Bonjour je publie ce nouveau poste à la suite de la lecture de celui intitulé 'la gifle'.
Houuu la gifle...
Encore jamais vraiment reçu de mon maître. Il sait je pense à quel point ce pourrait être traumatisant.
Hier il m'a légèrement claquée derrière la tête parce que je cherchais l'affrontement. J'étais particulièrement déprimé suite à un mauvais déroulement de nos jeux. En effet c'était la 1er fois où je me sentais (vraiment) prête pour ajouter une 3ème personne pour un début en douceur avec au programme juste un peu dévoilement de mon corps. Comme je suis très complexée de mon corps pour moi l'exhibition est un sujet ... compliqué. Mais je me sentais prête. Donc on en parle à notre potentiel partenaire et manque de bol il était pas intéressé. Du fait que j'étais déjà maussade, ce refus m'a remué. Étant de mauvais poil j'ai cherché la punition toute la soirée. Et j'ai fini par la trouver. Bizarrement ça ne m'a pas suffis. La est mon problème. Quand je suis dans des états comme celui la j'ai beau avoir mal (très mal, j'ai la peau plutôt dure et je ne suis pas une plaintive . Hier on en est venu à la cravache et au martinet tout de même.)ça ne me suffit pas, voir ça me donne envie de me rebeller encore plus. Jusqu'au moment du coup tellement fort que je me résigne et me calme(tout de même frustrée, mais moins). Problème n°1 que faire? Je ne marque pas vite et pourtant je suis couverte de marques de dents, cravache et martinet et ça ne me suffit pas à extérioriser ma douleur.
Tout ça pour en venir au fait qu étant petite j'ai pris pas mal de beignes et que j'ai vécu une expérience traumatisante qui font que je suis terrifiée à l'idée qu'on touche mon visage. Il lui a fallut 3mois avant de pouvoir. Aujourd'hui en ce qui le concerne il n'y a plus aucun problème. Il a un libre accès. Voilà ma 2eme question est ce que je devrais tenter le plaisir de la gifle car cela me fait un peu peur? Mais après la lecture du poste je me dis que cette petite mais néanmoins significative humiliation suffirait peut être à me calmer et me ramener à l'odre. (Même si en vérité mon maître s'y prends très bien quand il veut me faire comprendre que la limite est atteinte. Et il n'a pas besoin de cravache. Sa voix suffit.)
Merci à tous
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#1
Bonjour Schazoé
Pour votre problème N°1 , ce que vous cherchez c'est extérioriser votre douleur intérieure c'est cela ?
Concernant les "jouets" à disposition, certains font largement plus mal que d'autres , y compris dans les martinets : la badine, la canne, la paddle en bois (pas en cuir)....Quelques bons coups bien donné devraient vous satisfaire je pense ;-)
Concernant la gifle, je trouve très bien que votre dom ne soit pas enclin à le faire étant donné votre passé traumatisant . Il prends soin de vous et ne veut pas vous faire de dommage.
Puis-je vous demander une chose ? Pourquoi aimeriez-vous plutôt associer la gifle à un rappel à l'ordre (et donc à une punition comme dans votre enfance) plutôt que de l'associer à du plaisir et donc transformer sa signification ?
(c'est sans jugement)
Amicalement
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Je ne sais pas. je pense que actuellement je ne la conçoit pas autrement peut être fera t il évoluer cela.
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#3
Je ne sais pas. je pense que actuellement je ne la conçoit pas autrement peut être fera t il évoluer cela.
Merci de votre réponse...
Il y a une partie du chemin que vous aurez également à faire...Mais je suis certaine que vous y parviendrez...
Bon cheminement à vous
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Merci à vous surtout! Merci d'avoir pris le temps de me lire et de répondre à mes craintes.
Bien sûr mon maître lira tout ce que j'ai posté mais avoir une réponse de quelqu'un d'extérieur de temps en temps me permet de m'éclairer sur comment font et pensent les autres. Ainsi que sur un point important, après discution avec quelques maître je me rends compte que le miens sait être très patient. Je le savais déjà, certes, mais en tant que soumise on quand on donne beaucoup et on aime voir à quel point son maitre donne en retour. Et inversement, quand il donne on aime le rendre fière.
Je sais qu'il me guidera sur bcp de points d'ombres qui me terrifient encore.
Je vous souhaite la meilleur des continuation.
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someone
#5
Étant donné que la baffe ne vous sied guère, peut-être que le biffle s'en trouvera a votre avantage, je m'explique :
en prenant en compte cet organe, dépourvue de tout os et trouvant son imposance par ce simple fluide sanguin qui décuple son volume par simple gonflement tel la basique réaction d'une éponge sèche dans de l'eau, l’expérimentation de cette pratique sexuel avec votre maitre avant de passer a cette pratique brutale qui consiste en un choc entre l’organe préhensile effecteur situé à l’extrémité de l’avant-bras et relié à ce dernier par le poignet et la partie joufflue sur la partie supérieure du corps, qui est le siège du cerveau et des principaux organes des sens pourrai peut étre constituer une étape dans l'acceptation de la baffe.
Ps :
N'y voyez ici qu'une alternative (rigollote? j'avoue ! que je me suis un peu amuser à écrire (: ) hors du contexte sortie d'un cerveau légèrement fatigué par les bars de la rue de la lappe et l'heure tardive o:)
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Haha! J'aime bcp! Mais la bifle c'est déjà expérimenté. Mon maître sait l'utiliser quand il le faut ^^. Peut être très humiliant en fonction de la situation. Juste exquis.
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Bonjour, je me permets de répondre même si ce sont des réponses de dom que vous cherchez. Mon maitre utilise de moins en moins la punition physique dans ce genre de situations. Sauf quand en fait mon besoin de révolte est juste dû à un mal être. A ce moment il concède à me donner ce que je demande. Sinon les punitions où je peux l'envoyé paitre sont du coup inefficace. Aujourd'hui j'ai suffisamment de dévotion pour répondre au son de sa voix. Un 'suffit' à la bonne intonation et je m'applatis immédiatement. Mais au début il m'attachait simplement jusqu'à ce que je me calme. Ou bien un seul mais puissant coup de cravache était très efficace. Pas de plaisir à tirer de la punition. Juste une marque douloureuse.
En revanche la menacer de changer de soumise c'est très extrême. Il l'utilisait parfois et j'en suis marquée. encore aujourd'hui ça me terrifie. Et quand il est pas là ça m'arrive d'en cauchemarder.
Très cordialement.
ps: mon maître utilise une autre techniques très efficace. Il m'ignore, reste froid et distant. Ça m'est très douloureux et est suffisant. En effet signifier que l'ai déçu dans mon statu de soumise est de base très douloureux. Comme je suis bornée les premières minutes je m'entête puis je reviens en rampant dès que j'ai saisi que ce que j'ai fais été décevant pour lui.
Dernière modification le 04/01/2018 09:32:11 par Schazoé.
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#8
Bonjour à vous,
Je suis plus partisane de fouiller pour savoir ce qui motive la personne soumise qui cherche la punition :
- est ce un besoin d'attention ?
- est ce la manière dont elle aime interagir ?
- a-t-elle un problème dont elle n'a pas osé parler ?
- cherche-t-elle à provoquer afin d'avoir une réponse forte pour extérioriser sa douleur comme Schazoé etc
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Et je suis tout à fait de cet avis! très souvent c'est dû à un mal être chez la soumise à ne pas négliger. Car ça peut s'aggraver.
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Maître des Lys
#10
La chance Schazoé est d'être en les mains de ce Maître dont le premier talent semble s'exprimer par l'écoute, l'étude devrais-je dire : quels sont les traumatismes du passé, quelle est l'actualité émotionnelle du moment et quelle lecture faire du comportement lorsque vous êtes réunis.. Sur cette base le champ des possibles s'élargit naturellement en confiance.
Ainsi le besoin d'extérioriser une douleur ou une humeur, d'exprimer un désir ne nécessite que l'usage de quelques mots qui seront normalement bien saisis : inutile alors de jouer à la peste pour provoquer une punition, le risque étant de recevoir comme punition l'absence de punition (ma méthode préférée dans ce cas).. Une séquence SM bien relevée (bien plus badine que cordes) devrait alors répondre au besoin d'exprimer ce cri intérieur.. Quant à la voix sur un début de déraillement, on oublie trop souvent que c'est, avec les yeux, un outil d'une redoutable efficacité pour repositionner dans l'axe..
Concernant la seconde question on touche là, selon moi, à l'humiliation, chose des plus délicates car destructrice. Dans ma façon de faire, une humiliation (gifle, uro, paroles difficiles,...) est préparée à l'avance et écrite sur mesure, déroulée si le moment s'y prête, terminée par un "fin de la séquence", aftercare et obligatoirement débriefing.. Ceci interdit l'humiliation sur un coup de sang. Ainsi Schazoé si la gifle (pratique que j'affectionne aussi peu que les aiguilles, sauf si cela m'est demandé) renvoie à une exploration et non plus à une humiliation : retour au premier point, Lui proposer d'y travailler, ce qu'Il fera probablement de façon progressive : la gifle devenant un des domaines de vos jeux..
Pour finir, et toujours à titre de témoignage, c'est à la soumise en mes mains de me demander une punition pour une bêtise qu'elle aurait commise, me faire une proposition de modalité que j'amende en plus ou en moins rude. Une autre forme de correction s'apparente à la méthode anglaise pour des révision de positions, réalisation d'un défi en ma présence, ou autre obéissances, est l'usage de la trique, de la badine ou, le plus souvent, de la cravache : sémantiquement le mot "rectification" sera préféré à "punition"..
Bonnes découvertes Schazoé..
Dernière modification le 04/01/2018 15:58:58 par Maître des Lys.
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Hamadryade
#11
Question très difficile et j’ai peur que ma réponse vous heurte alors que ce n’est absolument pas ma volonté.
Selon moi vous faites l’erreur de considérer le BDSM comme une thérapie possible à votre mal être et je crois que ça ne peut être qu’une impasse. Beaucoup de personnes en ce monde portent des stigmates mentales d’un passé douloureux quel qu’il soit, beaucoup aussi souffrent de complexes physiques importants, beaucoup sont des êtres abîmés par la vie. Mais chercher la rédemption, le soin, le dépassement de ses propres problèmes dans une relation, BDSM ou non d’ailleurs, n’est pas la bonne solution.
Pour qu’une relation fonctionne, ici ou ailleurs, il faut avoir su en amont se guérir de ses failles, ou au minimum avoir réussi à combler les plus importantes. La phrase est très bateau mais elle est pourtant vrai « avant de demander à quelqu’un de nous aimer, il faut apprendre à nous aimer nous-même ».
Tant que ce travail sur soi n’a pas abouti, on ne fait qu’aller d’échec en échec, on en ressort encore plus abîmé et on va systématiquement vers ce qui est le pire pour nous et qui nous enfonce de plus en plus.
J’ai très longtemps été prisonnière de cette spirale du désamour de moi, allant jusqu’au mépris de moi-même et au rejet de celle que j’étais. Cela me poussait à me diriger vers des personnes qui ne me correspondaient pas du tout, et que, sans même en avoir conscience et sans que ce soit pour le moins volontaire, je méprisais. En fait, étant alors totalement convaincue que j’étais moi-même totalement méprisable, je ne choisissais que des partenaires que je jugeais suffisamment méprisables et peu exigeants eux-mêmes pour pouvoir les imaginer capables d’accepter quelqu’un comme moi dans leur vie. Et à chaque fois bien évidement la relation était vouée à l’échec, même avec énormément de persévérance et des énormes couleuvres avalées sans broncher.
Puis un jour je me suis effondrée, j’ai vraiment touché le fond du fond, et soit je réagissais soit …. La seconde option n’était pas envisageable et j’ai donc été forcée de me prendre en main. J’ai trouvé par chance une psychologue avec qui le dialogue est très bien passé et j’ai vidé mon sac, j’ai tout lâché, toutes les souffrances passées, toutes les douleurs accumulées. Et même si ça n’a pas été miraculeux dans l’instant, j’ai pu, grâce à elle, évacuer le plus gros de la noirceur qui m’envahissait. Et ensuite le temps à fait son œuvre. J’ai continué à travailler sur moi, je me suis tout simplement appuyée sur l’aide qu’elle m’avait apporté au cours de ces mois de thérapie et j’ai continué à avancer dans la bonne direction. Aujourd’hui, pratiquement 2 ans après, tout n’est pas parfait, mais je ne me méprise plus, je sais ma valeur dans de nombreux domaines, certains restent encore un peu difficiles, mais ce n’est rien du tout en comparaison de ce que je pensais de moi-même avant ce passage par la case psychologue.
Aujourd’hui je suis une soumise qui fuit la punition, qui ne la recherche jamais, et l’idée même de pouvoir décevoir mon Maître au point qu’il ait besoin de me punir me traumatise. Ce ne sont pas les coups de cravaches ou les gifles que je redoute, mais tout simplement de savoir que je l’ai déçu. Et cette idée est bien plus insupportable pour moi qu’un « passage à tabac ».
Aujourd’hui lorsqu’il marque mon corps, il le fait pour son plaisir et le mien s’en trouve décuplé. Quand je regarde mes marques elles sont le souvenir d’instants de délice et non le souvenir d’une faute commise. Ça fait une très grande différence dans les sensations que l’on ressent, la fierté et le bonheur surpassant largement la culpabilité et la honte de n’avoir pas su bien se comporter.
J’ai bien peur qu’aucune punition puisse vous guérir de votre passé, vous seule avait cette capacité là, et pour y arriver une aide professionnelle extérieure me paraît impérative. En tout cas ça l’a été pour moi.
En souhaitant que vous puissiez trouver une sérénité réconfortante à l’avenir et en espérant que mes mots ne vous aient pas blessée.
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Dame Meg
#12
Réussir à s'aimer, ce n est pas facile.... J ai moi même du mal. Et il m est donc difficile à comprendre que l on puisse m aimer... comme si ce n était pas possible. Je vous rejoins donc en ce sens où on a besoin d'une punition... pour essayer de se pardonner certaines choses....
La douleur pour oublier la colère en nous, pour lâcher prise.
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swanny33
#13
Bonsoir Schazoe,
Je ne répondrais que sur la pratique de la gifle.
Je ne supporte absolument pas la gifle et c'est une pratique qui est un tabou absolu ! Pourtant j'ai eu une enfance très heureuse et choyée. Donc aucune relation de cause à effet ! tout au moins me concernant. Je sais aussi que c'est une pratique que je ne tolérerai jamais. Je n'ai aucune honte ni gène à le dire et l'imposer. Il y a suffisamment d'autres moyens, un Dominant respectueux et intelligent respectera toujours cela. C'est ce que fait le vôtre et c'est très bien. Ne focalisez donc pas , ni ne culpabilisez , votre Dominant vous connait et sait très bien s'adapter semble t il . Continuez sans crainte votre cheminement, la gifle n'est qu'un détail et nullement une obligation.
Bonne soirée
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Depuis un certain temps nous la pratiquons. Et ca me fait toujours peur mais il associé ca au plaisir. Et je dois bien avouer que je suis FAN, j'adore. Ca intervient généralement pendant une fellation. Et ca me fait frémir.
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Magaligalinette
#16
Bonjour,
Une forte gifle il en est hors de question qu'un homme m'en mette une par contre en effet une petite claque sur le visage en train de lui faire une fellation en le regardant dans les yeux c'est complètement différent que les gifles cela est complètement différent. D'ailleurs j'ai vraiment du mal a comprendre le plaisir qu'une femme a de se voir infliger des coups sur le visage .
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Tindalos
#18
86103
Nikik b kaf
Gnêêêêê ?
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