Parloire
le 06/01/18
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Bouches-bées ,
Dévastant l'adversité, d'un regard en un sourire,
l’alphassurance trouble sans un doute, j’attise..
Rictus en commissure, condescendance propriétaire,
laissée à ma main, salivant aux lèvres félines.
L’hache-hâte vibre sous tension, odeurs métalliques.
Tes bouches scellées, très chastes dégoulinent...
L’effort sex-herses, flairs-aumônes aux-pressions,
rassemblant l’assemblée intimiste du chenil,
en fosse aux hyènes excitées, vortex de meute aux abois..
Focalisant en l’objet hypnotique : mon fauve domestique.
Insoumise à ma suite, à ma chaîne, déambulants tranquilles.
Ça ricane dent-vie, tombées en silences, impassibles,
pas feutrés et queue basse, les femelles badent.
L’épine se hérisse, propriétaire. Ma main câline apaise: observe.
Haut en bas répétitifs, acquiescent cent maux
ne re-gardent pour elles que des miettes impalpables.
Mâles en souffrance, affamés, à la curée insatisfaisante,
cherchent des doigts ta chair fraiche alléchante.
Orifices, mon emprise. Mains de surface.
.
J’observe en prêt, bouteille scellée à l’amer,
Mâles-heureux caressent en vagues, inlassables?
Laissée à ma main, les bouches écument..
Les frustrations montent? sourire canin, en jeux du cirque.
Droit d’en-vie ou de de boucherie, ton empereur attise.
Les mains s’acharnent, félin en-prise, écartelé, forcé.
Rugissement bâillonné, excitations sous contraintes.
Chaîne tendue, ma main attrape, écarte, et force;
l’attache ne saute, le cabot jape et sex-quive ruiné.
Tu m’excites ainsi offerte, docile dans l’arène.
Libérant ta bouche, en récompense soumise
En bouche ouverte tu te figes..
sans en perdre une goutte, je referme ta bouche.
Et puis le bâillon scelle.
.
Les frustrations tempêtent au dehors, en dedans.
De mon regard en un sourire, mes mots chuchotent.
Salive écumante, ma main essuie vers ta nuque, tendrement.
Regards en flèche: « déglutit, ça les excite.. »
Défit d’orgueils.. « ça m’excite aussi »
Laissée à ma main, les gueules aboient, la bouche pleine.
Les frustrations montent.
L’emprise au poing, l’empereur se retire, propriétaire.
Insoumise à ma suite, à ma chaîne, déambulants tranquilles.
Focalisant en l’objet hypnotique : mon fauve contraint
Lèvres écumantes, métalliques.
L’alphassurance trouble sans un doute, condescendance propriétaire.
La fosse au chenil, frustrée se jette à la curée
Sur les femelles qui badent, bouches bées..
Sourire canin, enjeux du cirque.
.
Parloire
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22 personnes aiment ça.
PetitPrince
Superbe.
J'aime 06/01/18
Lady Spencer
Ahhhh, je savais bien que la pub ne nous montrait pas tous les dentifrices blanchissants !!!!!
J'aime 06/01/18
Lady Spencer
C'est pour ça qu'elle ne me répondait pas au téléphone......pfffff Merci à vous deux pour ce partage intime : moi, j'adore !
J'aime 06/01/18
Parloire
Aujourd'hui, ma petite pute, t'as pris le Mac en pleine face au pas de course et en cadence, juste à temps pour un 69. Tout au fond, passez devant, je reluque à outrance. Va à ta place, en ondulant, perspectives paradoxales. Moins le quart ou l'autobus, les ombres glissent entre tes cuisses Es-tu t’écartes au doigt et à l’oeil ,mécanique sous tension Vision de Juda, en 360, tu finis ton texte en 400 Hertz, t'as plus quinze ans je te rappelle, tiens toi bien petite« chienne » ! Juda aux abois ne le sait pas, descente en pleine gaule ici ou là ? Reste sèche , encore une fois, ma pute, Et sort tes liasses ce soir tu raques, et tu ramasses ton Mac! Bien à ta place, lueur blafarde, pluie battante, tiens toi droite, abritée sous ton arbre ,et puis ton mac, lui, bien à l’abri. Ma petite pute en jupe, racolant en passes, sans passer le temps c'est au quart cette fois, ou l'autobus, tu montes en courant. l'ombre glisse, et sèche les gouttes qui coulent de ton regard tu n'attendri pas ton mac; l'heure tourne, de taf en taf, tu vas enfin poser tes coudes et aussi ton Mac, deshabilles toi, ecartes les cuisses! Ici... tu m’enlaces, Lovée bien en place, a te faire défoncer Ramasse cadencée, et bouche bée, comment me concenter ? La passe est longue, les coups portés. Contrainte assurée. tension présente, entre mes mains, l'air qui peine a passer, Respire encore, en bouche bée, et je plonge dans le décors. Respire encore, en bouche bée, je ressort, vas te moucher. prends ton mac, et rentre chez toi !
J'aime 08/01/18
Linsoumise
c' est au Boulanger que j'ai re-trouvé mon Mac... Il est si beau, si doux, par sessions je l'allume, allumé il envoie ! Sans Mac-querelle je l'ai gagné, en passe d'être enfin heureuse de le caresser de nouveau du bout des doigts...
J'aime 09/01/18 Edité