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Trans switch. 48 ans.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 15/07/24
  Chapitre 2 :  Préparation Clinique   Une main effleura doucement sa joue, geste délicat cherchant à apaiser ses craintes. Les doigts glissaient lentement sur sa peau, caressant chaque contour de son visage avec une douceur infinie. Ils descendirent le long de sa mâchoire avant de remonter vers sa tempe. La main s'attarda, transmettant une chaleur douce et constante qui contrastait avec l'air ambiant froid. « Calmez-vous, 17, » murmura-t-elle d'une voix douce mais assurée, retirant lentement sa main. Puis, avec urgence, ajouta, « Aujourd'hui, nous avons beaucoup à faire. » Un corps se glissa dans son champ de vision, révélant l'infirmière qui se tenait maintenant devant lui, penchée en avant pour l'observer attentivement. Elle était une figure élégante et professionnelle, ses cheveux tirés en arrière dans un chignon strict, la nuque dégagée. Ses lunettes transparentes encadraient un regard perçant accentué par le masque en latex blanc, soulignant la pâleur de sa peau et mettant en valeur ses yeux. Elle portait un tablier en latex qui épousait avec élégance ses courbes féminines, mettant en avant ses épaules dénudées et sa silhouette gracieuse, laissant entrevoir sur les côtés sa poitrine et ses hanches. Ses ongles, soigneusement peints en rouge vif, ajoutaient une touche de contraste audacieux à son uniforme immaculé. « Cela devrait vous aider à vous détendre », annonça-t-elle. Le mélange de gaz dans le masque modifia légèrement la sensation de l'air qu'il respirait. À mesure que le mélange de gaz changeait, une sensation de calme artificiel commença à se répandre dans les poumons du patient, engourdissant légèrement sa conscience mais n'atténuant en rien son angoisse profonde. Alors qu'elle se tenait près de la table d'examen, elle attrapa une paire de longs gants noirs en latex dans un tiroir métallique à côté d’elle. Se retournant, elle lui offrit une vue de ses fesses non couvertes par le tablier. « Patient numéro 17 » dit-elle d'une voix calme mais ferme, « Le moment est venu de commencer. » Lentement, méthodiquement, elle enfila les gants et les remonta lentement le long de ses bras jusqu'au début de ses épaules. Étirant chaque doigt avec une détermination presque mécanique. Le latex épais s'étira et claqua doucement contre sa peau, brillant sous les lumières cliniques de la pièce. Chaque mouvement était comme une danse calculée, une mise en scène implacable de son autorité. Elle se dandinait légèrement en lui parlant de dos, ajoutant une touche de provocation. Les gants noirs symbolisaient le contrôle absolu qu'elle exerçait sur la séance, une extension de sa volonté froide et déterminée. Chaque clic des gants résonnait dans l'atmosphère chargée de la salle, ajoutant à l'intensité de l’instant, tandis que le patient, malgré sa vision altérée par le masque, avait une vue imprenable sur la scène. Elle prit le spéculum du plateau d'instruments méticuleusement préparés à côté d’elle, le tenant fermement dans sa main pour que le patient puisse voir l'instrument métallique. « Je vais procéder à une inspection interne de votre orifice pour m’assurer d'une préparation adéquate avant votre purge intestinale », expliqua-t-elle, glissant ses doigts le long du spéculum avec une précision chirurgicale. « Cet instrument sera inséré doucement puis ouvert progressivement pour permettre une visualisation claire et complète de l’intérieur de votre rectum. C'est une étape essentielle pour garantir que vous êtes prêt pour la procédure à venir. » L'infirmière ajusta l'écartement au plus petit à l’aide de la molette, puis reposa délicatement l'instrument sur le plateau tout en continuant ses explications. « Vous pourriez ressentir une légère pression pendant l'insertion, mais je vais m'assurer que cela soit aussi confortable que possible. » Elle ajusta la lampe scialytique au-dessus de la table d’examen, faisant glisser les bras métalliques pour positionner la lumière blanche directement sur le patient. La salle se remplissait d'une lueur clinique intense. Elle saisit ensuite une seringue en verre remplie de lubrifiant. « Ce lubrifiant facilitera l'insertion et minimisera tout inconfort. » L'éclat de la lumière blanche était presque éblouissant, accentuant chaque détail. L'infirmière s'accroupit devant le patient, faisant face à ses jambes écartées. Sa posture était professionnelle, reflétant sa concentration sur la tâche à accomplir. Son regard scrutait minutieusement chaque détail, préparée à agir avec précision et délicatesse. Elle posa délicatement deux doigts autour de l'orifice du patient, qui se contracta instinctivement, réagissant à la stimulation et à la présence proche de l'infirmière. Ce réflexe involontaire témoignait de sa réaction physique au contact direct, une réponse naturelle de surprise. Exerçant une légère pression pour l'écarter doucement, elle dit : « Ce n’est rien, détendez-vous », scrutant chaque réaction du patient. Celui-ci gémit légèrement sous la pression initiale, puis commença à relâcher les muscles tendus. À mesure que l'ouverture s'élargissait, l'infirmière introduisit lentement la seringue transparente, remplie de lubrifiant frais. Le patient ressentit un léger frisson de fraîcheur lorsque la pointe en acier pénétra doucement son sphincter. La sensation de froid du lubrifiant contre ses parois internes provoqua un autre gémissement, cette fois teinté d'une surprise mêlée de soulagement. « Je vais vider le contenu de la seringue maintenant que je suis à l'intérieur, » annonça-t-elle d'une voix assurée et calme, se tenant près de l'orifice du patient, avant d'appuyer lentement sur le piston de la seringue. Le liquide pénétra progressivement à l'intérieur de son bas-ventre, procurant une sensation de fraîcheur qui se transforma en une douce chaleur, engourdissant légèrement ses sensations et offrant un confort inattendu. « Ce gel lubrifiant à base de lidocaïne est conçu pour induire une détente progressive », précisa-t-elle. Le patient se détendit davantage, ses gémissements devenant plus doux, alors que l'infirmière vidait doucement la seringue. Une fois celle-ci vidée, elle la reposa soigneusement sur le plateau d'instruments, puis se tourna à nouveau vers le patient, lubrifiant doucement un de ses doigts. « Maintenant, je vais vérifier votre degré de dilatation. » Elle inséra doucement son doigt ganté à l’intérieur de son orifice déjà quelque peu endolori. Dès que son doigt ganté entra en contact avec les parois internes de l'orifice, l'infirmière observa attentivement la réaction du patient. Le passage lubrifié facilitait l'insertion, minimisant la friction et maximisant le confort, comme elle l'avait prévu. Les muscles internes du patient, déjà préparés par le lubrifiant, offraient une résistance douce mais perceptible alors qu'elle progressait plus profondément. Pour le patient, la sensation était une combinaison étrange de pression et de légère douleur, adoucie par la présence de lubrifiant. Chaque mouvement délibéré de l'infirmière était ressenti avec une clarté presque étonnante, accentuée par la vigilance accrue de ses sens face à cette intrusion délicate mais nécessaire. L'orifice, déjà sensibilisé par les préparatifs précédents, réagissait par de petites contractions, une réaction involontaire face à cette exploration médicale minutieuse. « Continuez à respirer régulièrement. Nous progressons bien. » Murmura-t-elle, ses mots résonnant dans la salle clinique. L'infirmière continua à insérer son doigt avec une précision chirurgicale, évaluant la dilatation et la réponse physique du patient à chaque mouvement. Elle maintenait une communication rassurante, guidant le patient à travers les sensations nouvelles et parfois inconfortables. « Sentez-vous cette légère pression ? C'est normal. Cela nous aidera à évaluer correctement. » Expliqua-t-elle, offrant une explication claire pour apaiser toute inquiétude. Pour le patient, cette expérience était une confrontation entre des sensations physiques et émotionnelles, face à la réalité clinique de l'examen. Chaque ajustement subtil de l'infirmière, chaque vérification minutieuse, était ressenti comme une intrusion contrôlée mais nécessaire, illustrant à la fois la délicatesse et l'expertise de l'infirmière tout en préservant le confort relatif de l'expérience médicale. La vérification de la dilatation se poursuivit méthodiquement, chaque étape étant soigneusement mesurée pour assurer que le patient était prêt pour la prochaine phase de la procédure médicale. L'infirmière retira son doigt ganté avec une précision rapide mais contrôlée, respectant la sensibilité de l'orifice maintenant dilaté. Un léger frisson parcourut le patient au moment où le doigt quitta son intimité, laissant une sensation fugace de vide après cette exploration tactile. « Je vais maintenant préparer le spéculum, » poursuivit-elle, anticipant les besoins suivants tout en maintenant une communication claire avec le patient. Son ton était à la fois directive et douce, soulignant sa maîtrise de la situation tout en respectant la dignité et le confort du patient. Pendant ce temps, la lumière blanche de la salle clinique continuait de baigner l'environnement dans une aura stérile mais sécurisante, accentuant chaque détail de l'examen médical en cours. Après avoir préparé le spéculum avec soin, l'infirmière revint vers le patient, le spéculum lubrifié en main. Elle le positionna délicatement devant l'orifice dilaté, prête à poursuivre la procédure. Avec expertise, elle commença l'insertion, guidant le spéculum avec précision dans l'ouverture préparée. Le métal froid et lisse se glissait progressivement, élargissant doucement l'orifice sous le contrôle attentif de l'infirmière. Le patient pouvait sentir une légère pression à mesure que l’instrument s'ouvrait, révélant l'intérieur jusque-là caché. Pour l'infirmière, c'était une vue familière mais cruciale. À travers la lumière blanche éclatante de la salle clinique, elle observait l'ouverture de l'orifice avec une attention minutieuse, confirmant visuellement la préparation adéquate du patient pour la suite de la procédure. « Parfait. » Murmura-t-elle, « Tout semble en ordre pour procéder à votre injection rectale. » Elle ajusta légèrement la position du spéculum pour un meilleur angle d'observation, assurant une inspection complète et détaillée de la muqueuse interne. Chaque détail était examiné avec un professionnalisme absolu. Après avoir retiré doucement le spéculum, l'infirmière prépara le mélange qui serait utilisé pour le lavement. « Pour le lavement, » expliqua-t-elle en préparant le mélange final, « Nous utilisons de l'eau gazeuse et du lubrifiant à 3% pour maximiser votre confort tout en facilitant le processus. » Pendant qu'elle parlait, le patient commença à s'agiter légèrement, gémissant de panique à travers son masque tout en respirant fort. Ses gestes étaient nerveux, réagissant à l'inconfort anticipé. L'infirmière perçut son agitation et se pencha doucement vers lui. « Respirez profondément. Tout va bien se passer, » dit-elle d'une voix douce mais assurée, cherchant à apaiser ses craintes. Le patient hocha la tête, ses yeux exprimant à la fois anxiété et confiance dans le professionnalisme de l'infirmière. Elle prit un instant pour vérifier les instruments à côté d'elle, confirmant sa préparation méticuleuse. « Le lubrifiant ajouté garantit une insertion en douceur et réduit toute sensation d'inconfort. Vous pourriez ressentir une légère sensation de ballonnement due aux bulles d'air dans le liquide, mais cela est parfaitement normal et temporaire. » Elle fit une pause, laissant ses paroles résonner dans l'air chargé de la pièce avant de continuer. « Cette irrigation va préparer votre corps à l'élimination quotidienne des sécrétions, assurant une purification complète de vos intestins. »     Retrouvez le premier chapitre à cette adresse :  https://www.bdsm.fr/blog/9756/La-Clinique---Chapitre-1-:-Réveil-Stérile/
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Par : le 14/07/24
Ayant perdu ma virginité il y a à peu près 1 an et 3 mois à l'âge de 21 ans, j'ai peu d'expérience même si toutes les personnes avec qui j'ai eu des relations au nom de cette année sont très différents sur la manière de faire.  Un point commun subsiste il n'y avait pas ce truc, ce truc qui me fait dire que c'est lui et personne d'autre. Ce que je veux c'est la perte de contrôle sentir la douleur des fessées ou mon corps cherche à respirer, je ne dis pas que la tendresse ne me fait pas du bien. Je dis juste que ce j'ai besoin de fermeté  Car jusqu'à maintenant la forme de fermeté qu'on m'a apporté n'était pas la bonne, pour moi juste une petite tape sur la fesse, une main autour d'un cou ou des cheveux à peine tirer ce n'est pas passé.  J'ai des penser qu'il me hante où je veux être posséder mais j'ai aussi celle qui me dit de ne pas les écouter.  Alors j'ai des doutes et des peurs, Est-ce que je dois faire des me laisser aller, transporté dans un monde parallèle? Est-ce que je dois laisser parler mes désirs, mes envies? Est-ce que je dois réfréner ses pensées celles qui me font vibrer de l'intérieur, qui me consume et me perturbe?  C'est à ce jour beaucoup de questions.
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Par : le 01/07/24
  Chapitre 1 : Réveil Stérile   Ses sens émergèrent lentement, comme s'ils se déployaient à travers un brouillard épais et insidieux. Ses paupières s'ouvrirent lourdement, révélant un environnement aseptisé, baigné dans une lumière crue émanant des néons au plafond. Il cligna des yeux pour s'adapter à l'éclat impitoyable, prenant lentement conscience de sa situation. Une odeur chimique et pénétrante envahissait ses narines, émanant du masque fixé à son visage par des sangles élastiques passant derrière sa tête. Ces dernières pressaient légèrement contre sa peau, confortablement. Seul le nez et la bouche étaient capturés par le masque. Des joints en silicone doux entouraient les bords, assurant une étanchéité parfaite. Deux gros tubes en caoutchouc noir, flexibles, étaient reliés à une machine respiratoire à l'avant du masque. Deux bouteilles chromées, étaient positionnées côte à côte parfaitement alignées sur un chariot, chacune ornée de valves et de manomètres argentés. Chaque inspiration profonde l'enfonçait davantage dans un état de somnolence contrôlée, entre éveil et inconscience. Le bruit des machines dans la pièce créait un fond sonore presque hypnotique, ponctué par le sifflement doux et régulier de la valve s'ouvrant à chaque cycle respiratoire. Au milieu du ballet mécanique, le bip régulier du moniteur de tension artérielle et de pouls résonnait, ponctuant l'atmosphère de sa cadence méticuleuse. Le rythme des machines et le son apaisant de sa propre respiration dans le masque formaient un contraste étrange avec l'incertitude de la situation. Le carrelage blanc, immaculé, réfléchissait chaque étincelle de lumière, créant une atmosphère glaciale. Les vitrines en verre alignées le long des murs exposaient une vaste collection d'instruments médicaux, chacun soigneusement disposé. Les clamps en acier chirurgical, brillants, occupaient une place centrale. À côté, des embouts de lavement et des sondes d'urètre attendaient leur utilisation, disposés avec précision. Des plugs en verre et en acier, de différentes tailles. Les proctoscopes en verre, transparents, côtoyaient les roulettes de Wartenberg aux pointes acérées, prêtes à l'emploi. Les baillons écarteurs et les seringues de diverses tailles complétaient cet arsenal, tandis que des spéculums et des écarteurs anaux étaient également à portée de main. Les meubles en métal chromé comportaient des tiroirs soigneusement étiquetés, et sur les étagères étaient disposés des solutions antiseptiques, analgésiques, salines et différents lubrifiants stériles à base d’eau ou de silicone, eux aussi étiquetés méticuleusement. Son corps nu reposait sur une table d'examen gynécologique, dont le matelas en latex noir, froid et légèrement collant, épousait ses courbes. Ses jambes étaient maintenues écartée et levée par des jambières en acier. Chaque partie de la table semblait avoir été conçue pour l'immobiliser complètement, avec des sangles qui serraient ses poignets, ses chevilles et son torse. Les attaches, ajustées avec précision, épousaient parfaitement les contours de ses membres. Il tenta de se débattre. Il tira et se contorsionna, ses efforts désespérés faisant crisser le latex contre sa peau. Malgré toute sa force et sa détermination, il ne parvint pas à se libérer. Les attaches, solidement ajustées, ne cédèrent pas d'un millimètre, renforçant l'impression d'une situation inéluctable à son égard. Chaque mouvement amplifiait l'odeur du gaz chimique qu'il inhalait, exacerbant sa panique. Sa respiration s'accélérait, chaque bouffée d'air devenant plus difficile à gérer, tandis que l'air humide se condensait à l'intérieur du masque, ajoutant à son inconfort. Sa peau devenait moite de transpiration, chaque goutte se mêlant à la sensation collante du latex contre sa peau. Son cœur battait de plus en plus vite, martelant sa poitrine comme un tambour furieux, amplifiant la sensation d'étouffement et d'impuissance. Ses muscles tendus et ses tentatives désespérées de se libérer ne faisaient qu'exacerber sa détresse. Soudain, un bruit de porte coupa sa respiration instinctivement, ses yeux grands ouverts, emplis de terreur. Chaque fibre de son être était tendue, à l'écoute du moindre son. Il entendit une paire de talons résonner sur le sol carrelé, le bruit se rapprochant inexorablement derrière lui.   Chapitre 2 :  Préparation Clinique https://www.bdsm.fr/blog/9805/La-Clinique---Chapitre-2-Préparation-Clinique/
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Par : le 21/06/24
Hier matin recevant Votre message me disant de venir ayant provoqué en moi ce besoin insatiable de prendre place à Vos pieds Je me suis jetée à l'eau, me préparant, prenant le chemin me conduisant à Vous. Suivant mon instinct, plus j'avançais sur le trajet et plus je ressentais cette exaltation montée en moi, sourire aux lèvres ressentant diverses émotions prendre possession de mon être. Arriver en avance, Vous attendant, je me suis surprise de la sérénité que je ressentais plus le temps passait me rapprochant de Vous.  Lorsque Vous êtes arrivé, voir Votre visage apparaître me provoquant cette douce chaleur m’envahissant de nouveau, provoquant tant en moi, heureuse que ce moment arrive enfin. Prenant place à Vos côtés, tout ce que je pensais et ressentais été confirmés Monsieur. Arriver chez Vous, prenant un thé, j'ai profondément apprécié Votre façon d'être dans Vos actes, Vos mots afin que je me sente à l'aise. Lorsque vint le moment ou Vous m'avez demandé, ma nudité m'invitant à prendre place à Vos pieds. Ce bien être ressenti tant lorsque j'ai pris place à Vos pieds que lorsque ma tête s'est posée sur Vos genoux, ressentir Votre main sur ma nuque, ma peau caressante. Fut un moment indescriptible tant je me sentais à ma place Monsieur à Vos pieds sous Votre main. Je dois avouer Monsieur que lorsque Vous m'avez demandé d'apposer ma bouche sur Votre chibre à travers Votre pantalon afin de le sentir, ressentir.  L'eau à la bouche, de Vous goûté, mon entrejambe gagné de par l'humidité, je n'avais qu'une envie, que Vous m'offriez ce plaisir de me délecter de Vous. Ressentir Votre main se resserrant sur mon cou, sentir mon souffle entre Vos mains me procurant, accentuant ce besoin de m'en remettre à Vous tout en ressentant Votre regard, Votre bienveillance, ma confiance en Vous étant totalement présente. Je m'en remets totalement à Vous dans cette emprise respectueuse, je suis Votre Monsieur. Je ne Vous cache pas avoir pris grand plaisir à Vous caresser de ma langue, faire glisser mes lèvres sur toute Votre longueur, Vous offrir ma gorge, Vous suçant, Vous aspirant, prendre Vos bourses en bouche. Un plaisir tel que mon intimité Vous réclamait déjà toute trempée de ce désir que Vous m'inspirer Monsieur. Sourire, état exact que je ressens en cet instant en Vous faisant ce compte rendu ce jour Monsieur. Lorsque vint le moment ou Vous m'avez demandé de prendre place à quatre pattes sur le canapé, m'exécutant à Votre demande sous Votre regard, mon être, mon corps, la plus infime partie de moi Vous réclamant, mon désir que Vous preniez possession de mon être à part entière n'ayant de cesse de grandir. Sentir Votre main glisser sur mon être, s'immiscer entre mes cuisses, Votre main découvrant ce désir ardent que je Vous porte tant je mouillais pour Vous en cet instant.  J'étais là, à ma place, sous Votre regard, ressentant ce plaisir incommensurable de sentir Vos carresses, Vos doigts prendre possession de mon intimité, mon cul. M'offrant à Vous ainsi, mon être épris de Vous de part en part, courbant l'échine. Mon seul désir, ma seule pensée étant que cela ne s'arrête pas. Appétit vorace de Vous prenant place, mon cul réclamant Votre queue, mon être viscéral tant que cérébrale étant Votre bien avant Notre rencontre, je vacille, vibre entre Vos mains. À l'instant où j'ai ressenti Votre chibre à l'orée de mon cul, je n'attendais que cela dégoulinante d'envie que Vous me preniez. Plus je Vous sentais me prendre, durcissant, Vos couilles claquant sur mes fesses, plus j'avais ce besoin de Vous sentir encore, plus profondément plus fortement. D'une de Vos mains me tenant le bassin de l'autre agrippant mes cheveux, cette douce cadence enivrante poussant mon être dans une veille indescriptible tant que délicieuse. Vous sentir, Vous ressentir, Vôtre voix au creux de mon oreille, Votre souffle sur ma nuque, Vos douces morsures, Votre odeur poussant mes sens à de tels niveaux. Je suis en pleine conscience de la dimension que le don que je Vous fais de mon être est sans demi-mesure, Vous remettant une part de moi que personne ne pensait pouvoir avoir, où son existence.  Part de mon être que mon être cachait au plus profond de moi Monsieur. Je sais ce don plein et entier, sans réserve aucune et dans une confiance infinie. Enivrer de Vous appartenir, d'être terre de Vos vices et perversions, souillant de plaisir Votre canapé, coulant à Votre désir, je succombe entre Vos mains accueillant Votre plaisir en moi. Pendant que Vous allez à la salle de bain, je nettoie mes souillures. Nous nous désaltérons, discutons un moment, je Vous demande permission de fumer une cigarette sur la terrasse. Puis revenant à ma place, Vous me dites qu'il serait temps que je découvre Votre donjon. Je Vous demande autorisation d'aller aux toilettes. Pendant ce temps, Vous allez préparer et allumer quelques bougies. En sortant des toilettes ma curiosité est telle que je viens pour Vous rejoindre. Vous me faites remarquer que je devrais être à ma place. Gêner sachant que je n'aurai dû, je retourne au sol, la ou je dois être dans le salon à ma place Vous présentant mes humbles excuses. Je Vous confirme que cela ne se reproduira plus, me prenant par les cheveux, Vous m'invitez à me lever et Vous suivre. M'exécutant avec grand plaisir, je Vous suis Monsieur.  À ce moment précis, je ressens cette part de mon être prendre une place de plus en plus considérable en moi. Ne me doutant pas de ce qui allait se réveiller sous Votre main, ni de la manière que cela allait se réveiller. Vous m'invitez à choisir trois objets, trois choses qui me feraient envie. Observant sur la droite le dessus de la cage et les divers jouets, mon regard repartant vers la gauche Vers les divers fouets, martinets, touchant de mes doigts les différentes textures, matières, leurs diverses résistances, mon choix se pose. Vous trouvez entraves à la finesse de mes mains, poignées puis m'invitez à prendre place sur la croix de Saint André. Je dois avouer que cela faisait bien longtemps que je n'avais eut ce plaisir, mon fort intérieur brûlant de danser sous Votre main, de sentir ressentir à nouveau le cuir sur ma peau, les impacts transcendé mon être. Lorsque Vous avez commencé, je dois avouer être surprise, ne comprenant pas le ressenti sur ma peau qui ne correspondait pas à mes choix. Mon attention posée sur ce questionnement, n'ayant jamais ressenti un contact autre que le cuir sur ma peau, ayant toutefois reconnu le daim. Mon plaisir a commencé sous les impacts, ressentant cette chose qui fait toute la différence avec le cuir chauffant ma peau. Chaque impact raisonnant en mon être à part entière mouillant de manière incontrôlable plus Vous alternez les impacts et Votre main entre mes cuisses. À un moment, je prends conscience de Vous avoir appelé Maître, cela, c'est exprimer tant naturellement.  Lorsque Vous me l'avez fait remarquer, je Vous ai de nouveau appelé Monsieur. Je dois Vous avouer avoir lutté contre mon moi profond qui Voulait et ressentait le besoin l'envie de Vous reconnaître comme tel, ressentant et ayant réellement le sentiment d'être à ma place à Vos pieds.  Mon corps mon esprit cherchant le contact de Votre corps tout en désirant à la fois sentir ressentir sous Votre main, Sous Votre fouet. Régulièrement Vous sentir Votre souffle, Votre bienveillance prenant soin de savoir comment je vais, si je souhaite continuer me poussant inlassablement à Vous à Vous exprimer le plaisir que j'éprouve, à ce que Vous n'arrêtiez pas.  Sentir Vos lèvres effleurent les miennes, goûté Votre langue se mêlant à la mienne. Tous mes sens s'offrant à Vous, exacerbant, démultiplient tout en moi. Le moindre geste, le moindre effleurement de Votre main, le moindre impact ouvrant plus encore cette part de mon être que je découvre en même temps que Vous. Cette part de mon être que j'avais volontairement enfermé au plus profond de moi, part que je m'étais toujours interdite à offrir par manque de confiance en "l'autre" et ce besoin de contrôle par crainte que j'avais de cette inconnue en moi dont je ne connaissais et ne connaissent toujours pas les limites. Hier Monsieur sous Votre main, à Vos pieds, ce "fusible" de sécurité qui bloquait cette part à sauter au sens propre du terme, chose qui ne s'était jamais produit auparavant. Vous me détachez me conduisant au centre de la pièce, m'invitant à lever les bras m'attachant ainsi.  De Votre fouet s'enroulent encore et encore sur mon dos mon corps, je transpire de plaisir, mouillant à en perdre pied. Succombent sous Votre regard. Je suis là suspendue croulant de plaisir sous Votre fouet et ressens mon corps attiré comme un aimant partir vers Vous. À cet instant, je ne contrôle plus rien, je me sais attacher et mon être part en Votre direction cherchant le contact. Mon regard plongé dans le Vôtre, une chose casi indescriptible se passe en moi, un besoin insatiable, un ressenti d'une telle force a prise place, ressentant cette part bestiale jaillir, à en ressentir jusqu'à la moindre réaction. En aillant ressenti mon regard changé, ressentant cette intensité grandir en moi. Je dois avouer que le moment auquel je ne m'attendais pas est cet instant où en entendant le bruit des attaches, des suspension m'a fait comprendre que mon esprit, mon fort intérieur me poussaient inlassablement à aller vers Vous. J'étais là attachée devant Vous, mon regard Vous dévorant, l'eau à la bouche, mon intimité s'écoulant sur le long de mes jambes. Prenant toujours plus de plaisir sous Votre fouet, Votre main revenant régulièrement entre mes cuisses, sentir Votre corps, mes jambes cherchant à Vous retenir contre moi. Vous collant derrière moi, mes fesses ne pouvant s'empêcher de remué contre Votre chibre dur dans toute sa longueur. Ma bouche devient sèche, je Vous demande de l'eau, Vous me demandez d'attendre. Continuant à me fouetter, gémissante de plaisir ma faim de Vous est tellement intense, plus je ressens les impacts et plus l'envie de Vous sentir en moi, de sentir Votre queue dans mon cul est forte. Je commence à ressentir une gêne avec les entraves scratchs qui me gêne dans le maintien de mes poignées, des fourmillements dans mes mains. Ayant toujours la bouche sèche, je Vous demande de l'eau. Vous Vous rapprocher de moi me demandant si Vous pouvez m'impacter plus fortement à cinq reprises avant de me détacher. J'accepte sans hésitations ni craintes aucune, un réel plaisir de ressentir la vague de sensations traversant mon être à chaque impact Monsieur. Vous me détachez, mes lèvres se déposent sur Vos mains. Vous m'invitez à Vous suivre, Vous assaillant. Je me prends place à Vos pieds entre Vos jambes, posant ma tête sur Votre cuisse câline, bien être absolu d'être ainsi à ma place.  Votre main se faisant douce, Vos carresses me bercent, Vos mots mots continuent à enflammer le creux de mes reins, le son la résonance de Votre voix continuent à nourrir ce désir ardent que Vous provoquer en moi. De ma bouche Vous m'invitez à découvrir à mon plus grand plaisir, Votre queue dressée de cette alchimie s'étant tissée durant ce moment entre Vos mains, dans cette danse sous Vos impacts. L'envie de ma gourmandise, de Vous prendre en bouche, de Vous goûté, de sentir Votre queue au fond de ma gorge, de sentir ressentir la douce chaleur de Votre nectar s'écouler en ma bouche est si fort Monsieur. Vous libérez Votre chibre que je prends en bouche, le caressant de ma langue, l'enserrant entre mes lèvres, le guidant au plus profond de ma gorge, main faisant des vas et viens sur Votre longueur, Vous aspirant. J'aime tant Vous sentir ainsi en moi que je n'ai plus besoin de boire ayant tellement l'eau à la bouche de Vous sentir Vous déverser en moi. Vous me demandez et me prévenez qu'ainsi Vous allez jouir en ma bouche et si j'en ai conscience. Souriante Votre queue dressée en cette dernière, j'acquiesce continuant jusqu'à sentir cette douce chaleur explosée y prendre place et me délecter de Vous. Monsieur un plaisir hautement partagé dont je Vous remercie. Nous retournons au salon à Votre souhait, à Vos pieds, je prends une goutte d'eau, nous discutons, nous regardons des photos. Je Vous demande permission de fumer une cigarette sur la terrasse. Sourire une araignée pointe le bout de son nez, je Vous avoue ma phobie de ces dernières. Vous m'invitez à éteindre ma cigarette ainsi qu'à fermer la porte afin que cette dernière ne rentre pas. Je m'exécute à Votre demande. Sourire tendre Monsieur, ma phobie ne me fera aucunement quitter ma place à Vos pieds.  L'heure tournant, Vous m'invitez à me rhabiller, le moment de me reconduite à la gare est venu. Nous montons en voiture, discutons sur le trajet, arrivant à la gare, j'embrasse Vos mains, reconnaissante.
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Par : le 21/06/24
Le week-end à la ferme   Ce vendredi Maîtresse m’emmène pour le week-end chez un homme à qui elle m’a prêtée. Après une petite heure de route, nous arrivons devant une vieille ferme. Un homme d’une cinquantaine d’année en sort, de taille moyenne mais avec un gros ventre, un bear et bien barbu. Il me fait peur Maitresse m’aide à sortie, j’ai mes orthèses et mes cannes. iL dit pas besoin du fauteuil ! Maitresse s’en va en me demandant d’être gentille. Il me soulève du sol et me porte à l’intérieur. C’est propre mais vétuste. Vive le formica ! Il me pose à même le sol et m’ordonne de retirer mes vêtements. Je suis en slip avec ma couche et mon soutien-gorge. Je lui dis que je devrais me laver avant car ma couche est souillée. -« sale cochonne « me dit-il en me portant dans sa baignoire. Je me lave sous sa surveillance. Ma fait un lavement. Retour dans le salon, il me met un collier large de quelques centimètres en cuir épais avec un grelot, m’attache les mains derrière le dos avec une barre. Me soulève et me sodomise, ça n’arrête pas, je sens sa sueur.  Enfin il termine, mais non il me retourne et plante sa queue dans ma bouche. La retire, me met sur le dos et recommence en gorge profonde. Sa queue est sale, elle sent fort. J’ai presque vomi. Enfin il jouit et se retire. C’est bien dit-il mais tu peux faire mieux. Il me laisse ainsi avec juste une couverture. Je ne peux même pas ramper pour me déplacer avec mes mains attachées. Mais avant de partir, il me retire mes appareils auditifs, me mets mon masque de cuir en fermant les ouvertures des yeux et des oreilles. J’ai une gamelle avec une sorte de bouillie et de l’eau avec une paille. Il me dit «  pas besoin de cage ainsi tu ne pourras pas partir ». Néanmoins, il fixe la chainette à mon septum (piercing nasal) qu’il cadenasse au radiateur. Je me dis que je vais au moins avoir une nuit tranquille. Je me suis trompée, je dormais, il me réveille, me met l’entonnoir à pisse dans ma bouche et se vide. Ensuite il répare comme si rien ne s’était passé. Le matin arrive, je suis courbaturée, ma couche est pleine, j’ai soif. Il arrive, me plante sa bite dans ma bouche et je suce. Ensuite il me détache les mains et me porte dans la baignoire. Je dois me débrouiller seule. Miracle il m’offre un café, le déguste mais il me dit qu’il me coutera cher ! Il me retire le collier de cuir pour le remplacer par un en acier bien lourd et remplace la chainette de mon piercing anal par une autre petite chaine plus lourde. Ca tire, ça me fait mal. Il me porte et nous allons dehors. Et là il me pose dans une brouette et nous parton en direction d’un bosquet d’arbre. Il cadenasse l’extrémité de la chaine à un arbre et il me laisse seule dans ma brouette. Deux mecs arrivent, aussi des bears. Ils semblent rustres. Le premier dison Marc, ouvre la bouche passe un doigt sur mes gencives et dit « c’est vrai qu’elle n’a pas de dent la pute » Et il m’enfile son zob dans la bouche. Le deuxième disons Claude, s’amuse avec mon clito bite. Marc se retire et Claude me retourne et s’enfonce en moi, il me pilonne tel un marteau piqueur, il n’arrête pas. Enfin il explose. Ils se mettent à me remplir de gel et ensuite j’ai droit au double fist, ponctué de baffes. Marc se saisit d’une branche de noisetiers bien souple et se met à me frapper. Je hurle, demande d’arrêter. Il stoppe. Les deux me roulent une galoche et s’en vont. Je reste dans ma brouette à attendre. La suite une autre fois
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Par : le 18/06/24
Bien le bonjour à toutes et tous! Je partage que très peu sur le site je dois bien l'avouer. Mais bon aujourd'hui je suis d'humeur généreuse. Aha Je vous partage donc une de mes creations d'un petit jeu bien divertissant à faire avec qui vous le souhaitez. Avis aux joueuses et joueurs, j'attends vos retours! Aha 😉 Belle journée a vous! Djeiran. La carte surprise : Préambule :               Toi, ma jolie soumise, tu as passé une journée de boulot assez compliqué ? Celle-ci n’était pas de tout repos et tu as envies de te changer les idées ? Tu es d’humeur coquine et très joueuse ? Tu te sens prêtes à te laisser guider par le jeu de ton Maitre ? Toi qui te sens chienne, salope, qui n’arrête pas de penser à ton Maitre, sa sublime queue, ses sublimes mains fermes. Toi magnifique soumise prête à te retrouver à genoux auprès de ton Maitre, ce jeu est fait pour toi. Alors n’hésites plus, mets-toi à l’aise dans ton lit complétement nue et lis les règles du petit jeu que ton Maitre à concocté spécialement pour toi. Matériel nécessaire : 1 jeu de carte. Toi complétement nue en position d’attente. (Jambes bien écartées, paumes de mains relevées, bien dressée sur tes genoux avec une jolie cambrure). Tes jolies petites mains et doigts de soumise. Deux pinces à linges. Durée de la partie à déterminer pendant le déroulement du jeu. (Voir point 7 dans les règles).   Déroulement de la partie : Une fois que tu te sens prêtes à jouer, fait le savoir à ton Maitre par le biais d’une photo te montrant en position d’attente avec le matériel nécessaire pour jouer. Ton Maitre décidera si oui ou non tu es prête pour le début de la partie. (N’oublie pas le préambule tu te sens chienne et très salope). Et sache aussi que ton Maitre adore quand tu l’excites et que tu le rend fière de toi. Ton maitre étant exigeant il veut aussi une photo de tes trois orifices bien écarté (Une de ta jolie petite bouche de chienne bien baveuse, une de ta jolie petite chate mouillée de pute, et une de ton petit trou de cul de chienne bien serré malgré l’écartement). Une fois ces photos faites et envoyés, et une fois l’accord reçu de ton maitre, tu pourras toujours en étant en position d’attente, mélanger le jeu de carte (52 cartes + les jokers). Une fois le jeu mélangé. Je t’invite à tirer la première carte de la pile et à la regarder. Et là le jeu commence. Chaque carte aura deux significations, une de part sa couleur (Pique, Trèfle, Cœur, Carreau) et une de part le nombre indiqué dessus. Tu devras en fonction de ses significations exécuter ce que celle-ci te dit de faire.     Valeurs des cartes : Pique : Mets les deux pinces à linges sur tes tétons et tire dessus. Le nombre indiqué sur la carte indiquera le nombre de secondes à tirer sur ces pinces à linges. Exemple : 7 de pique, 7 secondes à tirer sur les pinces à linge accrochées à ta jolie poitrine. Carreau : Mets toi en position de levrette, le cul bien en l’air et la position bien cambrée. Tu infligeras, à ton beau cul de chienne, des fessées. Le nombre de fessée dépendra du nombre indiqué sur la carte. Exemple : Valet de Carreau, 11 fessées. Cœur : Mets toi dans la position ou tu te sens le plus à l’aise, tu écarteras tes cuisses et commencera à te doigter la chatte en pensant à ton Maitre. Si c’est un nombre pair, tu le feras avec deux doigts, s’il est impair ça sera trois doigts. Le nombre de secondes de caresses et doigtages dépendra du nombre indiqué sur la carte. Exemple : As de cœur, 14 secondes de plaisir et de caresses. Trèfle : Mets toi dans la position ou tu te sens le plus à l’aise, tu te doigteras délicatement ton joli petit trou de cul de chienne en pensant à ton Maitre. Si c’est un nombre pair ça sera avec un doigt, s’il est impair ça sera deux doigts. Le nombre de secondes de caresses et doigtages dépendra du nombre indiqué sur la carte. Exemple : 5 de trèfle, 5 secondes de plaisirs et de caresses. Ton Maitre te fait une faveur c’est la carte Joker. En la tirant tu peux le lui demander une et une seule faveur. Un défi à faire, quelque chose dont tu as envie, … Attention, il y a une dernière règle à ce jeu. Ton maitre ne t’oblige aucunement à te filmer pendant le tirage de la carte ou l’exécution du défi. Il te fait entièrement confiance et sait très bien que tu ne le décevras pas. Tu lui communiqueras par message ou de la façon que tu souhaites la carte tirée. SAUF si tu tires deux fois de suite la même couleur. A ce moment là tu devras te filmer et le lui montrer sur le défi de la deuxième carte tirée. Exemple, tu tires un 6 de cœur, tu te fais plaisir pendant 6 secondes sans rien montrer, tu retires une carte c’est une dame de cœur, tu devras te filmer pendant 12 seconds entrains de te doigter et me le montrer. Dernières règles importantes, il en va de soit que les photos ou vidéos communiquées resteront privées et à usage unique à ce jeu. Interdiction de ta part de tricher, ne trahis pas ma confiance. Et enfin si entre deux doigtages tu as de la mouille sur tes doigts, il est bien entendu interdit de te frotter les doigts ou de les nettoyer. Tant pis pour le jeu de carte. Fin du jeu : Le jeu prend fin de deux manières différentes. Soit la soumise en fait la demande auprès de son maitre et celui-ci décidera si oui le jeu prend fin ou si non il continue. Soit en arrivant à la fin de la pile après avoir tiré toutes les cartes du jeu. A la fin de ce jeu, la soumise devra reprendre une photo d’elle en position d’attente, et une photo de ces 3 orifices bien écarté et trempés de plaisir.   Conclusion et but du jeu : A la fin de ce jeu, le Maitre discutera avec sa soumise. Ils parleront calmement du jeu sans en juger les faits ou autres. Parleront de ce qui leur a plus et un peu moins. De ce qu’il pourrait adapter ou non, … Le but étant pour le Maitre d’être excitée par sa soumise, la voyant joueuse, coquine, chienne et salope. Prenant son plaisir en la voyant en prendre et repousser ses limites dans l’unique but de rendre fière son maitre. Le but étant pour la soumise, de se faire plaisir en jouant avec son maitre, et de repousser ses limites.                                                                                                                                               Maitre Djeiran.
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Par : le 14/06/24
Sandy et moi   Lors d’une rencontre SM, mes maitres font la connaissance d’un couple qui possède une esclave d’une trentaine d’années. Une jolie fille pulpeuse. Qui se prénomme Sandy. Je n’avais pas réalisé, mais elle porte une perruque. Elle a le crâne rasé. Elle est sympa nous faisons vite connaissance, je constate qu’elle a beaucoup de marque de fouet et d’autres tortures sur son corps. Nos maîtres respectifs viennent nous attacher et les deux nous avons un masque, moi en cuir, elle en latex. On lui dilate sa chatte et son cul à l’extrême tandis que nous sommes côtes à côtes et mon cul lui est également dilaté et doublement fisté. Une fois que nous avons donné le meilleur de nous-même, les maîtres de Sandy examinent mon pubis, ma bouche édentée et leurs regards se porte ensuite sur Sandy avec une sorte de malice.   Nous nous quittons, durant le trajet du retour, je pense à Sandy et par réflexe je me mets à toucher ma bite insensible.  Arrivés à la maison, j’ai encore très mal au cul. Mes maitres m’installent sur le lit plastifié du donjon en lieux et place de ma chambre. Je suis attachée. Le maitre me met l’entonnoir dans la bouche et madame si vide la vessie. Je n’ai pas le droit de recracher, je dois tout avaler. Elle me met une couche propre et ils vont se coucher me laissant là pour la nuit.   Un mois plus tard mes maitres m’informent que nous aurons de la visite. Je les vois s’activer dans le donjon, un homme arrive, je le reconnais, c’est celui qui m’a retiré mon scrotum m’a coupé les nerfs de la bite. Tout d’un coup j’ai peur. On me met sur le lit du donjon, il me retire ma couche et regarde son travail tel un bon ouvrier content de lui. Teste les sensations de ma verge avec une aiguille, je ne réagis pas, il est très content. Il me demande si je veux un piercing, mes maîtres sont d’accord, je dis oui. Il désinfecte mon entre jambe et à la place du scrotum, m’insert un anneau. Ce n’est pas fini me dit t’il. Je suis docile et me laisse faire. Une fois terminé, je me retrouve avec un anneau de deux centimètres dans le nez. A ce moment la sonnette grésille, Sandy et ses maitres arrivent. Je vois qu’elle est nerveuse. Elle est tout de suite installée sur la « table d’opération ». Elle reçoit un Valium et des injections anesthésiantes locales.  Le toubib lui désinfecte l’entre jambe et se met au travail : il lui retire le clitoris, il tombe dans un bol, c’est au tour des petites lèvres, des grandes lèvres. Je suis subjuguée par le spectacle. Et pour terminer, il lui coupe le téton du sein gauche, elle hurle, car pas d’anesthésie à cet endroit. Mes Maitres me regardent et elle me dit : -« Comme toi, elle ne sentira plus la jouissance. » Du coup j’ai peur pour mes tétons… Mon piercing du nez me fait mal, mais Maîtresse y accroche une chainette avec un mousqueton. Le Maître de Sandy prit d’une subite idée, demande au toubib de mettre à Sandy le même piercing nasal. Elle se laisse faire, ça va vite et nous nous trouvons elle et moi accroché chacun à une extrémité de la chaîne par le nez. La suite à venir    
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Par : le 10/06/24
Prolapsus, un mot qui me fascinait, générait de la crainte et des fantasmes. Maintenant il est là et bien présent, je dois faire avec. Oui il me fascine de le regarder via un miroir, oui il fascine mes parteanires. Cette belle rose accueillante, ouverte à leurs bites.  Mais qui me procure aussi des gênes, une incontinence odorante, de devoir le rentrer quand je suis  aux toilettes. Mais étant tout le temps assise, je n'ai pas la crainte qu'il sorte. Je dois vivre avec, je le prends comme un modification corporelle de plus et non comme une affection. Qu'il est beau mon prolapsus  
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Par : le 05/06/24
  Le rendez-vous   Pour financer ma nullification et me faire quelques sous, j’ai le droit de recevoir un peu de monde. Un gars a pris rendez-vous pour une pipe. Il sonne, je vais ouvrir, je suis en fauteuil roulant. Dans l’encadrure de la porte se tient une sorte de géant, presque deux mètres et bâtit comme un bucheron. Il me suit dans ma pièce. Je n’ai pas le temps de parler qu’il sort son membre, il est énorme et sent la transpiration. Je me retrouve avec ce membre dans ma bouche, lui debout devant moi assise dans mon fauteuil. Il me tient la tête et commence un mouvement de vs et viens. Il se retire, m’arrache du fauteuil, arrache mon leggins et me retourne comme une crêpe. Je lui dit : » met une capote » Il en sort une, se la met et sort aussi un petit pot, je pense que c’est de la crème, mais je réalise que c’est du baume du tigre. Il en met généreusement sur sa queue recouverte de la capote. M’en tartine la rondelle et d’un coup sec s’enfonce en moi. Je hurle d’abord de douleur par la taille  et ensuite par le sentiment de brûlure. Il explose en moi et reste un moment collé . Il se retire, j’ai le cul en feu, la tête qui tourne. Je reprends mon souffle et sans prévenir m’enfonce sa main et se met à me fister, je retiens quelques larmes. Il retire sa main en faisant descendre mon prolapsus. Ca le fait rire de le voir dehors, il me le rentre. Me dit qu’il restera la journée, que c’est ok avec mes Maîtres. Il me retire ma prothèse auditive, me met mon masque de cuir qui me prive de mes sens, un collier large de plusieurs centimètres et m’attache les mains.   Je suis enfermée dans le silence et le noir. Je le sens me porter, il m’installe dans le hamac de baise, le cul exposé. Je sens qu’il met du gel et me sodomise à nouveau cette fois à cru.  Je suis encore très endolorie d’avant. Il se retire, je sens son sperme couler entre mes cuisses. Et soudain les coups de cravache pleuvent, il tape fort. Je ne perçois plus rien, il est parti. J’attends le retour de ma Maîtresse pour me délivrer.    
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Par : le 31/05/24
Il a allumé une nouvelle étincelle.  Une nouvelle lumière danse sur les murs de ma conscience, une nouvelle flamme réchauffe mon cœur. Avant je vivais, je m'efforçais de ressentir Gratitude, Amour et Joie au quotidien. Il y avait de la lumière, mais incertaine, vacillante. La sienne est douceur et  folie, joie et tendresse, réconfortante et mobilisatrice. A ses côtés, mon cœur flotte, grisé, ennivré des mots, de l'attention qu'il reçoit et accueille. A ses côtés, mon mental frissonne, évolue, secoué, malmené par les préjugés et les peurs qui résistent puis éclatent comme des bulles de savon. A ses côtés, mon âme rit, heureuse qu'enfin j'accepte, qu'enfin je dise oui malgré les craintes et les résistances. A ses côtés, mon Etre a envie de continuer l'aventure, de trouver l'équilibre entre autonomie et entraide, entre indépendance et co-création A ses côtés, je veux m'explorer en toute sécurité.  A ses côtés, je veux briser mes chaînes limitantes. A ses côtés, je veux prendre soin de la flamme.  A ses côtés, je veux nous aimer.
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Par : le 16/05/24
Sur les ordres du Maitre, je m'agenouille en attendant qu'il prépare ce qu'il faut pour le fireplay. Quand il me le demande, je m'allonge sur le lit. Il attache mes mains de chaque côté du lit. Je ne peux plus rien faire. D'aucune façon je ne peux me détacher. Ainsi liée, je suis totalement vulnérable, à sa merci. Il dépose la mousse sur mon corps, puis l'enflamme  et recommence, sur mon ventre, ma poitrine, mes seins. J'adore sentir ce doux stress monter, cette chaleur froide, voir ces flammes s'élever depuis mon corps. Souvent il les éteint avec une serviette. Mais parfois il les laisse mourir d'elles-mêmes. Ces fois-là,  je ne peux m'empêcher de retenir mon souffle. Betement je ne peux m'empêcher de me dire, et si je prenais feu?! Après le fireplay, les couteaux.  Des lames neuves. Le premier a une lame bleue chromée.  Il est beau, tout arrondi. Le Maitre joue sur mon ventre, sur mes cuisses, de la pointe de la lame. Il fait glisser le tranchant autour de mon sein. J'ai peur, vraiment peur. Une peur excitante, je le regarde faire, envoûtée et paralysée. Je ne peux ni ne veux bouger. Juste le regarder prendre du plaisir à faire glisser cette lame sur mon corps. Le Maitre semble se lasser de la lame bleue, il sort alors le deuxième couteau.  Une lame rouge cette fois. Au premier contact de la lame sur ma peau, je sens qu'elle est beaucoup plus aiguisée,  plus pointue que la précédente.  Là encore le Maitre joue à la promener sur mon ventre, près de mes seins, mes cuisses. À certains endroits je me demande s'il ne me coupe pas. Mais je n'ose pas regarder. Je ne peux détourner mes yeux du Maitre. Le Maitre si appliqué,  attentif dans ses gestes, doux et coupant à la fois.  Quand il décrète avoir suffisamment joué avec ses couteaux  il les remplace par la bougie. Je me demande ce que va faire la cire chaude sur les traces de lame. Mais j'aime tellement la cire... Il part de très haut et descend la bougie de plus en plus, se rapprochant de mon corps, le liquide devenant de plus en plus chaud. Quand le Maitre considère que j'ai suffisamment de cire sur le corps, il recommence à enduire mon ventre de mousse. Et la danse des flammes reprend. Pour finir, le Maitre prend un troisième couteau et gratte méticuleusement toute la cire sur mon corps. J'aime sentir cette lame glisser sur ma peau, guidée par ses mains sûres d'elles. En récompense, le Maître m'offre une série d'orgasmes tous plus puissants les uns que les autres. Une envolée dans une autre temporalité,  un autre espace. Sa langue, ses doigts, sa main... Toujours attachée,  je ne peux pas m'empêcher de crier de plaisir. La jouissance est ininterrompue. J'en ai la tête qui tourne, j'implose, mon corps se disloque, mes os fondent, mes muscles se tétanisent, je respire comme je peux... Enfin il me détache,  je me jette sur lui pour le sucer. Retrouver mes esprits, sa queue dans ma bouche, avant qu'il me prenne et que nous jouissions ensemble.
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Par : le 16/05/24
Session musique blanche (avec masque oculaire hermétique, entraves et bâillon). Voici quelques mots recueillis lors d'une conversation avec Sisyphe après la séquence : Réglage du volume: si le sujet soumis n'entend aucun bruit une fois le volume réglé, il s'avère que certains bruits émis sur une fréquence différente sont perçus ou entendus(exemple : bruits d'accessoires métalliques) Impressions : pour une session qui dure, le sujet soumis s'habitue rapidement au bruit blanc et découvre au fur et à mesure les accessoires choisis la personne Dom'. Le sujet soumis ne perçoit pas les temps de latence imposés. Le fait d'être isolé de l'extérieur rend la sensation nouvelle et savoureuse. L'effet de surprise est amplifié. Pour ma part, en tant que Dom', je rajouterais que l'absence de contact et d'échanges avec mon sujet soumis peut me créer un certain manque. J'ai donc pratiqué un peu d'électro après afin de profiter d'un moment propice à l'échange, à l'expression de ressentis. Suggestion de Sisyphe : pour l'avoir vécu, je trouve préférable en matière de sons imposés au sujet soumis de choisir une bande audio qui interpelle, malmène le mental, titille les neurones. Pour cela la musique moderne expérimentale, entre autres, sollicite l'attention du sujet soumis au même titre que les impacts et les agressions de la peau. Le sujet soumis n'arrive plus à se concentrer sur l'audio et le toucher. Et ce de matière permanente. Ce qui reste difficilement supportable. Matériels utilisés : instruments d'impacts (paddle, martinet, cravaches et badine), ongles, roulette de Wartemberg, couteau. #photoperso Sisyphe_44
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