Je comprends ton pointde vue, et oui, le BDSM virtuel ne remplacera jamais l’expérience réelle, physique, incarnée. Pour moi aussi, il y a une vraie limite : fantasmer, oui. Pratiquer à distance derrière un écran en pensant que c’est équivalent, non.
Mais dans mon cas, je parle surtout de ce que j’ai observé : des femmes, souvent en couple, qui explorent le virtuel comme un espace de transition ou de questionnement. Ce n’est ni idéal ni suffisant, mais c’est parfois tout ce qu’elles s’autorisent. Et je pense que ça dit quelque chose sur leurs blocages, pas seulement sur leurs envies.
Mais dans mon cas, je parle surtout de ce que j’ai observé : des femmes, souvent en couple, qui explorent le virtuel comme un espace de transition ou de questionnement. Ce n’est ni idéal ni suffisant, mais c’est parfois tout ce qu’elles s’autorisent. Et je pense que ça dit quelque chose sur leurs blocages, pas seulement sur leurs envies.
Soyez la première personne à aimer.