1000016443

Fantasme ou Suggestion ??? Je te reçois dans une ancienne longère de Bourgogne, dans un petit village rurale. Un ami parisien me laisse les clés mais sait que ce soir, c'est une chienne qui va m'offrir sa complète soumission. Peut être nous rejoindra t-il ! je suis le seul à savoir s'il en a eu l'autorisation. Tu viendras comme tu veux. Seules obligations, pas de pantalon et pas d'affaires de rechange, pas de bagages. Tu repartiras comme tu es venue dans deux jours. Interdit de lever les yeux et de sourire en arrivant, aucune manifestation courtoise. Je te veux muette, servile et réactive à mes désirs. Avant d'entrer, tu laisseras derrière toi toutes initiatives, tous désirs, tous besoins et t'en remettras à mon attention. "Entres"... à cet ordre tu iras jusqu'au milieu de la pièce principale et attendras que je te rejoigne pour t'inspecter. Si tu lèves les yeux sans en avoir l'autorisation, tu porteras un bandeau pendant tout ton séjour, si tu parles, un bâillon. Sans te toucher je tournerais autour de toi, lentement, dévisagerais ton cul, écarterais ton col pour constater ta honteuse poitrine. Je dégagerais ta chevelure pour libérer ta nuque. "Diriges toi jusqu'à la table et pose y la paume de tes mains". Je te suis de près et sans relever ta jupe, je baisse ton slip jusqu'à mi-cuisses, de mon pied j'écarte tes jambes autant que me le permet l'élastique de ta culotte tandis que mes doigts à ton cou colle ton buste sur la table. Tu sais que ta nudité ne m'est pas encore offerte, mais tu sens bien que ta chatte est à l'air libre et tu te doutes bien qu'elle sera tôt ou tard fouillée... mais quand ? J'attache tes pieds à ceux de la table et t'ecarte les bras pour attacher tes mains aux 2 autres pieds. J'aime ta croupe immobile, tendue, que seul un bout de tissu protège désormais, je te le fais savoir pour que tu prennes la mesure de ta vulnérabilité. Tu l'acceptes mais tu voudrais que ça aille vite maintenant... une fessée, un doigt, une langue... n'importe quoi mais qu'on s'occupe de ce postérieur qui a pris la pose... Au lieu de ça, je m'éloigne et pars en cuisine me servir un verre de blanc bien frais. Ces secondes te semblent être de longues minutes et quand je reviens enfin tu te demandes si tu ne vas pas rester ainsi pendant d'autres autres longues minutes... je fais glisser ton chemisier jusqu'à ton cou et soulève ta jupe sur tes reins. Tes seins sont écrasés sur ce bois ciré et ta raie ressent déjà le frais de la pièce. Comme une brise d'été, je souffle mon haleine sur tes pathétiques ouvertures. Oui tu avais raison de croire que tu devras attendre jusqu'à en perdre espoir que je te surprenne, car c'est bien ce que tu espérais, recevoir sans savoir quoi à l'avance. Au lieu de ça, je prends mon temps, je jouis de te regarder sur toutes tes coutures, je prends plaisir à te voir impatienter, et dès que ton visage montre des signes de nervosité je place un miroir devant ton visage pour que tu puisses contempler ton air déconfit. Puis, à côté de ton reflet, j'étale plusieurs objets insolites, tous chinés aux alentours, certains pouvant être insérés, d'autres promettant des impacts possibles, et d'autres encore dont il est impossible de savoir pourquoi ils sont là... mais ils seront effrayants. Tu es à moi... Tu es ma poupée... Personne ne viendra te sauver... Tendrement je déposerais un baisers sur ton épaule et je te sussurerais avec une voix douce "T'inquiète pas ma petite putain, je vais bien et longuement m'occuper de ton petit cul de salope... on va déjà te le laver... je vais faire ta toilette intime." Je reviens un peu plus tard avec deux bassines d'eau, une froide, une bien tiède et dans chacune d'elle un gant de toilette. Je commence par te laver à l'eau chaude et au savon en partant de ton pied droit. je remonte doucement sans oublier un centimètre de ta peau, je ne lave que ton pied, ta jambe droite et ta fesse et ta vulve droite. Je m'arrête à tes reins. Puis je te rince à l'eau froide, toujours avec un gant, et toujours que le côté droit. Tu ne te sens fraîche que d'un côté, ton côté gauche te semble pouilleux en comparaison. J'ai décidé que je ne m'occuperais que de ton côté droit et pour coller avec mon envie du moment j'enlace de mes bras ta jambe parfumée. Un bisou sur ta fesse droite et c'est parti pour une série d'impacts. Une fessée pour commencer me semble appropriée... j'ai apporté mon martinet, ses lanières sont douces et lourdes, leurs longueurs promettent de possibles fouettages mais j'aime les laisser glisser sur la rondeur de tes fesses avant de les poser lourdement sur tes reins. Pendant de longues minutes j'aime faire croire qu'aucun coup ne sera douloureux... et pour cela, habituer et résigner ton esprit à ne recevoir que des caresses. J'alternerais avec une padelle de fortune (une planchette par exemple) et une badine taillée dans un des arbres du jardin (seulement pour les marques qu'elle laissera et les photos que je ne manquerais pas de prendre)... "abois une fois si tu veux que je tape plus fort" "regardes toi comme tu es pathétique, sur cette table de cuisine, la croupe à l'air et la mouille prête à couler le long de tes cuisses. Tu es ridicule et magnifique dans ce don de toi" "abois comme une chienne qui quémande un biscuit" "quand ta fesse droite sera bien marquée, tu pourras gambader dans la pièce et dégourdir tes pattes et je pourrais me réjouir de te voir heureuse et insouciante" "mais en attendant j'ai besoin de ton cul pour faire mon propre vin" Au frigo, j'avais préparé deux belles grappes de raisin blanc italien, de gros grains fermes et froids que je te fais découvrir. "ouvres la bouches mon outre"... délicatement je glisse entre tes lèvres un de ces grains plein de jus. "le reste est pour ton cul... ouvres ton cul, tout doit entrer" L'un après l'autre, je te remplis de tous le raisin restant. Ta fesses droite encore brûlante de mes flagellations, contraste avec ces froides et glissantes insertions, petit à petit tu te sens pleine, pleine de frais et de billes, et de plus en plus il te tarde de pouvoir tout expulser, afin de revivre dans l'autre sens tout ce que ton cul a gobé goulûment. "non ma chérie ! ce n'est pas fini ! il me faut piler le grain maintenant et en faire du jus... mon vin, ma cuvée spéciale "Veuve clito". Devant tes yeux ébahis, je défais mes boutons pressions et sors mon sexe déjà dur et tu te console de ne pas devoir le prendre en bouche... ta mâchoire te fais mal rien que d'y penser. "je vais te pilonner le grain, encaisses sans broncher, tu es mon sac à foutre, aujourd'hui ce n'est pas mon jus qui va t'inonder... prends garde à ne pas laisser fuir une seule goutte, serres ton sphincter, tu seras la première à goûter ma cuvée".......... Je ne pouvais pas rêver mieux que ce petit cul sur ce bord de table. Je pense à toutes les photos que je vais pouvoir publier sur le site, je vais déconstruire ton profil trop propre, trop petite bourgeoise un peu brat, un peu trop gentille chienne et montrer à toute la communauté, la vraie cochonne, la vraie larve qui sommeille en toi... à moins que tu ne me sois à jamais fidèle et que tu apparaisse dès que je te siffle. Non, tu n'es pas à construire, tu n'es pas de celles qui cherchent à éclore en papillon... tu es plutôt le contraire... un papillon qui veut redevenir chenille rampante et dénuée de sens. Pour l'heure, tu crois ne vouloir que quelques gentils impacts, qu'un peu d'humiliation et quelques promenades réincarnée en chienne obéissante... Tu auras droit à tout ça, c'est facile, c'est mignon et ça agrémentera quelques soirées d'hiver... j'attendrais que tu ne puisses plus te passer de moi... pour t'amener dans ma noirceur, pour te pousser dans le néant, dans cette autre vie sans responsabilité. Tu seras mon esclave, ma prisonnière, tu vivras nue, aucun privilège humain, aucune commodité ne te sera accordé, tu partageras ta couche avec mon chien, tu dépendras de moi pour tout, pour te nourrir, pour le laver, pour satisfaire tes besoins. Il te faudra attendre, espérer, aboyer, t'exprimer sans parler, avec tes yeux, avec ton corps, mon chien sera ton maître, tu devras suivre son exemple...