Monsieur J
le 14/12/18
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Une petite question technique, quand je vois ses côtes lors de nos ébats, j ai une envie que je doit contenir énormément. J ai envie de lui frapper , avec le poing... de lui frapper le dos aussi ... en fait J ai envie de la frapper à la hauteur de l amour que J ai pour elle ... est ce que nous somme s toujours dans le cadre du BDSM ou bien ... est ce autre chose ?
J attend vos réponses, merci
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Parloire
De manière « incarnée » mon fantasme devient laminant. Alors je la veux malmenée pour qu’elle ressente non pas mon amour mais la folie pulsionnelle que j’ai à exprimer.. est résistante , mais je dois l’emmener crescendo à mon expression paroxystique, afin de la conditionner à mes tourments. Ce que je ressent alors c’est une forme animale et primitive. Je ne ressent pas le besoin de frapper avec mes poings , mais de saisir, de serrer, comme si j’enfoncais Mes serres, de gifles, des étranglements, la malmener à droite à gauche , la plier, la gaver, lui cracher dessus lui exprimer tout mes tourments... je ne me pose même pas la question si c’est BDSM, car c’est mon BDSM. Et je peux m’exprimer Parceque c’est Elle 1f642.png J’aime rugir en la saisissant au cou en jouissant en elle. Puis grogner en la mordant à la jugulaire .... , en l’immobilisant pour qu’elle se fige, et que mon sperme aille au plus profond de son corps. :p
J'aime 15/12/18 Edité
Monsieur J
Joliment dit
J'aime 15/12/18
Harley
Bestialement dit
J'aime 15/12/18
Parloire
J'aime 15/12/18
Harley
Ho c est gentil ^^ merci
J'aime 15/12/18
Lotine
Briseiice pas sure que Monsieur Parloire, il ait tout compris au concept de la chasse (pas taper hein elle est gentille Lotine !!)
J'aime 15/12/18
Harley
Jpp lolololol
J'aime 15/12/18
Parloire
Mdr Lotine ^^
J'aime 16/12/18
Linsoumise
Mouah
J'aime 16/12/18
Sisyphe_44
Crinière partiellement noire = a déjà perdu un combat avec un rival.
J'aime 16/12/18
Linsoumise
Ah oui ? Y’a un rapport couleur / combat??
J'aime 16/12/18
Sisyphe_44
@ linsoumise : oui. Cela permet aux lionnes, en période de reproduction, de mieux choisir le lion le plus fort.
J'aime 16/12/18
Harley
Pk serions nous malade? Malade d’assouvir nos envies les plus cachées ? D’assouvir nos fantasmes? De nous dans notre vie sexuelle ou non? A mon sens les malades sont ceux qui ne m’en font pas ^^
J'aime 17/12/18
Linsoumise
Drôle d’analyse @Renard_argenté... Certaines études disent pourtant l’inverse ^^ https://www.gurumed.org/2013/06/01/les-amoureux-du-bdsm-ont-une-meilleure-sant-mentale-que-les-pratiquants-de-la-sexualit-vanille/
J'aime 17/12/18
Harley
Je suis assez d’accord avec l’article
J'aime 17/12/18
Harley
Chacun a sa vérité du coup
J'aime 17/12/18
Linsoumise
Merci doc 1f642.png
J'aime 18/12/18
Linsoumise
La conscience évite peut être la «maladie mentale ordinaire » liée à la frustration ou à une histoire perso un peu (ou beaucoup) compliquée? Pensez vous que les personnes pratiquant des sports extrêmes ou de combat, ou des métiers à haut risque ont les mêmes « troubles » que nous? On est d’un coup un peu plus nombreux ! Le Bdsm est peut être juste un peu moins judéo-chrétien......
J'aime 18/12/18 Edité
Parloire
Renard argenté je vous lis et me demande si votre mode de raisonnement n’est pas conditionné par la bien pensée normée? Modulé par vos année de pratique bien entendu.. [Les BDSM’ers, comme d’innombrables expériences psychothérapeutiques vous le montrent, et comme vous le laissent à penser ces seize années de pratique « clinique », éprouvent et révèlent par leurs symptômes cette psychopathologie universelle que les « normaux », égoïstement en quête des conditions de vie les plus élevées, ne veulent pas voir, parce que cela engagerait à une réflexion trop douloureuse, poserait une question trop impliquante, parce que cela supposerait une prise de conscience et exposerait à une tâche trop difficile à résoudre, parce que cela nécessiterait de se laisser mettre en question par le comportement des malades : ces malades qui, jadis, étaient brûlés comme sorciers et comme possédés ou bien étaient exposés à la risée des autres « normés »... Il est clair, pour vous, que ce processus d’exclusion, de refoulement, de négativation, de scission se produit encore dans tous les cas où la société, comme cela se passait au cours des siècles passés, ne s’occupe des malades que pour les opprimer ou les traiter comme des choses Aux comportements déviants. Vous le dite plus ou moins clairement : les malades ne sont pas seulement les victimes de leurs propres élaborations fantasmatiques qui les conduisent vers des délires de persécution, ils sont, dans la majeure partie des cas, de véritables traumatisés psychiques, à l’âge adulte ... et par digression ...comme dans leur passé infantile (7ans vous dites?), parce que toute famille (qui, pourtant, est partie prenante dans le soin et la réhabilitation de ses propres éléments malades), sans exception, dans toute culture ou société, incorpore des traditions et des comportements inhumains, limitant ainsi les possibilités de développement personnels... ...etc... etc... etc... ] (Paraphrase de https://www.cairn.info/revue-sud-nord-2003-1-page-129.htm )
J'aime 18/12/18