Je ne sais pas si nos échanges ont permis à Courtie de trouver des réponses. Ce qui est sûr par contre c’est qu’ils témoignent de la complexité des relations bdsm. Chaque relation est unique, le résultat d’un dosage subtil et sans cesse en évolution de désir, de pouvoir, de sexe.
Je suis d’accord avec sonange quand il dit que se « se soumettre est un acte « actif », être dominé, non ».
Le choix premier est de se soumettre, de vouloir se donner entièrement à l’autre.
Ensuite, la soumise (ou l’esclave dans mon cas) n’a plus le choix. Elle devient un simple objet entre les mains de son Maître.
Le paradoxe, c’est que c’est le rôle le plus simple à assumer : subir ce que le Maitre décidera.
Au contraire, c’est sur le Maitre que pèse la responsabilité la plus lourde. En contrepartie du pouvoir que lui confère l’esclave, il devra tout en essayant d’obtenir d’elle le maximum de plaisir pour lui, faire en sorte de repousser ses limites à elle et veiller à tout moment à ne pas aller au delà de ce qu’elle peut endurer au moment où il l’utilise.
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