Torture des seins, je n'aime pas

Vos limites sont intangibles. Elles ne regardent que vous, vous n'avez pas a les commenter et encore moins a vous excuser d'en avoir. Ce qui n'empêche pas de les exposer calmement. Problème dites-vous? Pour qui? Si un top fait un caca nerveux parce-que vous avez des limites, des preventions, alors c'est lui qui a un problème, pas vous...

Entièrement d'accord avec Marina. Je rajouterais que si un dom ne veut pas poursuivre avec vous au vu de vos limites, c'est que vous n'avez pas les mêmes pratiques, donc, pas de regret. Le mieux serait de tomber sur un homme qui respecte vos limites, et vous redonne petit à petit confiance en ce genre de pratique.

Merci à vous Marina pour votre réponse.Vous savez, je n'accepte pas le pet play, l humiliation trop poussée, scato, et je ne suis pas encore prête pour la sodomie, etc , je pense que ca fait deja beaucoup, si je pose le problème des seins ...

Vos limites sont les vôtres, une personne soumise ne doit pas tout accepter en raison de son statut. Si vous êtes débutante, il est parfaitement normal que vous ayez des préventions contre certaines pratiques, vous découvrez, vous n'êtes pas obligée de le faire à marche forcée sous prétexte que c'est du goût d'un dom.Le BDSM, c'est avant tout une question de respect de l'autre. Fuyez un homme qui ne vous respecte pas, ce n'est pas un dom.

Vous avez vos limites au Dom ou domina de prendre en compte... en tant que soumise vous avez le choix, le choix de dire non.. Apres avec de la communication, patience, confiance les choses evoluerons

Oui surement, vous avez raison.Merci beaucoup, Dame Meg

Il n'y ni obligation quantitative ou qualitative dans le sm. Vous allez sur un chemin choisi a deux pour le plaisir des deux. Et vous y allez à votre rythme. C'est pas un concours. On n'a pas de carte de membre. On ne prejuge jamais de demain. On vit. On aime. On fait ou on ne fait pas. Et on change. Comme dit elle.a on change par confiance vis-à-vis de qq'un et la confiance nait du désir partagé, pas du chantage affectif ou des pseudos obligations nées d'une vision puérile de la d/s

Elle.a Merci beaucoup, je n'avais pas vu votre message.Ca me fait beaucoup de bien de votre votre soutien, et votre vision des choses.Je m'appercoit que beaucoup de pseudos dominateurs rabaissent une soumise si elles ne veut pas faire tel ou telles pratiques. Mais gràce à vous, c'est là que je me dis, que pourquoi changer, vous avez raison, il s'agit juste de temps et de patience pour évoluer, et progresser.Merci à tous, les filles!

Vous avez vos limites, vos envies, et vos besoins. Le rôle d'un dom, c est d en tenir compte, c est de vous écouter et ensuite de voir avec vous les différentes pratiques qui sont possibles ou pas. Après, ces limites peuvent changer, bouger, évoluer et peut être que dans quelques années, vous aurez envie de tenter de nouvelles choses.Un dom, n'a à mon sens, pas besoin d'imposer. Et cela Elle.a et Marina, l'on bien dit.

Je dirais même plus. Les mecs rabaissent les filles quand elles ne veulent pas se plier à telle ou telle pratique. Mais ce n'est, tout au plus, qu'une marque de manque de confiance en soi de sa part. Vous êtes une personne qui a fait le choix d'assumer ses envies, c'est fort et courageux. Inutile d’écouter les tarés mal dans leur peau. S'ecoutez soi même c'est beaucoup mieux je pense.

Ou là là...surtout pas jouer le silence ! tu ne dois surtout pas avoir peur d'en parler et de le définir selon ton degré "d’intolérance" comme un "NON relatif" ou un "NON absolu"....sachant que le but est de passer progressivement ta limite... N'oublie jamais selon le Dom que tu as en face de toi, qu'une soumise a des droits et le Dom a des devoirs notamment celui de te respecter, de respecter ton intégrité physique. Tout est à dire...AVANT pour être sûr que tu ne soit pas irrémédiablement dégouttée à la première séance...

N'hésitez pas à parler avant la rencontre de vos limites actuelle et de vos interdits.C'est au Dom. de dire non (poliment bien sûr) si vous ne lui correspondez pas de suite.Un mot d'arrêt de séance ou de la pratique en cours, stop par exemple est utile surtout pour les premières rencontres, le Dom. doit accepter que vous en ayez un sinon pareil que plus haut il doit refuser de vous rencontrer.

Merci à tous, vraiment, ca me rassure, déjà de ne pas etre seule de ne pas vouloir des pinces à seins.De plus, je vois, aussi que certains dominant(e)s sont pour le fait de partager, et de discuter des pratiques à faire ou non. Ce qui n'est pas le cas de tous. Ca me rassure de vous lire.Mais j'ai parfois du mal à oser dire non pour certaines pratiques

Certains doms que j'ai pu connaitre apportait l'idée de faire un debriefing écrit à froid.Cela peut aussi permettre de parler des choses au calme sans être interrompu ou gèné par l'autre. On peut s'exprimer à cœur ouvert sans forcément juger l'autre mais en exposant juste nos émotions et notre ressenti.

Je ne juge pas du tout votre relation...mais je ne peut être heureux et satisfait en tant que Dom que si et seulement si je sens ma soumise rassurée, sereine et heureuse .... il est impératif de bien se connaitre...dans tous les sens du terme...

Je n'ai pas de relation. En septembre, il y en a une qui démarrera peut etre si tout se passe bien

Bonjour soumise, il est tout à fait de votre droit d'avoir des limites, n'hésitez pas à les partager avec votre maitre, s'il est réticent c'est qu'il n'a pas compris les relations BDSM qui sont avant tout un partage de passions et de respects mutuels.

Bonjour Soumise, vous avez parfaitement droit d'avoir vos limites, si elles ne sont pas comprises par votre maitre c'est qu'il n'a pas assimiler que les relations BDSM sont avant tout un partage de plaisirs avec les limites de chacun à respecter, s'il ne le comprend pas changer de maitre !

Tu dis je n'aime pas être torturée de la poitrine. Ca peut se comprend. Mais est-ce une vraie limite ? Pas sûr. Si ton maître aime te torturer les seins, tu pourrais aimer lui faire ce plaisir en passant outre ton aversion. Le plaisir éprouvé par le maitre est un ressort puissant pour déclencher le plaisir de la soumise.La peur et l'appréhension de la douleur font partie du jeu. C'est un garde-fou pour ne pas aller trop loin. Et les surmonter est une source de plaisir.Le dialogue est essentiel je confirme. Les limites doivent être respectées, je suis d'accord. Et je pense que ton premier maitre est allé trop loin. Mais je pense malgré tout que c'est au maitre que revient la décision de faire ou ne pas faire et d'assumer la responsabilité de ce qu'il fait et non faire peser ce poids sur la soumise.

BonjourEt je veux dire quelque chose de très important, pour toi comme pour tout le monde.Il ne faut surtout pas se forcer, si tu a des craintes sur un sujet il faut absolument en parler, c'est important pour toi, pour que tu passe un bon moment mais surtout pour éviter les risque.De plus ce n'est pas uniquement pour toi cela "protège" aussi l'autre car si il fait une chose que tu ne veux pas mais que tu ne lui en a pas parler ça pourrait mal tourner, donc c'est un respect pour les deux parties.En plus de mon point de vue, ça pourrait être intéréssant pour toi au final, si tu en parle et que ton maitre y prête attention (ce qu'il doit faire) il peut l'intégrer aux séances, comme passer autour de tes seins, ce moment ou tu appréhendera ou tu sera tendu, puis il passera à autre choses, tout en te maintenant toujours sous "tension" de la chose par exemple.

Ton premier maitre a été trop loin. Il y a un blocage, et le mieux est d en parler, et de reprendre a zero... y aller doucement avec des baisers, des caresses.... pour peu à peu faire progresser les choses, mais a ton rythme... et surtout si tu te sens en confiance... sinon ca n ira pas.Et moi aussi je n aime pas qu on touche a mes seins... ;)

bonjour,C'est une pratique que je refuse également et c'est non négociable.Quant aux dom qui veulent pas discuter, comme partout ailleurs il y a beaucoup de gros connards. Si vous vous sentez mal à l'aise prenez le temps de réflechir : est-ce parce que vous êtes en lien avec un pauvre con ?Quant à un jour supporter l'aversion pour faire plaisir à votre dom, chacun son bdsm...pour moi c'est une cause de rupture. Le jour où je capte qu'un dom veut me faire faire qqchose malgré mon aversion, il va se faire foutre.Il y a plein d'autre manière de dominer et d'être dominé qu'en contraignant qqn à faire des choses qui le dégoûtent.Cordialement

C'est ainsi que nous avons fonctionné les premières années (faute de temps pour debriefer et aussi pour éviter peut être une certaine gène) et je confirme que (pour nous en tout cas) cela a très très bien marché. Il n'y a aucune honte à dire ses limites et ce que l'on n'aime pas.

Encore un dominant que ne sait pas respecter les soumises. Dommage car vous voilà dégoutée de ce plaisir. N'est pas maître qui veut, il faut de la patience et de l'écoute pour faire reculer les limites.

Tu as tout à fait le droit de mettre des limites et de t'y tenir!Assez souvent, le Dom y revient sur la pointe des pieds, trés doucement, parce que cette zone les fascine et qu'ils veulent tous etre celui qui parviendra à l'Everest et au fil du temps il se cree un équilibre, on apprivoise les sensations, le traumatisme s'effacera peu à peu

Floryane, si le propos de notre amie avait été de dire j'ai une limite et mon maitre ne la respecte pas, j'aurais été le premier à rappeler que les les limites doivent être respectées.J'ai d'ailleurs confirmé que je pensais que son premier maitre était allé trop loin.Mais lorsque je lis " j'ai remarqué que pendant les les séances je n'aime pas ... etc" pour moi ce n'est pas l'expression d'une limite. C'est une pratique déjà en place, et de fait acceptée. Et il ne m'a pas semblé que notre Soumise demandait qu'on lui apprenne à dire non. J'ai donc indiqué une voie, qui puisse peut-être l'aider à vivre cette pratique, dans la mesure où elle le souhaite. Si elle veut s'arrêter, c'est très simple, qu'elle arrête, et nous on parlera d'autre chose.

Bonsoir Soumise,Je pense que c'est à ton tour de faire confiance aux dominant(es) la confiance viens dans les deux sens il faut que tu en parle à la personne ditecomme dit plus bas s'il refuse de comprendre et de te respecter alors tu mérite mieux, mais tu te dois de faire confiance à ces personnes que tu choisis :)Amicalement.

Eulenspiegel,mon dominant avait confiance en moi car j'exprimais tout ce qui concernait nos moments bdsms. Beaucoup pendant et encore plus après.Il avait confiance : -en ma capacité de savoir ce qui me faisait du bien ou pas-en ma capacité d'être présente dans la relation à part égale-en ma capacité à rester affectivement indépendante ; à ne pas glisser de être dominée à me faire prendre en charge.D'ailleurs avant la première rencontre il a exigé beaucoup d'échanges mails premier degré pour essayer d'être sûr que je n'étais pas une femme qui cherchait désespérément un mec, acceptant la soumission juste pour avoir un mec ou que je n'étais pas trop "déséquilibrée" à ses yeux.Quant à tout ce qui a été dit ici, cela peut s'entendre mais je mettrai une grande nuance : la première relation bdsm versus soumission ; où il est bcp plus difficile de s'y retrouver, de discerner et où il est très facile de dépasser ses propres limites en ne le découvrant qu'après ce qui peut être vraiment horrible

Voilà ma petite contribution sur ce sujet bien plus large qu'un téton.C'est effectivement une grande responsabilité pour le Dom que d'être attentif aux limites, qu'elles aient été exprimées avant (par le Dom et la Soumise) ou non (là c'est plus dur).Qu'un individu soit assez stupide, "criminel" est mieux finalement, pour ne pas respecter les limites que lui a donné sa partenaire, c'est qu'à la base ce n'est pas un Dom, au mieux un prédateur, plus couramment un violeur.Le BDSM c'est avant tout du consentement. C'est une évidence mais jamais inutile de le rappeler.L'art est difficile et Dominer c'est à mon sens beaucoup d'écoute, de dialogue ... et du plaisir partagé.J'ai eu le plaisir d'avoir des partenaires Maso et il faut beaucoup de self control. Les femmes Maso me fascinent, m'émeuvent, me bouleverse .. et m'attire. J'aime offrir de la douleur mais pas faire du mal, et faire saigner c'est faire du mal, la preuve avec la mauvaise aventure de @Soumise.Nul est à l'abri d'une erreur, comme le point de départ de ce sujet : blessure aux seins à cause de pinces trop agressives. Je ne suis pas Maso (réellement Sadique) mais je me suis toujours testé sur moi avant de faire. Cela me permet de tester ma force. Je commence également progressivement et suis très attentifs aux réactions de ma partenaire.

nan, ça va à admettre...

c' est une évidence que le travail des tétons * ( comme toute autre endroit sensible d' ailleurs ) doit toujours s' effectuer très progressivement ... et surtout provoquer le miracle des endorphines par une douce douleur sans laisser de traces au début permet de maintenir un rythme des séances satisfaisant pour les deux partis !!!

Bonjour soumise novice,Il est parfaitement normal d'avoir peur de se faire torturer surtout à un endroit aussi sensible que les tétons. Le fait est que s'il vous a fait saigner, c'est que votre Maître ne maîtrise pas ce qu'il vous fait justement. Je serais vous, je regarderais si d'autres Maîtres plus compétents seraient prêts à poursuivre votre formation en prenant mieux en compte votre sécurité. N'hésitez pas à leur demander un contrat qui engage leur responsabilité en cas d'accident (arrêt de la séance, premiers soins, contact des secours). Le fait est qu'en ce qui me concerne, celui qui vous à fait ça est un boucher. On n'utilise pas de pince industrielle sur des gens en ne faisant pas suffisamment attention pour arriver à les faire saigner. De plus, on ne commence pas avec des pinces industrielles sur une novice. Enfin personnellement, je n'ai pas besoins d'une pince industrielle pour torturer les seins d'une femme, une simple pince à linge suffit largement. Si je veux vraiment faire mal, je mets la pince à linge et j'appuie par-dessus, c'est largement suffisant pour faire mal à n'importe qui, pas besoins d'une pince universelle, d'une pince étau ou d'une pince bécro.Ensuite, pour que vous en retiriez du plaisir, il faut que l'on vous entraine en stimulant simultanément vos tétons et que l'on vous masturbe en même temps pendant plusieurs séances. On y va pas comme un bourrin avec des pinces industrielles. Au début, on met une pince à linge pendant une minute durant laquelle on la masturbe, puis on masse et on suce les tétons pour que la soumise comprenne qu'après la torture viens le plaisir. Ce n'est pas inné d'éprouver du plaisir avec les tétons… C'est un entrainement pour que votre cerveau associe la torture des tétons avec un plaisir des voies basses.Enfin, une limite dure est une limite dure. Si votre Maître ne la comprend pas, changez de Maître. La confiance ça ne se reçoit pas uniquement, ça s'entretient et si on veut que la relation s'approfondisse, ça se construit. Le Maître doit vous inspirer confiance. S'il vous inspire de la peur physique dans le sens où vous avez peur pour votre vie ou votre santé physique ou mentale parce qu'il ne respecte pas vos limites, c'est que vous devriez quitter votre Maître, voire le ghoster carrément.Il est certes possible aussi de retirer du plaisir en seulement satisfaisant son Maître, mais le Maître à le devoir légal (je veux dire que vous pouvez l'envoyer au tribunal pour cela) de ne pas faire n'importe quoi avec sa soumise. Saigner sa soumise à coups de pince démontre clairement que ce Maître ne sait pas ce qu'il fait, qu'il ne considère pas sa soumise comme un être sensible et c'est en ce qui me concerne un homme à la limite de la psychopathologie.En espérant que ce genre d'expérience ne soit jamais plus reproduite sur votre personne ni sur aucune autre.

Raisonnement pertinent.Le consentement est une base fondamentale et pas que en BDSM.Déplus, si il y a une volonté de forcer une limite personnelle suite à un échange, le/la dom est responsable du dépassement et doit calmer le jeux si cela dépasse les limite de la soumise ou l'accord préalable, sans quoi cela entre dans le domaine du viol selon le terme légal et ce n'est probablement pas le but de la quasi totalité des soumis/soumises.