 08/01/21
Il est étonnant de penser que l’on passe parfois à côté d’une belle histoire sans le savoir .. Cela fait des années que j’échange avec lui .. Il y a une période où nous nous étions rapprochés, je n’étais sans doute pas encore prête à le prendre pour soumis ... Et puis on ne sait pas pourquoi, le jour où il me dit je suis sur Paris pour quelques jours, je lui propose de boire un café dans mon endroit favori ..j J’avais eu déjà eu déjà eu des photos de lui , je ne suis pas surprise , il est grand et fin .. je m’avance vers lui dans ma robe à pois , un clin d’œil pour lui , pour qu’il le reconnaisse .. Le café dure longtemps, nous parlons beaucoup, on s’observe aussi, c’est la première fois que nous nous voyons en vrai ^^ Nous nous quittons, les échanges continuent .. Pour finir par une rencontre plus personnelle .. Il passe me chercher à mon travail, je m’installe dans sa voiture, je tends la main, il me remet la clé de sa cage qu’il porte depuis quelques jours, je passe le cordon autour de mon cou c’est si symbolique .. J’aime qu’il porte la cage pour moi, savoir que son plaisir est contraint, que ses nuits seront courtes, réveillé par des désirs qu’il ne peut maîtriser, que moi seule décide .... Arrivés à destination, je lui dis de se mettre nu, c’est une des premières fois où je vois un soumis porter une cage .. Cela lui va bien, je m’amuse avec lui, il est si docile dans sa cage .. je réveille ses sens, il ne peut s’empêcher de gémir .. je continue au grè de mes envies, intraitable, sadique aussi, ses gémissements emplissent la pièce .. c’est une belle musique à mes oreilles .. je passe et repasse mes doigts sur la cage .. le pinçant, le mordant , le griffant , faisant claquer les lanières du martinet sur son corps , je sens son corps se tordre, se tendre aussi .. il tombe à genoux devant moi, je suis à vous Madame , il me baise les pieds avec tant de dévotion, tant de soumission .. Les émotions sont là , quel moment de partage .. J’ai fait par à severin que je voulais publier un article Il m’a répondu Madame, Merci pour ce texte qui m'a remémoré nos années de relation par Facebook interposée avant que ... Comme il est curieux de lire son histoire de soumis racontée par les mots de la Maîtresse, et ainsi mieux comprendre ce qu'elle a ressenti, mieux comprendre ce qui s'est passé, mieux comprendre l'attrait de la cage pour elle, ce contrôle qu'elle lui donne ... qu'elle vous donne car c'est de vous qu'il s'agit bien sûr, de vous et de moi. Je me souviens encore d'un de nos premiers échanges, j'étais au Tréport pour la journée, j'avais fait une longue marche et je ne sais plus comment nous en étions arrivés là, mais nous avions devisé un long moment, moi assis sur un table de picnic sur le haut d'une falaise, avec le seul bruit des mouettes pour m'accompagner. Une connexion s'était faite. Elle aurait ses hauts et ses moins hauts, par le fait de nos vies compliquées de part et d'autre, mais jamais le lien ne fut vraiment rompu. La photographie, pour laquelle vous avez un œil particulier, allait nous servir de trait d'union au cours de toutes ces années. La photographie et bien sûr la soumission. Cette soumission qui parfois me taraude et parfois me laisse en paix, d'où des hauts et parfois aussi des bas. En Août de l'année dernière c'était une circonstance bien particulière qui avait fait que j'étais à Paris pour quelques jours, seul. La rencontre s'est faite sous votre impulsion dans ce Paris où le sourire des femmes avait déjà disparu derrière ces horribles masques bleus. Vous dites que le café dura longtemps. Je n'en ai plus le souvenir. Je me souviens d'une robe à pois d'une féminité affirmée et d'une conversation très plaisante entre un soumis qui ne veut pas le paraître trop et une Maîtresse qui ne veut pas forcer son rôle, surtout en public. Au moment du départ je m'interroge ... que dire ? que faire ? je me sais peu libre et ne veux donc pas profiter de ce hasard aux lendemains bien incertains. Nous nous serrons les mains comme 2 collègues d'avant le Covid ! Nous comprenons assez vite qu'il sera difficile d'en rester là, mais me sachant peu libre j'essaie de ne pas trop y penser. Les contacts se poursuivent et s'amplifient, de plus en plus appuyés, avec des sous entendus qui le sont de moins en moins ... Il y aura 2 autres rencontres, un Jeudi et un Samedi. Deux moments de communion. Puis la parenthèse se referma. Severin ...
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Par : le 26/12/18
un petit lexique des surprenantes rencontres virtuelles faites ici ou là ! cela fait deux ans que je me suis lancée dans cette drôle de recherche, de vivre une relation bdsm suivie avec un partenaire bienveillant, conscient de ses droits et de ses devoirs et pour lequel je serai prête à me livrer corps et âme . j'ai rencontré pas mal de personnes, virtuellement et réellement . beaucoup de ces échanges furent enrichissants, mais beaucoup d'autres furent juste con-sternants ! heureusement, il existe des gens biens, des doms aussi ;-) mais de ces échanges avec ces autres, je voulais en parler, histoire de repartir dans cette recherche la tête un peu plus légère. cet écrit est juste le fruit de mon expérience, elle ne vaut que pour moi, elle est aussi liée à ma sensibilité et ma recherche. par avance je m'excuse si j'offusque quiconque ici dominant ou soumise. si d'autres souhaitent compléter cet écrit, ma foi, j'en serai ravie - le graveleux en général, ce spécimen commence l'échange par un verbiage du genre "droit au but" exemple : tu suces, tu avales, tu aimes te faire enculer .... (désolée, j'ai corrigé les fotes d'aurtografes !) réaction épidermique (voir épidémique !) en ce qui me concerne, je leur renvoie leurs questions en ajoutant que j'adore fister le cul de mon dom avant une bonne séance, histoire de se mettre en condition résultat : ils s'en vont, YES !!!!! - les sûrs (quoique "sur") d'eux (deux) au commencement : je suis maître bidule, je pratique depuis 15 ans, je recherche ma prochaine soumise , elle doit être un mouton de Panurge et en plus fermer sa gueule, merci (ah non, le merci, y peuvent pas le dire, ils sont trop haut perchés pour s'abaisser à de telles banalités d'usage réaction : je suis désolée ô grand maître tout puissant, mais je ne pratique pas tel truc (pourtant, j'en pratique pas mal, mais bon !) s'ensuit le "je suis un maitre, je sais ce qui est bon pour toi et je sais ce que je veux, dans la relation , blablabla, c'est moi qui décide et toi tu ouvres juste la bouche pour me sucer ! re réaction : ah ben non, je ne souhaite pas être une esclave et suis très attachée à mon libre arbitre et à ma liberté d'expression, en plus j'ai un léger côté brat, donc ton truc, j'en veux pas ! résultat : il s'en va , en m'expliquant que je loupe l'affaire du siècle et que je n'ai rien compris au bdsm ( ben voyons ) - les protocolaires, variante des sûrs d'eux un préambule plutôt courtois, voire un chouïa rigide, mais agréable de prime abord ils expliquent assez rapidement qu'il faut faire ceci ou cela, comme ceci et comme cela, que le vous est obligatoire, que le sérieux est de rigueur, qu'aucun manquement à la règle ne sera toléré, blablabla .... moi de lui répondre en toute honnêteté que je suis plutôt de nature joyeuse spontanée et passionnée , que j'ai du mal avec le protocole et que je risque de ne pas m'y plier et d'enfreindre trop souvent les règles, ne sont elles pas progressives et adaptables ? ah mais non mademoiselle, le protocole ne souffre aucun aménagement, c'est la toute puissance du sacro saint protocole et rien d'autre résultat : c'est moi qui m'en vais ! merci au plaisir ! - les justes trop flingués dans leur life là tout se passe bien, en général, un échange agréable, un premier rendez vous basique avec un être intelligent (nom d'une pipe, ça fait du bien) où l'on parle de tout et du bdsm réponse j'en viens à accepter le premier vrai rendez vous et découvre alors que la situation est en effet très compliquée, un ex souminatrice encore très présente , un déprimé profond, voir viscérale, attachant mais too much pour moi (même si j'ai un côté soeur thérésa, si si au fond à droite ! ), un dark gothique ultra, archi torturé et torturant .... résultat : ça se finit en queue de poisson parce que trop compliqué ! - les affamés ils arrivent tout fraîchement inscrits sur le site et lancent quinze demandes d'amis , ils sont chaud bouillants, là tout de suite, maintenant puis disparaissent comme ils sont venus ! chouette, vous dites vous, eh ben, non, rien n'y fera de ceux là, on ne s'en défait pas, par la porte ou par la fenêtre, ils reviennent ! tout y passe, les grandes déclarations, les promesses, les propositions financières ... cycliques ils repassent vous harceler régulièrement, ça les prend comme ça, ils ne vous lâchent pas ma réponse : refusant de tchatter, je garde les mails , au moins, ça me permet de retrouver le fil des conversations (merci le site pour ça , c'est trop bien pour se rafraichir la mémoire !) et de renvoyer à mon correspondant sa chaleur précédente - les hommes mariés pour ceux là, j'ai une tendresse particulière comprenons nous bien, qu'ils soient mariés, je m'en fous, ça n'est pas moi que ça regarde, c'est eux, mais qu'ils le dissimulent m'agace. ils vous racontent assez facilement que le bdsm est un relation basée sur la confiance, qu'il est bon de se livrer à minima à l'autre, blablabla .... et comme je suis un peu psychorigide du côté de l'honnêteté, ça m'agace. résultat : ne pouvant me libérer que les weekends c'est assez vite vu, ça ne cadre pas bien avec leur vie maritale merci de m'avoir lue jusqu'au bout et toujours aux plaisirs kty
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Par : le 23/11/20
Ce soir tu  es là à  4 pattes à te faire prendre,  collier au cou, les fesses encore bien teintées d'un rouge violacé par les lanières du fouets de la dernière séance .  Je t'ai  fait  lécher le gode ceinture que J' ai enfilé par-dessus ma lingerie pour finalement te  le mettre à nouveau  profond pour te le limer . Ton anus se dilate et mouille. Je  te  griffe le dos pour que tu te  cambres davantage ... Là je vois que   tu te  branles la queue en même temps  . J' ai alors envie de te  retourner pour te voir faire pendant que Je te baise ; les cuisses bien écartées  comme une chienne;   bien saisit par les jambes en te disant:     "VAS Y SALOPE  BRANLE TOI BIEN!"    J'ai plaisir à t'assaillir ,  te démonter ta rondelle de mâle  à grands coups de reins.  Tu couines  et J'aime ça. Mes râles   envahissent la pièce au fur et à mesure que Je prends mon pied à te sodomiser  ainsi.   Au plus profond de toi, totalement dilaté . J'entre et ressors  et rentre encore. J'entre jusqu'au bout et te baise encore et encore . Mes ongles se plantent dans tes cuisses tellement Je  les  serre contre moi.   " BRANLE TOI ENCORE! ... PLUS FORT!  ...PLUS VITE! "     Hum! Je sens monter en moi la jouissance ,mon rythme s’accélère... Je  jouis si fort que ça résonne à travers les murs. Tu cries en te branlant frénétiquement. Tu attends que Je t'autorise de jouir aussi , mais Je ne te le dis pas...    Je ne peux te lâcher; J' en veux encore... Je me redresse au-dessus de toi en te laissant sur le dos pour venir te présenter ma queue de silicone  toute fraîchement sortie de ton cul humide de chienne dilatée. J'ote le préservatif et Je viens te l' enfiler dans la bouche. Doucement pour commencer . Enfin; pas trop doucement non plus car J'aime t'en faire baver...  "   Hum! Bonne salope! Tu m' as bien fait jouir... Ton cul était trop bon... Suce la bien cette queue!  Tu l' as aimé dans ton cul, hein,  dis Moi?..."    Je  la retire de ta bouche pour te frapper le visage avec.  Tu me réponds tant bien que mal... Ma queue dégoulinante de salive , J' entre et  sors encore et encore... Tape tes joues... Branle contre ta langue et  enfonce plus profondément  ma queue baveuse ... Je baise ta bouche  comme J'ai baiser ton cul  ET FAIS DE TOI MA SALOPE!  Tu as des hauts le cœur... Les yeux qui pleurent... Ça fait longtemps que tu as perdu pied... Ta main en oublie de branler ta  queue toujours raide...   Je te maintiens la tête en arrière d'une main ferme et défonce ta p' tite gueule à grand coup de bite,   ressors pour  voir ta langue en redemander et Je te l' enfonce de plus belle pour ressortir aussitôt et jouer ainsi de toi jusqu'à ce que  tu dégoulines de bave ... Puis,Je te bouche les narines de la paume de la main,  et te pénètre plus violemment encore...  Je  me retire d'un coup,  dégage le harnais et pose ma chatte sur ton visage  : LECHE MOI!    Tantôt Je me plaque sur ta bouche, tantôt Je m' éloigne  t'obligeant à soulever la tête .    " BRANLE TA QUEUE! " Tu exécutes sans réfléchir...    D'une enjambée ,Je fais volte face;  te voilà face contre cul,  ta langue entre ma lingerie pour lécher mon anus pendant que Je crache sur ta queue . J' en profite pour attraper tes tétons,  les pince, les tourne. Tu gémis tout en continuant de lécher entre mes fesses.   " BRANLE TOI ! ...  LECHE MOI SALOPE! "   Tu es pris par tous les fronts.  Arrives tu à gérer ? Mon cul qui cherche à t' étouffer? Mes doigts qui te pincent?   Mes ordres sur ta queue?              C'est si bon de te posséder ainsi!   D'un coup Je me redresse!  Ça te surprend,  tu restes là sur le dos,  queue en main,   haletant.  Je suis   droite au-dessus de toi,  jambes écartées .  Je tire mon shorty sur le côté pour en dégager mes lèvres gorgées de plaisir.   Tu as la vue sur mon sexe gonflé  que Je dirige en arriéré pour te pisser  dessus  toute la jouissance que J' ai accumulée ...   De ta bouche à ta queue...  Tu essaies d'en boire...  De ta queue à ta bouche....  Tu en as de partout...  Je me lâche sur toi...  Mélange de foutre et d'urine...   C'est chaud à souhait...   Je fini le dernier jet en redescendant  pour que tu boives les  toutes dernières  gouttes...   Pleinement satisfaite , sans rien dire  ni ordonner, Je te souris   en ré-ajustant mes dessous et m' en vais  me doucher... 
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Par : le 13/06/21
Elle fut l’instrument de mon « dressage », durant les premiers mois de notre relation. Lors de notre phase de « découverte réciproque ». Parce que même si toi aussi tu me « découvrais », c’était à toi de décider, de fixer les règles. Puisque je te voulais pour Maître. Et que c’est ce que j’attendais de toi. Que tu fixes ces règles que je ne maîtrisais pas encore, que j’apprenais au fur et à mesure. Les règles de ton plaisir. Et du mien. ________________ La cravache alors te servait à me punir. Je devais la subir « librement ». M’y soumettre de mon plein gré. Sans être attachée ni entravée. Te l’apporter avant de me prosterner ou de m’allonger sur le dos, cuisses écartées. Selon que c’était mon dos, mon ventre, mes seins ou ma chatte qui devaient la recevoir. Suivant la nature de la «faute » que j’avais commise. Et ce que tu avais décidé 😀 Puis, la punition reçue, acceptée, je venais m’agenouiller devant toi. Pour témoigner ma dévotion à cette partie de toi qui symbolise le pouvoir que je t’ai conféré. Celle qui fait de toi le Mâle, mon Maître. ______________ Je pratiquais le bdsm avant de te connaître. J’en maîtrisais les codes, les techniques, les règles. Mais ce n’était qu’un jeu. Un jeu de rôle dont je définissais les règles, les limites. Je maîtrisais la technique. Mais j’ignorais l’essentiel : que chaque Maître a ses désirs, ses exigences propres. Et que dorénavant ce que je voulais apprendre c’était les tiens. Et plus imposer les miens aux mec qui croyaient me posséder. Alors, j’ai appris. Tes désirs et la manière dont tu voulais que je te satisfasse. Que je m’offre à toi. C’est pour ça qu’il a fallu, que j’ai voulu que tu me dresses. A ce que tu attendais de moi. A coups de cravache et de queue. J’ai apprécié les deux 😀 _______________ J’ai appris vite. Non pas tant pour éviter d’être punie. Mais parce que j’ai toujours été bonne élève. Au moins dans les matières qui m’intéressent 😀 Ce fût douloureux parfois. Mais la récompense a été à la hauteur de l’effort. Ton plaisir et le mien. Aujourd’hui, je sais ce qui t’excite. Ce que tu attends de moi. J’ai appris ton corps, ton plaisir, comment te satisfaire, devancer tes envies aussi. Je ne suis plus cette pouliche rétive des premiers temps. Et j’aime te « servir ». Comme tu mérites, comme tu dois l’être. _______________ Ça fait longtemps que tu n’as plus besoin de me punir. Pour obtenir ce que tu attends de moi. Sauf quand il m’arrive (parfois, pas trop quand même 😀) de te provoquer. Alors la cravache ne te sert quasiment plus aujourd’hui à me punir. Mais nous ne l’avons pas pour autant rangée au magasin des accessoires oubliés. Parce que même lorsque le cavalier fait corps avec sa monture, que lui et elle connaissent et comprennent l’autre, anticipent ses réactions, ça reste le rôle du cavalier de décider et de guider. En faisant en sorte que sa « pouliche » donne chaque fois le meilleur d’elle-même. C’est à cela que te sert ta cravache désormais. Et j’aime ça.
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Par : le 11/12/19
Un désir presque animal.Je le veux, à moi, dans mes griffes offert. Et je sens mon corps qui se tord de plaisir. Des cordes pour qu'il ressente la contrainte, mais je veux pouvoir le griffer, et le sentir s'abandonner. Ce sexe que je me crée, un harnais de cordes pour le maintenir bien en place.Le martinet pour me détendre, faire glisser les lanières de cuir sur ses fesses, les colorer, les réchauffer doucement... L'attente, le temps qui se suspend... mélange d'appréhension et d'excitation.Avant de venir me glisser entre ses jambes, la caresse de mon gode... oui bientôt, je prends mon temps. laisse glisser un doigt, une caresse... avant de placer mon gode et de le pénétrer.... et ce corps comment réagira-t-il?? Sous mes griffes, ma contrainte, mes coups de reins...Douce torture...
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Par : le 30/12/21
24/12/2021 J'ai vécu cette année un Noel des plus obscène, mon premier au sein d'une relation BDSM, une soirée de dépravée que j'ai envie de partager tant je prends goût a être la soumise d'un tel pervers. Je vous livre un témoignage long, complet, sincère qui j'espère vous plaira et vous excitera autant que cette soirée m'excite a chaque fois que j'y repense ! Bonne lecture :kissing_closed_eyes: ______________________________________________ Tout commença lorsque mon Maitre sonda le 22 décembre mes projets pour le 24 au soir, je me demandais s'il se renseignait pour le passer en ma compagnie ce qui me surprenait le sachant en couple et pas intéressé par le sentimentalisme entre nous deux ... Je l'informa donc en toute franchise (ce dont je fais toujours preuve quand je m'adresse a lui) de mon programme : "Je sors du taff a 18h, je rentre chez moi pour me doucher et m'habiller pour l'occasion puis je prends la route pour fêter Noel en famille chez mon grand-père qui habite a 45min de Nantes" Il me posa ensuite quelques questions sur les membres de ma famille qui seront présents et si je restais dormir là-bas (je garderais certains éléments confidentiels sur tout ça mais je peux vous confier que je restais bien tout le week-end). "Je passerais rapidement chez toi avant 19h pour t'offrir ton cadeau, me vider les couilles et te donner quelques consignes pour la soirée, on fera ça vite car ma femme m'attends pour 19h30" voilà le texto qui clôtura notre échange et m'annonçait la couleur … ______________________________________________ Nous y sommes, le 24 décembre, j'attends Monsieur patiemment chez moi après m'être préparée, je commence a bouillonner de peur qu'il me mette en retard, je stresse légèrement de ce qu'il m'a réservée pour avoir envie de venir a tout prix ce jour-là et qui plus est avant que l'on parte chacun de notre coté en famille, je crains également qu'il ne ruine mon maquillage ou salisse ma tenue ... Il sonne enfin a la porte, a peine ai-je ouvert qu'il se rue sur moi pour me plaquer sur la table du salon en relevant ma jupe de soirée "on fait ça vite, on a tous les deux pas trop le temps" dit-il en baissant mes collants et enfonçant sa queue déjà bien raide en moi ! La baise fut bonne et bestiale comme je l'aime, il ne fit pas dans la dentelle, des coups de queues puissants, profonds et rapides, il ne se souciait pas de ce que j'en pensais, il était là pour taper dans ma chatte et se vider les couilles dans les plus brefs délais et je n'avais pas besoin de plus que cela pour prendre mon pied ! Je me mis a jouir et gémir de sa fougue presque instantanément ce qui décupla sa bestialité, j'étais là, le visage contre ma table, le fessier relevé avec les collants en dessous des genoux, j'étais en train de subir ses assauts, mon cul entre ses mains recevait des coups de reins a faire crier la plus frigide des femmes ! Je ne tarda pas a sentir son jus chaud m'inonder et son pieu se planter au plus profond de moi dans un râle de plaisir, il se retira alors lentement en me demandant de ne pas bouger ! Là je compris qu'il allait faire quelque-chose lié a nos statuts, un doigt humide entra alors dans mon cul pendant qu'il fouillait dans la poche de son manteau, son doigt quitta mon petit trou mais je sentis immédiatement un objet froid et plus imposant le remplacer, il enfonçait un plug ... "Tu le porteras toute la soirée, remets d'ailleurs vite ta culotte, je t'interdis d'aller te vider avant de partir, tu passeras toute la soirée avec la chatte crémeuse, ta famille ne se doutera pas un instant que tu es une salope aux trous sales mais toi tu le sauras !" J'acquiesçai en me rhabillant lorsqu'il sorti un marqueur de la poche de son manteau et souleva mon pull, il se mit a écrire "Pute" sur mon sein gauche puis dégrafa mon soutif en me disant que je n'en porterais pas ! Il m'embrassa tendrement avant de me dire qu'il était temps qu'on file et que je devais prendre mes affaires pour le suivre à sa voiture où il me remettrait mon cadeau tout en s'assurant que je prenne bien la route dans cet état ! Je m'offusqua intérieurement qu'il doute de moi en rassemblant mon sac a main et mes cadeaux pour la famille, je ferma derrière nous et le suivi docilement a sa voiture la chatte dégoulinante de foutre ... Je chargea toutes mes affaires dans ma voiture pendant qu'il allait a la sienne chercher son cadeau, le plug ne me dérangeait pas mais le sperme qui commençait a couler entre mes lèvres rendait mes mouvements désagréables, il revint vers moi avec une enveloppe et un paquet cadeau, me souhaita un joyeux Noel en m'ordonnant d'ouvrir mon cadeau que si je remplissais au minimum 2 des 3 objectifs qu'il avait écrit dans la lettre. Il me fit promettre de tout faire pour mériter ce cadeau, de ne pas retirer le plug tant qu'il ne m'envoyait pas un message pour m'en notifier et surtout de tout donner pour ne pas le décevoir ! Il répondit a ma promesse en me souhaitant une bonne soirée et en me claquant les fesses en pleine rue a la vue de tous ... Je pris la route légèrement en retard pour rejoindre ma famille mais lui savait qu'il ne me quitterait pas vraiment ce soir et que sa folie accompagnerait ma nuit ! ______________________________________________ En me garant devant chez mon grand-père, je prends la peine de glisser ma main dans ma culotte pour me gratter l'entrejambe, son sperme me gratte, il sèche en moi, sur mes lèvres et a complétement souillé ma culotte ... Cela m'a démangé tout le trajet et même si je constate que ma chatte est toute visqueuse et qu'elle rougit sous le passage de mes ongles agacés, cela soulage ! A cet instant je pense a Femto qui, s'il lit cette histoire, appréciera sans doute la dédicace (lui qui avait éjaculé a la pause du midi dans la culotte de sa petite amie le jour du Baccalauréat pour qu'elle passe l'après-midi la chatte en contact avec son foutre) il m'avait dit qu'au moins il savait qu'elle s'en rappellerait toute sa vie, je lui confirme que ce n'est pas une situation que l'on oublie ! J'ai pris conscience de la situation a cet instant, en me grattant dans ma voiture, toute ma vie j'allais me souvenir d'être arrivée pour fêter Noel dans ma famille avec la chatte visqueuse et un plug dans le cul ... Mon cœur accéléra au moment d'ouvrir l'enveloppe, quels ordres contenait-t-elle ? Je remarqua en la prenant plus concrètement entre les mains qu'elle contenait quelque-chose avec la fameuse lettre, je décacheta l'enveloppe et découvris avec étonnement qu'un préservatif accompagnait le courrier. " Ma petite pute, Voilà maintenant bientôt une année que tu me sers, me comble et me rends fier d'être ton Maitre ! Tu n'as cessée au fil de cette année de me prouver ton dévouement, ton appétit sexuel et ta capacité a te dévergonder alors je souhaite que tu termines l'année aussi chaudement que tu l'as vécue, qu'en ce jour symbolique de Noel, tu confirmes ne faire plus qu'un avec ton statut de soumise et me montre encore a quel point tu es une bonne salope obéissante ! Si tu lis cette lettre, a l'heure qu'il est, mon sperme coule en toi et ton cul de chienne porte un bijou qui te sied a merveille ! Tu pourras ouvrir ton cadeau que si tu accomplis deux des trois défis que je te lance a savoir : - Te faire baiser par n'importe qui ce soir et m'envoyer une preuve photo/vidéo - M'envoyer une photo de toi seins nus avec un membre de ta famille dans le cadre de la photo - Te filmer en train de te masturber dans le lit de ton grand-père avec l'un de ses sous-vêtements dans la bouche (1min minimum) Je sais que ces défis ne sont pas faciles, que ce n'est pas la soirée pour cela et qu'ils sont très pervers mais n'est-ce pas là une occasion en or de te tester et prouver ce que tu es devenue ? Joyeux Noel " Mon cœur s'emballe, le stress s'empare de moi instantanément après la lecture de cette lettre, comment-vais-je réussir a obéir a ça ? Je range la lettre et le préservatif dans mon sac a main en tentant de me calmer, je suis pour l'une des premières fois acculée dans ma soumission pourtant j'en ai vécu des situations humiliantes, obscènes, avilissantes ou difficiles mais la contrainte de temps, le lieu, le fait qu'il sollicite ma nature de soumise alors que je suis au plus proche de ma famille rends tout cela immoral et assez surréaliste pourtant mon envie d'à tout prix lui donner satisfaction après une année aussi réussie me laisse présager que je vais devoir trouver une manière de réussir ces foutus défis ! Je reprends petit a petit mes esprits en rassemblant mes affaires et sonne a la porte de chez mon grand-père, j'enfouis Lady Bitch en moi bien que je ne porte pas de soutien-gorge, que le mot "Pute" soit écrit sur ma peau ce soir, que ma culotte soit souillée par du sperme et que mon cul porte un plug ! Commençons par ne pas penser a tout ça et voir comment la soirée évolue ! ______________________________________________ La soirée suit son cours, je n'étais pas a l'aise au début quand on s'adressait a moi, un peu gênée par l'état dans lequel j'étais J'avais l'impression qu'ils pouvaient découvrir la perversion sous mes habits, qu'ils pouvaient sentir que je n'étais pas comme d'habitude ... Je me mets à boire plus qu'à l'accoutumée comme pour me donner du courage, les verres et la bonne ambiance faisant effet, je commence a force de ressasser ses consignes a me dire que j''en suis capable. Je me surprends finalement a être excitée qu'il aille aussi loin dans ses directives et me mette autant a l'épreuve, la soumise en moi entendit l'appel du défi et bien que cela soit a retardement, elle s'excita de devoir une fois de plus repousser ses limites ! J'aime chez lui qu'il cherche a me faire échouer et m'offre l'occasion de toujours le surprendre a ne pas craquer et réussir a combler ses pulsions les plus folles. Une heure plus tard, ma décision était prise, j'allais conquérir ce cadeau de Noel et lui prouver que je n'ai pas de limites ! Je commença a réfléchir sur la manière de valider mes défis ... - La photo avec un membre de ma famille dans le cadre me paraissait faisable entre les étapes du repas quand nous allions aider en cuisine notamment ou débarrasser la table, c'était le défi le moins compliqué a mettre en œuvre sur l'ensemble de la soirée ... - La masturbation dans le lit de mon grand-père me dérangeait éthiquement et l'idée de prendre un de ses sous-vêtements en bouche me repoussait, c'était le défi le plus cruel mais aussi par la configuration des lieux (chambre a coté de la cuisine sans possibilité de fermer a clé) le plus risqué vis a vis de mon entourage. - Le fait de me faire baiser n'était pas simple a mettre en œuvre non plus, je soupçonnait mon maitre de sous-entendre par ce défi que je devrais essayer de faire des avances a l'un des mecs de mes cousines mais il connaissait aussi ma capacité à "chasser" le mâle ... Je me sentais assez éméchée par l'alcool pour accoster un parfait inconnu et lui offrir un gros cadeau de Noel ! ______________________________________________ Nous sommes entre le repas et le dessert, je dispose d'une demi-heure avant l'heure de la remise des cadeaux, c'est maintenant ou jamais, j'attrape mon manteau prétextant avoir un appel a passer et je pars a toute allure m'enfoncer dans le bourg du village en quête d'un homme a qui me donner ! Pas de chance, le bourg est désert, certaines maisons ont l'airs d'accueillir des hôtes, je déambule depuis bientôt 10 minutes sans avoir croisé quelqu'un, il fait froid et ma témérité refroidit à grands pas, j'hésite a sonner à une maison au hasard pour demander à un illustre inconnu s'il peut m'indiquer une adresse bidon pour si l'occasion s'en présente lui dire de me prendre dans l'allée a coté de chez lui dans deux minutes ... Mon cerveau va trop loin, j'envisage des situations improbables et je me résous a rentrer frustrée, déçue, un brin honteuse ... Sur le chemin du retour, j'entends soudainement du bruit, une assemblée qui parle bien trop fort l'espace d'un instant, une porte qui se referme puis je vois les clignotants d'une voiture derrière moi qui s'allume en entendant un "BIP" ! J'ai cru faire un arrêt cardiaque, c'est le destin me dis-je en voyant soudainement un homme traverser la rue pour ouvrir le coffre de sa voiture ! Je reste plantée là, bouche bée, les jambes tremblantes, il me dévisage en prenant quelque-chose dans son coffre, mon cœur s'accélère, je sais qu'il m'a vu et que j'ai l'air bizarre a le regarder sans bouger alors que je suis a quelques mètres de lui ... Il referme son coffre du coude avec quelques paquets cadeaux et boites de chocolats dans les bras, mes jambes bougent enfin et je m'élance vers lui en bégayant "Monsieur, monsieur ... une seconde s'il vous-plait ..." Il s'arrête net sur le trottoir devant la maison d'où il vient, me regarde avec étonnement, il est beaucoup plus âgé que moi, je dirais la quarantaine/cinquantaine, je constate qu'il n'est pas particulièrement attirant, plutôt gras, le teint rougit et il n'a pas l'air très aimable ... ______________________________________________ Pour information, je vais tenter de vous retranscrire la conversation telle que je m'en souviens, j'étais assez intimidée au début puis plus aguicheuse sur la fin, notre échange a dû a quelques mots prêts être le suivant : " Je peux vous aider ? - Eh bien, oui, cela va vous paraitre bizarre mais je souhaiterais vous parler un instant, vous avez une minute ? ai-je répondu fébrilement en m'avançant vers lui - Euh oui, vous pouvez mais qu'est-ce que vous faites toute seule dans la rue a cette heure-ci ? - Merci Monsieur, je vais être directe ... Je suis libertine et mon copain est candauliste, je sais pas si vous voyez ce que c'est ? (a l'écoute du mot "libertine' il écarquilla ses yeux et recula d'un pas, ce qui me perturba dans mon approche), ce soir c'est Noel et il le fête dans sa famille et moi la mienne, je voulais lui envoyer une petite photo de moi en train de coucher avec un parfait inconnu, est-ce que ... - Non, non, c'est quoi vos conneries, vous avez que ça a foutre ce soir ? Bonne soirée Mademoiselle ! dit-il strictement en me tournant le dos - Monsieur, Monsieur, un instant s'il vous-plait ! j'agrippa sans m'en rendre compte le bras de cet homme par réflexe ce qui l'arrêta - Non mais dis-donc, lâchez moi ! s'énervait-t-il en se tournant de nouveau vers moi l'air agacé - C'est sérieux Monsieur, je suis vraiment désolée de vous accoster de la sorte mais y'a personne dans le ... - Mademoiselle, je vous connais pas mais vous m'avez l'air d'avoir un souci, j'ai deux fois votre âge, je suis marié, j'ai les cadeaux de mes gosses dans les bras et vous me racontez des obscénités alors que je suis en famille pour les fêtes ... Y'a rien de drôle là, c'est quoi qui vous ... - Je suis désolée pour ça Monsieur mais juste un instant, regardez, je vous prouve que c'est réel ! coupai-je l'homme qui me sermonnait tout en ouvrant mon manteau ... - Non mais c'est pas vrai, dit-il en reculant de deux pas et détournant le regard - C'est réel Monsieur, vous voyez ... dis-je en soulevant mon pull ! L'homme posa son regard sur ma poitrine, il le détourna aussitôt avec une certaine panique, "ça va vraiment pas hein !" dit-il en tournant la tête, "je vous prouve que je suis sérieuse" répondis-je alors qu'il regarda de nouveau vers moi, il ne détourna pas les yeux la seconde fois ... " Ils vous plaisent ? demandais-je - J'y crois pas, y'a carrément écrit "pute", tu sors d'où toi ? dit-il plus sereinement - Je suis juste une salope qui cherche a emprunter une bite 5 minutes pour rendre fou son mec ! - Ohlala mais comment-tu parles en plus ! dit-il en rigolant (je le pris comme un bon signe c'était la première fois qu'il souriait et son soudain tutoiement me laissa penser qu'il commençait à se faire a ma présence) - Tu me baises, vite fait, bien fait et tu retournes a l'intérieur comme si de rien n'était ! Y'a pas d'arnaque ... - Non, non, je peux pas ... dit-il en rigolant de nouveau mal a l'aise - Je suis un peu ton cadeau de Noel, une occasion comme ça t'en auras pas deux, rends-moi service, tout le monde sera content ! C'est que du sexe entre adultes consentants, détends-toi ! - On va surtout se faire cramer et tu vas foutre en l'air le Noel de toute ma famille, déjà je te parle depuis trop longtemps .." Sentant que ma brève ouverture se refermait, je lâcha mon pull pour sortir la capote de mon sac a main, il la fixa en rigolant nerveusement alors que je l'exhibais comme une invitation ! " Prétends que tu as un coup de fil a passer et on se mets quelques mètres plus loin dans une allée ou derrière un buisson sinon tu me donnes une heure a laquelle te retrouver ici dans la nuit et je repasse mais je suis très sérieuse, ta bite, ma chatte, rapide, simple, efficace !" proposai-je une énième fois tout en relevant mon pull ... Il me reluqua de la tête au pied en hésitant mais déclinant tout de même une ultime fois avant de tourner les talons en s'excusant ! "Je reste-là encore 5 minutes si tu changes d'avis et trouve un moyen de t'échapper" lançais-je dépitée alors qu'il s'éloignait sous le porche de la maison, la porte se referma derrière-lui sans qu'il me réponde davantage, je resta sur le trottoir comme la pathétique pute que j'étais ... Recalée, gênée mais surtout congelée par la température, j'attendais désespérée qu'il porte ses couilles et revienne, je misais sur ma connaissance des hommes et particulièrement dans cette tranche d'âge où l'occasion de se taper une "petite jeune" n'arrive plus pour qu'il craque et saisisse cette ultime chance ... La porte s'ouvrit de nouveau après ce qui me sembla une éternité, il jeta un œil pour voir si j'étais encore-là, je lui fis un signe comme si c'était le père Noel, je devais avoir l'air débilement heureuse de le voir ! Il s'approcha de moi en chuchotant "Pas de coups-fourrés je te préviens, tu me fais du chantage ou tu déballes ça, je te jure que je te tue ! J'ai des gosses et une femme, va pas niquer ma vie pour un coup de bite car tu m'as allumé ! - Promis, tu me rends service pourquoi je te ferais un plan comme ça ! - Je sais pas tu me parles de faire une photo et tout, je suis pas chaud du tout pour ça, a la rigueur je te baise et c'est tout ! - Non, non, tu me baises parce-que je veux le montrer a mon mec, si je peux pas lui envoyer de preuves y'a aucun intérêt pour moi ! - Je te jure, t'as été envoyée pour causer ma perte et je suis trop con pour décliner ! Fais chier, t'es trop bonne ... J'ai dit que j'avais trop envie de pisser et me griller une clope alors qu'ils voulaient filer les cadeaux aux petits, on fait comme tu veux mais on se magne ... - Promis, viens, j'ai repéré un petit coin discret" ______________________________________________ J'entraine ma proie dans un chemin de campagne a proximité d'un carrefour du bourg, il fait totalement noir, je nous éclaire dorénavant le chemin avec la lampe torche de mon portable, il me complimente sur mon physique et mon audace, je lui explique que j'ai l'habitude de faire ce genre de choses, que j'ai des heures de vols, il rigole en me disant que ça se voit (cela m'excite). Nous nous sommes suffisamment éloignés, je me mets a genoux, déboutonne son pantalon et baisse son caleçon, mon flash éclaire alors une petite bite plutôt vilaine et en plus Monsieur est poilu, il ne se rase pas les boules, son pubis n'est pas entretenu, sa queue n'a rien de charmante, il est très négligé ! Je plains sa femme mais je n'aurais pas mieux ce soir de toute façon, je n'ai que lui sous la main et une salope n'a pas besoin d'être attirée par un homme pour s'occuper de sa queue. Je commence par le branler, il se plaint de la température de mes doigts (de mon coté j'apprécie me les réchauffer en entourant son petit sexe tout chaud), j'active mon appareil photo et lui passe en lui demandant de faire des photos de temps en temps. Mon portable ne faisant plus lampe torche, je lui demande alors d'activer la sienne sur son portable pour qu'on y voit quelque-chose ... Il s'exécute et a maintenant un portable dans chaque main, il a l'air débile avec ses deux téléphones qu'il tient a hauteur de menton pour avoir un bon angle (lui qui me disait non il y'a quelques minutes, je le trouve étrangement motivé maintenant, cela me plait). Je prends son sexe encore mou dans ma bouche, le décalotte et le branle tendrement entre mes lèvres pendant que ma langue le goûte, je lèche chaque recoin de son gland et cherche a le faire durcir ! Soudain, un flash m'éblouit, je comprends qu'il prends la première photo, cela me motive ! Sa queue ne me plait pas mais je lui suis reconnaissante de me l'avoir offerte, j'ai à cœur de bien faire pour l'en remercier et je pense a mon Maitre qui va halluciner devant les photos donc je veux tout faire pour qu'il en prenne des cochonnes, du genre qui feront bander mon Maitre ! J'ai pompé mon photographe de fortune comme une vorace, la gorge profonde cela me connait et avec une si petite verge il n'y avait aucun défi pour la gober jusqu'aux couilles, mon partenaire gémissait de plus en plus et me gratifiait de doux sobriquets alors que je trempais sa queue de ma salive et qu'il me photographiait ! Le sentant chaud bouillant et maintenant totalement dur, je me redressa et déchira l'emballage de la capote pour la lui mettre, il s'enthousiasma en me disant que j'allais ramasser, je releva ma jupe au dessus du nombril, baissa mes collants sous les genoux et me mit a quatre pattes sur le sentier (mes genoux sont a l'heure où je rédige ce témoignage encore mutilés par le gravier) ... Le male en rut compris tout naturellement la suite, il baissa ma culotte et partagea son étonnement en découvrant mon plug "T'es vraiment qu'une salope" me dit-il en me claquant très (trop) fort le cul ! A cet instant, je paniquais un peu qu'il remarque l'état de ma culotte ou qu'il trouve des traces suspectes sur ma chatte, je ne savais pas a quoi cela ressemblait en bas ni comment il réagirait s'il savait que je m'étais faites remplir par un autre en début de soirée ... Cet imbécile avait posé mon portable sur le bas de mon dos et me palpait tantôt les fesses, tantôt il frottait mon clito du pouce alors qu'il éclairait mon postérieur de sa lampe torche pour bien se rincer l'œil ! "Je croyais qu'on avait pas le temps, tu vas me baiser ce soir ou demain ?" lançais-je avec insolence de peur qu'il ne voit que je n'étais pas de première fraicheur ! A peine avais-je prononcer ces mots que sa bite pénétra en moi, cela m'en coupa le souffle, l'excitation monta d'un coup ... Alors qu'il débutait sa besogne et accélérait ses vas et viens, je prenais pleinement la mesure de l'instant, j'étais dans le village de mon grand-père le 24/25 décembre en train de me faire prendre comme une chienne en levrette sur un sentier en pleine nuit d'hiver par un homme ayant le double de mon âge dont je ne sais rien si ce n'est que sa famille l'attends a quelques mètres d'ici et moi la mienne. Sa petite bite était étonnamment efficace, la situation m'excitant grandement cela y était sans doute pour beaucoup mais il me baisait convenablement, son rythme ne faiblissait pas et de mon coté, je me concentrais sur cette queue en moi qui frottait mes parois et raclais le trou souillé par mon Maitre, quand il m'insultait cela me donnait envie de lui crier qu'il n'avait pas idée d'a quel point j'étais pire que cela ! "Prends-bien en photo la chienne que je suis", "Filme-donc comment tu me défonces", "Vide-bien tes couilles dans la capote" telle une actrice porno cherchant a produire un bon contenu je restais concentrée sur mon défi tout en livrant divers encouragements a mon père de famille bien de trop déconnecté de la réalité, comme si je voulais abréger les choses ayant le contenu pour lequel je m'étais offerte a lui et ne voulant pas que nos absences deviennent trop suspectes au sein de nos soirées respectives ! L'animal en rut vida ses deux boules de Noel assez rapidement, il se retira immédiatement et je lui réclama le préservatif plein. Il me tendit la capote, du sperme épais et chaud en quantité généreuse remplissait le contraceptif "Eh bah mon salaud, pour quelqu'un qui voulait pas me sauter, je trouve que tu t'es bien lâché !" plaisantai-je en nouant le préservatif et remontant mon collant. Il me complimenta en disant qu'il avait jamais baisé une telle salope et qu'a son âge un petit cul comme le mien c'était incroyable. Nous nous rhabillâmes, je regarda rapidement les photos et un court extrait de la vidéo pour voir s'il avait géré, cela était pas incroyable mais suffisait a largement prouver la validation du défi, je lui réclama une dernière photo en revenant sous un lampadaire du bourg. Je releva mon pull et lui demanda de tenir mon sein où il y'avait écrit "Pute" pour une ultime photo souvenir, il accepta, je tenais la capote pleine a coté de mon autre sein et faisait mon plus beau sourire pour l'investigateur d'une telle folie ! ______________________________________________ Je le laissa a quelques-mètres de notre lieu de rencontre, je fis une photo de la capote pleine dans la paume de ma main et la lança dans un ravin puis je rentra chez mon grand-père au pas de course ! A peine rentrée, ma cousine me demanda où j'étais passée ? Elle m'avait appelée dehors plusieurs fois mais je n'avais jamais daigné répondre, je mentis alors a tout le monde en disant qu'une amie m'avait appelée en larmes car son enfoiré de mec l'avait plaquée le soir de Noel donc j'avais fait quelques pas en la réconfortant ... Mon excuse attendris tout le monde, ils plaignirent ma copine fictive tout en insultant ce goujat imaginaire ! Sauvée, j'espère que mon vilain père de famille s'en était aussi bien tiré de son coté sur les bobards ... Le reste de la soirée fut paisible, j'avais la sensation d'avoir fait le plus dur. C'est au moment du coucher que je choisis de passer à l'action pour le selfie, ma cousine se lavait les dents et je faisais mine de me brosser les cheveux dans son dos en étant sur les réseaux-sociaux ... Je la laissa cracher dans l'évier une fois, deux fois et me jeta a l'eau sur un timing où elle rinçait sa bouche au goulot de l'évier ! Je souleva assez discrètement mon pull en lui tournant le dos pour découvrir mon sein marqué par mon Maitre, j'appuya sur le bouton de capture et rebaissa instantanément le tout avant qu'elle ne redresse la tête, je vérifia la photo, par miracle elle était réussie. ______________________________________________ Seule dans ma chambre, j'ai enfin pu relâcher la pression, j'ai cru fondre en larmes tellement j'étais soulagée et fière d'avoir réussie, je m'empressa de me mettre en pyjama puis d'aller déballer mon cadeau que j'avais si durement mérité ! Une boite blanche et rectangulaire était entre mes mains, elle semblait assez luxueuse, je compris a la lecture de la marque a quoi j'avais affaire "Womanizer" ... Je connaissais de nom, de réputation cette marque de sextoys mais jamais néanmoins je n'en avais fait mention a mon Maitre ou n'avais même pensé un jour m'en acheté un. En ouvrant la boite pour voir l'objet en question, je découvris une autre lettre : " Si tu lis ceci c'est que tu as validé tes défis, félicitations ! Je t'ordonne maintenant d'essayer mon cadeau et de m'envoyer un snap/vidéo où tu me remercies pendant que tu l'utilises, j'ai préalablement chargé l'appareil au complet pour que tu t'amuses toute la nuit si besoin ! Apprivoise bien ton nouveau jouet, tu m'en feras une démonstration a notre prochaine séance, j'espère qu'il comblera tes besoins quand je ne peux être présent pour toi, Joyeux Noel petite pute" Après un rapide tour dans la salle de bain pour me faire un brin de toilettes après toutes ces péripéties, je me glissa sous la couette avec mon nouveau jouet pour l'essayer, j'envoya un premier snap a mon Maitre en écrivant dans le chat "Défis réussis, je suis au lit avec mon cadeau", j'alluma le Womanizer et le positionna sur mon clitoris prête a me laisser-aller a la découverte. Les aspirations débutèrent et je n'étais pas plus convaincue que cela, je m'étais trop imaginée que cela ressemblerait a un vrai cunni/une vraie langue mais la fonction intelligente du sextoy qui variait automatiquement et aléatoirement entre les différents modes et intensités commençait a me séduire, je rêvassais épuisée sur l'oreiller alors que mon partenaire virtuel s'occupait de mon clitoris a son rythme et sa convenance entre mes cuisses sans que je n'ai rien a faire ! Je repensais a la visite sans finesse de mon Maitre qui était venu me remplir, a mon inconnu et ce qu'on avait fait sur ce sentier, a sa bedaine que je sentais sur mes fesses pendant qu'il tapait en moi, a sa vilaine bite que j'avais dévoré comme une affamée pour le faire bander, a tout ce foutre qu'il avait évacué dans la capote de mon Maitre, a son refus initial et le résultat final, a la salope que j'étais, a la chaleur qui emplissait mon bas-ventre a cet instant ! Je commençais a jouir, je mordais dans l'oreiller alors que je remuais du bassin sur cette petite ventouse qui me titillait de plus en plus intensément le clito, je regardait les photos de mon amant éphémère, la courte vidéo de son sexe qui me lime, la photo de dépravée sous le lampadaire, la photo de sa capote bien remplie, son foutre épais dont j'avais maintenant envie de l'avaler pour rendre fière mon propriétaire ... L'orgasme montait, j'étais en transe, je retourna vite sur Snapchat pour filmer, je remercia mon Maitre pour son cadeau en me touchant la poitrine alors que la jouissance approchait, je n'avais pas effacée son tatouage de Noel et lui montrait, j'avais encore mon plug alors je filma sans tabous le bijou et je termina mon snap par un beau plan sur mon sexe qui était recouvert par son cadeau qui ne me lâchait plus ! Je mordit a pleines dents dans l'oreiller et étouffa mon orgasme sous les draps, éteignit mon nouvel ami et repris mon souffle totalement perchée sur un nuage de plaisir ... Un premier snap tomba : "Content que ça te plaise, passe une bonne nuit" Un second arriva dans la foulée "PS : tu peux maintenant évidemment retirer ton plug, tu me le ramèneras la semaine prochaine. J'attends toutes les preuves par mail d'ici Lundi soir avec ton compte-rendu, t'es une bonne fille". Je m'endormie en étant épanouie et comblée tant sexuellement que spirituellement, je suis une pute immorale, une trainée sans tabous, une salope irrécupérable mais avant tout une chienne docile fière d'avoir été dressée par un pervers qui me stimule et me déprave toujours davantage ! ______________________________________________ Ce premier Noel BDSM fut inoubliable pour moi, il clôtura une année intense et me força a accepter de laisser Lady Bitch exister davantage en dehors de mes séances avec mon Maitre, je n'existe que pour le servir et le satisfaire, merci a lui d'avoir su faire de moi celle que je suis aujourd'hui ! A chaque fois que j'utiliserais mon Womanizer, je me rappellerais de ce Noel, de ce que j'ai du faire pour l'obtenir, de ce que j'ai été cette soirée là et j'imagine que je reviendrais de temps en temps ici pour relire ce récit afin de me souvenir et revivre cette soirée ... un womanizer entre les cuisses :stuck_out_tongue_winking_eye:
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Par : le 08/03/21
La fessée peut être aussi punitive , par des claque sèche mais aussi la fessée , si douce si forte reçue ou donnée ..installer sur mes cuisses .. Mes mains qui prennes possession de ces fesses offertes .. des mains caressantes qui claquent d’abords doucement , de plus en plus forts , s’arrêtant , pour caresser des fesses qui deviennent de plus en plus chaudes .. Entendre des gémissements , des cris , des Madame encore , je vous en prie .. Recommencer , le /la sentir se trémousser , être au bord de la jouissance , Caresser cette chaleur appuyer ou les traces des doigts sont la .. Voir ses fesses prendre une belle couleur de feu les sensations sont fortes des deux côtés .. Il ou elle jouira , de cette fessée que je donne toujours avec plaisir .. La /le consoler ensuite de cette forte émotion et recommencer encore .. Lady H
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Par : le 18/04/21
VOUS ETES NOVICE et CURIEUSE Vous aspirez à faire l’expérience de la soumission, ou vous venez peut être de franchir votre premier pas, qu’il soit concret ou symbolique, Vous souhaitez vous inscrire dans une relation à distance ou en réel… Vous être prête à chercher un Dominant, mais vous souhaitez vous sentir « sécurisée », pour vous éviter des rencontres infructueuses, décevantes ou plus franchement désagréables, voire, fracassantes ?! Je vous invite à prendre connaissance de ce petit guide méthodologique qui n’a aucune prétention, si ce n’est vous faire profiter de mon expérience et de mes réflexions personnelles de Dominant, en espérant que cela vous aidera à trouver quelques repères pour vous éviter quelques déconvenues et autres situations peu réjouissantes. PETIT PREMBULE En règle général, nous sommes toutes et tous plus ou moins en capacité de repérer ce qui nous convient et ce qui ne nous convient pas ! C’est du moins ce que nous avons tendance à croire fermement, pour la plupart d’entre nous. Seulement voilà, ce n’est pas toujours le cas ! En particulier dans le cadre de nos « choix relationnels » en général, car lorsque nous sommes portés par nos émotions, une certaine candeur, une méconnaissance de nous même, ou encore, par l'enthousiasme et l'empressement, il nous arrive d'être dans l'illusion de ce qui est bon pour nous ! C’est encore moins le cas, lorsqu’il s’agit de déterminer un niveau de compatibilité dans une dynamique relationnelle ouvrant à des repères tout à fait nouveaux, dans un contexte dont vous ignorez les codes et les applications, incluant un enjeu de séduction, ainsi que la perspective d’une forme de dépendance et d’iniquité ! Et ce, à plus forte raison lorsque l’on ne se connait pas soit même, que l’on ne parvient même pas encore à se projeter dans la peau d’une soumise, même si cela vous appelle et vous fait vibrer. Mais également, parce que vous pouvez être face à une personne tenant à peu près ce discours : « Écoute ma cocotte...je suis le mâle dominant et tout puissant, ton seul droit est de me dire « oui Maître » et de t’exécuter sans rechigner ni contester… il s’agit d’une règle universelle et c’est tout ce que tu as à savoir si tu veux être une vraie bonne soumise…» ! Comment reconnaître celui qui sera bon ou moins bon pour vous, lorsque vous ne connaissez pas le contexte environnemental et culturel D/s, ni celui ou celle que vous êtes et que vous seriez, en occupant un rôle inédit, qui vous expose, puisqu’il s’agit de vous abandonner et de lâcher prise corps et âme dans l’obéissance et la servitude ??? Et je ne vous parle même pas ici de toutes les pratiques pouvant vous amener à éprouver « l’humiliation », « la contrainte » et « la douleur », pour ne citer que ces 3 domaines ouvrant à des mises en situation diverses et variées. D’après mes observations, il suffit à une soumise novice, ou même plus expérimentée, d’être trop émotive, craintive et méfiante, de ne pas avoir suffisamment confiance en elle, ou encore, que ses ressentis et ses réflexions soient influencés par des préjugés, de mauvaises expériences, de vieilles croyances enfouies et plus ou moins inconscientes, pour qu’elle passe à côté d’une relation qui lui serait pourtant profitable. Quand on connait la difficulté de trouver « LA bonne personne », c’est une situation consternante ! Ma délicieuse protégée, Txoria swann, vous le confirmerait sans doute volontiers, au regard de son expérience personnelle !!! Sourire ! Ecoutons ce qu’elle a à dire sur le sujet : [« J’ai mis un orteil dans le monde nébuleux du BDSM à l’âge de 24 ans. J’en ai 39 aujourd’hui et (seulement) 3 Maîtres (dont mon merveilleux Monsieur MyWay) ont jalonné mon parcours de soumise au travers de relations intenses et suivies dans le temps. Il y a des périodes où je suis restée sans collier car je n’éprouvais plus d’envie ou bien encore parce que je ne trouvais pas LA personne qui correspondait à mes attentes. J’ai toujours été de nature méfiante et j’écoute mon intuition quand il s’agit de me livrer totalement à un homme. Je suis du genre à prendre BEAUCOUP de temps avant de m’engager et à dialoguer pendant des semaines avant d’envisager une rencontre. Monsieur MyWay en sait quelque chose ! Il y a 9 ans, il a dû faire preuve d’une infinie patience et tracer devant moi la voie de la confiance qu’il entretien encore aujourd’hui !! Malgré mon attirance et ses efforts démonstratifs pour me rassurer, j’ai failli renoncer, portée par des croyances infondées, des peurs résultant de mes blessures et même par des complexes qui me faisaient me dire que je n’avais pas ce qu’il faut pour lui plaire et le satisfaire. Je ne connaîtrais pas mon bonheur actuel si celui-ci ne m’avait pas habilement retenue par le col ! Pour autant, malgré mon bon sens et mes précautions, cela ne m’a pas empêché de faire face à des expériences décevantes et douloureuses. Mais pour vraiment se connaître soi-même….ne faut-il pas en passer aussi par-là ?] (Txoria swann) Reprenons le cours de notre cheminement… Dans une toute autre mesure, pour ne pas dire « à l’inverse », je vois régulièrement nombre de candidates à la soumission se lancer aveuglément dans une relation, par excès de confiance, de naïveté, peut-être aussi anesthésiée par le sentiment flatteur d’être regardée, convoitée, choisie. Autrement dit, par méconnaissance et une certaine forme d’inconscience. Mais ne pas être d’une grande perspicacité ou une intellectuelle, ne vous prive pas de votre bon sens !!! On apprend à marcher en marchant ! Certes, cheminer, c’est tenter, expérimenter… En conséquence, se tromper, c’est gagner en expérience et en conscience ! Les erreurs sont même nécessaires selon moi, elles contribuent à notre enrichissement et nous donnent l’occasion de mieux nous connaître. Lorsque vous considérez avoir fait une erreur de jugement et d’appréciation par ignorance, il faut en tenir compte et vous pardonner, considérer cette expérience comme une étape bénéfique et passer à la suite. Mais il est des erreurs d’appréciation que l’on paie cher et même très cher…et dans ce domaine, certains acteurs que l’on peut croiser et côtoyer dans l’univers BDSM, sont de véritables spécialistes pour conduire une femme dans l’impasse et parfois même, dans les basfonds déstructurants de l’existence, alors que cette femme aspire courageusement à s’accomplir et s’élever dans le plaisir et la plénitude d’une soumission constructive, généreuse et libératoire. J’en viens donc au point principal de mon initiative. Selon votre nature, il est des situations et des individus qu’il faut savoir éviter !!! Je souhaite vous donner quelques clés pouvant vous aider à éviter de bien mauvaises expériences. ENTREE EN MATIERE Dans les premières heures d’un rapprochement relationnel entre Dominants et soumis (ses), j’ai observé que la question prépondérante et centrale que se pose généralement un(e) candidat(e) à la soumission, est de chercher à savoir « à quelle sauce il ou elle va être mangé(e) »…ce qui se traduit souvent par la formulation d’une question adressée à son interlocuteur, généralement assez proche de : « COMMENT allez-vous vous y prendre avec moi ? » Hors, il me semble que ce que vous cherchez à savoir d’essentiel au fond de vous, vous ne le trouverez pas là…car poser la question du COMMENT vous donnera des indications sur la manière de faire, sur la méthode, pour ceux qui en ont une, ou sur l’organisation et le fonctionnement de votre duo. « Quel Dominant/homme est-il ? De quoi est-il fait ? Est-il sérieux, capable et honnête dans son discours ? A-t-il une vraie démarche ? Il espère que je lui offre ma soumission mais lui…quels sont ses engagements ? » A l’aube d’une relation, voilà à mon sens, les vraies interrogations qui vous animent, me semble-t-il… Non ?? Mais comment vous assurer d’obtenir une « image claire », une réponse qui soit au plus près de la vérité !? Comment vous équiper d’un radar qui vous permettra de repérer la cohérence et les failles de votre interlocuteur et le bien-fondé de son discours et de ses intentions ? CONRETEMENT Je garanti à toute novice et prétendante à la recherche d’un partenaire Alpha, que le simple fait de lui poser la question du « QUOI et du POURQUOI », aura pour avantage immédiat de l’informer à la fois sur la consistance et la cohérence de son interlocuteur, en termes de conception, comme en termes de motivation et de personnalité ! Au lieu de chercher à savoir COMMENT, je vous invite donc à poser la question du « POURQUOI et du QUOI ». POURQUOI il/elle occupe cette fonction et sur QUOI il/elle fonde sa démarche et ses engagements de Dominant ! Cela aura pour grand avantage de mettre la lumière sur le sens et la cohérence de ce celui ou celle qui sera amené à conduire et animer cette relation et surtout, qui aura envers vous une responsabilité et un pouvoir….le pouvoir de vous épanouir, de vous décevoir, de vous abîmer et même de vous détruire ! Face à cette question, vous pourrez constater que certaines Dominants seront quelque peu déstabilisés, et même parfois désarçonnés, au point quelques fois de s’enflammer et de couper court à vos échanges, allant jusqu’à vous accuser dans certains cas, de vous montrer trop méfiante, indécise, « de chercher la petite bête », « de ne pas savoir ce que vous voulez »…, et ce, pour 2 raisons simples : 1/ Soit, celui ou celle qui se présente comme Dominant n’est peut-être pas encore tout à fait mure, très au clair avec le sens de sa propre démarche et ce qui la motive, et votre question va le/la renvoyer à ses propres incertitudes et inconnus, puisque sa démarche n’est pas encore élucidée, définie et structurée. 2/ Soit, votre interlocuteur(trice) n’est volontairement pas transparent(e) avec la réalité de son parcours, de ses intentions, de ses motivations, de ses capacités et de sa personnalité, de sa nature humaine, de son environnement social, familial, sentimental… Ceux qui réagiront à votre question avec virulence, sont pour la plupart, des Dominants autoproclamés, des affabulateurs, des illusionnistes, des imposteurs sans scrupules, des chasseurs de proies candides et naïves, des consommateurs sexuels, des frustrés maladifs et obsessionnels, de véritables pervers narcissiques égo centrés et manipulateurs… Reste donc à déterminer si c’est par simple manque de conscience et/ou d’expérience, ou si c’est déjà le signe évident que l’on cherche à vous dissimuler un manque de bienveillance et d’honnêteté ! Si vous obtenez une réponse argumentée, structurée, étayée à la question du « QUOI et du POURQUOI », c’est que votre interlocuteur a réfléchi et construit sa démarche, qu’il est en cohérence, en phase avec lui-même, indépendamment de son expérience, de ses tendances, de sa personnalité et de sa méthode. Un dominant peu expérimenté mais consciencieux, aura l’intelligence d’assumer son manque d’expérience et de vous en faire part. Si votre interlocuteur se montre muet, circonspect et fuyant, imprécis, ou qu’il manifeste un mouvement de recul, une forme de mécontentement, de colère, se retranchant derrière son statut sous couvert d’autoritarisme, c’est que vous avez touché son égo…son orgueil ! C’est que vous avez mis le doigt sur une faille…que vous avez ouvert la porte sur son incohérence et sans doute, sur des intentions et des prétentions édulcorées, illusoires et mensongères. Bien souvent, ceux qui ne sont dans cette attitude sont en fait des usurpateurs mobilisés par la soif de sexe et/ou de la promesse de jouir d’un pouvoir d’aliénation, sans effort ni justification… LES PROFILS TYPES DU DOMINANT TOXIQUE L’égaré Il a vu la porte ouverte et il est entré ! Il peut vous donner le sentiment d’être séduisant et pertinent dans le rôle de Dominant, mais il est souvent englué et pas très heureux dans un contexte familial et sentimental qui le rend indécis et fuyant, non disposé à s’engager. Il n’est pas porté par la vocation de Dominant, mais par la parenthèse respirante que vous allez lui offrir. Sous couvert de culpabilité et de priorité, Il risque à tout moment et sans « crier gare », de s’en retourner à sa vie vanille. L’incompétent qui s’ignore Tout est dit dans la définition de ce profil ! Il n’a pas l’étoffe d’un Dominant qui vous accompagnera s dans le cadre d’un cheminement éducatif maîtrisé. Il saura apprécier votre dévouement, car puisque vous êtes à ses pieds, c’est que vous le reconnaissez légitime à exercer. Mais il vous donnera l’impression d’être l’objet d’expérimentations successives insuffisamment préparées ou contrôlées…sans but ni perspectives précises. Il va partir dans tous les sens…. Il peut être éduqué, tout à fait charmant et charmeur, être animé de bonnes intentions, mais sous couvert de maladresse et d’ignorance, on peut blesser durablement et profondément ! Sachant que ma protégée a connu ce genre d’individu, voyons ce qu’elle peut nous en dire à travers son témoignage : [« …Lors de ma toute première séance de soumission je me suis retrouvée obligée à servir d’urinoir… pratique qui n’avait JAMAIS été évoquée au préalable avec mon Dominant de l’époque qui me savait novice, pour laquelle je n’avais pas donné mon consentement, qui m’a dégoutée, choquée et que l’on m’a imposé sans que n’ai eu le temps de protester, saisie par l’effet de surprise et aussi (c’est triste à dire) par la peur de décevoir. (La peur de décevoir est un mécanisme puissant que certains savent exploiter et que d’autres cultivent sans rendre compte, sans en avoir conscience !) J’ai malgré tout poursuivi un long moment cette relation avant de m’apercevoir que cet homme entretenait une relation parallèle sérieuse avec une soumise… Ma vision des choses étant basée sur une notion de transparence, d’exclusivité et bien entendu de loyauté, ce mensonge a mis fin définitivement à notre relation. »] (Txoria swann) Le consommateur fantasmeur C’est un opportuniste essentiellement motivé par le sexe. A moins qu’il fantasme également le fait d’être un homme d’importance, enviable et envié, puisqu’il dispose du statut de Dominant, que votre présence vient légitimer. Il rêve et fantasme sa vie de manière basique, « Quel pied de disposer d’une femme qui ne veut et ne peut que me dire « oui » à tous mes fantasmes et mes envies… ». Il ne cherche pas une soumise à éduquer, mais une pute gratuite. Il aura tendance à vous dire ce que vous voulez entendre, pourvu qu’il puisse vous baiser et qu’il observe sa toute puissance et sa grandeur dans votre regard ! L’obsédé C’est un chasseur au sens littéral du terme. Il saura se camoufler pour revêtir l’apparence du Dominant rassurant, compétent et consciencieux. Développent souvent une compétence technique dans l’univers BDSM, et s’appuyant dessus pour vous émerveiller, il est insatiable, bonimenteur, dissimulateur et relativement égocentré. Souvent autoritariste graveleux, parfois charmeur affirmé et prétentieux et même BCBG discret et révérencieux… C’est un collectionneur dans l’autosatisfaction, ayant une haute estime de lui-même et gardant l’œil rivé sur son tableau de chasse. Votre appartenance et la dimension sexuelle de votre présence sont ses seules véritables motivations. Je vous propose de trouver ici le partage de Txoria swann : [« J’ai été soumise à un Maître qui disait m’aimer, qui me faisait miroiter que j’étais sa petite chose adorée, son trésor précieux, un Maître que j’admirais, qui s’occupait de moi divinement, qui m’a fait découvrir le shibari, qui ne cessait de me répéter que j’étais la seule, que je le comblais. Jusqu’au jour où, j’ai découvert que cet homme menait une véritable double vie et me cachait tout un pan de son existence. Il fréquentait activement les clubs dédiés le week-end, il avait d’autres soumises dans d’autres villes, d’autres pays… il était reçu régulièrement par des couples pour pratiquer le cucklod. Je suis tombée de très très haut face à ce manque cruel de transparence et j’ai mis des années à passer à autre chose. J’ai beaucoup souffert de cette trahison qui a laissé des traces profondes. Sans compter que cela aurait pu être bien pire puisqu’en toute confiance je pratiquais des rapports non protégés. Cela m’a énormément dégouté qu’un homme puisse mettre en danger la santé d’autrui, sujet que nous avions abordé tous les deux. Cette expérience douloureuse aura au moins eu le mérite de me faire réfléchir sur ce dont j’avais besoin dans une relation D/s et de mieux cerner mes attentes également. Ces blessures ont parfois rejailli très vivement dans ma vie de soumise et de femme, quand, de manière incontrôlée et injustifiée, je doute de Monsieur MyWay, par exemple… Il m’est arrivé d’avoir peur de revivre ce cauchemar, d’être roulée dans la farine. J’ai développé une forme de paranoïa…. Heureusement avec le temps, avec l’écoute et le travail d’accompagnement de mon propriétaire, c’est de moins en moins fréquent. Après pareilles épreuves, le plus difficile est de donner à nouveau pleinement sa confiance. »] (Txoria swann ) Le pervers narcissique et manipulateur Véritable prédateur psychotique, il n’est pas très évident de le repérer, car il sait prendre un visage empathique, accueillant, rassurant et souriant…Sans nécessairement être brillant, il est souvent très intelligent, c’est d’ailleurs ce qui le rend dangereux. Pour autant, il est d’une grande pauvreté émotionnelle et spirituelle. Il peut vous donner le sentiment d’être porté par une démarche réfléchie et constructive. Il sait adapter son discours et son attitude lorsqu’il est en chasse, dans l’étape de séduction ! Sa perversité n’a rien de ludique, d’érotique ni de bienveillante, elle n’est pas orientée au service de votre plénitude, dans votre intérêt, mais dans le but de nourrir sa psychose maladive et obsessionnelle d’homme très égocentré. Son plaisir revêt un caractère véritablement maladif et sadique. Il ne va pas vous élever, vous libérer et encore moins vous aimer, mais vous enfermer, vous aliéner et vous détruire et en tirer sa satisfaction. Il est schématique et cyclique, c’est-à-dire que lorsqu’il vous verra à terre, totalement aliénée, il vous dédaignera et vous dénigrera tout en s’assurant que vous restiez dans cet état et se remettra en chasse pour redéployer sa procédure machiavélique ailleurs. EN TOUT ÉTAT DE CAUSE VOICI QUELQUES PETITES OBSERVATIONS et autres PRINCIPES À GARDER À L’ESPRIT Il incombe autant aux candidats à la soumission qu’aux Dominants, d’être en mesure de répondre à la question du QUOI et du POURQUOI. Si vous ne savez pas faire le point sur ce qui motive votre démarche, sur votre appel intime et personnel pour la soumission, vous allez airer, tâtonner, sans savoir QUI ou QUOI chercher, ni POURQUOI…et vous vous exposerez à de mauvaises et improductives rencontres. En outre, un Dominant digne de ce nom sera attaché à mesurer les raisons fondatrices qui vous poussent et vous motivent à vous exprimer dans l’abandon et le lâcher prise. Il sera à votre écoute…Sachez les identifier ! Faire le choix de la soumission, ce n’est pas « dire OUI » malgré soi, à quelqu’un qui ne le mérite pas ! Il n’y a pas de recettes….mais des tendances. Il n’y a donc pas une seule est unique manière de vivre et d’exprimer sa soumission… Il n’appartient donc qu’à vous de déterminer ce que vous voulez et ne voulez pas tout en gardant l’esprit ouvert et curieux. De même, il n’y a pas une seule et unique manière de conduire et mettre en œuvre une démarche de Domination… N’est pas Dominant qui le prétend…n’est pas soumise qui le veut ! Un parcours bien vécu, c’est un cheminement progressif, adaptée à votre personnalité, en termes de pratiques et d’intensité. Quel que soit son statut, Dominant ou soumise, chacun doit être capable de mener une démarche introspective, avec objectivité et lucidité, sans concession ni travestissement, sur ses envies et ses aspirations, sur ses qualités, ses atouts, ses contraintes, ses forces, ses faiblesses et ses failles, avant d’imaginer rencontrer la bonne personne ! Que l’on soit aspirant à la Domination ou à la soumission, pour trouver notre place et nous réaliser dans cet univers, la première rencontre à faire, c’est avec soi-même ! On apprend à marcher en marchant ! Un Dominant consciencieux, même s’il a la réputation d’être très exigent, stricte et sévère, est un Dominant attentif et altruiste, qui sera soucieux de votre bien être et qui n’est pas dénué d’humilité et de capacité à se remettre en question. A force d’expérience, un Dominant consciencieux pourra se distinguer et développer une véritable expertise dans un ou plusieurs domaines, qu’ils soient de nature technique (bondage, fouet, …) ou pédagogiques et méthodologiques (conduite du lâcher prise, travaille sur l’estime de soi, amener l’ouverture à de nouvelles pratiques,…). Un Dominant est aussi « un apprenant » et il ne doit pas l’oublier. Un Dominant ne doit son statut et son expérience qu’à celles et ceux qui le servent et l’ont servi !! Tachez de savoir sur quoi repose la conception et la motivation de votre interlocuteur. Avant de lui demander COMMENT il/elle envisage de s’y prendre, demandez-lui POURQUOI il/elle occupe cette fonction et sur QUOI il/elle fonde sa démarche et ses engagements de Dominant ! Si vous ne trouvez pas sur le descriptif de son profil la réponse à cette question, ce qui est très courant, demandez-lui de formaliser concrètement ses engagements personnels par écrit. Vous pourrez évaluer la conception, le sens et la motivation de votre interlocuteur en ayant la possibilité, si cela devenait nécessaire, de lui remettre ce document sous le nez pour lui faire remarquer un éventuel décalage entre son discours initial, ses intentions et la réalité. Si vous vous engagez dans une relation suivie et durable, cela sera un repère intéressant pour vous permettre de mesurer l’évolution de votre cheminement. Pour donner l’exemple, vous trouverez ici ce qui constitue le socle fondateur de ma propre gouvernance. Vous trouverez sur ce Forum de nombreux écrits sur le thème du CONTRAT et de l’acte d’engagement. Accessoirement, demandez-lui si il/elle a eu d’autres soumis(ses) à son service, si ces personnes sont présentes sur le site/Forum que vous fréquentez et si elles sont éventuellement joignables. Enfin, si vous aspirez à vous investir dans une relation construite, exclusive et durable, tâchez de garder à l’esprit ceci : Au motif d’obtenir ce qu’ils veulent (si tant est qu’ils le sachent véritablement ou qu’ils l’assument), beaucoup de ceux qui se revendiquent Dominant, s’inventent une vie, une personnalité, des compétences et une légitimité. A partir de là….vous pouvez être persuadée que tout ne sera que vitrine, mensonges, non-dits, faux semblant, manipulation et trahison. En cas de doute, écoutez votre instinct ! Si vous avez une forte tendance à la crédulité, à la naïveté, Si vous êtes muée par une charge émotionnelle traumatique relativement sévère, Si vous avez des troubles du comportement et de la personnalité, Ne vous aventurez pas, car vous serez une cible de choix pour les incompétents, les charlatans et les manipulateurs, qui ne vous épargneront pas ! Ou prenez la voix de la résilience… annoncez-vos singularités et vos fragilités à votre interlocuteur ! MyWay
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Par : le 09/12/19
Comme tous les Mâles, tu aimes enculer. Conforter ton pouvoir sur la soumise, en lui imposant ton sexe, de manière brutale, animale, bestiale. Que ce soit douloureux pour moi, cet usage que tu fais d’un trou dont ce n’est pas la fonction, est sans importance. Ce qui compte, c’est toi, ton plaisir, celui que tu éprouves à me posséder. Mon cul est à toi, il t’appartient. Il te suffit d’ordonner pour que je me mette à 4 pattes, croupe offerte, prête à être utilisée. D’autres avant toi ont joui de mon cul. Pas de la même manière, puisque je leur demandais de me lubrifier avant, d’y aller doucement, sans forcer. Ces règles n’ont plus cours désormais. Le seul lubrifiant lorsque tu m’encules, c’est ma salive sur ta queue après que je t’ai sucé, pour en faire l’épée qui va me transpercer. Les autres, ceux d’avant, n’ont jamais compté. Désormais, c’est ta queue seule que je veux en moi, la seule qui me possède, la seule qui comble mon désir d'être à toi. Ta queue dure, raide, que tu frottes contre ma raie, avant de m'agripper pour l’enfoncer en moi. J’aime quand tu m’encules, la douleur que je ressens quand tu me pénètres à sec, la violence bestiale de ton désir. J’aime quand tu forces mon corps à se cambrer, pour t’enfoncer plus profondément en moi, et la brutalité de tes coups de reins. J’aime le moment où tout bascule, quand la douleur devient plaisir et finalement jouissance, quand je vibre au rythme de ton corps, fière de l'orgueil que tu éprouves de me posséder ainsi, de me savoir à toi, salope, chienne, pute, esclave. J’aime les va et vient de ta queue en moi, les moments où tu sors de moi pour ne pas jouir trop vite, avant de me reprendre pour me défoncer encore et encore. J’aime le moment où tu te lâches, quand le rythme s’accélère, quand toute la tension accumulée se libère, et que tu exploses en moi. J’aime sentir ton foutre qui jaillit, ta semence qui se répand, qui me féconde, qui me laisse comblée, avant que tu ne t’écroules sur moi, épuisé, vidé de ta sève, ton corps écrasant le mien, ta queue toujours enfoncée en moi. J’aime quand tu m’encules. J’aime ce sentiment de me donner complètement, de n’être plus pour toi qu’un objet de plaisir, sur lequel tu exerces tes prérogatives de Mâle.
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Par : le 16/06/21
Elle effleura des lèvres le duvet brun autour du pubis. Sous la peau souple et veloutée, les abdominaux se contractèrent à ce contact. Du bout de la langue, elle joua à en suivre les sillons. Un peu plus tard, le sexe de Xavier s'étirait comme après un long sommeil. Il se déroula paresseusement, se redressa un instant puis retomba contre le ventre mais sans cesser de grandir. Sarah observa la fascinante métamorphose de ce fabuleux objet de désir. Quelle chance pour les hommes d'avoir, greffé entre les jambes, un aussi beau jouet. Il semblait doué d'une vie propre. Voilà qu'il s'allongeait encore, comme tendant le cou pour mieux la regarder. Tout son corps cylindrique vibrait. Sa veine sombre et saillante palpitait et sous leur mince enveloppe, les testicules s'animaient comme d'un paisible mouvement de respiration. Sarah s'approcha de la bête. Elle posa le bout de la langue sur le sommet de sa tête et entama un délicieux mouvement de balayage. Le sang se mit à battre plus vite dans la veine. L'homme et son sexe se raidirent encore. Lorsque, léchant toujours, Sarah glissa vers la base du gland, Xavier étouffa un soupir. Il plongea la main dans les cheveux de la jeune femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sa langue continuait de frétiller le long de sa verge. Il se releva sur un coude et contempla le spectacle hallucinant de cette fille couchée à côté de lui, de ses mains liées dans le dos, de son échine courbée par les cordes, de ses fesses pointées vers le plafond, de sa jupe troussée jusqu'aux reins. Sarah changea de méthode. Elle plaqua la langue tout entière au creux des testicules et remonta la verge jusqu'à la commissure du gland, là où celui-ci semble se fondre en deux comme un abricot. Elle remarqua que l'étreinte de Xavier sur sa nuque se faisait plus pressante lorsque sa langue atteignait ce triangle rose pâle. C'était là qu'il fallait donc porter l'estocade. Ravie d'avoir découvert l'endroit sensible, elle continua de le torturer ainsi. Sous ses coups de langue, il perdait peu à peu le contrôle. Il tendait le ventre, ondulait des hanches. Brusquement, il accentua sa pression sur la nuque de Sarah jusqu'à lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière, c'était un ordre. Elle n'eut qu'à entrouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Xavier s'engouffre tout entier dans sa bouche. La charge portée dans sa gorge fut telle qu'elle suffoqua. Pourtant, lorsque Xavier relâcha son étreinte, elle n'eut qu'un bref mouvement de recul, juste le temps de reprendre son souffle avant de le reprendre dans sa bouche et il éjacula. Quand aux liens, moi qui ne nourrissais jusqu'ici aucun fantasme particulier à leur sujet, je leur découvre une vertu que je ne connaissais pas. Au début de notre relation, je me contentais d'entraver les poignets de Sarah pour satisfaire à ce que je croyais n'être qu'un caprice de sa part. Mais peu à peu, nous nous sommes amusés à inventer des liens de plus en plus sophistiqués, des positions de plus en plus complexes auxquelles elle se soumet toujours sans protester. Je la pense, à dire vrai, incapable de s'en passer. C'est pour cela que je n'ai pas le sentiment de l'asservir. Comment expliquer cela ? Lorsque j'entrave Sarah, c'est comme si, à la manière d'un peintre ou d'un sculpteur, j'avais soudain le pouvoir de figer sa beauté dans l'espace et dans le temps. Nos rendez-vous prennent désormais des allures de séances d'atelier. J'arrive avec une nouvelle idée de pose et des tas de cordes, de sangles, de lanières. Le ficelage prend du temps. Ce sont de longues et excitantes prémisses. Les images de Sarah ainsi ligotée m'obsèdent. La voilà nue, assise sur une chaise, les bras légèrement fléchis. Je lui ai joint les poignets à mi-dos. Les cordes s'évasent jusqu'aux épaules, comme les nervures d'une feuille dont la colonne vertébrale serait la tige. Elles s'enroulent autour des cuisses, pressées contre la poitrine, remontent jusqu'à la nuque où je les ai nouées. J'ai entravé les chevilles l'une contre l'autre, tiré la ficelle entre les fesses. Je l'ai tendue au maximum pour la fixer aux poignets. Sarah est enroulée dans un cordon de cordes. Elle n'est plus qu'un souffle impatient du plaisir à venir. Souvent, elle-même m'encourage à plus d'excentricité encore. Elle veut ne plus rien pouvoir entendre, ne plus pouvoir rien dire, ne plus rien pourvoir voir, ne plus rien pouvoir faire que d'attendre le moment où je m'enfoncerai au fond de son ventre ou de ses reins. Alors, je comble sa bouche avec un morceau de tissu, je la bâillonne d'un large sparadrap, je l'aveugle d'un bandeau sur les yeux et je lui bouche les oreilles avec des boules de cire. Je l'attache avec un soin maniaque, centimètre par centimètre, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus remuer du tout. Je la modèle sous mes doigts comme un sculpteur manipule la glaise. Et quand enfin j'ai terminé, je prends du recul, je l'admire, immobile comme une toile, aussi lisse qu'un marbre, statue de chair, chaude et tendre, inerte et pourtant vibrante de vie. Quiconque entrant dans la pièce à ce moment-là trouverait la scène choquante. Sans doute ne verrait-il pas que l'indécence extrême d'un corps emprisonné, la mâchoire distendue par sous le bâillon, l'obscénité des cuisses maintenues ouvertes, l'insupportable étirement des muscles, la brûlure des cordes serrées contre la peau. Il ne verrait que le sordide d'une femme soumise à un plaisir de mâle. Il ne verrait que l'humiliation. Pourtant, Sarah ne s'humilie pas en se livrant ainsi. Elle met en moi une telle confiance que je ne la respecte jamais autant que lorsqu'elle est ainsi asservie. Même tordue dans ses liens, elle conserve cette grâce qui fait souvent défaut aux amants, que je ne me lasse pas de contempler. Alors, au-delà de l'excitation physique que cette vision éveille en moi, je me surprends parfois à ressentir comme une fugace émotion d'artiste. Plus tard, je caresserai le satin de cette peau. Sous mes doigts, le tressaillement d'un sein frôlé. Plus tard, je la soulèverai. Il faudra bien alors que monte le désir. Je la fouetterai, je la fouillerai. Tenaillée entre deux douleurs, elle hurlera en me suppliant. Seulement plus tard. D'abord, je succombe à ce plaisir sadique de l'entraver. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 09/07/21
Après quelques hésitations et l'accord de Monsieur X, je me lance et vous partage... selon mes mots... Je ne suis pas une artiste des mots comme certaines ou certains d'entre vous, que j'admire! (je pense à une personne en particulier qui se reconnaîtra ;) ) Je suis plutôt une femme qui parle en image mais parfois, il faut sortir de sa bulle de confort et se lancer. Mon écrit n'est pas récent, mais qu'importe, le but est d'échanger ^^ Belle lecture. #### Après avoir déposé mes clés et mon sac sur la table, je me dirige dans la pièce peinture, là où se trouve une de des garde-robes et l’étagère à chaussures. Sur celle-ci je dépose ma paire d’escarpins brune que je portais lors de mon rendez-vous avec Monsieur X. Je les adore ! Simple et sexy, idéale pour une première rencontre. Je continue à me déshabiller en enlevant ce joli gilet noir qui s’adapte à toutes les tenues… et puis d’abord, pourquoi porter quelque chose en dessous, j’y penserai la prochaine fois. Puis vient ce pantalon noir à taille haute, très classique que je ne manquerais pas de reporter. Je défais les boutons un à un pour ensuite le laisser tomber sur mes chevilles. Je finis par enlever ce superbe body transparent à dentelle noir, qu’est-ce qu’il a du succès ! J’aime entrevoir entre la dentelle la silhouette de mes seins, c’est une des parties de mon corps que j’apprécie le plus. Nue, je me dirige vers la cuisine, me sers un verre de vin rouge et en bois une première gorgée que je savoure posée contre le meuble de la cuisine, de l’autre main je me caresse la fesse droite. Elle est chaude et me brûle un peu, ça me plait. Je regarde par-dessus mon épaule droite pour voir celle-ci, elle est rouge, je distingue les marques. Je décide de me rendre dans la salle de bain et m’observe avec attention dans le miroir… Mmm mais qu’est ce que j’aime ses marques sur mes fesses, c’est beau, c’est magnifique ! Une certaine forme d’art, de création. Dans ce miroir, j’admire ses marques… ça me plait. Quel plaisir de se faire accueillir de telles façons ! Le lieu, le cadre, lui… Peur ? Non. Anxieuse ? Un peu. Curieuse ? Enormément. Excitée ? A la folie ! « M’imaginer encore attachée, les yeux bandés, debout le haut de mes escarpins, vous me regardant, m’examinant, me caressant, me pinçant…. Mmm vous entendre prendre vos accessoires de « torture » ou de « plaisir » ? Les deux me conviennent… quelle excitation j’ai éprouvé et le tourment de devoir dire stop… Me faire fouetter, pincer, fesser, me donner l’honneur de vous occuper de chaque partie de mon corps, a été une extase partagée avec vous, Monsieur. Malheureusement mon trou, trop petit pour vous convenir, pour l’instant, ne demande qu’à être mieux préparé pour vous être présenté au prochain rendez-vous. Mais… pour ma défense, celui-ci est ma partie la plus délicate et à besoin d’un peu plus de soin et de compréhension. Mais en contrepartie, sachez que tout mon corps vous est offert Monsieur. Oui Monsieur, la Soumise que je suis souhaite en connaitre davantage sous vos mains entrainées et votre regard vigilant ». #####
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Par : le 11/09/21
De tous les « instruments » dont tu uses pour marquer ton pouvoir, ton «  territoire » (moi 😀), le fouet est celui dont le sens pour moi est le plus fort. Parce qu’il est le symbole de ce que j'ai voulu, de ce que je suis et veux être pour toi. Pas seulement ta soumise. Mais bien ton esclave. Et aussi parce que tu es le premier qui m'ait jamais fouettée. Puisque c'est moi qui ai voulu que tu me le fasses découvrir. Pas pour me" punir", pour cela la cravache faisait parfaitement l’affaire, que pour te prouver que je suis pleinement à toi. Que mon corps t’appartient. Que tu as tous les droits sur moi. Malgré tes réticences. Parce que même si tu en maîtrisais l’usage, tu ne voulais pas t’en servir sur moi. Parce que j’avais toujours refusé d’être fouettée avant toi. Parce que ça me faisait peur. Parce que tu savais que ça fait mal. Et que tu ne voulais pas me faire de mal. En dépit du plaisir que ça te procurerait de me l’infliger. Alors, je t’ai forcé la main. J’ai insisté. Malgré mes craintes. De ne pas parvenir à résister jusqu’au bout à la douleur. Parce que je voulais te laisser à toi et à toi seul l'initiative d'arrêter. Quand tu le jugerais nécessaire. J’ai pleuré, crié, supplié, mais j’ai tenu, serrant les dents. Sans prononcer à aucun moment le mot qui pouvait tout arrêter. Et j’ai joui. Comme jamais un homme ne m’avait fait jouir. De cette douleur que j’avais voulu t’offrir. Pour te prouver que j’étais désormais totalement à toi. ________________ Je « pratiquais » le (bd)sm bien avant de rencontrer mon Maitre. J’avais déjà connu la badine, le ceinturon, la cravache et d’autres instruments encore. Mais je n’avais jamais osé franchir cette ultime limite. Par peur, crainte de la douleur, mais aussi sans doute parce que je ressentais le fait de subir le fouet comme le cadeau ultime que je pourrais faire à un homme. Et que je jugeais que mes amants de l’époque ne le méritaient pas ou que je n’étais pas prête, moi, à le leur offrir. Bon, depuis, les choses ont évolué et je pense à un autre "cadeau" désormais. Mais chaque chose en son temps :smile: Mon Maître quant à lui en maîtrisait l’usage, pour l’avoir utilisé sur d’autres avant moi. Mais il s’y était toujours refusé avec moi. Alors, je lui ai forcé la main, en lui offrant un fouet, un single tail australien, pour s’en servir sur moi. Ça a été douloureux, très même, jusqu’à ce que les endorphines et ce que je ressentais, cette jouissance de m’offrir totalement à lui, m’emportent dans cet ailleurs qu’on appelle le lâché prise, le subspace. Plus loin que je n’avais jamais été. Par contre, si cette première fois (mais pas la seule, même s'il continue d'en user avec modération :smile:) où j’ai connu cette jouissance/souffrance à nulle autre pareille restera toujours un moment très fort dans la construction de ce que nous sommes désormais l’un pour l’autre, il n’en demeure pas moins que le fouet reste un instrument dangereux, à manier avec prudence. D’autres que moi ont déjà écrit sur le sujet, et je renvoie à leurs articles. Et notamment : https://www.bdsm.fr/groups/519/ https://www.bdsm.fr/forum/thread/917/Le-fouet-en-SM/ Je recommande en particulier le premier, de ma chère Lady, le plus complet que j'ai jamais lu sur le sujet (après que j'ai "découvert" le fouet et ses effets sur moi), tant sur les volets "techniques" que psychologiques. Même si nous nous plaçons l'une et l'autre du côté différent du manche, ses mots expriment parfaitement ce que nous avons ressenti, mon Maître et moi, et le sens que nous avons donné à ma première flagellation (et que nous continuons de partager quand il décide de se servir à nouveau de ce fouet qu’il aime d’autant plus que c’est le nôtre, celui que je lui ai offert, réservé à mon usage). _______________ Les points clés pour moi sont d’abord que celui qui s’en sert en connaisse le maniement, et se soit entrainé avant sur des objets inanimés. Dans mon cas, mon Maitre avait en outre fait le choix de m’attacher « serrée », pour éviter tout mouvement involontaire de ma part, susceptible d’entraîner un coup mal placé. Il avait aussi longuement insisté, avant et pendant, sur son exigence que j’use du safeword convenu à n’importe quel moment, si je jugeais que les choses allaient trop loin à mon goût. Et surtout, en dépit de l’excitation que provoquait chez lui ce sentiment de pouvoir, de me savoir ainsi totalement à sa merci, parce que j’avais voulu qu’il en soit ainsi, il a été tout au long de la séance d’une attention extrême à mes réactions. Et je sais que ce n'était pas évident pour lui à ce stade d'excitation. Il est aussi de tradition de recommander d'éviter de fouetter certaines parties du corps, les seins, le ventre, le sexe en particulier. Je lui avais demandé de passer outre et même si j’ai «morflé », il a su doser les coups de sorte à m’éviter de prononcer le mot que je ne voulais surtout pas dire. Un dernier point, qu’il me semble nécessaire de souligner pour ceux/celles qui seraient tentés par l’expérience, c’est l’importance de l’aftercare. Je sais qu’il n’est pas toujours simple pour les mecs après avoir joui de se rappeler à quel point la «soumise » a besoin d’eux à ce moment là. Pourtant, ce sont ces moments là qui légitiment et justifient tout ce qui a précédé et suivra. L'attention, le soin, physique et psychologique qu'on porte à la soumise. La laisser « se dire ». L’écouter. La tendresse qu'on lui manifeste. Et puis il y la le plus important, la raison qui m’a poussée à briser mes derniers tabous, la confiance absolue que l’on porte à l’autre, parce qu’on sait, qu'on sent sans le moindre doute, qu’il saura s'en montrer digne.
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Par : le 18/10/21
Mais tu viens de t'endormir. Et pour détendue que je sois, je suis incapable de dormir après ce que tu m'as fais vivre/subir. Alors, même s'il est tard, ou plutôt tôt, j'ai éprouvé le besoin de mettre des mots sur ce que je ne devrais pas dire, encore moins écrire ou même penser. _______________ Dire que j’aime ton corps, ton sexe et tout ce qui en sort. Ta semence sacrée, ta liqueur dorée. Te parcourir de ma bouche, de ma langue. Dire que j’aime le goût, l’odeur de ta peau. De ta queue, de tes couilles et celle de la sueur sous tes aisselles. Dire a quel point j'aime te faire bander. M’agenouiller devant toi, lécher ta mouille sur ton gland, avant de te prendre en bouche jusqu'au fond de ma gorge. Dire que j’aime quand tu m'attaches, les yeux bandés, menottée, offerte, disponible, prête à l’usage, et jouir d’avoir mal quand c'est toi qui me fait mal. Dire que j'aime m'accroupir à 4 pattes, pour te présenter mes reins, et crier quand tu me prends ainsi pour mieux vibrer au rythme de ta queue. Dire aussi que j'aime m’allonger sur le dos, cuisses écartées, pour sentir ton poids sur moi et mieux m’offrir à toi. _______________ Je sais, je ne devrais pas dire, ni écrire ni même penser à quel point j'aime quant tu me prends, et ce moment aussi où tu n’en peux plus de te retenir, et que tu te libères de la tension accumulée. Pas plus que je ne devrais dire combien j'aime quand ton foutre jaillit, peu importe celui de mes trous que tu utilises, pourvu que ce soit en moi, sur moi. Ni surtout que pour moi tu es l’homme, le mec, le Mâle, le Maître, à quel point je suis fière d'être à toi, avec toi et oser crier que j'ai besoin de toi. _______________ Je sais qu’une femme ne devrait pas dire ça, encore moins l'écrire, ni même le penser. Mais je m’en fous. Parce que que les femmes qui disent ne pas aimer le sexe soit sont des menteuses, soit n’ont jamais connu la jouissance d’appartenir à un homme, d’être possédée par un homme, possédée d’un homme. _______________ Alors oui, je le dis, je le pense et j’ose l'écrire. Que j’ai besoin de ton corps, de ton désir, de ta queue. Que j’ai besoin que tu me baises comme on baise une salope, une chienne, une pute. Et de me savoir ton esclave. Tous les jours, toutes les nuits, toujours. Pour pouvoir me sentir vivre. _______________ Et n'en déplaise aux bien pensants, je ne me sens pas immorale pour autant. Juste peut-être amorale :smile:. Parce que le sexe, le plaisir n’ont rien à voir avec la morale. Puisqu’ils sont leur propre morale. Et que je suis accro à toi. Je ne suis pas de celles qui voient en l’homme un ennemi. Qui pensent que le Mâle c’est le Mal. Qui ne rêvent que de vous châtrer. De vous "déconstruire" pour mieux détruire ce que vous êtes. Tu es mon frère, mon semblable différent. Ce que tu es sur le plan physique et biologique ton histoire personnelle, ton vécu avant moi induisent chez toi une autre vision du monde, un autre regard sur le monde. Tu aimes et j’ai besoin que nous considérions parfois les choses autrement. Mais en regardant ensemble dans la même direction. **************************************************************************** Laure, avec le rêve de demeurer définitivement tienne, en ce matin du 17 octobre 2021. Un rêve peut-être, mais dont je sais que nous le réaliserons. Puisque tu as tout fait pour qu'il devienne notre réalité. Alors, "même pas peur" :smile:
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Par : le 10/10/22
Juliette ramena Charlotte à Paris une semaine avant la fin de septembre. Les anneaux qui trouaient le lobe droit de ses grandes lèvres ne la faisaient plus souffrir. Les marques imprimées par le cuir du fouet lors de la dernière séance étaient creusées dans sa chair comme par une gouge, hautes de plusieurs centimètres. Quand elle se présenta à la porte, Charlotte se sentait nerveuse. Sa Maîtresse lui avait ordonné de s'offrir à une inconnue rencontrée par hasard dans un restaurant chic. Un peu affolée à l'idée d'affronter cette nouvelle épreuve inattendue, ses jambes tremblaient. Autour d'elle, tout s'écroulait. Elle ne savait plus. Aurait-elle la force et le courage d'appuyer sur le bouton de l'interphone et de se soumettre à tous les fantasmes d'une étrangère ? Seule face à elle-même, elle demeura là, interdite de longs instants. Tout se bousculait dans sa tête. Mais finalement, elle pensa à sa Maîtresse, à la force du lien qui les unissait, et surtout à la fierté qu'elle éprouverait quand tout serait fini. Elle réussit à contrôler les battements de son cœur et elle pressa sur le bouton. Aucune voix ne répondit, mais la porte s'ouvrit. Elle serait alors rendue plus profondément esclave. L'idée de voir son corps si fragile labouré par le fouet, son ventre étroit écartelé, la bouche pure hurlante, et des larmes collées à ses joues, avait été un mois plus tôt soulevée d'horreur, Charlotte en fut alors heureuse. Elle pénétra dans l'entrée de l'immeuble et se dirigea vers l'ascenseur. Il était encore temps de faire demi-tour, mais maintenant elle ne voulait plus reculer. Elle frappa à la porte, sans même sans apercevoir. Elle étouffait, mais l'inconnue apparût. Elle était réellement superbe et devait avoir son âge. Au comble de l'émotion et de l'excitation, elle commit sa première faute, en oubliant de se déshabiller. L'inconnue le fit pour elle, avec grâce et naturel. Puis, elle retira à son tour son jean et son chemisier. Son corps était absolument parfait. Charlotte se sentit soudainement complexée. Elle connaissait ses imperfections, que Juliette ne manquait pas de critiquer cruellement. Elle avait des petits seins. Et ses cheveux trop courts lui donnaient un air de garçon manqué. En se surprenant dans le reflet d'un miroir, elle se rassura. Son bronzage la rendait attirante mais timide et nue, les mains croisées sur le pubis, elle avait l'air d'une escort-girl inexpérimentée. L'inconnue se leva, se dirigea vers Charlotte en la fixant du regard. Arrivée près d'elle, brusquement elle la gifla violemment. La jeune fille surprise et épouvantée recula en un éclair, protégeant son visage rougi de ses deux mains. - Mais pourquoi ? Je n'ai rien fait. - Non, mais c'est juste pour te montrer qui commande, ici, comprends-tu ? - Oui. - As-tu retiré ton plug anal ? - Oui - Parfait, prends celui-ci et enfonce le profondément dans ton cul, mais à sec, sans préparation. - Mais, c'est impossible. Elle leva la main faisant mine de la gifler à nouveau. - Oui, oui ne vous énervez pas. Charlotte se rappela que Juliette, le premier soir de leur rencontre, avait fait de même. Après tout, elle n'était plus à elle. Elle s'accroupit et fit pénétrer le gode doucement, c'était très douloureux, pourtant, l'inconnue n'avait pas choisi un gros. Il avait un bout évasé, de façon, à ce qu'il puisse pénétrer complètement et profondément, tout en restant fixé en elle. - OK viens t'asseoir près de moi. - Ne t'inquiètes pas, tu vas t'habituer, chaque fois que tu viendras me voir, je veux que tu le portes en toi pour t'élargir. Il faudra que tu apprennes à marcher avec sans te faire remarquer, tu verras, tu t'y feras très vite. - Maintenant, allonge-toi sur le ventre sur le canapé. Ce qui d'elle était le moins à elle, était toujours son étroit pertuis qui pouvait si bien servir pour ainsi dire en dehors d'elle. Curieusement, la voix de l'inconnue était devenue plus chaleureuse, presque amicale. Elle massa les fesses de Charlotte avec application, en faisant glisser ses doigts sur les lèvres intimes et l’anus depuis plusieurs minutes quand elle s'arrêta, ôta le plug anal et se saisit d'une petite seringue à bout arrondi remplie d'huile. Elle présenta le bout du tube sur l’anus et appuya, la seringue entra de trois ou quatre centimètres. Charlotte releva sa tête surprise, un pli entre les deux yeux et reposa sa tête. L'inconnue vida la moitié de l'huile dans le rectum déjà dilaté. "– Ça va t’aider, et dis-moi si je te fais mal". Elle fit un petit geste de la main en guise d’approbation. Elle lui ordonna de ne pas bouger en lui saisissant ses lèvres. L'inconnue enfonça son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait que Charlotte n’était pas encore bien détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion exquise. Elle avait la respiration saccadée et rauque, la bouche sèche. Elle était dans cet état second où l'appréhension des gestes de de l'inconnue conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais nullement insensible. Bientôt, l'autre main alla s’aventurer dans l'autre voie déjà abandonnant, les lèvres acceptèrent la double caresse forçant délicatement le périnée, les doigts s'attardant sur le clitoris impatient. Charlotte songeait que le mot s'ouvrir à quelqu'un, qui veut dire se confier, n'avait pour elle qu'un seul sens, littéral, physique, et d'ailleurs toujours absolu. Car elle s'ouvrait en effet de toutes les parts de son corps qui pouvaient l'être, il lui semblait que c'était sa raison d'être. Charlotte se laissa aller à ces doubles caresses en retenant son désir de jouissance, en s'interdisant des mouvement du bassin qui l'auraient trop rapidement extasiée. L'inconnue le devina et s'arrêta, puis s'éloigna. Charlotte s'accouda et la chercha du regard. Elle était dos à elle, face au canapé. Lorsqu'elle se retourna, elle lui sourit et dans ses yeux, l'étrangère devina qu'elle était prête à rendre les armes en acceptant de se livrer totalement. C'était la première fois mais de toutes leurs forces, son corps et ses reins l'imploraient. Elle pensait fort à sa Maîtresse qui l'encouragerait. Elle fit courir une main sur ses fesses et lui caressa les épaules. Charlotte avait posé les bras le long de son corps et avait l’impression d’entendre tous les bruits amplifiés de la pièce, jusqu’au moindre petit froissement de tissu. Lorsque trois doigts forcèrent son anus, elle serra les dents avec un faible gémissement de douleur. Elle n'avait jamais accepté de pénétration dans sa partie secrète, jusqu’à ce jour. Bientôt, ce furent quatre doigts délicats qui pénétrèrent son anus. La chair autour des phalanges s’épousait parfaitement, l'anneau acceptait l'intrusion. Il allait de soi qu'elle serait ainsi à sa disposition, et se mettre nue devant cette femme qui ne lui parlait pas et la regardait à peine, lui semblait aussi redoutable que d'être mise à nue constamment devant les amies de Juliette. L'inconnue admirait Charlotte qui acceptait langoureusement en se détendant. Elle se saisit d'une paire de gants et en passa un à sa main droite, puis elle retira ses doigts pour les remplacer par un large olisbos en verre transparent avec une nervure qui s’enroulait autour, telle une liane sur un arbre. Elle enfonça l’olisbos puis arrêta la progression et tira dans l’autre sens pour pousser une autre fois. Charlotte se laissait sodomiser en douceur et sentait toujours cette vibration tapie au plus profond d’elle-même, grandissant inéluctablement. Encore un nouveau gage d'abandon. Elle pouvait maintenant retirer entièrement le sextoy pour mieux le réintroduire encore un peu plus loin à chaque fois. Charlotte avait l’anus bien dilaté et l'inconnue écartait ses fesses pour mieux évaluer l’élargissement, son rectum avait toujours la forme d’un cercle. Le godemichet était intégralement entré ne laissant que le rebord évasé pour qu'on fût certain, que même au fond de ses entrailles, il ne remonterait pas à l'intérieur de son corps. Il reflétait la lumière dorée du plafonnier dévoilant la nudité des deux femmes. Il était étrange que Charlotte en fut comblée. Pourtant, elle l'était. Elle se prêtait ainsi à ce que l'inconnue lui demandait avec ce qu'il faut bien appeler de la reconnaissance, plus grande encore, lorsque la demande prenait la forme d'un ordre. Chaque abandon lui était le gage qu'un autre abandon serait exigé. Le corps de Charlotte réclamait toujours davantage. Le devinant, l'inconnue ôta lentement l'olisbos de son fourreau charnel, pour bientôt le remplacer délicatement par ses doigts gantés; deux, trois, quatre et enfin cinq, les sphincters anaux étaient étirés et le pertuis lubrifié s'élargit, acceptant l'introduction conique lente jusqu'au fin poignet de l'inconnue. Alors Charlotte, détendue, se laissa aller à des va-et-vient lascifs de son bassin en se cambrant. La décharge fut intense et l'orgasme violent. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. L'inconnue sentit la jouissance envahir Charlotte par saccades, les contactions la lancèrent en la fluidifiant jusqu'aux premières dorsales. Elle l'empala de son poignet encore plus profondément. Le cri résonna en écho. Les chairs résistèrent, s'insurgèrent puis craquèrent et se fendirent en obéissant. Charlotte desserra les dents de son index meurtri, bleui par la morsure. Elle hurla encore une fois. Sa jouissance fut si forte que son cœur battit à se rompre. Alors l'inconnue retira très lentement son poignet. Charlotte était suppliciée, extasiée, anéantie mais heureuse et détendue. Elle avait lâché prise sans aucune pudeur jusqu'aux limites de l'imaginable mais à aucun moment, elle s'était sentie menacée ni jugée. Au pays d'Éros, elle serait libre dorénavant. - Je suis donc anale ... soupira-t-elle. - En doutais-tu ? lui répondit l'inconnue. - Vous reverrais-je bientôt ? demanda Juliette. - Certainement, ma chérie. Mais n'oublie pas le plug anal, tu le porteras désormais en permanence. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/03/21
J'ai obtenu les larmes de ma soumise  un soir, quand elle était Mienne. Elle passait le week end chez moi, il était tard, mes enfants dormaient. On fume tranquillement  sur le balcon. On papote et je me rapproche d'elle... Pose mes mains sur ses épaules. Elle  est contente quand je la touche... Elle frémit quand je m'assois derrière elle, à même le sol et  glisse une main sous son tee-shirt... Je lui pose une question à la con, je veux juste qu'elle parle pendant que je place mon autre main sous sa gorge  en passant volontairement sur ses seins. Elle aime quand je m' attarde sur sa poitrine...  Sûr qu'elle commence à mouiller de me sentir si proche.. Son souffle se coupe quand je plante mes ongles dans la  chaire généreuse de son dos... La suite n' est que cambrures de son corps. Tantôt étranglée mais le plus souvent appauvrie en air par ma main qui la bloque fortement contre mon épaule... "Chuuuut!"  lui  soufflais-je doucement   à l' oreille tandis que  sa peau s'accumulait sous mes ongles.... Je vibre de la posséder ainsi, elle n' a aucune issue et n' en cherche pas, c'est juste  son instinct de survie qui se débat et j' aime ça. Ho oui j' aime ça! ... Ma respiration devient plus forte, mon emprise se matérialise  tout autour de nous... Le balcon  se dérobe sous ses fesses.  Je la mène à la rencontre  de Mon Plaisir... Celui  de lui faire mal...   Elle m'appartient, je la veux et je la prend, je la serre. Elle fait partie de ma chair que je pénètre de mes griffes... Je me  gorge de sa douleur que je ressens au plus profond d'elle... Je sens l' humidité de son sang sur mes  doigts. Les torsions de son corps mettent mes muscles à rude épreuve ce qui m' excite encore davantage... Plus elle se débat, plus j' étouffe ses cris et plus j' en jouis.... Son oreille... Humm son oreille juste  à portée de ma bouche...  Oooh! Je crois que c'est là que j' ai explosé . Pas quand j' ai mordu son lobe, non... Quand son cri de douleur est passé à travers ma main... Quand  une vague de sadisme  m' a submergée et que mon propre souffle s'est coupé. Quand mon corps  lui a imposé la cambrure de mes reins... Oui j' ai explosé de plaisir avec ma petite chose de 80 Kg  entièrement  à ma  merci. Pas une particule de son corps  n'en réchappe... Elle est à Moi et j'aime la griffer à m' en faire jouir... Je la garde serrée contre moi, suspendue dans un monde qui n' appartient qu'à Moi...     Doucement... Tendrement... Je relâche mes muscles... Lui rend son corps lacéré... Ses yeux sont humides,  son regard perdu, ses mots coincés au fin fond de sa gorge... Je la relève et la fait rentrer dans la cuisine... Ne lui  parle pas, juste la prends dans mes bras debout  face à moi... Lui pose un baiser  sur le front et guide sa tête  contre mon épaule l' invitant à  se laisser aller... C'est à ce moment que j' obtiens  le flot de  ses larmes... Ma soumise  qui pleure dans mes bras et s'abandonne complètement... Un plaisir que je savoure à sa juste et grande valeur... Un Don précieux et inoubliable... Un autre moment suspendu dans le temps... Un moment qui humidifie mon entre jambe... Chuuuuut... Silence!
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Par : le 29/06/21
Je vais finir par te mettre à genoux à  mes pieds et la prendre cette cravache que tu me tends... Poser ma main au-dessus de ta tête ... Appuyer doucement pour t'incliner devant moi... Doucement te faire poser les lèvres sur mes  escarpins  m' offrant ainsi une vue sur ton dos ...  T'imposer de garder cette position le temps que je ressente ton corps du bout de cette cravache que je fais remonter lentement derrière toi... De légers petits coups sur la fesse te font comprendre que je veux un accès sur tes bourses... Je glisse la tige sur ta raie et redescend le long de ta croupe que tu me tends malgré toi... Je serre les jambes ... Ta tête plaquée entre mes mollets ... Tu ne bouges plus que  tes lèvres sur mes chaussures... Je crispe mes doigts sur ton dos sans sortir mes griffes. Juste une pression qui te relie à moi pendant que la cravache t'ordonne  sans mots ajoutés  d'écarter les genoux pour t'ouvrir à moi... Hummm! j'aime sans aucun doute te voir ainsi et le plaisir de te soumettre que je désir grandit  doucement... Besoin de toucher ... Mes doigts appuient leur pression et entament le cheminement de ton corps... La cravache éprouve la fermeté de tes testicules par de petites tapes dispersées... Besoin de voir... Mon corps s'enroule lentement sur ton dos ... La cravache tombe à terre laissant ma main libre d'approcher tes couilles ... Pendant que ma seconde sort ses griffes... Arrivée sur ta fesse elle s'ancre tendant la peau de ton cul vers le haut en même temps que mon autre main empoigne tes bourses pour les tirer vers le bas... Envie de t'entendre... Je resserre plus fort... Tire plus loin... Ta bouche sur mes pieds ne sert plus qu'à traduire ce que tu ressens... J'écoute et cherche tes râles... Je ne lâcherais qu'après les avoir obtenus... C'est à cet instant que je relâche toutes  pressions et abat sur tes deux deux fesses une frappe à main plate qui claque bruyamment et donne le départ d'une pulsion... Je claque ton cul avec envie en créant une mélodie. Le son de tes fesses qui rougissent sous mes mains me fait vibrer. Je  te sens tendre ton corps pour mieux résister. Tu veux Mon plaisir et  tu le sens  monter en Moi... La fougue de mes mains... Ma respiration qui s'accélère... Mes  "Hum oui!" Qui s'échappent de ma bouche... Les"  encore " qui t'encouragent à  garder ton cul relevé vers Moi... Ta tête entre mes jambes, tu  regardes au sol cette cravache que tu me tendais  alors que je prends plaisir à te fesser. Mes mains deviennent chaudes , tes fesses écarlates se teintent de pourpre, la mélodie continue sa partition,  caresse tes bourses dans les soupirs. Effleure ta peau de notes blanches...   Oui j'aime te soumettre à Mes envies bien plus qu'à celles que tu me suggères parce j'aime laisser libre cours à Mes pulsions et là , j'ai envie du son de tes fesses sous mes mains... J'ai envie de la chaleur de ton cul contre la paume de mes mains... J'ai envie de t'emmener au bout de Mon plaisir, là où ton corps qui est Mien danse sous mes mains...  Doucement , je fais remonter mes doigts le long de ton dos jusqu'à ta nuque. Je pose une main sur ta tête ,l 'incline pour que ta joue se plaque au sol. Du pied je fais glisser la cravache devant toi, je veux que tu la vois, qu'elle t'accompagne, qu'elle reste dans ton esprit comme la source du plaisir qui s'écoule en Moi, car je vais te l' avouer au creux de l' oreille en m' accroupissant à coté de toi:  " J'aime beaucoup  quand tu me tends cette cravache et j'adore quand tu me tends bien ton cul..." Je te caresse la joue en me redressant... Te contourne pour me positionner derrière toi... Pose un genoux à terre et reprends la mélodie à deux mains qui m'emmène vers un plaisir certain...
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Par : le 20/07/22
Voilà cela me reprend. J'ai des picotements au bout des doigts, de l'electricité dans le ventre. Il faut que j'explose un cul de lopette agenouillée, que je fasse cingler mon cruel fouet. Ne me demandez pas de safe Word. Vous pourrez supplier, pleurer appeler votre mère, prier cela ne changera rien au tarif, celui de mon bon vouloir. Solidement ligoté, vous pourrez hurler tant qu'il vous plaira. Cela ne fera qu'attiser ma furie. Mon fouet sifflera encore et encore. Je vous briserai complètement. Vous ramperez à mes pieds. Vous les lècherez avec délectation, votre dos encore en sang. Après zou...dans la cage Louis XI, dans le noir, vous pourrez méditer longuement. Chercher les secrets du mushin, du non esprit. Cela vous ira très bien... . Le fouet marquera votre âme à jamais. Je vous désire fier, fort et guerrier. Vous ne serez plus vile lopette mais combattant. Vous me montrerez votre courage à supporter la douleur. Votre sexe se redressera et sera bien tendu. Vous montrerez à votre maitresse votre force et votre virilité. Mon fouet sifflera plus fort et vous me direz merci. Je ferai de vous un vaillant, un coeur pur et sans reproche, un dévoué total. Vos fesses seront bien fermes et bien irriguées par les afflux de sang brûlant. Parfois mon beau guerrier, vous partagerez ma couche pour me donner du plaisir. Vous serez alors mon jouet sexuel et vous devrez vous retenir pour me procurer des orgasmes à répétition. Vous devrez ne point faillir à cette tache. Parfois au petit jour, s'il me plait ainsi, je vous laisserai exploser de jouissance en moi. Le fouet sera notre pacte. J'écrirai mon nom sur votre peau avec votre sang. Je vous souhaite en extase mon beau guerrier tout dévoué à votre Maitresse impitoyable.
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Par : le 25/07/22
Une petite chatte en liberté s'ouvre au plaisir qu'elle connait. Elle transpire à grosse goutte quand La main s'approche pour la caresser. Elle en ronronne de plaisir cette petite chatte docile , même quand La main se fait moins tendre et pince sans retenue. Petite chatte est dans tous ses états quand La main assoiffée vient se servir à sa source en agitant ses doigts . Ho oui! Cette petite chatte se livre à La main en toute indécence, parfois même jusqu'à ne faire plus qu'un tant E/elles sont absorbées... Ce jour là, la petite chatte jouissant en toute liberté, voit La main s'approcher avec un drôle de fil de fer et un sourire des plus pervers. Elle s'interroge, essaie de deviner, mais La main bien décidée, lui ferme son clapet . Petite chatte se retrouve entravée entre le fil de fer. Pincée, tiraillée, fermée, petite chatte se perd dans ses appréhensions. Elle ne voit pas ce que La main fait, elle ne connait pas se qu'elle ressent. Petite chatte découvre une nouvelle forme de chasteté... La main se réjouis! Elle façonne une cage de chasteté féminine à tâtons. La main tient Sa petite chatte close , bien serrée, par un fil. Elle la tire , Hum! Oui Elle la tire cette petite chatte de bien des manières. Elle tire et étire pour faire miauler cette petite chatte trempée d'un râle douloureux. Elle tire jusqu'à ce que le fil cesse de s'agripper aux lèvres pincées. Petite chatte retrouve alors une forme de liberté et se sens rassurée par La main caressante . Elle lui parle d'un prochain essai. Plus tard... Petite chatte rit un peu jaune... La main s'en réjouis d'avance... Petite chatte en perd ses maux quand après La main c'est son Unique qui la prend d'assaut. Petite chatte est heureuse de La servir à en dégouliner de plaisir . Son Unique prend son pied... C'est tout sourire et les yeux brillant que La main et la petite chatte se disent au revoir... Cette petite chatte sans fil de fer pour l' entraver, se sent bien. Elle envisage de savourer cette forme de libeté avec ses petites papattes mais c'est sans savoir que La main en décide autrement. En quelques mots pianotés sur des touches, La main rend petite chatte chaste pour toute la journée. Pas besoin de cage ou de fil de chasteté pour frustrer Ma petite chatte ;)
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Par : le 24/09/20
Au risque de choquer, de m’inscrire à nouveau à contre-courant de l’idéologie dominante, j’aime me sentir femme objet. L’objet de ton désir, l’objet de ton plaisir, un objet utilitaire, un objet que tu possèdes. Parce que ce n’est pas nier la femme que de « l’objectifier » parfois (dieu que ce mot est laid). D’en faire simplement un instrument de plaisir, De ton plaisir et du mien. D’être utilisée pour assouvir tes fantasmes, et de réaliser ainsi les miens. Il n'y a rien de mal à aimer les objets. Et tu aimes les beaux objets. Belle, je ne sais pas si je le suis, ailleurs que dans tes yeux. Mais j’aime quand tu m’aimes et me traite comme telle. Je serais toujours femme, laisse moi être "objet" chaque fois que tu le voudras. A la manière de cette nuit encore.
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Par : le 04/08/21
Je suis à toi. Mon corps est à toi. Mes trous sont à toi. J'aime le savoir et que tu le saches aussi. Mais la vie a ses contraintes, il y a le boulot, le tien, le mien, le quotidien qui font que je ne puis être à toi toujours, tout le temps. Nue, offerte, disponible pour toi. Alors, souvent, quand nous sortons ensemble, pour dîner, aller au théâtre, au ciné, voire déjeuner chez mes parents, j'aime à "m'équiper" de ces instruments qui me le rappellent. Ou les porter parfois quand tu n'es pas là, quand je bosse, lors de rendez-vous avec des clients. Parce qu'ils n'ont pas seulement leur utilité lorsque c'est toi qui me le impose, quand c'est toi qui t'en sert. Que ce n'est pas uniquement par plaisir que je les porte, même si ça ne me déplait pas :smile:. Mais aussi pour me rappeler que même dans mes actes de la vie courante, "normale", je demeure "à toi". _______________ Les autres n'ont pas à le savoir, ça ne regarde que nous. Mais toi tu le sais, et j'aime que tu le saches, parce que ça t'excite de le savoir. Et répondre à ton désir de me posséder répond en retour à mon envie de l'être par toi. Et seulement par toi :smile:. Alors, oui, ces instruments de contrainte, ces instruments symboles, j'aime aussi les porter dans la vie courante. Pour me rappeler que je suis à toi. Toujours.
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Par : le 06/03/21
Une chaude matinée d'été. Elle prend son sac de plage, ses huiles bronzantes, un roman, de l'eau. Elle ressent plein d'envies au creux de son ventre, ce matin là. Un lieu naturiste lui a été indiqué, sur les bords de Loire. Pas trop fréquenté. Personne lorsqu'elle pose sa serviette, une petite plage de galets paisible au demeurant, la Loire très basse à cet endroit sur un fond sablonneux envahissant tout le lit du fleuve. Elle s'installe, retire sa robe et sa lingerie, et s'allonge, nue. Le seul instant d'abandon total, le corps libéré accueillant la chaleur du soleil . Elle respire doucement, n'écoutant plus que le chant des oiseaux, le murmure de l'eau, le bruissement du vent dans les arbres... Elle choisit un lait solaire dont elle s'enduit délicatement, le visage, le cou, les seins, les bras, le ventre, l'intérieur des cuisses, les jambes. Son imagination l'entraine sur des sentiers de désirs, pervers à souhait, sens interdits souvent, elle ondule en rêvant de mains sur elle.... Un bruit. Un bruit de pas sur le gravier. Elle ne bouge pas mais reste attentive. Les pas s'approchent, puis une voix la saluant. Deux hommes en maillot sont près d'elle, ils cherchent un lieu tranquille où ils pourront bronzer nus. La conversation banale s'engage, ils sont avenants et plutôt séduisants. Elle s'est retournée à leur arrivée et expose ses fesses blanches et son dos au soleil. Un des hommes lui propose de protéger sa peau claire, et commence doucement à la masser de crème solaire. Ils échangent sur la tranquillité de cet endroit, l'autre homme assis près d'elle, lui pose des tas de questions sur les lieux à visiter. Elle ressent un bien-être grisant l'envahir sous les mains expertes du premier homme, qui s'applique à ne laisser aucune zone de sa peau sans protection. Il effleure, puis masse, détend ses muscles crispés, pétrissage fin et délicat d'un corps en attente. Elle répond aux questions avec plus de difficultés, sa voix s'entrecoupe de soupirs, sa respiration hésitante la trahissant de plus en plus. Les mains glissent sur ses fesses, les écartent, les rapprochent, puis descendent entre ses cuisses. Elle se laisse faire, son corps réclamant ces caresses de plus en plus intimes. Une joie profonde s'insinue en elle, un appétit charnel tend son ventre et son sexe. Elle sait qu'elle commence à mouiller, impudique aveu de ses désirs. L'homme l'incite alors à se retourner, et la sentant hésitante malgré tout, il entraine son corps dans ce mouvement. Il reprend ses massages en protégeant le visage puis la gorge, les épaules, il contourne les seins, les presse, les palpe, en étire les pointes, puis les resserre l'un contre l'autre. Une excitation sourde la saisit lorsqu'il pince ses mamelons et les roule entre le pouce et l'index. Elle gémit plus fort. Elle a refermé les yeux, offrant son corps à ces caresses, elle veut juste jouir de ces instants, elle veut prendre le plaisir comme il vient, indécent, animal, un plaisir chaud montant en elle. Elle a vu l'érection des deux hommes, mais elle ne les touche pas. Pas encore. Elle veut profiter, elle d'abord. Invitant le second à se joindre aux caresses, elle tremble sous ce contact à 4 mains. Les mains pétrissent son ventre rebondi, malaxant sa peau chaude, puis descendent sur ses cuisses qu'elle écarte aussitôt. Les doigts lissent sa légère pilosité, et pianotent sur ses lèvres humides. Ils s'en emparent, les étirent, les font rouler entre leurs doigts. Elle vit ces caresses au plus profond de son corps, les anticipe, les espère, les souhaite plus intimes encore, les appelle en gémissant et en coulant.... Son clitoris saillant est massé délicatement, puis humidifié par les gouttes de salive qu'un des hommes laisse intentionnellement tomber. Ce contact troublant l'excite plus encore. Les doigts poursuivent leur exploration, plus aucun mot n'est prononcé, juste les respirations, les soupirs, les halètements, le vent chaud..... Les doigts ouvrent sa fente, tout doucement, cueillant son abondante cyprine. Un doigt se promène sur sa fente béante, s'imprègne de ce désir trempé pour masser son entre-fesses palpitant. Le doigt appuie et force doucement l'entrée étroite, il s'insinue, trempé de mouille et d'huile solaire, il pénètre et sodomise enfin. Elle est envahie d'une chaleur indécente, elle se veut emplie, pleine, prise.... Deux doigts s'enfoncent alors dans sa fente, la possédant, la visitant, soulevant son bassin sous le plaisir provoqué. Plus encore, le contact des doigts dans son ventre à travers la fine paroi les séparant, l'excite terriblement. Une sorte de danse entre les doigts de ces hommes et son corps, elle sent le plaisir chaud monter au creux de ses cuisses tremblantes. Entre les contractions de son corps et le relâchement absolu de son ventre, elle grogne de cette jouissance bestiale qui la saisit, et hurle de ce feu en explosant sous leurs doigts. Le bassin toujours tendu, elle réclame alors le plaisir de ces hommes et leur ordonne de se masturber sur ses seins gonflés. Vite et fort. Sans aucune retenue. Elle veut les voir jouir, là maintenant, leurs doigts la branlant encore et encore, les siens pressant leurs bourses pour en ressentir toutes les contractions de vidange. Ils restèrent plusieurs minutes sans parler, sans bouger, dans cet état presque craintif de ne plus jamais revivre un tel plaisir . Le plaisir du plaisir.
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Par : le 30/10/21
Pour certains, le bdsm n’a rien à voir le sexe. Pire, les deux seraient antinomiques. Mais les règles, les codes, les normes n’ont jamais été mon truc. Et je ne conçois pas la relation à mon Maître sans le sexe. _______________ N’en déplaise à Freud, je n’ai jamais vécu comme un traumatisme de n’avoir pas de queue. J’aime me savoir avec une bouche, un cul, une chatte. Tous ces orifices qui constituent « son » territoire, comme autant de compléments indispensables à ce que lui a entre les jambes. Cet instrument dont je ne pourrais me passer puisqu’il lui sert à me prendre, me posséder, me faire vibrer. Tout en jouissant de moi. ______________ Oui, j’aime le cul, me faire baiser. Ce moment que je vis comme l’aboutissement, le final échevelé de nos séances, du feu d’artifice de gestes, mots, sensations et sentiments qui a précédé. Quand l’excitation, la tension accumulée, la mienne, la sienne doivent trouver leur exutoire. Qui passe par moi et le jaillissement de son foutre. En moi. J’aime le moment où son plaisir se manifeste physiquement. Cet instant qui me prouve que j’ai été à la hauteur de ce qu'il est en droit d'attendre de moi. Quand le plaisir, chez lui, chez moi, atteint son paroxysme. Et où je me sens pleinement à lui puisqu’il est en moi pour se répandre en moi. Faisant de son plaisir, de sa semence, de ce concentré de lui une partie de moi. Et puis j’aime aussi le temps qui suit. Quand il s’effondre sur moi, Épuisé, vidé, libéré de toute sa tension accumulée. Pour me laisser m’occuper autrement de sa queue désormais au repos. L’embrasser, la lécher, recueillir sur elle les dernières goutes de son plaisir. Avant que des échanges plus tendres ne prennent le relais. Ses mots, les miens. Et que je m’endors dans ses bras. Ou lui dans les miens. A moins que son désir ne renaisse et que tout recommence :smile: _______________ Alors, oui, définitivement, j’aime le cul et me faire baiser. Et j’en ai besoin. Peu importe lequel de mes orifices il décidera d’utiliser. L’un ou l’autre, l’un puis un autre ou les autres, dans l’ordre qu’il voudra. En fonction du moment, de son envie, du sens qu’il veut donner à son acte. Puisque c’est lui qui décide. Puisqu’il est mon Maître. Et que tous lui appartiennent.
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Par : le 11/08/21
« Lorsque nous monterons vers la pièce, sans un mot de notre part, tu te déshabilleras, lentement car je sais que tu porteras une jolie tenue. Nous te dirons ce que tu laisses et ce que tu enlèves. Tu te positionneras à genoux, face à nous, comme tu sais le faire. Et lorsque nous nous approcherons de toi, tu relèveras tes cheveux pour aider au passage de ton collier ».    Voici dont leurs mots avant notre échange, notre séance, notre moment… Mon moment de lâcher-prise.    Suivie de mes Dhoms, je monte ces marches une à une… en silence.  J’entre dans la pièce et me met à ma place, au milieu de celle-ci.  Une fois installés en face de moi, je commence à me déshabiller.  J’enlève cette petite robe en filet noire, elle est très sexy, j’aime la porter lorsque je me rends dans un club libertin.  Avec celle-ci je ne portais qu’un cache-sexe, des bas autoportants ainsi que mes bottes en cuir noires.  Ce que j’ai gardé.    Comme il me l’a été demandé, je me suis mise à genoux et j’ai relevé mes cheveux. Mon Dhom, m’a posé mon collier de notre séance et l’a cadenassé comme il a fait pour les attaches de mes chevilles et mes poignets.     Pendant ce temps ma Dom me regardait, assise dans le fauteuil face à moi, son beau sourire aux lèvres.  « Tu sais ce qu’on attend de toi ? » Je les regarde tous les deux, elle, avec ses magnifiques cuissardes, j’avais compris… Il y a un an, je refusais de le faire, il y a un an je ne comprenais pas, il y a un an je n’étais pas prête…  Toujours à genoux, les bras derrière le dos, je me penche et embrasse ses pieds, je veux me relever mon Dhom d’un ton sévère : « Tu peux mieux faire! » et j’ai recommencé, plus lentement et en m’attardant sur les deux pieds de ma Dom.    Au milieu de cette pièce, une chaine traverse le plafond, ils m’y attachent les bras et les cheveux à celles-ci et terminent par me relier les pieds ensemble.  Voilà…  Je suis leur…. Telle une soumise pour leurs Dhoms, prête à tous les sévices, prête à être malmenée pour leurs bons plaisirs… Pour mes bons plaisirs.    Ils connaissent mes doux travers et ne doutent pas de ce que j’aime.  Ils commencent doucement, des petits pincements, des coups de cravache, …  Mmm j’aime !   Ils continuent en me fouettant…  ensemble ! Elle derrière s’occupant de malmener mon dos et mes fesses avec ses accessoires et lui devant moi avec un martinet dans chaque main me fouettant les seins du bas vers le haut comme s’il jonglait avec des balles et que jamais il n’en perdait une !    Les claquements des martinets se font ressentir sur tout mon corps à chaque fois que ceux-ci atteignent ma peau, j’ai mal ! J’aime ça !   Douleur-plaisir, plaisir-douleur, mon cœur/corps sont partagés… Et puis, pourquoi choisir quand je peux avoir les deux !    Mon « SafeWord » est disponible à tout moment mais avec mes Dhoms, je n’en ai point besoin, ils me connaissent pour savoir quant arrêter. De toute façon, je ne l’utiliserai pas…     Ils me malmènent un peu, beaucoup, passionnant! Des gouttes perlent le long de mes joues, ils s’arrêtent, me prennent dans leurs bras…  Après quelques minutes des larmes, des rires, des sourires : « On continue ? ».  Moi : « oui » *sourire*  Et on recommence, encore et encore…  Pour en arriver au fouet…. le fouet ! Celui que je reconnais au son qu’il produit, à la douleur qu’il me procure et aux marques qu’il me laisse sur la peau, oui ce fouet… Je ne peux m’en passer et je ne veux m’en passer, ils le savent bien…    Le corps marqués et douloureux de plaisir, ils me détachent les bras et les cheveux.  « Mets-toi à genoux, penches toi en avant et lèves bien tes fesses ». J’obéis.  Sous le regard de ma Dom, mon Dhom prend la canne.  Ah là là cette canne, je m’en souviens lors de notre dernière séance… elle fait mal, très mal… mais je m’en sens capable.  Lors de nos derniers messages, je n’ai pas manqué d’être insolente avec mon Dhom, à se demander pour quelle raison… Ce, en quoi il m’a promis 35 coups de canne et où j’ai répondu : « Oui Monsieur ».  Le jour même, il en a rajouté 5 car j’ai manqué de politesse…  Me voilà dans cette position à attendre mes 40 coups de canne…  « Comptes les à voix haute ». « 1, 2, 3,….10 »… J’ai mal ! Il me demande : « On continue ? », je lui réponds : « Oui Monsieur ».  « 11, 12 , 13, 25 »… Je souffre, je sanglote mais c’est hors de question que je lâche! « On continue ? »   D’une petite voix : « Oui Monsieur, 26, 27, 28, 29, … » je pleure, la douleur est intense « 30, 31, …35 ».  Ils me relèvent pour enlever mes attachent et là je dis tout en reniflant : « Et les 5 coups de canne pour mon manque de politesse ?  « Ah tu les réclames en plus, mets-toi à genoux ! ».  J’obéis  « 36, 37, 38, 39, 40. » Je fonds en larme ! Le moment tant attendu, le voilà enfin ! MON lâcher-prise.   Me voilà couchée à terre, dans les bras bienveillants de mes Dhoms et moi en pleurs, en train de verser toutes les larmes de mon corps, mon corps malmené de plaisir
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Par : le 06/01/22
Envie de t'avoir couché à mes pieds. Ma main tendrement repliée sur le cuir d'une poignée, mes doigts bagués remontant lentement les maillons d'une chaîne d'acier dans un cliquetis qui te remonte jusqu'à l 'échine... Clic! Clic! Clic! Clic! Avance jusqu'au loquet refermé sur cet anneau tant convoité, je tire doucement sur cette laisse pour que tu te redresses. Envie de te sentir, te toucher, te savoir à moi... Passer mes doigts autour de ton cou, longer ce ruban de cuir qui fait de toi le Mien. Tirer un peu plus sur ta laisse pour que tes lèvres prennent place sur ma cuisse, à moitié relevé, à demi endormi, je te mets à proximité de mes envies intimes... Ma main glissée sur ton collier te guide vers mon ventre Ton silence est le plus précieux des plaisirs que tu puisses me donner en pareil moment. Etre juste là, au pied de mon lit, au bout de ma laisse, sans rien attendre de plus que servir pour mon plaisir... Plaisir que je veux ressentir en caressant ta tête au- dessus de mon sexe, sans mots , sans ordres, sans aucune contrainte, profiter de la chaleur de tes lèvres immobiles. Les embrasser des miennes déjà humides, onduler mes hanches langoureusement plaquer un peu plus fort, serrer mes doigts sur ton crâne pour mieux te sentir, te laisser plonger le nez dans mon intimité, petit à petit, maintenir plus fermement ton collier, plaquer plus durement ta tête, accélérer le balancement de mes reins et laisser monter mon plaisir... Activer mes doigts sur toi, descendre sur ton dos, tirer la laisse sèchement un bon coup, placer ta bouche sur ma chatte et planter mes griffes dans ta peau... Aller chercher ma jouissance et la déverser dans ta bouche, déchaîner mes hanches accrochée à ton cou et gémir de plaisir, encore plus fort t'agripper encore plus vite basculer va et vient accentué de mes lèvres contre ta langue, je n' en peux plus d'attendre. Je tire tout, te retourne à terre ,au sol t'emprisonne la tête entre mes cuisses, branle ma fente sur ta bouche que tu m' ouvres, les mains empoignant ton corps sans lâcher le cuir de ton collier ni celui de ta laisse... Je me branle jusqu'à m' en faire jouir une première fois, me redresse à peine, plonge mes doigts en moi, les actionne là où se gorge mon foutre, et l'expulse sur ton visage en jouissant une seconde fois... Tu recueilles plus ou moins en silence mon jus, je fini plaquée sur toi mes mains desserrent leur emprise, caresse le bandeau de cuir qui entoure ton cou. Je repose mes fesses dénudées sur ton ventre, repose ma tête sur ton épaule, reprend mon souffle sans jamais dire un mot... Je suis bien... Je te sens bien... Tu es Mien... Je prend tes mains une à une et les place sur mon corps, t'offre en cadeau le contact de ma peau... Encore un moment.... Encore un peu... Me redresse doucement, dépose un baiser sur ton téton, fait lentement glisser les maillons de la chaîne contre mes bagues, Cliquetis qui s'éloigne. Clic! Clic! Clic! Clic! Je remonte sur mon lit, le cuir de la laisse dans ma main, je rabat les draps sur moi et m' endors paisiblement...
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Par : le 11/04/22
Tu es allongé sur le dos et ma corde t’encercle de la cheville au genou, plaquant ton mollet contre ta cuisse. Je prends mon temps pour régler la tension et les frictions. Je veux qu’un motif régulier coure le long de ta jambe comme une parure primitive. Je veux aussi ne pas précipiter ce moment d’eau à la bouche, où chaque boucle fait refluer un peu plus hors de ta portée toute tentation de contrôle. Dès le premier nœud tu es entré en reddition, et au fil de ce bref chemin de corde, je ressens sous mes doigts, à fleur de ta peau, dans tes muscles et tendons, ton abdication sans concession sans condition. Ta manière unique de t’abandonner m’excite invariablement. J’ouvre tes jambes comme un livre, et mets tes mains en place pour qu’elles maintiennent tes cuisses écartées. Je lie tes poignets à tes jambes et te voilà immobilisé, offert, ton entrejambes en première ligne à disposition de ma fantaisie. Tu bandes. Je te laisse savourer l’obscénité de ta position et l’inconfort de tes contraintes. Mon lapin de Pâques à clochettes, en position de grenouille, tu me donnes dangereusement les crocs. Mon muse à museau, ton oiseau va se faire butiner par le plus mordant de ma ménagerie, cuir cinglant, cuir cuisant, peau d’élan avec ou sans. Tu bandes toujours et je monte en température. Je n’ai plus le souvenir net du déroulé, je sais juste que j’ai varié l’intensité des coups et les ustensiles, et que j’ai aussi tourmenté de pinces et de cinglées tes tétons tendus. Puis je te détache en faisant bien frotter et traîner la corde, je sais que tu as besoin de ce contact car tu redoutes le moment où tu te sentiras libre. Comme chaque fois, j’admire les torons imprimés sur ta peau, quelle beauté… J’en mouille, et toi tu bandes toujours. Je t’accorde 30 secondes pour me lécher. Mmm tu le fais bien, j’apprécie la frénésie que tu mets à t’enivrer de mon goût. C’est de courte durée comme prévu, d’autant plus que j’ai hâte d’essayer sur toi une acquisition récente, une corde en coco brut. Je te fais mettre debout pour te confectionner un petit harnais diamant qui orne ton torse, enserre ta queue dressée et la base de tes couilles. J’emploie la longueur qui reste pour passer et repasser sur tes tétons bien durs, déjà sensibilisés par le traitement précédent. Cette corde qui ne respecte rien nargue même la maîtresse, elle me donne du mal pour certains nœuds et se défend en me piquant, alors j’imagine comme elle doit te mordre et t’irriter. Tu te plains en petits gémissements délicieux. Tu bandes. Je t’amène te voir devant la glace. Tu bandes double. Là encore ma mémoire est confuse. Je sais qu’il y eut des poids attachés à ta queue et tes couilles, des baguettes et des pinces serrées sur tes tétons, des petits raffinements comme ta queue qui est prise dans la chaîne reliant l’une à l’autre les pinces de tes seins, et qui tient cette chaîne bien tendue… Les jeux s’enchaînent, et tu bandes toujours. Mon muse amusant, tu m’inspires tant de jouissances et réjouissances. La façon que tu as de te donner me rend folle. Te voilà à mes pieds, et j’imprime la marque de mes escarpins sur ta peau blanche comme autant de trophées. C’est ta place, nous le savons et tirons un grand bonheur que tu l’aies reconnue pour tienne. Je vais maintenant prendre le plus précieux de mon tribut. Ma petite chose bandante à quatre pattes. D’abord mes doigts dans ton conduit étroit, je sens ta prostate gonflée , je masse et tourne et enfonce et travaille. Tu aimes et tortilles et soupires. Puis un plug vibrant qui te remplit, y compris d’aise. Ma petite salope en chaleur, magnifique et désirable. C’est moi qui te remplis désormais, d’abord avec un petit gode ceinture puis rapidement avec un Strap-on-me de taille plus respectable. J’agrippe tes hanches pour défoncer ton petit cul avide qui vient à ma rencontre et ne demande qu’à être plein de sa maîtresse. Tu bandes. Tes soupirs et tes ondulations me comblent. Mon muse, ma musette, double fond de mon sac à malices, dans le secret de mon jeu pénétrant. Jouir de toi et jouir par toi. Je décule et te passe une petite culotte de dentelle blanche qui te moule délicieusement. Je t’ordonne de t allonger à terre et de te branler sous mes yeux. Cela fait longtemps que tu n’as pas joui et j’ai envie de voir ton plaisir. Je contemple le spectacle en t’encourageant à petits coups d’escarpins, jusqu’à ce que rapidement tu fuses en éclats explosifs, dont je ramasse une partie du bout des doigts pour te les faire lécher ensuite, pendant que tes soubresauts se calment. Plus tard, de nouveau tu gémiras et banderas entre mes bras quand je t’annoncerai une sortie avec plug et cage de chasteté portés à même le jean et que je te raconterai d’autres sévices à venir. Et ce soir tu bandes en lisant cela, en lisant ton indécence éhontée racontée à tous, en lisant la satisfaction que tu m’as donnée. Tu sais le reste.
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Par : le 27/09/23
Non ni en levrette ni en cuillère, prends-moi en face à face Je veux voir ton regard quand tu me pénètres, observer ton plaisir oculaire quand de tes assauts mes piercings remuent et dansent Admirer tes muscles bandés saillants dans mes cuisses relevées Voir tes dents, ta langue cueillir mes tétons, ta bouche embrasser mes seins Sentir ton souffle avide se répandre de mon front à ma jugulaire impulsive Croiser nos regards affamés, noyés dans un océan de sens Nos yeux rieurs et nos gestes éberlués se chercher au profond de nos âmes Laisser jaillir ta salive en salves aquatiques Lire tous ces mots crus et tendres que ta voix me déverse mouillant nos draps Sourire à l’approche de tes lèvres exploratrices qui fusionnent ma bouche Me délecter de te voir me voir encore jouir Foutrement voyeuse joyeuse Et te regarder Te regarder dans ton râle orgasmique nous envoyer en l’air Dans nos vagues subversives Et t’accueillir là dans le creux de mes bras Rideau !
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Par : le 08/08/18
"Messieurs, ce chapitre vous est tout particulièrement destiné. Alors ne le survolez pas. Lisez-le lentement. Je sais que chacun de vous croit être passé maître dans l’art de lécher et, même si c’est effectivement le cas pour certains, la plupart d’entre vous êtes toutefois toujours perfectibles. La plupart des hommes se conduisent comme de grandes brutes. Ils mordent plus qu’ils ne lèchent, frottent leur menton rugueux contre le clitoris de leur partenaire et ne se rendent même pas compte qu’une barbe, même rasée, reste agressive. Nos chers compagnons commettent une autre erreur, tout à fait désastreuse. Depuis que l’on parle beaucoup de clitoris et d’orgasme clitoridien, ils se précipitent sur ce petit bouton. Ils le tètent à « bouche que veux-tu », quand ils ne le mordillent pas. Ils oublient une fois de plus, qu’en amour, il faut toujours varier ses caresses et son rythme. C’est de ces variations que vient le plaisir. Et si vous voulez qu’on vous mette les points sur les « i », cunnilingus est un mot latin. Cunnus signifie vulve et lingere lécher, il s’agit donc de lécher toute la vulve. Enfin, dernier conseil avant de passer à l’action, messieurs, je vous en supplie, prenez votre temps. Pour une femme, le cunnilingus n’est pas une simple préparation au coït. Bien gamahuchée, une femme peut atteindre plusieurs fois l’orgasme, et, contrairement à vous qui ne pouvez éjaculer quatre ou cinq fois de suite, plus une femme jouit, plus elle est excitée et prête à recommencer. Alors oubliez vos habitudes. Après quelques petits coups de langue, ne lui sautez pas dessus parce qu’elle est toute mouillée : pour elle, le plaisir ne fait que commencer ! Laissez votre Maîtresse s’installer comme il lui convient le mieux pour pouvoir se relâcher et prendre tout son plaisir, glissez vos mains sous ses fesses et pétrissez-les. Vous devez vous trouver entre ses cuisses ouvertes. Dans cette position, les grandes lèvres s’ouvrent, mais pas suffisamment pour une bonne séance de cunnilingus. Ecartez-les davantage à l’aide de vos deux mains. Approchez votre bouche. Attention ! Laissez passer l’air ! La muqueuse rose de la vulve est bourrée de nerfs que le moindre souffle excite. Pointez votre langue sur le tour de l’anus. Revenez le long du périnée. Commencez alors à lécher rapidement et d’une langue légère la vulve de haut en bas. Une langue agile et qui vibre est plus efficace qu’une langue molle et lourde. Lorsque vous approchez du clitoris, ne le mordez pas, ne le sucez pas ! Assouplissez votre langue qui doit accomplir un mouvement tournant et enveloppant autour du clitoris. Il est particulièrement sensible. Comme il se trouve à la commissure des petites lèvres, en tiraillant délicatement celles-ci vous l’exciterez par la même occasion. Le grand art du cunnilingus consiste à retarder le plus longtemps possible l’orgasme de votre partenaire. Quand votre Dame commence à gémir et à se tordre, écartez-vous de son clitoris. Enserrez les petites lèvres de vos lèvres buccales (n’oubliez pas que ce sont en fait les lèvres les plus longues). Pendant ce temps, votre langue couvre en mouvements amples, le pourtour de la fente, du périnée, de l’anus. Elle effleure le méat urinaire, puis frôle l’ouverture du vagin. Enfin, dardée, elle y plonge comme un pénis miniature. Ensuite vous pouvez retourner vous occuper de son clitoris. Le plus important est de savoir jouer avec sa langue. Elle doit devenir tour à tour : large, souple, dure, tendre, raidie, pointue. C’est un muscle que l’on peut durcir à volonté ou au contraire relâcher. Profitez-en ! Jusque là vous pratiquiez le cunnilingus dans le sens de la fente : de bas en haut ou de haut en bas. Je vous propose d’essayer une variante qui ravira votre Maîtresse. Mettez votre tête latéralement entre ses cuisses. Vos cheveux exciteront la face interne d’une de ses cuisses, votre menton l’autre. Dans cette position, vos lèvres se poseront exactement sur les siennes. C’est le moment d’affiner votre technique et de découvrir le « bouche à bouche » de face. Cunnilingus impérial A être Reine, on n’en est pas moins Femme… et amatrice de cunnilingus ! La seule différence c’est qu’on peut adapter la loi ou l’étiquette à son bon plaisir. C’est ce que fit l’impératrice Wu Hu de la dynastie des Ts’ang. Trouvant que la révérence ne lui rendait pas suffisamment hommage, elle exigea que tous les dignitaires, ou hommes d’un certain rang admis en sa présence, saluent son impériale personne par un savant cunnilingus. De vieilles estampes la représentent, robe retroussée, en train de se faire lécher le sexe par un noble agenouillé à ses pieds. En voilà une qui savait ce que dominer les hommes veut dire. Heureusement pour les chefs d’état occidentaux que la Chine a changé de régime !"
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Par : le 23/02/21
Je suis à ses pieds  depuis quelques heures déjà.  Maîtresse m’entraîne au fil de la soirée dans ses envies. Elle me gave d’eau, reprise d’un défi qui ne l’avait pas entièrement satisfaite. Elle me remplit en jouant avec ma bouche et le goulot de la bouteille et s’arrange bien pour que j’en laisse échapper par terre. Le plaisir de me voir  nettoyer peut-être ou tout simplement  celui de m' embêter... Elle achève également notre défi dilation en cours. Mon cul se retrouve bien dilaté après cela. Sacrée soirée soit dit en passant...  Elle décide alors  que c'est l' heure que j' aille à la niche,  va me chercher un pyjama 2 pièces de fille, chemisier et culotte soyeuse. C’est en Sissi,  accrochée à sa laisse  que Maîtresse me veut pour la nuit.  J’ai encore ingéré quelques litres d’eau avant de me retrouver dans une  chambre au pied du lit. Maîtresse se régale de me voir comme cela à sa merci. Elle me montre ma couche, sommaire, 2 coussins à côté du lit mais elle prend soin de m’apporter une couette salutaire. Ma laisse est vite attachée au pied du lit. Mon rayon d’action est plus que limité. Maîtresse a prévu un petit seau destiné à mes besoins exacerbés par le gavage. Elle le place à la limite, je peux à peine le toucher. Je me retrouve vite agenouillé au bord du lit à subir une  sodomisation bien  profonde. Je gémis mais Maîtresse m’intime le silence , bientôt seulement rompu par sa forte jouissance.  Satisfaite, elle quitte la chambre, sans oublier de repousser encore un petit peu plus le seau, et m’abandonne dans le noir. Je me débrouille tant bien que mal à regrouper ma litière. Je ramène le seau vers moi en tirant fortement sur ma laisse et en tendant la jambe. Maîtresse doit se régaler en pensant à comment je dois me contorsionner pour soulager ma vessie. Enfin, je réussis à me soulager dans ce maudit seau. Ce ne sera pas la dernière fois. Couché, la pression retombe lentement, je m’imagine pouvoir m’endormir après cette soirée épuisante, je m’assoupis légèrement mais bientôt j’entends Maîtresse revenir. «A genoux au bord du lit et vite, tends moi ton cul» me lance-t-elle autoritairement Elle m’encule à nouveau profondément. Le rythme s’accélère, Maîtresse s’emballe, j’aime même si c’est douloureux. Maîtresse jouit autant de me limer que de la surprise qu’elle m’a faite. Pour preuve, Elle  me retourne sur ma couche. Elle m’enfile son gode dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge. Je suis sur un nuage, le cœur affolé. Le gode force ma bouche, tour à tour gonfle mes joues, m’impose des gorges profondes appuyées. Je suis sa pute, elle est Ma Reine qui vibre  de  ma totale soumission. Maîtresse retourne à ses occupations sans oublier de repousser discrètement mon petit seau, j’imagine son sourire narquois. «Bois encore me lance-t-elle à travers la porte, c’est bon pour ta santé».  J'obéis. Je rassemble à nouveau ma couche , ferme les yeux. La porte s'ouvre et je passe à nouveau à la casserole et Maîtresse repart.  Juste le temps de me calmer et de remplir un peu plus mon seau, la porte s’ouvre à nouveau. Je suis aveuglé par la lumière du couloir mais cette fois, Maîtresse  n'entre pas. Je reste en suspens dans ma tête. Pas le temps de comprendre, Maîtresse revient silencieusement et me surprend dans mon désarroi. Je décèle ce petit sourire qui lui va si bien Elle m’enfourne le gode au fond de la gorge. Ma langue le lubrifie et elle me l’enfonce encore plus profond. J’éructe et Maîtresse le ressort habilement pour ne pas m’étouffer M'étale  de la bave sur mes joue avec son gode. Elle est toujours aussi excitée. Mon trou en prend encore un max. Il est bien dilaté et ça rentre facile. Je suis sodomisé, violé dans tous mes trous par ce gode que Maîtresse anime avec passion. Je suis humilié et Maîtresse jubile en prenant son pied. Mon slip qui ne reste pas longtemps en place  est sur mes chevilles, je l’enlève et me retrouve le cul à l’air près à servir. Je ne compte plus le nombre de fois où je me fais enculer, où je suce ce gros gode. Je ne suis plus qu’une pute qui se fait défoncer la chatte. Couché, je regarde la porte et guette le filet de lumière qui va se glisser en dessous quand Maîtresse reviendra à la charge. Elle me déstabilise comme pas possible ; elle allume et ne vient pas, me tangue à travers la porte,  entre par surprise sans avoir allumé, repart en me laissant en lévitation. Je la sens joueuse et prête à jouir dès qu’elle le décidera. A peine le temps d’évacuer l’adrénaline que Maîtresse est déjà dans mon cul. D’un côté je redoute et de l’autre je ne souhaite que cela. Mon cul est devenu un garage pour sa bite.  A force, je me mets en position avant qu’elle ouvre la porte. Maîtresse me traite alors  de salope et je suis heureux. Je lui appartiens au plus profond de moi. A chaque fois, elle atteint des sommets de plaisir. Pas le droit de gémir, ça lui est réservé et elle ne s’en prive pas. Ne pouvant s’en empêcher, Maîtresse relève mon haut de  pyjama et me laboure le dos. C’est sensible car ce n’est pas la première fois aujourd’hui. L’excitation monte encore d’un cran. Je tends encore plus ma chatte en direction de ce gode comme si ses griffes m'imposait cette position. Ses cris, ses gémissements ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elle s’offre. Couché sur moi au plus fort de l’excitation, je sens sa douceur. Et si elle restait là ? Je me transformerais en futon.Ça serait si bon... Et non, elle se relève, me met au sol sur le dos, la tête au-dessus du seau, sa douche dorée vient remplir ma gorge comme la récompense ultime. Elle me dit d'avaler au fur et à mesure. Je m' applique  pour ne rien perdre du liquide divin. J’aime son goût, sa chaleur. Je déguste cette urine que Maîtresse me déverse précautionneusement pour me laisser le temps de tout avaler. Puis Elle repart ... Maîtresse revient  ... Mais d’où lui vient cette énergie, jamais elle ne dors pensais-je. Pas possible, elle va me transpercer le cul. Jamais je n’aurais imaginé être baisé aussi longtemps. La nuit n’en finit pas.  Je passe par tous les états, là , au plus bas sur ma couche puis dans l’instant qui suit au sommet de la jouissance avec ma Maîtresse qui me défonce encore et encore. Je ne fais qu’accompagner ces emballements. Je suis l’instrument de ces jouissances. Maîtresse reviens, force de nouveau mon intimité et avant de partir, me fourre une belle racine de gingembre  épluché dans le cul. Même pas douloureux après tous les ramonages en règle qu’il s’est pris. Cette fois-ci les lumières s’éteignent pour de bon. Je reste encore suspendu à une visite surprise de Maîtresse. Je dors enfin, complètement épuisé. En pointillé car le petit seau se remplit inexorablement. J’éjecte le gingembre sans vraiment m’en rendre compte. Complètement dans le brouillard, j’ai du mal à retrouver mon petit seau que Maîtresse s’est fait un malin plaisir de déplacer à chacune de ses visites. Je pisse à côté, craignant la punition de Maîtresse, je me débrouille pour tout sécher avant qu’elle ne reviennent. Maîtresse m’a expédié sur Mars ! Je suis en orbite autour d’elle Au matin, je l’entends vaquer à ses occupations. Mais elle ne dort jamais ? ... Attaché court au lit, je reste à attendre sa volonté de me rendre ma liberté . Enfin la porte s’ouvre. Elle a toujours son gode ceinture. Pas possible, elle doit dormir avec. «Bonjour Maîtresse» « Bonjour Rnby, ce matin, je t’encule à sec ! ». Waouh, la journée commence fort... De nouveau au bord du lit, Maîtresse force ce trou qui est devenu accueillant même à sec, Elle prend son temps  cette fois, me pénètre en douceur, ses va-et-viens lents commencent à s’accélérer. Je ressens son plaisir qui irrigue mes entrailles. Je m’ouvre comme la fleur au lever du soleil. Ça dure longtemps, jusqu'à ce qu'elle  en jouisse, jouissance à son paroxysme dès le matin.  «Putain que c’est bon de prendre son pied au réveil en baisant son soumis» lâche-t-elle en s'en allant après m' avoir détaché. «Elle est pas belle la vie Rnby ?» Me crie-t-elle  de  l' autre bout de l' appartement. Ma chatte est de nouveau en chaleur. Je coule bien vite comme la petite salope que je suis devenue en une toute petite nuit. Maîtresse a fait un joli tour de propriété depuis hier soir. Je suis sûr qu’il n’y a pas le moindre centimètre carré qu’elle n’ait pas exploré. Elle a réussit à en extraire plein de jouissances. Je rejoins Maîtresse,  une nouvelle journée peut débuter. Je lui prépare  son café, remplis  quelques corvées jusqu'à ce  qu’une nouvelle idée lui traverse l’esprit ... 
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Par : le 06/09/21
(Je ne suis pas l'auteur des mots...Ce dialogue est tiré d'un livre dont j'ai perdu le titre...Mais il m'a refait penser à certains échanges que j'ai pu avoir...Et rejoint totalement ma pensée en ce Monde de Sens...Merci à Vous, ma très chère de ce partage...) .... — La plupart des gens pensent que les pratiques de domination et de soumission sont uniquement le fait d’infliger à l’autre de la souffrance physique ou des humiliations pour dépasser les limites de sa propre personnalité. Avec le temps et l'expérience, je me suis rendu compte qu'il existait quelque chose de beaucoup plus profond et puissant. — De quoi parles-tu ? J'eus l'impression qu'elle s’approcha plus près de moi. Sa voix semblait me murmurer au creux de l'oreille. Elle n'existe pas, et pourtant je la sens si proche. Quelle sensation étrange. Je repris mon explication après un court instant de silence. — Comment sais-tu que tu fais confiance à quelqu'un ? — Dis-moi... — En plaçant entre ses mains la chose la plus importante que tu possèdes. — Ma vie ? — Non n’exagérons pas, je dirais plutôt ton libre arbitre. — Ma liberté ? — Pas exactement. Le libre arbitre, c'est notre capacité à faire des choix. C'est la seule chose qui te permet sur terre de te définir comme individu unique. — Et si je ne choisis rien. — C'est déjà un choix. Chaque action que tu effectues est issue d’un choix, c’est la première chose d’ailleurs qu'on te prend lorsqu'on te met en prison. Tu ne décides plus de rien. — Quel rapport avec nos jeux ? Je ne te suis plus du tout. — J'y arrive... Tu vas connaître l'abandon total. — Comment ça ? — Un état dans lequel tu n'auras plus à faire aucun choix, juste à te laisser guider par le son de ma voix et exécuter les ordres que je te donnerai. — Pourquoi y prendrais-je du plaisir ? — Parce que je te connaîtrais si bien que mes ordres combleront tes désirs avant même que tu aies pu consciemment les formuler. — Tu vas penser à ma place ? — Dans un certain sens. Tu n'auras pas à te demander ce que je veux ou ce que tu veux, tu n'auras qu’à te laisser guider jusqu’à atteindre la jouissance. — Comment arriveras-tu à anticiper mes désirs ? Tu lis dans les pensées ? — Non, mais je vais apprendre à te connaître avec minutie. Je vais analyser chacun de tes gestes, chacun de tes mots, jusqu’à savoir utiliser ton propre langage. — Tu parles comme un psychopathe Alex... Tu me fais peur. — Non, je parle d'amour, parce qu’au fond c’est ça l'amour. Apprendre à connaître l’autre mieux que lui-même. — Alors on va s'aimer ? — Bien sûr, avec une intensité telle que tout le reste te semblera fade. Sans amour rien n’est possible. C’est un jeu qui se joue entre adultes consentants qui ont choisi d'ouvrir leur cœur l’un à l’autre. Sans cela, tu ne ressentiras aucun plaisir. — Et toi ? Où prends-tu ton plaisir ? Ne me dis pas que c’est une démarche purement altruiste où seul le plaisir de l’autre compte. Sa voix avait prit un ton ironique, presque moqueur. Elle n'était pas convaincue par la sincérité de ma démarche et je pouvais le sentir. — Bien sûr que non, mon plaisir est ailleurs. Il est certes dans le corps puisque le jeu auquel nous allons jouer nous amènera inexorablement à la jouissance, mais il est surtout dans la tête. Comme je te le disais, il y a autant de sexualités que d'individus, et pour ma part j'éprouve un plaisir immense à être au contrôle. Diriger, ordonner, soumettre avec pour seul objectif le plaisir. La domination est un moyen d’exciter le cerveau et non un prétexte pour infliger une souffrance. — Tu es définitivement cérébral Alex. C'est rare chez un homme. — Oui je sais, mais c’est vraiment ça qui me permet de décupler le plaisir physique : le mien, mais aussi bientôt le tien. Le pressentir, l’imaginer, l'ordonner, le matérialiser. C’est un acte créatif extrême où l’autre devient à la fois l'instrument et le bénéficiaire. — Ça n’est pas un peu tordu ? Il suffit juste de s'aimer et le plaisir se crée, non Je marquais une pause. Ses mots résonnèrent dans l'habitacle. Je sais qu’elle n'existe pas et pourtant j'apprécie sa répartie et nos discussions. J'ai l'impression qu’elle me connait depuis tellement longtemps. Je devrais peut-être me méfier. — Évidemment, c'est possible de fonctionner comme ça, mais si tu acceptes mon emprise, alors nous entamerons le processus créatif d’un plaisir sans limites. — Un acte de création ou un acte d'amour ? — Les deux, mais ça ne sera pas aussi immédiat que tu le penses. — Ça va prendre du temps de s'aimer ? — Bien sûr, mais il faudra plus que du temps pour cela. — Que faudra-t-il alors ? — Que nous vivions des expériences si fortes que tu seras malgré toi obligée de libérer ce qu'il y a de plus intime et secret en toi. — Quel genre d'expériences ? — Tu le découvriras bien assez tôt. — Je ne sais pas si j’arriverais à me livrer totalement. — Si et à la fin tu m'appartiendras. — Je t’appartiendrai ? Je sentis sa voix s'éloigner du creux de mon oreille. Son ton s'était durci et elle semblait dubitative. — Oui tu seras totalement mienne. — Voilà que tu parles à nouveau comme un psychopathe. — Pas du tout. M’appartenir ne devrait pas te faire peur, au contraire. — Je n’appartiens à personne, je suis libre. Tu es un rêve surtout, je ne vois pas comment tu pourrais être totalement libre. — Oui tu es libre, jusqu’à ce que tu décides de m’appartenir. Ce n'est pas moi qui te l’imposerais. Je ne ferais que te guider dans ce parcours. Une fois que nous en sortirons grandis et plus adultes, tu ne voudras plus jamais qu’un autre pose les mains sur toi. — Et c'est donc ça t’appartenir ? ça ressemble plus à de la fidélité qui est quelque chose de commun non ? — Appartenir n'est pas être fidèle. Tu peux très bien m’appartenir et coucher avec quelqu'un d’autre à la condition que je le désire et que je te le permette. — J'ai l'impression que tu veux surtout m'ôter mon pouvoir de décision. — Non jamais. Je t’aimerai parce que tu es libre, et tu consentiras librement à me donner ton pouvoir de décision, la démarche n’est pas la même. Il y a une énorme différence entre imposer quelque chose à quelqu'un avec ou sans son consentement. La beauté de la chose, c’est que c’est toi qui m'offriras spontanément ton consentement. C’est un acte de bonté et de confiance extrême où chacun des deux individus est en symbiose parfaite avec l’autre. — Ça ressemble à de l'amour. — C’est de l'amour dans sa forme la plus pure mais c’est difficile à concevoir pour beaucoup. — Je commence à le comprendre. Donc t’appartenir ce n'est pas forcément mettre des menottes et être ligotée ? — Non pas du tout. Les menottes sont un jeu qui utilise un accessoire, m'appartenir est un acte de foi en nous. — Tu en parles avec beaucoup de poésie, comment me feras-tu l'amour ? — Tu le sauras bientôt.
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Par : le 17/09/22
Il y a des jours où J'ai plaisir à torturer couilles et queue. Ca commence par quelques tapettes bien placées puis la badine cloutée... Je prends un malin plaisir à le faire gesticuler, il est donc à peine attaché... Quelques coups de fouet sur le reste de son corps et hop! Un ou deux sur les roubignoles en passant... J'adore le faire plier... Et puis, J'ai envie d'en jouir, alors J'attache et Je frappe un peu plus fort, le pousse hors de ses limites... D'abord il en demande encore puis arrive le moment où il demande pitié... Hum , J'aime tant ça! Moi aussi J'en veux encore! Encore jouir de ce violent plaisir... Jouir d'écraser mes fesses sur cette bite torturée en infligeant badine et cravache sur son cul... Je vous laisse essayer de deviner sa posture pour que Je puisse ainsi en abuser... Ménager sa monture pour aller plus loin... D'accord! J'accorde ce répit et retire mes cordes... Boire un peu... Papoter... Je regarde les marques sur son corps, ses fesses. il pensera à Moi assit... Il regarde mes affaires... Tiens! Des baguettes... Il a l' air d' en vouloir encore de mes sévices , hum! Viens y dont... Juste le temps de mettre en place cette cage de baguettes sur son sexe tuméfier et me voilà reparti pour un tour de supplices... Serrer bien fort... Tirer encore... Tordre et retordre à le faire se tordre et retordre... Passer la roulette sur ses couilles rougies... Sur sa queue bleutée... Hum! Sur son gland reluisant... Frémir de le sentir faillir... Saliver de le voir se tortiller pour échapper à la roulette.. Gronder qu'il bouge trop et sourire de le remettre en place... Que J'aime le mal traiter ainsi. Le faire gémir de douleur. Le faire craquer mais tenir encore... Ho oui encore : Encore quelques coups de-ci de-là ... Encore compresser ce sexe coincé entre mes baguettes pour le faire souffrir... Pour en prendre plaisir... Pour le faire atteindre sa dernière limite , là où le sado-masochisme trouve jouissance et résonnance dans cette pratique si particulière... Aller jusqu'à ce qu'il m'implore un ultime pitié bien fort. Jusqu'à ce que sa douleur devienne vraiment insupportable... J'en mouille! Ho que oui, J'en mouille... Et pour parfaire cette séance de CBT, Je lui impose pour la soirée, une branlette avec sa queue douloureuse ... Il y a des jours comme ça, où J'ai envie de ça.
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Par : le 10/11/20
Beaucoup de personnes ne font pas la différence entre dominer et profiter d'autrui, prendre en mains, éduquer, soumettre, appelez ça comme vous voulez, ce doit d'être avant tout bienveillant. Le but est d'épanouir et non de détruire autrui, cela n'est profitable ni pour le bourreau ni pour la victime... Si vous êtes repoussé par le BDSM, ne le pratiquer pas. Et surtout ne profitez pas du BDSM pour vous défouler sur une personne qui vous fait pleinement confiance et crois en vous ! L'imagerie BDSM imprègne la société et il peut semble facile de dominer et de prendre en mains, c'est pourtant une place de responsabilité à ne pas négliger. Henry Kissinger a jadis qualifié le pouvoir d '«aphrodisiaque ultime». Les rois et les nations se sont battus pour dominer les autres. Le capitalisme suppose un monde où réussir signifie exercer un contrôle. Et dans le sport, les joueurs s'efforcent d '«humilier» leurs adversaires. Mais dans le BDSM, le pouvoir est accompagné par de grandes responsabilité (oui comme le dit oncle Ben à Spiderman ;) ) Alors après on peu se demander quel genre de personne se sent sexuellement excité par la douleur? Beaucoup de gens qui sont parfaitement normaux à tous égards. Encore une fois, pensez au sport: lorsque les joueurs de football font des jeux brillants, les coéquipiers se tappent souvent les fesses, au football américain c'est même parfois bien plus violant. Les destinataires acceptent cet «abus» avec reconnaissance comme un signe d'appréciation et d'affection. Ou encore imaginons une randonnée sur une montagne. Vous avez des coups de soleil. Les épines vous griffent les jambes. Et au moment où vous atteignez le sommet, vous êtes endolori et épuisé. Pourtant, vous vous sentez euphorique. Malheureusement, les médias BDSM ont grossièrement déformé la douleur que subissent les soumis(e). C'est plus théâtral que réel. Lorsqu'il est exécuté par des dominants éthiques et bienveillants («doms» ou «tops»), le BDSM n'est jamais abusif. «C'est toujours consensuel», déclare Jay Wiseman, auteur de SM 101. «Les abus ne sont pas.» Vous n’avez pas besoin de contraintes, de bâillons ou de fouets pour maltraiter quelqu'un. Et heureusement un bon dominant n'a pas besoin d'accessoire pour inspirer l'envie à sa soumise de le servir. Mais entre des mains aimantes, l'équipement augmente l'excitation sensuelle, permettant aux deux pratiquants de profiter de leur interaction, ou «scène», comme un plaisir érotique, propre et agréable. » Lorsque le BDSM inflige une vraie douleur, il est toujours soigneusement contrôlé avec le soumis(e) («sub» ou «bottom») et les vrais dominants sont toujours dans la juste mesure. La douleur n'est pas un but mais un moyen, toujours. Le plaisir dans la douleur à une nuance et beaucoup préfèrent l'appeler sensation intense ce qui leur procurent du plaisir. «Ils ressentent la douleur des piqûres d'abeille ou d'un coup de poing au visage exactement comme n'importe qui d'autre», dit Wiseman, «et ne l'aiment pas autant.». Aussi tout est une question de forme. Et le plus important est de garder à l'esprit que le BDSM est surtout une relation humaine dans laquelle chacun se doit s'épanouir et se compléter comme deux organismes symbiotiques.
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Par : le 21/12/20
Sauf  vacances et événements, le lundi c'est le jour  de mon soumis P---y. Le lundi je me réjouis  de sa venue. Dans  un weekend  d'été, il me prévient que dans la semaine il va aller à la plage avec des amis. Ce qui veut dire: attention à bien veiller qu'il n'y ai pas de marques de tous les côtés . Hors les marques, on aime ça... J'ai eu le weekend pour m'y  préparer psychologiquement  mais comme à chaque fois, je brûle d'impatience  bien avant l' heure fixée et mes doigts s'imaginent  déjà sillonner son dos de long en large.  NON!  Il ne faut pas !  Ça laisse des marques, surtout si je m' emballe.  OK donc ne pas s'emballer... Pas s'emballer... Je sais faire, oui, si, si,  je sais faire... Mais c'est P---y! C'est MON soumis et il l' est justement parce que je peux planter mes ongles sur lui.   Dès notre premier rendez-vous c'est ainsi. J'aime aller droit au but. Pas de chichi, de protocole à n'en plus finir. On sait pourquoi on est là, on sait ce que l' on veut tout les deux: Mon Plaisir. Je le trouve à travers ses maux et c'est à travers lui qu'il trouve le sien.  Ce depuis la première fois, Il se dépasse, se surpasse pour que prime mon plaisir... Marquer son corps de mon passage ... Je pourrais prévoir d'autres pratiques adaptées à cette petite contrainte, mais la simple idée de ne pouvoir le faire rend cette envie obsédante. Je ne pense plus qu'à ça.... Je n' ai plus qu'envie de ça... Je sais!  Je vais préparer une paire de gants en satin. Ainsi je pourrais contrer la tentation trop prononcée de le griffer. Et c'est effectivement  ce que j' ai fait....  Menotté aux barreaux de ma descente d'escalier, son dos sublimement offert à mes volontés, j'use  de ma sensualité pour le faire bander. Sa verge ainsi érigée, le dos soigneusement cambré, j'alterne mes caresses gantées et mes fessées  satinées... Je découvre un nouveau son. Un claquement plus étouffé mais pas moins envoûtant...  Sa peau se teinte différemment. Un ton rosé, discret, frustrant...  Oui! C'est ça que je ressens ! Le goût enivrant de la frustration. Privée du sens du toucher tel que je le connais. Luttant pour ne pas virer ces gants qui empêchent mes ongles de dessiner sur sa peau et me privent du claquement pimpant de mes mains sur ses fesses...  Mon soumis  le sens, je vois bien qu'il s'offre à moi avec plus de volupté. Il alimente mon plaisir en m' encourageant à claquer plus fort...  Lui aussi ressent ma frustration et s' excuse encore,  il s’adonne à mes pulsions avec une  authenticité  aussi rare que délicieuse et ça, vraiment, gant ou pas gant, c'est trippant... Non!  Faut pas faire de marque aujourd'hui. Pas s'emballer ou du moins pas trop... Je laisse cette frustration envahir mes sens et me conduire vers des sentiers nouveaux...   Il bande tellement... Je suis tellement frustrée... Je masturbe sa queue, prenant plaisir à lui souffler à l' oreille qu'à mon tour je vais le frustrer... Interdit d'éjaculer...  Le branler... Le serrer... Le serrer trop fort... Relâcher... Son gland est humide...Je retire un gant...  Sa queue , à même ma peau,  dans ma main dénudée, humm! je me sens respirée...Serrer encore plus fort... Desserrer, masturber... Amener au bord de la jouissance... J'ote le second  gant et frôle la douce chaleur de ses fesses...  Je plaque son cul contre moi d'une main ferme, branle de l' autre plus fermement et  pose sur son dos un baiser...  Respire profondément... Tellement envie de lui faire mal...    Je le lâche... Oui! Je le laisse ...   Tous deux délicieusement suspendus entre plaisir et frustration... ... Silence ...  Je le détache et le mets à genoux à mes pieds...  Il me faut maîtriser mes envies, contrôler mes pulsions...  C'est mon rôle, mon souhait. Je respecte les limites fixées de mes soumis... Pas de marques visibles aujourd'hui... "Maîtresse! _ Oui P---y? _ Je vous offrirais mon dos autant qu'il vous plaira la prochaine fois. _ Je sais oui. _ Faites vous plaisir sur mes fesses Maîtresse. Le maillot cachera tout. _Oh! Tu tentes le diable P---y! _ Oui Maîtresse. C'est pas grave si ça dépasse un peu. Hummm! Cette petite chose à mes pieds que je m' efforce de ménager depuis une heure, s'offre à ma perversité frustrée...  De, à genoux,  il se retrouve à 4 pattes...  De,  debout,  je me retrouve un genou à terre . Les deux mains bien placées au-dessus de  son si joli petit cul, j'entame la délivrance  de mes sens...  Enfin le doux bruit puissant de mes dix phalanges qui s'impriment sur sa peau...Enfin la chaleur cuisante de mes mains sur ses fesses réveille ma perversité... Brimée depuis la veille, l'envie de faire mal  sort de sa  cachette du fin fond de mes entrailles et s'empare de mon valeureux soumis .  Son corps tremble sous mes supplices. Non pas de  douleur, bien qu'elle soit   présente, mais des vibrations de mon corps qu'il ressent ...  De l' accélération de mon souffle... De l' intensité de mon émoi ...  Il tremble et fléchit... Je frappe et caresse...  Caresse et frappe... Il gémit, je mouille,mes mains le caressent  autant qu'elles le fessent et ma bouche salive se son petit cul tout rouge qui faut absolument que je m' applique à viser.  PAS GRIFFER! Non! Pas griffer... Hummm!  Ça me démange... Je louche sur son dos. Non! Ne le  regarde  pas... Son cul ... Rester concentrée sur son cul... Pas de marques au-dessus de la ceinture. Pas griffures . Pas griffer.. Ces mots tournent en boucle dans ma tête. Ils  dansent avec ma frustration au nez de ma perversité,  ce  qui fait naître en moi une pulsion sauvage... Telle une lionne saisissant enfin sa proie après une course folle, je mord dans la fesse de ma convoitise.  Sa cambrure est telle celle de la gazelle avant de s’abattre sur le sol... Son cri me transperce d'un intense frisson...  Ma mâchoire fermement   refermée sur son fessier, nos  corps s' écrasent  au sol...  Je savoure et  desserre  lentement les dents... Je passe ma main sur la trace ronde  de mon empreinte dentaire. Un sourire radieux illumine mon visage.... Je mouille tellement que mon bassin entame de langoureux balancements.  Mon jeune soumis gémit les yeux clos , son corps abandonné à mes pulsions....  Je regarde son dos sans plus  en être frustrée. Il n' est pas marqué. Il n' est pas griffer. A peine deux rougeurs sur un côté.  Hummm!  ENCORE!  J'approche ma bouche près de son cul, l' embrasse  et lui administre une seconde vive morsure...  J' entre alors dans un espace temps où mon plaisir est Maître des lieux. Mon sexe se gorge de foutre et vient se branler au plus prés des traces profondes de dents... Je savoure le lâcher-prise  de son corps...    Ma jouissance  monte en moi...  Mes hanches se déchaînent. Mes mains s’agrippent à je ne sais quoi.  MERDE!  NON!  Pas le dos.  Dans un ultime effort je rentre mes griffes, passe mes mains sous les bras de  ma petite chose  ainsi à l'abri de toutes griffures. Je  le plaque, le bloque, le  love de tout mon long contre lui... et laisse ma jouissance  s'exprimer sans retenue... Il me  faudra plus longtemps que d'habitude pour reprendre pleinement possession de mes esprits ... Finalement, la frustration ça a du bon.  ( Quand ce n'est pas souvent...) 
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Par : le 29/05/22
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture :wink: ___________________________________________________________ De 1996 à 2012 La jeune Charlotte grandit sans connaitre son père, élevée par une mère célibataire qui lui consacra tout son temps, elle ne manqua ni d'amour, ni de rien. Je pense pouvoir affirmer que j'ai eu une enfance heureuse, une éducation un peu stricte et où je sentais les espoirs de ma mère sur moi mais dans l'ensemble je fus choyé par mon entourage. Mon paternel a quitté ma mère et a disparu de nos vies sans jamais reprendre contact lorsque j'avais 5 ans, j'ai très peu de souvenirs de lui, je ne distingue même plus concrètement son apparence et ma mère ayant détruit toutes les photos qu'elle avait de lui, il est a mes yeux un parfait inconnu. Enfant, j'étais une petite fille joviale, innocente, un peu casse-cou et je cultivais un caractère de princesse, on me disait souvent que j'étais très jolie et cela me faisait plaisir, je recherchais constamment de l'attention, que l'on discute avec moi, me complimente, me regarde ... A l'école j'étais populaire, j'avais beaucoup de copines et les garçons étaient gentils avec moi, je sentais qu'ils ne me traitaient pas toujours comme les autres filles, je ressentais par contre une gêne a expliquer a mes camarades que je n'avais plus de Papa, un malaise a évoquer le fait qu'il m'ait abandonné, c'était une comme une blessure qui s'ouvrait quand je voyais les pères de mes camarades a la sortie de l'école, le pire étant la fête des pères où souvent la maitresse nous demandait de préparer un cadeau ... Les années passèrent et mon besoin d'attention ne s'atténua pas, je cherchais même dorénavant de l'affection et je la transposa assez inconsciemment sur les garçons qui m'offrait en général l'intérêt dont j'avais besoin. Je trainais donc plus en plus avec une bande de garçons dont deux qui étaient de supers copains, un après-midi durant la récréation, l'un d'eux me demanda si je pouvais lui montrer "ma nénette", je lui demanda ce que c'était et il m'expliqua que c'était ce que j'avais entre les jambes, que les filles et les garçons n'avait pas la même chose et qu'il voulait voir a quoi ça ressemblait. Innocente comme je l'étais, je n'y voyais pas d'objection mais il avait en plus attisé ma curiosité, j'accepta en lui disant que c'était d'accord s'ils me montraient également tous les deux leur chose. Mes deux compères acceptèrent et nous nous rendîmes dans les toilettes des garçons, l'un des garçons faisait le guet a l'entrée pour nous prévenir si quelqu'un arrivait, je souleva alors ma robe jusqu'à mon ventre et baissa ma culotte pour dévoiler mon sexe au curieux qui l'avait demandé, il sembla surpris par ce qu'il voyait et se baissa pour bien regarder avant de dire que ce n'était en effet pas pareil. Je rappela a mon voyeur que c'était a son tour et il baissa alors comme promis ses vêtements pour me dévoiler son sexe. Je crois me souvenir avoir trouver cette petite trompe assez vilaine mais amusante, on s'est regardé quelques secondes pour bien mémoriser de quoi était fait l'autre puis il a remit son pantalon, est sorti et a informé notre copain que c'était son tour. L'autre garçon en arrivant dans la cabine me trouva la culotte toujours baissée jusqu'aux chevilles, il se figea devant moi et rougit. Je me souviens très bien que sa réaction me troubla, pourquoi lui réagissait ainsi et pas l'autre ? Il me regarda un moment sans dire un mot puis me demanda s'il pouvait "la toucher", je commençais a être gênée par la situation en sentant qu'il se passait quelque-chose que je ne soupçonnais pas mais j'acquiesça, il appuya avec son index dessus quelques fois et m'informa qu'il trouvait que ce que j'avais entre les jambes était "plutôt mignon". Ce fut son tour de me montrer "son zizi" en baissant lui aussi son pantalon, je ne sais pas si c'était parce-que je n'avais plus la surprise de la découverte mais je trouva la sienne plus jolie, il me demanda si notre copain avait montré "son champignon" ce a quoi je demanda ce que c'était et il se décalotta pour me présenter son gland et donc le fameux "champignon" qui m'intrigua fortement ! "Touche aussi si tu veux" m'encouragea t-il donc j'appuya alors a mon tour sur son champignon quelques fois. On se rhabilla et dans les jours qui suivirent je repensa moultes fois a ce champignon si bien que je demanda a son porteur de le revoir, nous nous montrâmes nos sexe plusieurs fois dans l'année comme si dès que nous commencions a oublier a quoi ressemblait le sexe opposé, nous souhaitions revoir nos sexes ! Je nourrissais maintenant un intérêt pour le corps des garçons, cette différence entre nous ... Mon anecdote suivante se déroule dans la même année ou l'année suivante avec le fils d'un couple d'amis de ma mère chez qui nous allions fréquemment diner ou l'inverse. Un soir alors que je suis dans la chambre du jeune homme pour jouer aux jeux-vidéos, il me demande si j'ai déjà vu la "zezette" d'un garçon, ce a quoi, je réponds oui. "Tu joues toi aussi au jeu du docteur me dit-il alors ?" ce a quoi je lui réponds que non, je ne connais pas et l'interroge sur ce jeu. Il m'explique alors y jouer avec sa cousine qui est dans nos âges et qu'il faut a tour de rôle jouer au docteur et au malade avant de me demander si je veux essayer ? J'accepte de jouer, il me dit alors que je vais commencer par être la patiente et lui le docteur, que je dois sortir de sa chambre, frapper pour y revenir et m'inventer un problème de santé. Je frappe a la porte, j'entre, il me demande ce qu'il peut faire pour moi et semble avoir une attitude plus adulte, celle d'un vrai médecin assis sur sa chaise de bureau, il ne me regarde pas ... "J'ai mal a la tête depuis 2 jours Monsieur" -Très bien, déshabillez-vous, on va regarder-ça" Il se lève et me fait signe d'aller sur le lit, j'enlève mon haut et mon pantalon, m'assoit en culotte sur son lit. Il me dit de me coucher sur le ventre puis vient me masser les épaules et me caresser le dos, c'est agréable, je me laisse aller pendant qu'il prétexte chercher a localiser ce qui pourrait causer mon mal de tête. Sa main se perds dorénavant sur mes fesses qu'il tripote, alternant entre des caresses de la paume sur la peau de mes fesses et des moments où il empoigne plus franchement toute ma fesse. Le docteur me dit après une ou deux minutes avoir localisé le problème et de me détendre, il sort de je ne sais où un spray de Ventoline, baisse ma culotte et tire un coup entre mes fesses ! Une vague de froid s'abat sur mon anus et me glace la raie, je sursaute en poussant un cri de surprise. Le garçon me dit de me tenir tranquille durant l'intervention, il pose une main rassurante sur ma hanche avant d'appliquer un second jet de spray au même endroit, c'est si froid. Le docteur est dorénavant en train de m'embrasser et de me lécher les fesses, il lèche la surface de mes fesses et dépose des baisers un peu partout sur mon cul pendant une bonne minute avant de me dire que le spray a fait apparaitre la zone du problème et qu'il faut dire au virus de partir ! J'ai a peine le temps d'interpréter ce qu'il dit, qu'il mords copieusement dans ma fesse droite ! Je pousse un cri de douleur, il s'arrête aussitôt et me prends dans ses bras en me disant que c'est terminé, que je n'aurais plus mal a la tête, je pleure de douleur mais je me sens étrangement bien dans ses bras, il est tendre et affectueux, je ne lui en veux pas. Je me rhabille puis il me dit que nous pouvons maintenant inverser les rôles, il sort de la chambre, frappe et prétends avoir une énorme douleur au zizi en rentrant (comme par hasard-me dis-je) cela me va ! Je lui dis d'enlever son slip et commence moi-même a tenter de faire apparaitre son champignon, c'est concrètement la première fois que je manipule aussi franchement une bite. Je ne sais plus trop ce que j'ai fait, je crois l'avoir touché un peu partout, boules comprises et qu'avec le recul cela devait être très proche d'une branlette ... Je prétextais vérifier qu'elle n'était pas casser, je l'ai manipulé plusieurs minutes en long, large et travers puis je lui ai appliqué aussi un coup de Ventoline sur le gland en lui disant que le froid allait l'aider a se remettre. Ce jeu du docteur m'amusa au final beaucoup et j'avais hâte de le revoir pour recommencer la prochaine fois, la manière dont il avait porter de l'intérêt a mes fesses plutôt que mon sexe m'intriguait, il n'y a par contre jamais eu de nouvelle fois ... Le lendemain lors du bain, ma mère remarqua une trace sur ma fesse droite, elle me demanda de lui montrer et m'interrogea immédiatement sur l'identité de la personne qui m'avait fait ça, je lui dit au début que ce n'était rien, que j'étais tombée, elle s'énerva en me disant voir très clairement la trace des dents et de dénoncer immédiatement le coupable ! Je lui révéla alors ce jeu du docteur et après avoir pris une photo de ma fesse elle passa un coup de fil mouvementé a son couple d'amis pour dénoncer les agissements de leur fils. Une dispute éclata entre elle et son amie qui minimisa les évènements en disant que nous n'étions que des enfants mais qu'ils auraient une discussion avec leur fils, nous ne les avons jamais revus après ce jour ... Le jour suivant ma mère me convoqua pour une leçon de morale sur l'intimité, les garçons et le fait de garder pour moi mon "jardin secret". Elle m'expliqua que plus tard, j'aurais de la poitrine et des poils, que mes fesses, ma minette et ma poitrine devront rester cachées, que c'est un cadeau que l'on fait a l'autre quand il est très important pour nous et qu'on l'aime. Je compris ce que je voulais de ce cours maladroit que tenta avec beaucoup de bonne volonté de me donner ma maman car en réfléchissant je m'imagina que ces 3 garçons qui m'ont montrés leurs intimités devaient alors m'aimer et que j'étais surement du coup importante pour eux, que si les garçons voulaient a ce point cela des filles, c'était sûrement la meilleure manière de leur plaire ! Me voici dorénavant au collège, ma poitrine s'est développée assez rapidement et fortement, j'avais mes poils pubiens et j'étais réglée a mes 12 ans. Le regard des garçons sur moi est différent, déjà devenu plus vicieux, il me dérange plus qu'avant et ma poitrine précoce faisait aussi bien parler les filles que les garçons. Les garçons parlent beaucoup de sexe et ne semblent pas gênés de le faire devant les filles, les blagues de cul sont monnaies courantes et j'en suis souvent la cible. Un jeu est très répandu, il consiste a faire un classement du sexe opposé par classes ou générations, je suis très flattée d'être dans le top 3 de tous les garçons mais quand j'apprends que c'est ma poitrine et les pensées salaces qui vont avec qui me valent leurs faveurs, je suis moins honorée ... Mon classement des garçons que je trouve les plus beaux fait beaucoup de bruit, la plupart des gars s'y intéressent et là encore, je ne fais pas l'objet du même intérêt que les autres filles ... C'est comme ça qu''un certain Pierre découvrit mon intérêt pour lui, il jouait tout le temps au foot et ne s'intéressait pas aux filles mais après avoir su qu'il était premier de mon classement, il me demanda si je voulais sortir avec lui. Pierre fut mon premier petit-ami et nous nous embrassions tout le temps, je tomba amoureuse de lui rapidement et il m'apporta une sensation de protection dans l'enceinte du collège qui me rassurai vis a vis des autres garçons. Mon premier petit-copain avait les mains baladeuses, il me mettait souvent une main au cul même devant les autres et ma poitrine finissait régulièrement entre ses mains ou ses lèvres dès que nous étions seuls. Un après-midi alors que nous étions dans sa chambre, il me masturba même si je devrais plutôt dire qu'il me doigta uniquement n'ayant ni lui, ni moi, aucune connaissance du clitoris ... C'était la première fois qu'un garçon jouait avec ma chatte même moi, je ne le faisais pas encore en solitaire ... Je n'aimais pas spécialement me faire doigter trouvant cela plutôt brutal et peu plaisant mais j'appréciais de le sentir remuer son doigt en moi et aller et venir. Lorsqu'il me le proposa, je déboutonna son pantalon pour lui rendre la pareille, ce fut la première bite en érection que je vit, dans mes souvenirs cela ne ressemblait pas a ça, comment leurs petites trompes molles avaient-t-elles pu se transformer en de raides et imposantes barres de chairs ? J'étais émerveillée par la chose, prendre l'engin de Pierre entre mes mains n'avait plus rien en commun avec ce que je touchais autrefois, la sienne était si grosse et si dure, cela devrait aller en moi un jour ? Je branla avec envie et émerveillement la queue gonflée de plaisir de mon petit-copain, admirant son appareil génital dans son ensemble, les poils de son pubis, les poils sur ses couilles, c'était tellement plus obscène qu'autrefois ... La branlette brouillonne mais motivée que j'offris déboucha sur la première éjaculation dont je fut témoin, il explosa dans ma main en me remerciant, j'adora ça ... J'aimais le toucher, j'aimais voir son sexe, son intimité, être la seule a voir cette partie de son corps, j'aimais l'entendre prendre du plaisir, le voir jaillir et se matérialiser sous mes yeux, sur mon corps, toutes les semaines, je le branlais. Un jour, il me demanda de le sucer, je lui expliqua que je ne savais pas comment m'y prendre et il me dit de ne pas m'en faire et juste d'essayer ! Ma première pipe était approximative, mauvaise et très bâclée, croiser son regard pendant que j'avais son chibre en bouche me gênait, je ne savais pas trop quoi en faire d'ailleurs de cette queue mais je tentais juste de la savourer, de la gouter, de la cajoler. Pierre me complimentait, me conseillait, me guidait, ma pipe fit le job car il éjacula dans ma bouche, je recracha son sperme et lui demanda comment c'était, il me confirma que c'était incroyable, j'en éprouva de la fierté. Durant plusieurs semaines je m'exerça a sucer Pierre, a le branler du mieux que je pouvais et a essayer des techniques différentes, j'avais 12 ans et j'affirme que j'aimais déjà sacrément la queue ! Les mois passèrent et Pierre me quitta pour une autre fille de sa commune, il prétexta être tombé amoureux d'elle, cela me dévasta et laissa un grand vide dans mon quotidien, je n'avais plus ce garçon a qui parler tout le temps et encore moins cette bite a sucer/branler, imaginer Pierre et sa nouvelle copine faire des choses ensemble m'anéantissais ! J'expérimenta la déception amoureuse et l'abandon qui me retournèrent plus que je n'étais prête. Je tomba dans une sorte de dépression, le premier chagrin d'amour est violent et pour quelqu'un qui a été abandonnée par son paternel voir un garçon qu'elle aimait l'abandonner a son tour lui fit penser que c'était peut-être elle le problème ... Je surmonta ma peine grâce a mes deux meilleurs amis, Clara et Kévin, mon meilleur ami m'apportait beaucoup, nous étions très complices, nous rigolions tout le temps et il était assez tactile donc me donnait souvent de l'affection en me prenant dans ses bras, il était une épaule sur laquelle pleurer, un confident a qui tout raconter et un coach de vie pour ne jamais me laisser aller ! Lorsque nous avions 14 ans, Kévin expérimenta a son tour le chagrin d'amour a la suite d'un râteau, il était inconsolable et rien de ce que je ne pouvais lui dire ne semblait pouvoir lui remonter le moral, c'est alors que je lui proposa de le sucer ... " Qu'est-ce que tu viens de dire ? - Tu veux que je te suce ? Est-ce que ça t'aiderait a te sentir mieux ? - C'est pas le moment de plaisanter avec ça ... - T'as été là pour moi quand ça allait pas alors laisse-moi te rendre la pareille, je sais pas quoi faire d'autre pour te remonter le moral - T'es vraiment sérieuse ? Je sais que toi tu le faisais avec Pierre mais moi j'ai jamais fait ça - Enlève ton pantalon et laisse-moi faire" Il se leva gêné et retira son jean, je l'installa sur son lit, baissa son caleçon et commença a le branler a genoux face a sa queue, il ne disait plus rien et me regardait faire. Je trouvais sa bite douce entre mes doigts, cela me faisait plaisir d'en revoir une depuis celle de Pierre, il avait une belle queue, moins épaisse mais plus longue que celle de Pierre, ses couilles étaient beaucoup plus poilues, je les caressais, c'était une nouvelle sensation pour moi. Mon meilleur ami était maintenant bien dur, je lui demanda s'il était prêt, il acquiesça de la tête, je débuta alors ma fellation ! Je m'appliqua a lui donner de la tendresse, a prendre soin de sa queue, a le sucer comme un roi. Au début je faisais ça pour lui, pour l'aider a se sentir mieux, c'était mon meilleur ami, celui avec qui je partageais tout alors je ne voyais pas de raison pour ne pas lui faire ce cadeau mais au fil des minutes, je renouais avec la satisfaction que j'éprouvais a sucer, a donner du plaisir, a avoir une queue en bouche, je le suçais sur la fin pour moi. Je le termina en le branlant activement dans ma bouche, je laissa dégouliner son sperme de ma bouche sur sa queue et on rigola un moment de ce qu'on venait de faire, il me remercia en me disant qu'en effet après ça, tout allait mieux, je lui fit promettre de ne jamais raconter ça à Clara et de ne pas s'attendre à ce qu'on le refasse, que c'était a titre exceptionnel ! La deuxième bite que je suça était celle de mon meilleur ami et elle réveilla en moi de bas instincts ... Je suça ma 3ème bite peu de temps après à une soirée complètement bourrée, j'avais de plus en plus envie de sexe, de voir des bites, de les gouter, des les comparer et un copain d'un copain m'ayant porté de l'intérêt ce soir-là avait suffit a me laisser aller a lui faire une gâterie au fond du jardin. Je commença a me documenter sur les rapports sexuels, ce qu'aimait les garçons, ce qui faisait jouir les filles, comment se masturber, a regarder du porno et surtout regarder des bites, beaucoup d'hommes nus ... Je me caressais dorénavant de temps en temps, me remuant la plupart du temps contre un traversin que je bloquais entre mes cuisses pour y frotter mon entre-jambe, je repensais souvent a la queue de Pierre, celle de Kévin et celle du gars a la soirée, elles étaient si différentes ... Il arrivait que je me touche devant des queues sur le net, sur des pornos dont je commençais a avoir des acteurs favoris et parfois juste je pensais a des gars du collège. Je bouillonnais d'envies et réfléchissait de plus en plus a réaliser ma première fois, je me sentais prête. C'est durant l'été où j'allais faire mon entrée au lycée que je coucha pour la première fois, nous faisions du Camping en Corse avec ma mère et je sympathisa avec d'autres ados a la piscine, mon maillot de bain semblait mettre mes atouts en valeur et beaucoup plaire aux garçons, un jeu de séduction s'installa vite avec deux d'entre eux mais un seul me plaisait réellement. La veille de mon départ j'embrassa mon Crush estival sur la plage, il avait deux ans de plus que moi et embrassait bien mieux que Pierre, un courant électrique parcouru mon corps lors de notre premier baiser. Il me reproche de ne l'embrasser que maintenant alors que nous n'avons plus qu'une journée a passer ensemble en plaisantant, je prends sa main pour la poser sur mon sein qu'il palpe instantanément a travers mon maillot en lui disant qu'on a aussi une dernière soirée ensemble et qu'il ne tient qu'a nous de la rendre mémorable ! Il m'embrasse de nouveau en me demandant s'il a bien compris ce que j'avance, je lui confirme vouloir faire ma première fois avec lui, ce soir ! Je rentre m'épiler ayant a cet âge mes poils en horreur et tenant a avoir une chatte totalement imberbe ayant lu que c'était ce que préféraient les garçons, je me maquille et enfile ma plus belle robe pour lui. Ma mère grille a mon look du soir que j'ai un rencard et s'en amuse me souhaitant une belle soirée tout en me donnant la permission de minuit. Je pense qu'elle ne se doutait pas un instant de ce que sa fille avait prévue ce soir-là m'imaginant surement trop jeune pour ça ... Mon prince charmant m'attends a l'entrée du camping comme convenu, il a avec lui un sac a dos et c'est aussi fait beau pour l'occasion. Il m'emmène faire une promenade dans le bois près du Camping et après une romantique escapade main dans la main, il me demande si je suis toujours partante pour perdre ma virginité avec lui, j'acquiesce. Il sort alors un drap de son sac a dos et nous arrange un petit coin hors du sentier, nous nous embrassons de longues minutes couchés l'un sur l'autre jusqu'à ce qu'il sorte l'un de mes seins de ma robe et me dévore la poitrine. Sa main droite s'engouffre ensuite dans mon entrejambe, il glisse sa main dans ma culotte et me caresse le clito, c'était la première fois qu'un garçon me masturbait réellement cela n'avait rien a voir avec les doigts que me mettait Pierre ! Je mouille et gémis déjà sous ses caresses tout en me délectant du traitement que sa bouche afflige a mes mamelons qu'ils ne lâchent pas ! Il descends alors entre mes cuisses et contemple mon intimité en retirant ma culotte, je suis gênée de le voir me regarder a cet endroit mais il plonge un doigt en moi, intimidée par le fait qu'il voit tout de moi aussi crûment et a la fois très excitée par le déroulé des évènements, je retiens difficilement mes gémissements. Mon corps est bouillant, j'ai chaud, j'ai déjà trop envie de lui. Ce fougueux partenaire plonge alors entre mes cuisses pour me lécher la chatte, une grande première pour moi qui avait sucer 3 bites auparavant mais n'avait jamais reçu ce traitement ! Il s'appliqua a me faire du bien et embrasa le bas de mon ventre, c'était divin, comment une langue pouvait être aussi bonne ? Titille-moi le clito, lape mes lèvres ou rentre-la dans mon trou, je prends mon pied ! Après m'avoir bien dévoré le sexe et rendu folle, il propose a la chienne en chaleur que je suis actuellement de lui rendre la pareille en se couchant sur le dos. J'ai l'impression d'avoir la chatte gonflée, pleine de désirs, je passe ma main sur mon entrejambe et constate comme je mouille, sa salive et ma cyprine ont trempées aussi bien mon sexe que le menton de mon partenaire, je l'embrasse et goute pour la première au goût que j'ai. Je retire ma robe pour être totalement nue devant lui et le débarrasse de son bermuda avant de lui dévorer la queue, j'e suis en chaleur comme jamais je ne l'ai été et j'ai envie de cette bite plus qu'aucune autre avant, elle est si bonne, ses marques de bronzage lui confèrent un petit plus qui la rends encore plus excitante, il m'a fait du bien et m'a copieusement mangé le sexe, a moi de faire aussi bien ! "Putain mais t'es pas vierge pour sucer aussi bien, c'est pas possible" m'a-t-il dit, cela m'excita davantage et je m'en amusa alors qu'il semblait ne plus pouvoir tenir très longtemps. Il me demande une dernière fois si je suis prête a passer aux choses sérieuses, je sors sa queue de ma bouche en lui demandant si je n'en ai pas l'air ? Monsieur me bascule sur le coté, m'embrasse en touchant mes seins, se redresse, prends une capote dans son sac, l'enfile et se prépare a me pénétrer. Je prends conscience de l'instant, je suis nue couchée sur un drap dans un bois avec un garçon que je connais seulement depuis une semaine, sa queue se frotte a l'entrée de mon vagin, j'avais imaginée cet instant tellement de fois au cours des derniers mois mais aucun de mes scénarios n'était a la hauteur de ce moment, tout est parfait, cela m'excite, il m'excite, il est si beau, si doux, si bon. Sa queue entre doucement en moi et me déchire de l'intérieur, je me cramponne a ses épaules alors qu'il me dit que ça va aller, je l'encourage a continuer et ne pas tenir compte de ma douleur, il l'enfonce alors plus profondément et plus vite, les vas et viens commencent et la sensation d'être perforée s'atténue petit a petit.. Je le sens aller et venir en moi, c'est incroyable, je sens son sexe en moi, cela n'a rien a voir avec les moments où j'aime sentir un doigt qui me fouille, c'est tellement plus large, plus brutal, son pieu me perfore et me lime, toutes les parois de mon vagin sont sollicités, il est en moi, nous ne faisions plus qu'un. La douleur s'éclipse au fur et a mesure que je me concentre sur sa queue plus que mon trou, mon partenaire devient alors de moins en moins doux et commence a taper en moi sans retenue, ses râles de plaisir et ses commentaires m'excitent, alors c'est ça, se faire baiser ? J'en veux plus, je l'invite a me prendre comme il en a envie, je prends appuie sur mes coudes et me redresse pour admirer mon Apollon se démener dans ma chatte. Voir de mes yeux un bout de sa queue qui entre et sort de ma chatte me rends folle, j'ai envie de me toucher, de toucher sa bite alors ne sachant pas quoi faire de mes mains, je retiens mes seins qui volent de haut en bas et me font mal, je tire sur mes tétons, que suis-je en train de devenir ? Mon doux prince charmant ressemble dorénavant a ses acteurs porno que je regarde, il me baise a une cadence infernale, ma chatte est en miettes et ne me semble plus capable de ressentir de la douleur tant il me l'a dilatée. "Fais-moi tout ce qui te plaira, je suis a toi" a peine ai-je finit de prononcer ses mots qu'il me retourne sauvagement, me cambre et me reprends aussitôt en levrette ! Je suis le visage contre le sol, la pénétration est plus franche et profonde, la douleur reprends alors, ça fait mal, il tape trop loin en moi, j'en ai le souffle coupé ! Chaque coups de reins écrase ma joue contre le sol, je ne sais plus quoi faire, je serre fort le drap sur lequel nous sommes et lui demande de ralentir, il s'exécute ... Il se cramponne tantôt a mes hanches, tantôt a mes fesses en complimentant un coup ma chatte qui est bonne, un coup mon cul qui est beau et lâche par moment quelques obscénités du genre "t'aimes ça te faire baiser", "elle te fait du bien ma queue", " je suis en train de mouler ta chatte a la forme de ma queue" et ces mots pimentent terriblement les choses pour moi qui commence a apprécier d'être ainsi le cul en l'air a me faire défoncer ! C'est lorsque je recommençais a jouir que mon partenaire s'effondra sur mon dos dans un râle de plaisir avant de se retirer. Il enleva le préservatif maintenant rempli de sa semence et repris son souffle en sueur a mes cotés, le rapport terminé, je me sentais un peu sale, j'avais mal dans mon ventre et l'intérieur du vagin qui brûle mais j'étais contente de l'avoir fait, on s'embrassa un moment avant de se rhabiller et de rentrer. Je fis ma rentrée au lycée en ayant perdue ma virginité, un nouvel établissement s'ouvrait a moi et donc de nouvelles rencontres, de nouveaux garçons, de nouvelles bites potentielles et un éventuel nouveau petit-ami. Mon envie de plaire, de séduire et de profiter de ma jeunesse était plus forte que jamais, je m'habillais de manière plus sexy, me sentant plus féminine, j'étais maintenant fière de ma poitrine qui plaisait tant aux mecs et je n'arborais plus que des décolletés plongeants, j'attirais le regard des garçons et j'aimais de nouveau cela. Je demanda a ma mère de m'acheter quelques strings, certaines filles en portaient au bahut et voir le début de ce sous-vêtement dépasser excitait pas mal les mecs ! Ma mère refusa, je lui expliqua longuement que plusieurs copines en avaient et que je paraitrais moins cool si je n'en avais pas mais elle ne voulu rien entendre. Je passa mon année de seconde a flirter avec des garçons, a m'attirer leurs faveurs, jouer de mes charmes et de leurs désirs, de ma féminité mais avant tout je cherchais a découvrir le pouvoir que l'on pouvait avoir sur eux bien qu'au fond c'était moi qui ne pouvait me passer de leur intérêt. Ce besoin que je ressentais depuis toujours d'avoir de l'attention et que j'avais au fil du temps transposer sur les garçons avait gagné en intensité depuis que j'avais découvert le sexe, le fait de donner du plaisir a l'autre, d'en recevoir, de s'offrir a quelqu'un, découvrir son intimité, partager avec l'autre plus qu'avec la plupart des gens, je me nourrissais beaucoup de cela et fantasmais de nouvelles rencontres, nouvelles histoires, nouveaux rapports. Beaucoup de garçons me tournaient autour au lycée même des plus âgés mais aucun ne me plaisait plus que ça, leur intérêt, leur sollicitude c'était comme si ça leur faisait perdre de l'intérêt a mes yeux, comme une proie piégée a l'avance qui n'a plus rien d'excitante, mon envie de refaire du sexe était là mais je ne trouvais pas le garçon qui en vaille la peine. Je revivais régulièrement le souvenir de ma première fois avec ce garçon dans les bois en transformant le manche de ma brosse a cheveux en sextoy d'infortune, me fourrer la chatte a quatre pattes en repensant aux trucs cochons qu'il m'avait dit durant la levrette m'assurait de jouir à tous les coups ... Un ami a moi me déclara sa flamme en fin d'année de seconde, il était objectivement plutôt moche, bien trop maigre et sans aucun charme mais je ne voulais pas lui faire de mal. Il semblait vraiment m'aimer et vouloir prendre soin de moi, ce garçon avait de l'amour a revendre et j'estimais en avoir besoin bien que je n'ai jamais imaginé autre chose que de l'amitié avec lui ... J'accepta de sortir avec lui, voulant lui laisser sa chance et ne pas le perdre en tant que pote. Notre couple fit beaucoup de bruit, mes copines ne comprenaient pas que je sorte avec un gars aussi banal, les garçons disaient qu'il avait commis "un braquage" et qu'un "3/4 sur 10 se tapait une 8/9 sur 10", les mauvaises langues disaient que je faisais de la charité, d'autres que je ne méritais finalement pas d'être aussi populaire pour m'abaisser a sortir avec un gars pareil, ... C'était assez dur pour nous mais dans le fond surtout pour moi car de son coté la plupart de ses potes le félicitait pour sa prise là où moi, on me critiquait pour la mienne ... Ce garçon s'appelait Clément et il embrassait très bien, c'était un bon petit-ami, il veillait tout le temps à ce que je me sente bien, avec lui tout était fluide, instinctif et sympa donc cela fonctionnait bien. Le sexe était par contre plutôt décevant, Clément était précoce et ayant peu d'expérience, je ne m'en offusquais pas mais je ne montais jamais aux rideaux, mon manche de brosse a cheveux était plus efficace que mon copain ... Le sexe qui m'attirait tant perdait en saveurs maintenant que je le pratiquais, je me disais que finalement ce n'était peut-être pas aussi bien que ça, j'étais très attachée a Clément et bien que je ne le désirais pas ardemment physiquement, j'étais finalement tombée sous son charme. Je l'avais dépucelé en le guidant lors de notre première fois, il adorait mes seins et me les touchaient énormément mais ils étaient ma plus grande malédiction car toutes les positions où ils les voyaient réduisaient encore davantage son temps déjà court ... Clément me faisait l'amour avec tendresse et passion mais ne tenait pas la cadence sur une période décente pour me faire assez de bien, je confesse que je me masturbais souvent a cette époque devant du porno plutôt hard pour contrebalancer ce que j'avais dans mon lit ... Je me sépara de Clément après une année de relation suite a une crise de jalousie de sa part sans fondements pendant les vacances d'été. La rupture lui fit plus de mal que moi, j'embrassa quelques gars en soirée mais n'alla pas plus loin de tout l'été et c'est lors de ma rentrée de Terminale que je rencontra le garçon qui allait changer ma vie, du moins sexuellement ... A suivre ...
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Par : le 31/10/19
"Elle se tordait avec une telle frénésie pour échapper aux morsures des lanières, si bien que le ventre et le devant des cuisses, avaient leurs part presque autant que les reins. Quand je t'aurai donnée aussi aux valets, je viendrai une nuit te faire fouetter jusqu'au sang." Histoire d'O Comment le châtiment de la flagellation a pris sa place dans l'alchimie érotique de la partition des plaisirs ? De la naissance de la littérature "flagellante", à la multiplicité des études réalisées, en s'intéressant à la psychiatrie des perversions, le goût du fouet s'est imposé comme objet spécifique, autonome de la sexualité dans l'univers du sadomasochisme. La ritualisation attachée à ce châtiment, célébrant la pureté des sensations extrêmes, la recherche de la cruauté et de la douleur, fait de lui, lors d'une séance S/M, dans cet art subtil et cérébral, une étape incontournable vers la jouissance sublimée. Défini comme un acte consistant à cingler le corps humain avec un fouet, des lanières, ou une tige souple, le terme revêt une multiplicité de significations, religieuse, érotique, et disciplinaire, s'inscrivant dans un champ sémantique où sa compréhension sexuelle est pourvue de symboles, dans l'évocation imaginaire, de la verge au flagelle. Elle fut tout d'abord dans la religion une incarnation, utilisée comme un moyen de faire pénitence, telle une expiation de ses propres péchés, parfois même ceux des autres, et se pratique encore, aujourd'hui couramment dans certains ordres religieux ultra-catholiques. Dans l'histoire, la flagellation précédant la crucifixion était un préliminaire à la condamnation. Le nombre de coups portés très élevé pouvait alors conduire ni plus, ni moins, à la mort du supplicié. Elle fut utilisée par nombre de civilisations, encore employée aujourd'hui dans certains pays, comme ceux appliquant entre autres, la loi islamique, la charia. Les Romains l'employaient comme châtiment corporel; la fustigation était une peine appliquée aux citoyens ou aux affranchis jugée moins infamante, que la la flagellation appliquée avec un fouet, le flagellum, réservée aux esclaves, dépourvus de citoyenneté, ayant commis des actes criminels, précédant dans la majorité des cas, la peine de mort. Aux XVIIIe et XIXe siècles, la bastonnade réalisée avec une corde goudronnée, était une punition fréquemment pratiquée dans les bagnes avant l'abolition de l'esclavage. En France, la flagellation dans le système pénal fut prohibée en 1830, lors de l'avènement du Roi Louis Philippe. La dernière flagellation publique, fut administrée, sous Louis XVI, en 1786 à l'encontre de la Comtesse de La Motte, pour sa participation, dans l'affaire retentissante du collier de la Reine Marie-Antoinette. De nos jours, la flagellation demeure une sanction pénale encore appliquée en Arabie Saoudite et en Iran. En Littérature, l'œuvre du Marquis de Sade, dans "Justine ou les Malheurs de la vertu" (1791) décrit, comme nous l'avons évoqué, au cours d'un précédent article, de nombreuses scènes de flagellation. "Thérèse philosophe", ouvrage moins réputé, attribué à Jean-Baptiste Boyer d'Argens (1748) y fait largement écho. Sous l'Empire, l'actrice Émilie Contat, très courtisée à l'époque, vendait ses charmes en fouettant ses amants masochistes. Le sombre et intrigant, ministre de la Police de Napoléon, Joseph Fouché, fut le plus célèbre de ses clients, en fréquentant assidûment son boudoir. Dans la littérature érotique, ce sont les œuvres de Von Sacher-Masoch, et les études de Von Krafft-Ebing, fondateurs respectivement des concepts du "sadisme" et du "sadomasochisme" qui marquèrent les esprits. "La Vénus à la fourrure" de Leopold von Sacher-Masoch, parue en 1870 fait figure de roman novateur. les personnages Wanda et Séverin puisant dans la flagellation, leur source quotidienne de leurs jeux sexuels. La flagellation chez Pierre Mac Orlan (1882-1970),auteur prolixe d'ouvrages érotiques, est largement présente. Dans "La Comtesse au fouet, belle et terrible", "Les Aventures amoureuses de Mademoiselle de Sommerange", ou "Mademoiselle de Mustelle et ses amies." ,enfin dans "Roman pervers d'une fillette élégante et vicieuse", récit de l'apprentissage cruel dans l'asservissement sexuel d'une très jeune fille. De même, on retrouve des scènes de flagellation, chez Apollinaire dans "Les Onze Mille Verges" (1907) chez Pierre Louys en 1926,dans "Trois filles de leurs mère." Le roman "Histoire d'O" (1954), étudié précédemment, comporte de nombreuses scènes de flagellation. Plus proche de nous, la romancière, Eva Delambre, dans "Devenir Sienne" (2013),fait du fouet l'instrument de prédilection, de Maître Hantz. Il en est de même dans "Turbulences" (2019),son dernier ouvrage. "Les coups lacéraient ma chair, me procurant de lancinantes sensations de brûlure. J'avais perdu l'habitude du fouet, dont j'avais été privée depuis un mois. Lorsque la tige de la cravache m'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, je compris soudain que j'allais jouir." Le Lien, récit de Vanessa Duriès. (1993) Diversifiée dans sa ritualisation, sa gestuelle et son symbolisme, très présente dans l'univers du BDSM, la flagellation se définit aujourd'hui, comme une pratique autonome, de la recherche de la jouissance. "Ils saisirent chacun un long fouet et commencèrent à me flageller avec une vigueur et un rythme qui me firent mordre violemment les lèvres, jusqu'à ce que le goût de mon propre sang m'eût empli la bouche". Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 01/12/20
J'ai devant moi , sur le comptoir, mon cadeau d'anniversaire de moi à moi ;)    Un stap- on que je trouve en fait trop étroit et long . J' en discute avec une connaissance de longue date   quand je le vois revenir  des toilettes avec  le rosebud à la main. Ça nous  fait sourire.  Je vois bien à son air penaud qu'il est embêté de n'avoir pu se l' enfiler mais c'est pas grave. De toute façon, il ne serait pas resté longtemps en place.  Il était juste l' avantage de  l'ouvrir et ainsi le préparer à ma venue, mais bon! On fait avec les moyens du bord. C'est la première fois que je le rencontre et  ce qui m'intéresse c'est évaluer son potentiel. Jusque là, ça va pas trop mal.  Mon pote qui est gay le trouve à son goût  alors je demande à mon soumis du soir de nous montrer sa belle chute de reins. Je m' amuse de l' envie que je lis sur le visage de mon ami mais , non, non, je ne le prête pas... J'ordonne à ma petite chose de se mettre à 4 pattes , direction les salons.  Le pauvre  à eu du mal à se dépatouiller entre sa serviette qui tombe, la laisse que je tiens en main reliée à son collier et celle qui est depuis le début à son poignet  et  maintient ses testicules attachées. C'est vraiment lentement que l' on quitte le coin bar et c'est non sans plaisir car connaissant la gourmandise du compère au comptoir, je suis certaine qu'il se régale à la vue de  ce cul rebondit se tortillant  pour quitter les lieux... Je choisis un salon avec une rambarde à mi hauteur. Je peux ainsi y accrocher la laisse et disposer de ce chien potentiel. Oh je sais  d'avance qu'il va falloir que je me modère car j'ai bien compris lors de nos différents échanges qu'il manque d'entraînement" :)  Avant même que je ferme la porte, un jeune homme se présente tout sourire et plein d'envies. Bien mignon mais pas le moment, je lui ferme la porte au nez lui faisant part de ma décision. J'installe correctement ce cul offert pendant que j' entends le petit quatre heure s'agiter derrière la porte....   J'installe mon stap-on en insérant sa petite partie ronde en moi...  L'autre n' en finit pas de japper. " Laisser moi entrer, je ferais ce que vous voulez. _ Je vais surtout  te botter le cul si tu ne me laisses pas tranquille! " En faite tout ça m' agace et m' excite en même temps. J'ai  bien envie  de le baiser ce petit cul tout rond. Et sous cet angle sa chute de reins et encore plus délicieuse... J' entre progressivement , avec précaution, mais putain que j' ai envie de le baiser...  Je le sens qui vient à moi... L'autre dehors c'est calmé ou je ne fais plus attention à lui, je ne sais pas, j'ai juste envie de limer celui là ... Hum!  Oui , viens  t’empaler encore un peu... Ça me plait... Ça m' excite... Mes reins s’animent, j' ai bien envie de lui... Il gémit, se tortille un peu, et au moment où je commence à y prendre plaisir il se retire en disant stop. Yo!  Ni une ni deux, je lui claque le cul. Il va vite comprendre que le "stop"  ne me convient pas. Mais inutile d'insister, j' en ferais rien ce soir de son cul...  C'est à ce moment que je repense au p' tit 4 heure dehors. ¨P'être qu' il y a moyen de baiser finalement... Je décroche la laisse du soumis et le cale dans un coin. J'ouvre la porte et sans vraiment de surprise, trouve le jeune planté devant. Il est grand mince, appétissant et ça tombe bien j' ai faim... Il regarde mon gode tenir droit sur ma chatte... Pas sure qu'il s'attendait à ça... Je me pose sur le matelas et l' invite à se placer devant moi. Suggérant qu'il suce son gode que je caresse... Je lui parle de son mauvais comportement dans le couloir  en même temps qu'il se rapproche de ma queue. Je sens bien qu'il cherche à l' éviter du regard mais il a tellement envie de me toucher... Ses doigts glissent entre mes lèvres et le strap... Je lui bloque la main en lui faisant comprendre qu'il n'ira pas plus loin sous peine de se faire botter les fesses... Son regard dérape alors sur la posture de mon soumis, tête et regard bas, à genoux dans un coin... Je crois que c'est à partir de là qu'il a commencé à reculé affirmant que non; non; non, lui il n' est pas soumis... " Alors qu'est-ce que tu fous là? "  Allez zou!  Deux petites claques au cul en passant et hop, dehors le gamin... Sauf que du coup, j' ai encore plus envie de baiser... Soit!  Comme je l' ai écris plus haut; Faut faire avec les moyen du bord. Et quand il s'agit de mon plaisir, je sais me servir...  Je sors ma petite chose de son coin et le fait s'allonger sur le dos... Voyons si sa langue peut m'être utile... J'aime  qu'une façon de faire, que je ne décrirais volontairement pas ici. Je l' explique qu'une fois et sois ça passe  et j' en profite, soit ça na le fait pas et je .... Ben ça non plus je le dis pas....  De toute façon ce soir là c'est passé à merveille! Hum! Une langue telle que j'aime à me branler dessus... Là , je suis plus qu’excitée... Je prends mon pied et quand je commence, c'est pas pour m' arrêter... J'ai vraiment envie de le baiser et sa langue m' ayant bien servit il se retrouve la bouche bien humide... Je me redresse et attrape mon jouet. Je vais pas en rester là. Ça serait bien mal me connaitre... J'introduis dans sa bouche la petite partie du srtap-on, celle-là même que je serrais dans mon vagin un peu plus tôt, en lui conseillant vivement de ne pas mordre dedans ... Bien redressé le reste du gode droit au-dessus   . Le voilà transformé en sexe-toys pour mon plus grand plaisir. C'est sans plus aucunes retenues que j' ai enfin baisé à m' en faire jouir.... M'empaler sur mon propre gode tenu par sa bouche c'est tellement excitant qu'il  ne m' a pas fallu longtemps pour en jouir... UNE FOIS... J'ai retiré le gode et me suis fais jouir au dessus de sa bouche... UNE  FOIS ... Tellement bon... Allez encore UNE FOIS... J' ai coulé comme ça faisait longtemps que j' avais pas coulé... Finalement je suis bien contente qu'il ai eu mal au cul...  Je ne serais peut-être pas aller chercher mon plaisir ailleurs... Peut être... Bon le salon est trempé, va falloir nettoyer... J'indique la marche à suivre à mon potentiel car vu comme il s'en est sorti je vais continuer à l' éduquer... Il commence à nettoyer quand je sens monter en moi une envie ... Humm! Allez, il l' a bien mérité; autant aller jusqu'au bout... Je lis en lui un instant de confusion, je lui dis de nettoyer et là je lui dis de s'agenouiller... Il sais plus le garçon...  "Cherche pas! Fais ce que je te dis. "   Il s'agenouille entre mes cuisses et comprends assez vite où je l' emmène maintenant... J’attrape sa tignasse , trop pratique une poignée de cheveux pour guider une tête. Il se tord tant bien que mal pour trouver une position confortable mais va falloir qu'il comprenne que c'est pas mon problème. Son confort n' est pas à l' ordre du jour. J'ai envie de pisser dans sa bouche là maintenant... J'ai envie qu'il me boive et je vais faire en sorte qu'il y parvienne. Du moins au départ... La suite dépendra de ses premières gorgées... Je contrôle jet après jet en lui laissant le temps d'avaler, puis rempli un peu plus sa bouche pour de plus grosses gorgées... Hum! J'ai plaisir à l' entendre déglutir, je  sens  quelques hauts le cœur qui me procurent un plaisir plus pervers... J'en profite pour augmenter le débit... J'hésite à l' étouffer de pisse mais me ravise... Il toussote juste un peu... Je fini par un jet plus puissant destiné à l'humilier, recouvrant sa face de pisse chaude et dégoulinante... Hummm! Quelle bonne fin de soirée... Reste plus qu'à le faire  nettoyer ;) 
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