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Gourmand86

homme soumis. Vit à Poitiers, France. 64 ans. est marié(e).
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Bonsoir le mur
Soyez la première personne à aimer.
Tigresse tyrannique adepte de la Domination physique, mentale et sexuelle. en quête d'un nouvel esclave alliant classe et dévotion totale, en suivi .:.
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Elle attend son maitre
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troispoilsx
belle vue en contre- plongée
J'aime 07/10/24
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a mis à jour sa photo de couverture.
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Bonsoir le mur. Régals Paul Verlaine Croise tes cuisses sur ma tête De façon à ce que ma langue, Taisant toute sotte harangue, Ne puisse plus que faire fête À ton con ainsi qu’à ton cu Dont je suis l’à-jamais vaincu Comme de tout ton corps, du reste, Et de ton âme mal céleste, Et de ton esprit carnassier Qui dévore en moi l’idéal Et m’a fait le plus putassier Du plus pur, du plus lilial Que j’étais avant ta rencontre Depuis des ans et puis des ans. Là, dispose-toi bien et montre Par quelques gestes complaisants Qu’au fond t’aimes ton vieux bonhomme Ou du moins le souffre faisant Minette (avec boule de gomme) Et feuille de rose, tout comme Un plus jeune mieux séduisant Sans doute mais moins bath en somme Quant à la science et au faire. Ô ton con ! qu’il sent bon ! J’y fouille Tant de la gueule que du blaire Et j’y fais le diable et j’y flaire Et j’y farfouille et j’y bafouille Et j’y renifle et oh ! j’y bave Dans ton con à l’odeur cochonne Que surplombe une motte flave Et qu’un duvet roux environne Qui mène au trou miraculeux Où je farfouille, où je bafouille Où je renifle et où je bave Avec le soin méticuleux Et l’âpre ferveur d’un esclave Affranchi de tout préjugé. La raie adorable que j’ai Léchée amoroso depuis Les reins en passant par le puits Où je m’attarde en un long stage Pour les dévotions d’usage, Me conduit tout droit à la fente Triomphante de mon infante. Là, je dis un salamalec Absolument ésotérique Au clitoris rien moins que sec, Si bien que ma tête d’en bas Qu’exaspèrent tous ces ébats S’épanche en blanche rhétorique, Mais s’apaise dès ces prémisses. Et je m’endors entre tes cuisses Qu’à travers tout cet émoi tendre La fatigue t’a fait détendre. Paul Verlaine, Femmes, 1890
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Régals Paul Verlaine Croise tes cuisses sur ma tête De façon à ce que ma langue, Taisant toute sotte harangue, Ne puisse plus que faire fête À ton con ainsi qu’à ton cu Dont je suis l’à-jamais vaincu Comme de tout ton corps, du reste, Et de ton âme mal céleste, Et de ton esprit carnassier Qui dévore en moi l’idéal Et m’a fait le plus putassier Du plus pur, du plus lilial Que j’étais avant ta rencontre Depuis des ans et puis des ans. Là, dispose-toi bien et montre Par quelques gestes complaisants Qu’au fond t’aimes ton vieux bonhomme Ou du moins le souffre faisant Minette (avec boule de gomme) Et feuille de rose, tout comme Un plus jeune mieux séduisant Sans doute mais moins bath en somme Quant à la science et au faire. Ô ton con ! qu’il sent bon ! J’y fouille Tant de la gueule que du blaire Et j’y fais le diable et j’y flaire Et j’y farfouille et j’y bafouille Et j’y renifle et oh ! j’y bave Dans ton con à l’odeur cochonne Que surplombe une motte flave Et qu’un duvet roux environne Qui mène au trou miraculeux Où je farfouille, où je bafouille Où je renifle et où je bave Avec le soin méticuleux Et l’âpre ferveur d’un esclave Affranchi de tout préjugé. La raie adorable que j’ai Léchée amoroso depuis Les reins en passant par le puits Où je m’attarde en un long stage Pour les dévotions d’usage, Me conduit tout droit à la fente Triomphante de mon infante. Là, je dis un salamalec Absolument ésotérique Au clitoris rien moins que sec, Si bien que ma tête d’en bas Qu’exaspèrent tous ces ébats S’épanche en blanche rhétorique, Mais s’apaise dès ces prémisses. Et je m’endors entre tes cuisses Qu’à travers tout cet émoi tendre La fatigue t’a fait détendre. Paul Verlaine, Femmes, 1890
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