Parloire
le 09/10/18
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Hâte-ta-place
.
L’aise de ma pensée, prend place Linsoumise. Confortablement.
J’alèse encore un peu mon ambition, visant ton ouverture.
Mes-mots soufflé(s) à demi, à ton visage qui dit non,
gouttant tes [H]aspirations, j’étrique ton horizon.
Envergure trop large sept fois-ci, au moins... sens aiguë d’observations,
Ne fixe pas la fin, on commence à peine.
Blême à mourrir, silences d’abandon. Les signes t’échappent.
Tes lèvres bâillent sans un mot. Sans un son. Regard médusé.
Je salive à tes pupilles dilatées. Cheminant tes pensées:
un livre ouvert, à la page de mes envies. Chaleur d’effroi.
Souffrances à l’appel, délicieuses suppliques lancinantes.
Aux sources opportunes, les abandons sans limites,
Je dicte en prophète autorealisateur, tu viens à ta place!
Patience en trouble, ma cage toujours trop étroite t’expulse, ce,
contraint si longtemps, en permanence trop durable..
La voie est évidente, mon enfant, parcourrons ensemble.
.
Prenez place hérissée, confortablement. Pas de manières.
Princess-se-clave, mes maux sur tes lèvres, meurent.
Dans ma tête, souffle enfin, un vent de liberté; soulagement d’empyrée.
Fiévreuse gourmandise accablante. Sup-position .
Ton recul excite ma conpulsion, imprimer tes épaules.. en gravité.
Mains autocrates, en désir newtonien, physique fondement-hale.
En conscience, prends la démesure de mes suffocations passées.
À trop retenir, mes pensées, enfin j’exprime. Ce.
L’appartenance, ne se monnaye pas. L’Horodateur à peine tourne.
Salaire de mes envies, ta peur sonne le glas à tes sourdes plaintes.
Je paye mon tribut et tu t’alignes sans silences.
Puis,
Muette imposée du doigt, tu exécutes et reste coi.
Arque en patience princesse, re-pause toi, sur ton trône.
Aie confiance en la couronne, la tienne.
.
Le temps presse pas à pas non plus. Continuons par ma présente.
Je m’incline devant tant d’acceptation. Mademoiselle est Gourmande?
Étires toi l’impatience, appliques toi mon amour.
Je te veux chienne et prête à loisirs. Mon bien.
Précieuse ouverte, utile à servir, plutôt qu’à trôner.
Fractionne tes peurs, je commence en douceur.
Écoutes MOI, je veille. Avance cents-bruits.
Éprise en perspective, fantasme a-venir, les arcanes chuchotent.
Ondes éparses de tes oscillation lombaires, figent le temps d’une pensée:
« vos fantasmes sont mon fantasme, mon Dhom »
Bouges! Je veux du mouvement , procèdes en diligence.
Aux dimensions oubliées s’inclinant d’avance aux charge d’abattage .
Cavalerie fantasmatique, en laminoir des raisons controlées..
Mon graal.
Je tapote des doigts sur la table. Suffoquent mes pulsions.
Te montrant du nez: ma voie. L’ordre en silence.
Assieds-toi maintenant .. indocile insoumise.
Ma patience au précipice de tes esquives.
.
Les yeux dans les miens, assise sur ton trône.
À mes pieds , Princesse.
.
Parloire
Dimension: 3650 x 2839
Taille: 1.17 Mb
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🔴  HEIZO  🔑 ♾️
j'adore !!!
J'aime 09/10/18
Diab
Bonne nuit à vous deux....attention aux yeux rouges le matin quand on ne dors pas assez.......
J'aime 10/10/18
Linsoumise
Texte dense, reflet des pensées obscures qui animent la sombre impétuosité du mâle en place... Un texte qui danse sur ma conscience et plonge en inconscience. Vous soulevez en quelques mots, mille questions... En question flottent les maux, tortures en amour, amour en violence, j’esquive mais jamais trop longtemps... Je trouve mes réponses. Le don de moi m’anime en retour, le temps élastique me donne raison, j’avance, parfois à reculons. Doucement vous hâtez votre déraison au son de mes silences. Que dites-vous? Vous ne m’entendez pas? Et bien devinez... après tout... vous n’avancez que si vous me comprenez... Oui, vous me cernez bien. Continuez donc... Je vous appartiens. Soyez-en sûr... Mais vous m’appartennez tout autant. Mon don pèse alors sur votre conscience et vous transcende assurément... Obsédé textuel, vous écrasez vos mots contre ma figure, pour mieux les faire entrer, en esprit malin vous pénétrez alors le fond de mes pensées... Corps obsessionnel...vous focalisez... Qui obsède l’autre ? Devinez! Complétude assumée, déséquilibre en sus-pend... vous frictionnez avec force. Souriez-moi et plongez... sombre monarque. Je vous souris et je plonge avec vous, sombre princesse du mâle... Nos pas de côté pour voir autrement, notre équilibre en déséquilibre, nos passions mord-t-elle... DÉVORANTE ! J’hâte-ise en retour. Le feu je sais aussi l’allumer... prenez garde. De ne pas vous brûler... En marque j’appartiens. Lié à jamais à ce N/nous effoyable, a ce N/nous investit, à ce N/nous insolent, à ce N/nous indolent face à l’écume et le remous des en-vies qui nous prennent... Soyez ce que vous êtes et soyez en fier... autant que je suis fière de vous. Vous me transportez... mon Amour. Transportez moi encore... on est au début du chemin... allez venez... prenez ma main et partons visiter la noirceur de votre for intérieur... Linsoumise
J'aime 21/11/18 Edité
Parloire
Linsoumise, A lécher ton corps du regard, ma main caresse les courbes de mes envies, cherche en fin, ta nuque improbable. Ergo-possessive. Plies. Laisses toi, encore un peu plus bas, à l’attache. Actives toi. A genoux ma lionne, mes yeux ne t’autorisent pas, la parole. Te montrant du nez, là, voie du trône, en sombre monarque, Executes mâle à l’aise, les maux culminent , guidant de la tête, Là, encore, oscille... Au bout de mes doigts; tu t’y appliques. Obsédé textuel, servile appartenance. Tu es moi. Sort ta langue en bouche ouverte.. je suis en toi. ton appartenance, assise bien confortablement Au fond du trône. J’abandonne, et tu gagnes, encore, Ma Soumise.
J'aime 10/10/18
Linsoumise
Cœur en croix, bouche ouverte. Sans un cri sans un mot. Elle connaît sa mort. Elle vient de la croiser. Tuez-moi encore ...
J'aime 21/11/18
Parloire
T’éclairant du regard la voix sans issue, en main errante, juste à portée. Attentive au silence. Sans l’ombre d’un doute, suspendue à ces lèvres, bouche cousue, l’âme-hors dans l’âme: humblement obéissante. Linsoumise.. lape-proche, langue-hissante même. Bouche ouverte et décousue, à l’offrande déglutissante. Mon index tordu, en regards croisés, tu t’inclines. Lèche-doigt, assise à ta couronne, tu trônes. En Soumise. J’empale ta bouche, juste à portée, attentif au silence. Suspendu à tes lèvres, bien assise, déglutissante. Avale tes maux, sur ta couronne, d’une gifle S’impose!
J'aime 21/11/18
Parloire
Je regarde les cm défiler doucement. l'air grave, j'attire en gravité. sans glisser vraiment, lent-filement à petits hoquets sans surprises vraiment.. Au fond, on sait tous les deux comment ça va finir. Ne baille pas encore ton ennui, j'ai pas fini. Black friday, c'est black friday..
J'aime 28/11/20
Parloire
Viens prendre ta place Insoumise. 😏
J'aime 19/03/21