Réflexions quant aux échanges qui précèdent.
Je ne répondrai pas pour LMT (Lemaitre-trader). Il est assez grand pour le faire s’il le juge nécessaire.
Ni même pour moi, peu m’importe ce que ceux/celles qui se sont exprimés pensent de moi.
Mais l‘agressivite de certains messages en réponse à sa présentation me laisse a minima perplexe, à fortiori sur un site consacré au bdsm.
Mes parents m’ont donné le goût de la liberté, m’ont appris à faire mes propres choix, à condition de les assumer.
J’ai aussi appris d’eux la tolérance, le respect de l’autre, le désir d’echanger avec mes semblables, à toujours essayer de comprendre plutôt que de juger.
Adolescente, j’ai pris conscience de mes désirs, de mon attirance pour les mecs qui s’assument en tant que tels, j'ai découvert le plaisir de me soumettre.
Je ne sais pas ce qui m’a poussée à cela, alors que rien ne me portait vers ce type de relations, alors même qu’en tant que femme je ne me considère en rien comme inférieure aux hommes, sauf dans l’intimité, où j’eprouve le besoin qu’ils me traitent en soumise, en esclave, à leur disposition et qu’ils abusent de moi.
Aujourd’hui, j’appartiens à mon Maitre, parce que je l’ai choisi et qu’il m’a acceptée pour être son esclave.
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Si j’ai souhaité la bienvenue à LMT dans les termes que j’ai employés, si j’ai répondu à sa demande d’amitié, à aucun moment je n’ai envisagé de m’offrir à lui ni a fortiori de trahir celui auquel j’appartiens. Les mots ont un sens, à condition de savoir lire.
J’ai employé ces mots parce que Lmt m’est apparu dans l’image donnée de lui dans sa présentation comme l'archétype du jeune Mâle, arrogant, sûr de lui et dominateur.
Mais je sais que cette image cache souvent des questionnements, une profondeur au delà des apparences. Et c’est ce que j’ai voulu appréhender.
Non seulement j’assume mais je réitère donc mes propos. Bienvenue, LMT.
Je conclurai avec une citation, de Maurice CLAVEL, que mon Maitre utilise parfois, face aux intolérants de tout poils (même si ni lui ni moi n’etions nés quand Clavel l’a utlisée), « Messieurs (ou Mesdames), les censeurs, bonsoir »
Ultime post scriptum : je me fous complètement du fric que peut gagner LMT. Je gagne suffisamment bien ma vie pour que l’argent n’ait jamais été pour moi un déterminant de mes choix et de ma relation aux autres.
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