
Adelaide
Je m'appelle Charlotte de Villaret. Je viens de franchir le cap de la quarantaine. Je suis une jolie rousse aux yeux verts, résurgence de mes ancêtres irlandais. Je me bats sans cesse avec les boucles de ma chevelure épaisse. Je suis condamnée à l'écran total l'été si je ne veux pas ressembler à une écrevisse. Et contrairement à ce que l'on pourrait croire, les poils de roux poussent bien et je dois régulièrement parfaire l'épilation de mes jambes et mes aisselles. Pour mon pubis, je n'y touche jamais sauf l'été où je rase ce qui dépasse du maillot. Je suis assez fière de mon ventre plat et de ma poitrine ferme, même si depuis ma dernière grossesse, j'ai pris une taille de bonnet. Mon assiduité à la salle de sport porte ses fruits et mes cuisses et mes fesses sont toujours bien galbées.
Après avoir fini mes études dans une grande école de commerce, j'ai monté mon entreprise, une agence de voyages, spécialisée dans les voyages atypiques pour ces nouveaux riches travaillant dans l'économie numérique. Cela m'a permis de la développer et je suis à la tête d'un groupe avec une dizaine d'agences dans différentes capitales européennes.
Mon mari, François, est lui cadre supérieur dans une multinationale. Nous nous sommes rencontrés pendant nos études et ce fut tout de suite le grand amour. Nous nous sommes mariés après avoir décroché haut la main notre diplôme et cela fait maintenant presque quinze ans que nous sommes mariés. Certes, il faut reconnaître que la fougue du début s'est considérablement atténuée. Cela fait maintenant presque un an que son sexe n'est pas venu plonger dans ma chatte. Je compense ce manque en me caressant régulièrement, cela fait un moment que j'hésite à commander des jouets pour mon plaisir intime, mais je n'ai jamais osé le faire. Pourtant, avec internet, je pourrais les recevoir en toute discrétion.
Pour sa part, je le soupçonne d'avoir une maîtresse, mais il reste très prudent et je n'ai aucune preuve qu'il me trompe. Ce parfum que je sens le soir quand il rentre pourrait n'être que celui d'Agnès son assistante, une petite brune toute en rondeurs, un peu nunuche et en extase devant son supérieur direct. Je pense qu'il n'aurait qu'à claquer des doigts pour qu'elle écarte ses cuisses. Charles m'a dit plusieurs fois qu'elle lui avait montré sa culotte.
Pour ma part, je travaille avec une jeune assistante blonde, Adeline, une ancienne élève de notre école. Je l'ai embauchée pour ses compétences, mais je dois faire abstraction de son homosexualité. Je ne comprends pas comment on peut trouver du plaisir avec une femme.
Nous venons d'acquérir avec mon mari un splendide duplex dans les beaux quartiers. Je dirai que c'est presque l'apothéose de notre réussite.
Il y a aussi notre voisin de palier, un homme dans la cinquantaine, élégant, bel homme, mais qui est tellement insignifiant à mon avis. Il a beau posséder les trois étages supérieurs de l'immeuble, il ne fait pas partie de notre monde. Lorsque je le croise dans l'ascenseur ou sur le palier, je m'efforce de l'ignorer superbement. C'est tout juste si je lui ai répondu ce matin quand il m'a dit bonjour. Même si je dois avouer que son costume sur mesure parfaitement taillé m'a fait une forte impression. Indéniablement, cet homme a du charme et il le sait. Quand son regard a croisé le mien, j'ai eu une boule au ventre. Cela faisait une éternité que je n'avais pas ressenti cela.
Comment en suis-je venue à prendre les autres de haut? Sûrement à cause de mon passé.
J'étais la petite rousse avec des taches de rousseur, des yeux verts et des lunettes, toujours tête de classe. Ces caractéristiques m'ont valu d'être moquée et parfois humiliée par mes camarades de classe.
Au lieu d'en faire un complexe d'infériorité, je me suis protégée. Je méprisais ces élèves qui ne comprenaient pas les explications de nos professeurs. Je le leur faisais bien sentir, et je n'accordais mon aide que si je pouvais avoir un retour sur investissement. Cette attitude a fait de moi la garce du lycée, celle que l'on aborde que si on ne peut pas faire autrement.
En sortant de l'immeuble, ce matin, je croise Albert, notre concierge. C'est un homme dans la quarantaine au physique de lutteur sénégalais. Il est très souriant et toujours serviable.
— Bonjour Albert! Comment allez-vous ce matin?
— Très bien Madame de Villaret. Merci! Vous êtes très élégante, comme toujours.
— Je vous remercie, c'est très gentil de votre part.
Je lui rends son sourire avant de me diriger vers ma voiture. Je sais qu'il ne faut jamais mépriser les personnels de maison. J'ai appris cela de mes parents et de mon enfance en Afrique.
Mon père était un cadre supérieur dans une grande société pétrolière et nous avons longuement vécu à Port-Gentil au Gabon. Nous étions logés dans une magnifique villa avec vue sur l'océan. Mes parents étant souvent absents, une gouvernante noire s'occupait de nous. Nous avions aussi une cuisinière, un jardinier et un chauffeur qui se chargeait de nous conduire à l'école française.
J'ai toujours considéré que les noirs étaient parfaits dans leurs tâches subalternes, tant qu'ils ne désirent pas exercer des fonctions qui ne sont pas de leur ressort. Les blancs dirigent et les noirs exécutent, voilà comment j'avais été éduquée. Mais mes parents avaient bien insisté. "Tu dois toujours respecter le travail d'un exécutant et savoir le remercier quand il travaille bien."
Je dois reconnaître que le travail d'Albert est impeccable, le couloir et les escaliers sont toujours propres. Il gère notre courrier à la perfection et sa carrure dissuade les sans-abris de squatter devant l'immeuble. De plus, il a de l'instruction et c'est agréable de parler avec lui.
Nous avions bien choisi notre nouvelle résidence. La seule ombre au tableau est ce mystérieux propriétaire du haut de l'immeuble. Je ne le sens pas même s'il me trouble. Peut-être devrais-je demander à mon mari de lui proposer de venir prendre un apéritif un de ces jours?
Mieux nous nous connaîtrons et moins nous risquons de nous fâcher.
J'y pense toute la journée, pendant que je m'énerve après mon assistante qui n'a pas pris les bons billets pour mon prochain déplacement. Mais c'est une habitude chez elle, elle me prend toujours des billets en classe économique. À croire qu'elle aime que je la réprimande.
Ce soir, c'est à mon tour d'aller récupérer les enfants à la garderie après l'école. Nous n'avons pas encore trouvé une étudiante pour cela. Peut-être qu'une des étudiantes qui logent dans les chambres de bonnes de notre immeuble acceptera.
J'ai déjà croisé la petite grosse timide, Rachel, il me semble. Elle ne semble pas avoir beaucoup de revenus et je suis certaine qu'elle aimerait avoir un peu plus d'argent pour améliorer son quotidien. Je lui aurais bien proposé les vêtements que je ne mets plus pour remplacer ses vêtements bon marché et mal coupés qu'elle porte, mais je ne suis pas sûre que son cul et ses mamelles, à ce stade ce ne sont plus des seins, rentrent dedans.
Quand nous arrivons à l'immeuble, je m'efforce de calmer l'ardeur de Thomas et Clotilde qui courent vers l'escalier.
— Les enfants! Doucement! Je vous rappelle qu'on ne court pas et on ne crie pas dans les escaliers...
— Oui maman!
Je hausse les épaules, un peu énervée, car je sais que leurs bonnes résolutions ne vont pas durer. C'est alors que je vois notre voisin sortir de l'ascenseur.
— Bonsoir Monsieur! dit Clothilde.
— Bonsoir Monsieur! ajoute Thomas.
Je souris, au moins, ils ont intégré le respect dû aux adultes. Je regarde cet homme qui me fixe et je ne peux pas faire autrement que le saluer aussi. Devant les enfants, je ne peux pas me permettre d'avoir mon attitude arrogante.
Je me permets alors de lui demander, sans en avoir parlé à mon mari.
— Accepteriez-vous de venir prendre l'apéritif un de ces soirs? Cela nous permettra de faire mieux connaissance. Cela va faire deux mois que nous sommes arrivés et mon mari et moi serions ravis de connaître nos voisins.
******
Didier :
— Quelle garce!
Je claque la porte de mon appartement en colère. Je viens de rencontrer la femme d'un nouveau couple qui vient de s'installer dans mon immeuble. Oui je dis bien « mon » immeuble. En effet je le possède presque en totalité. Avec le quatrième et troisième étage, je me suis aménagé un grand duplex. Je possède aussi tout le cinquième étage avec ses anciennes chambres de bonne que j'ai fait aménager en studio pour étudiants. Oh, je n'ai pas vraiment besoin de leurs loyers pour vivre. Je suis le rejeton d'une grande famille et mes parents, hélas décédés aujourd'hui, m'ont laissé une grosse fortune. Je n'ai même pas besoin de travailler, une banque gérant tous mes avoirs. Si bien qu'à cinquante et un ans, je profite de la vie et je fais exactement ce que je veux. Ma passion ce sont les femmes. Mais attention, seulement celles qui ont du caractère, qui me résistent, celles que je vais pouvoir soumettre. Pour moi, une femme n'est faite que pour mon plaisir. Elle se doit d'être obéissante et esclave de mes besoins.
Mais revenons à cette femme qui vient de me mettre en colère. Comme je le disais, il s'agit d'une voisine qui s'est installée il y a un ou deux mois dans l'immeuble. Je n'avais jamais eu le temps de lui parler donc aujourd'hui j'ai voulu réparer cette erreur en la rencontrant dans l'escalier. Elle m'a accueilli avec un regard froid et hautain et sans un mot elle m'a tourné le dos. Pour qui se prend-elle? Je la trouve pourtant jolie avec sa chevelure rousse, ses lunettes, et appétissante avec sa belle poitrine et son cul que je suppose bien rond sous sa jupe. Mais quel caractère!
Le fait qu'elle m'ignore de cette façon, comme si j'étais un moins que rien, me hérisse le poil. Mais en réfléchissant, j'y vois un nouveau défi.
— Oui c'est ça, prends tes grands airs pour le moment, mais bientôt tu seras à genoux devant moi! dis-je tout haut dans mon appartement cossu.
Voilà je viens de trouver de l'occupation pour les prochains jours. Il faut que j'aille voir Albert le concierge pour qu'il se renseigne sur le couple. Il sera ravi de le faire pour moi. C'est moi qui lui ai trouvé ce travail, car il est le fils d'un couple sénégalais ayant travaillé toute leur vie pour mes parents. Ils sont aujourd'hui repartis au Sénégal et profitent de leur retraite. J'ai fait en sorte que leur fils obtienne ce boulot de concierge, il me rend service si j'ai besoin.
Mais pour le moment cette garce me fait bander. L'idée de l'asservir est trop excitante. Je crois que la petite étudiante en troisième année d'économie est rentrée chez elle. Elle est un petit peu moche, un petit peu enrobé avec de grosses mamelles, mais elle suce bien. Je l'ai bien éduquée en échange de loyers qu'elle ne peut pas payer. Fille d'une famille assez pauvre, elle ne peut se permettre de perdre cet appartement. Sinon elle risque de louper ses études.
Je monte deux à deux les marches jusqu'aux chambres de bonne transformées et j'entre sans frapper dans le premier appartement à gauche.
— Salut petite salope! Au boulot!
La petite boulotte, qui s'appelle Rachel, est à son bureau en train de travailler. Bien sûr elle est nue comme je lui ai ordonné quand elle est chez elle. Elle se dépêche de se lever et de venir s'agenouiller devant moi. Sans un mot, elle descend ma braguette et sort ma bite bien dure. Elle commence à me sucer avec application. Je lui tiens la tête afin de bien enfoncer mon membre dans sa bouche.
Au bout de cinq minutes, je lui ordonne de se mettre à quatre pattes et de se caresser. J'attends un peu et je m'agenouille derrière elle. Estimant qu'elle mouille assez, je l'embroche d'un coup sec et je la pilonne rudement. Ses gros seins ballottent sous elle.
— Tu aimes ça, petite chienne?
— Oui Monsieur, mais votre plaisir est le plus important. Merci, Monsieur, de vous occuper de moi.
Satisfait de sa réponse, je la baise pendant un moment avant de me libérer dans son ventre. Je me retire et donne une grande claque sur son cul en disant :
— Bien salope! Viens me nettoyer!
Elle obéit et vient me lécher la bite et les couilles pour les rendre bien propres. Bientôt je la repousse, range mon attirail et me dirige vers la porte. Alors que j'ai la main sur la poignée, je me rappelle d'une chose. Je me retourne et je demande à Rachel :
— Tu as vu Albert le concierge?
— Oui Monsieur, je l'ai sucé à la cave. Il m'a dit que vous l'aviez autorisé.
— Oui salope. Si quelqu'un se présente de ma part, tu fais ce qu'il demande.
— Oui Monsieur!
— C'est bien, tu viens de gagner un mois de loyer que tu me dois.
— Merci Monsieur, répond-elle en baissant la tête, mon foutre sortant de sa chatte.
J'ouvre la porte et je rentre chez moi, content, avec un nouvel objectif à remplir.
Le lendemain, je décide de parler à Albert. Je le cherche et le trouve dans l'escalier en train de balayer.
— Bonjour Albert! Comment vas-tu?
— Bien Monsieur, je vous remercie. Et vous?
— Oh ça va! As-tu apprécié le cadeau?
— Oh oui Monsieur, cette petite est vraiment bonne suceuse. Et elle est très docile, j'ai pu malaxer ses nichons sans qu'elle se plaigne pendant qu'elle me suçait. Et elle a bien tout avalé.
— Bien, elle doit obéir à toute personne que je lui envoie. Donc tu peux t'en servir, mais ne l'abîme pas.
— Merci Monsieur!
— Dis-moi, j'ai un service à te demander. Tu connais bien les nouveaux arrivants de l'immeuble, le nouveau couple?
— Pas tant que ça Monsieur. Je ne rencontre pas souvent l'homme, car il part tôt et rentre tard. Je vois plus souvent sa femme qui me salue toujours ainsi que leurs enfants.
— Et qu'en penses-tu?
— Oh! Vous savez Monsieur, je connais bien ce genre de personne. Ils sont gentils avec vous, mais ce n'est que de la condescendance. Ils se croient toujours supérieurs et nous les noirs, sommes des inférieurs. Ils clament tout haut qu'ils ne sont pas racistes, mais en vérité ils le sont.
— J'aimerais que tu fasses quelques recherches sur eux, que tu te renseignes.
Je fais un clin d'œil et continue :
— Surtout sur elle, je la trouve hautaine et je voudrais bien la remettre à sa place. De plus elle a un corps d'enfer dont j'aimerai bien profiter.
— Ah! Monsieur, vous n'arrêtez jamais. J'ai un ami qui est un as dans l'informatique. Il pourrait faire des recherches, mais ça risque de ne pas être gratuit.
— Peu importe Albert, tu sais que je peux payer. Et puis emmène donc avec toi la petite étudiante, ça pourra peut-être motiver ton ami.
Albert a un grand sourire. Je sais qu'il m'aidera et fera tout pour me satisfaire. Notre relation est plus forte qu'une simple relation patron-employé. Nous nous connaissons depuis que nous sommes jeunes et avec sa stature il m'a souvent sorti d'ennuis. Mes parents ont fait en sorte que ses parents aient une qualité de vie vraiment supérieure à la moyenne au Sénégal et n'aient pas à s'inquiéter de quoi que ce soit. De cela Alfred est très reconnaissant.
Nous nous quittons et je rentre à mon appartement pour régler quelques affaires. Je passe ma journée sur mon ordinateur et en fin d'après-midi je me prépare pour sortir en soirée avec des amis.
Alors que je sors de l'ascenseur, je vois les deux gamins de la nouvelle voisine courir vers les escaliers. Ils me disent bonjour poliment et je marmonne en retour. Qu'est-ce que je déteste les gosses!
C'est alors que je vois leur mère qui s'approche pour me parler. Tiens, elle est moins arrogante aujourd'hui. Elle me dit :
— Accepteriez-vous de venir prendre l'apéritif un de ces soirs? Cela nous permettra de faire mieux connaissance. Cela va faire deux mois que nous sommes arrivés et mon mari et moi serions ravis de connaître nos voisins.
Sans hésiter, je la regarde dans les yeux et j'accepte son invitation :
— Je serai enchanté! Mais quelque chose de simple n'est-ce pas, je n'aime pas les réceptions ampoulées. Quand voulez-vous?
— Disons vendredi soir! Ça vous va?
Je réfléchis et je me dis que dans quatre jours j'aurais sûrement déjà des renseignements sur le couple. Donc j'accepte :
— Volontiers.
Je la regarde. Elle rougit avant de se tourner et repartir. Je vois son cul se balancer de droite à gauche alors qu'elle marche avec ses talons. Bon sang, comment a-t-elle pu rester aussi bien faite après avoir accouché de deux gosses? Je suis sûr que son corps est parfait. Je vais prendre beaucoup de plaisir à m'amuser avec elle.
Deux jours plus tard, Albert le concierge sonne à ma porte. Je le fais entrer et asseoir. Je nous sers un verre et j'attends qu'il parle.
— Bon Monsieur, j'ai beaucoup de renseignements pour vous. Mon ami a passé près d'une journée entière à récolter des renseignements. Il a réussi à pirater l'ordinateur du couple ainsi que le portable du mari.
— Alors?
— D'abord le mari. Il est cadre dans une importante multinationale. Il a un salaire mirobolant. Il rentre tard le soir, car il se tape sa secrétaire. Ses messages ne laissent aucun doute là-dessus.
— Tiens! Tiens! Avec la femme qu'il a, il va voir ailleurs.
— Oui étonnant. Mais ça confirme ce que l'on pense mon ami et moi pour la femme. Elle n'a pas été baisée depuis longtemps. Tout d'abord elle est cheffe d'entreprise et dirige plusieurs agences de voyages dans le monde. Elle gagne beaucoup d'argent elle aussi.
— D'accord! Mais dis-moi pourquoi tu penses qu'elle est mal baisée?
— Mon ami a piraté leur WiFi et a pu s'introduire dans leurs ordinateurs. J'ai déjà parlé des messages du portable du monsieur. Mais le plus intéressant est dans l'ordinateur de la famille. Après avoir consulté l'historique des recherches internet, mon ami a constaté qu'aux heures où le mari est absent, il y a des recherches sur des sites pornos et des sites de jouets sexuels. Les gamins sont trop petits donc c'est sûrement elle qui est en manque.
— Bien! Bien ça! Avez-vous regardé les comptes personnels et ceux des entreprises pour voir s'il y avait des irrégularités? Elle est dirigeante de société, ça serait bien étonnant qu'elle ne détourne pas un peu d'argent pour ne pas le déclarer au fisc.
— Mon ami regarde ça, j'aurais les résultats demain.
— Très bien Albert, je te remercie. Dis-moi combien je dois à ton ami, je vais te faire un chèque.
— Je vous remercie Monsieur, mais comme il a bien apprécié la petite Rachel, il a tout fait gratuit. Elle a commencé à le sucer comme une bonne professionnelle, puis il l'a fait mettre à quatre pattes et s'est branlé en regardant son gros cul et ses seins qui pendaient. Il m'a demandé la permission de la baiser et je l'ai autorisé. J'espère avoir bien fait?
— Oui Albert bien sûr. Et je suis certain que la petite a aimé.
— Au début elle était un peu réticente, mais mon ami est vraiment bien monté. Il l'a fait couiner et jouir deux fois puis il s'est vidé dans sa bouche. Je pense qu'elle a aimé. Elle ne s'est pas plainte. Au retour je me suis permis de l'amener à ma loge pour qu'elle me suce.
— Tu as bien fait Albert, tu as bien fait. Je te remercie pour les renseignements. N'oublie pas de me dire quand tu auras les comptes. Merci.
— Merci Monsieur. À bientôt! Me dit Albert en partant.
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tarnecta
tarnec
succulent cette petite histoire
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27/05/25

S_Heaven
Si tu t’engueules avec elle, laisse tomber le pavé que tu te prends par sms 🤣 Humour bien sûr chacun est comme il est 🤷🏻♀️
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27/05/25

biox
encore une fantasmeuse , qui devrait écrire un bouquin ...
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Il y a 4 heure(s)
Attention, mes textes sont souvent qualifiés d'extrêmes. Celui-ci va très loin, aussi si de tels pratiques vous mettent mal à l'aise, surtout arrêtez la lecture, nous sommes là pour nous faire du bien. Même si cela peut passer par du pire! Ce texte est réellement violent.
Je suis suspendu, ou presque, par les mains, jointes au-dessus de la tête, attachées à un anneau du plafond. J'ai tout le corps étiré et je repose sur la pointe des escarpins de 18 centimètres de talon qu'elle m'a fait enfiler, n'oubliant pas de tapisser la semelle d'un gros papier de verre. C'est une idée que j'avais eu pour elle, la forçant à marcher des heures durant ainsi, pour mon seul plaisir de la savoir souffrir de ma perversion. Mais c'était le risque de nos pratiques, toutes les idées que je pouvais avoir pour elle, risquaient de se retourner contre moi! Et j'ai été moi aussi longuement entraîné à marcher avec des escarpins aux talons démesurés et à la semelle si rugueuse. Pour un homme, dans la rue, ce fut souvent très humiliant.
Je la vois s'affairer, sans trop savoir ce qui m'attend, sinon le pire. Sa beauté m'éclabousse toujours autant. Elle porte un corset victorien, noir et mauve, que j'ai serré, comme toujours, exagérément. Ses hanches larges sont ainsi magnifiquement mises en avant, tout comme ses seins que j'ai préparés avec amour : Ils sont cerclés à leur base par de larges bracelets en acier, qui les font jaillir à l'horizontal, malgré leur volume et leur poids. L'effet est saisissant, presque parodique de quelques dessinateurs célèbres. Ses lourds anneaux aux tétons, que j'ai pris tant de plaisir à poser, puis à élargir, avant de les sceller au chalumeau, pointent et brillent sous les lumières du plafond. Tout comme le gode métallique de huit centimètres qui la transperce et émerge entre ses magnifiques fesses, maintenu par des chaînes à son corset. Comme elle est belle, comme je suis fier de lire mes initiales sur son pubis imberbe, comme toujours. C'est excitant de l'avoir tant contrainte, alors que c'est sa soirée et que c'est moi qui vait devoir souffrir le plus.
Elle s'approche de moi, le regard noir, furieuse que je la regarde avec autant de désir et un grand sourire au visage, tant elle me comble. Mon sexe, une fois n'est pas coutume est sorti de sa cage, tout comme mes couilles de leur sphère. Depuis le premier jour, je n'ai jamais pu jouir, aussi mon désir d'elle est-il fou! Elle m'a enfermé dans une cage bien trop étroite, bien trop parsemée de pointes de dressage, voulant que mon sexe ne soit qu'une souffrance permanente et rempli d'un désir d'elle qui soit chaque jour plus fou. Elle a enfermé mes couilles dans une boule métallique, me les rendant inaccessibles. Mais lui permettant quand même de les torturer en accrochant des poids insensés à l'anneau scellé dans la boule.
Mon sexe est rarement, sinon jamais libéré, aussi je pense que c'est de mauvais augures. Mais du coup il pointe fièrement, ce qui me vaut une dizaine de gifles au visage, qui me laissent KO et me font enfin baisser le regard. N'est-ce pourtant pas un hommage à sa beauté? Elle me traite de pervers, venant d'elle, cela a du poids!
Elle change du coup d'idée pour le bâillon, repose celui qu'elle avait prévu et me prend un bâillon en forme de sexe qui me rentre dans la gorge. C'est une sensation terrible, d'autant qu'elle le sert le plus fort possible, je n'en attendais pas moins d'elle. Un genou dans mon dos lui permet de serrer un peu plus le corset, qui me coupe le souffle, j'ai déjà mal partout.
-Cela fait longtemps que j'y pense, tu vas voir, c'est un de tes fantasmes les plus fous que je t'offre ce soir! J'attends de toi que tu t'offres pleinement. Je t'ai bien fouetté ce matin, mais j'ai encore envie, avant de commencer, je sais comme tu aimes cela, ce n'est pas vrai mon petit esclave?
Quand Charlotte fouette, ce n'est pas pour la galerie. Combien de cravaches, badines, ou cannes a-t-elle déjà cassés? La dernière est en noisetier, et semble plus solide que les autres, en m'offrant aucun répit. Les coups sont profonds, longs à se calmer, déforment ma chair. Elle est de plus en plus experte, et prend un malin plaisir à frapper le même endroit pour créer le plus de dégât possible, variant le rythme, la puissance de fort à trop fort, souvent trop rapides pour que je puisse récupérer entre les coups, trop lentement pour que j'espère qu'elle se fatigue. Tendu comme je suis, j'offre une surface qu'elle prend plaisir à mettre en feu, les marques virant rapidement au bleu ou violet. Heureusement le corset me protège un peu. Pas de rasoir aujourd'hui, pour faire couler le sang, juste ses griffes acérées qu'elle passe longuement sur mes fesses et mes cuisses, avant d'utiliser une tapette hérissée de pointes qui réduit mes chairs en bouillie.
Je suis déjà complètement parti, et c'est sans doute ce que Charlotte voulait, que je plane et profite du spectacle. Comme elle est belle. Cela tourne en boucle dans ma tête. Elle approche une table en bois, que je ne connais pas, la règle en hauteur afin que mon sexe comme mes couilles reposent dessus, naturellement. Je frissonne. De plaisir? D'angoisse? De désir pour elle j'en suis certain. Je sais ce qu'elle va faire, même si je n'ai pas les détails. Et j'ai très peur.
Elle caresse mon sexe qui n'attend que cela pour s'allonger autant que possible. Mon prépuce est à l'air libre, il y a déjà longtemps qu'elle m'a circoncis de façon sauvage, sans anesthésie. Elle est infirmière, passionnée de chirurgie et son travail est très réussi, je trouve. Elle saisit alors un demi-anneau en métal avec des pattes de fixation, y glissant mon prépuce gonflé. C'est difficile car il est gros mais en forçant le demi-anneau trouve sa place à la base du prépuce, et elle le tire en avant aussi fort que possible, éloignant le bout de mon sexe de mon corps, dans une tension douloureuse. Elle le maintient ainsi en extension maximale, avant de prendre une première vis, de fixer une patte du demi-anneau à la planche, puis une seconde vis, pour fixer la seconde patte avec la visseuse. En les serrant au maximum, l'anneau écrase mon prépuce, augmentant encore la tension dans l'ensemble de mon sexe plus long que jamais. Elle me regarde en souriant, fière d'avoir réussi du premier coup, ce qui était au fond la partie la plus délicate. L'objet de sa convoitise est maintenant offert, elle va pouvoir s'en donner à cœur joie.
Elle étale les couilles de chaque côté, étirant la peau au maximum, comme un ravioli, la boule ne faisant plus que le seul relief existant. Méthodiquement elle agrafe la peau, en la tirant au maximum, me faisant sursauter à chaque fois. C'est à peine douloureux, je dois l'avouer. Mais la vision de cette peau complètement aplatie, avec la couille ainsi, aussi proéminente est fascinante et paniquante. Je sais bien qu'elle ne va pas s'arrêter là.
Une fois les deux couilles bien épinglées comme de vulgaires papillons, elle fait de même avec la peau de mon sexe. Je ne bande plus du tout, aussi le volume a beaucoup diminué, et la tension augmentée puisque mon prépuce ne peut se rétracter! La peau est agrafée de chaque côté, les agrafes les unes à côté des autres. Cela brûle un peu. C'est surtout spectaculaire. Ma chair est ainsi offerte à son sadisme. Elle filme tout, adorant publier sur notre blog nos folies, à visage découvert, ce qui augmente notre excitation et notre peur. Là elle a mis nos deux téléphones, un pour immortaliser mon sexe, l'autre mon expression! Elle veut saisir mon visage quand elle sort le sachet de vis qu'elle a acquises pour l'évènement. Et je panique.
Je me contrôle, je me raisonne, mais je me dis que ce n'est pas possible.
-Je sais, tu m'as dit que dans le corps spongieux cela faisait beaucoup de dégâts, et plusieurs semaines pour récupérer. Justement cela m'amuse. Et pour ce que je fais de ton sexe... Si je ne pouvais le maltraiter, je crois que je te le couperais. Ce serait sans doute très amusant, un centimètre par mois, qu'en penses-tu? Bon après je m'occupe de tes couilles, puis de ton petit bout de sexe qui palpite là. La soirée sera tellement longue!
J'avais imaginé des clous, c'est propre et net, un coup, cela fait hyper mal et c'est fini, et surtout, net oui c'est cela le terme. Là avec les vis cela va être un massacre. Elle est folle. Mais cela je le sais. Et là encore, le coup des vis j'ai été le premier à les employer dans ses seins. Je sais très bien ce que cela fait. Mais c'est mon sexe! Elles font une dizaine de centimètre et je les trouve bien trop épaisses.
Elle pose la première vis en plein milieu de mon sexe. Elle va traverser aussi mon urètre, ce n'est pas possible! Je sens la piqure de la pointe qu'elle appuie fortement, comme pour marquer la position. Je ne peux absolument pas bouger, je ne peux que regarder. Ou pas. Mais je choisi de regarder, fasciné. Elle prend son temps, m'offre un sourire qui me fait fondre, fait tourner la perceuse pour me faire peur, puis la positionne sur la vis qu'elle maintient toujours aussi fort. La perceuse démarre doucement, la douleur est intense, à la limite du soutenable, la peau brûle. Le ventre noué, je vois la vis pénétrer doucement dans ma chair, m'arrachant des cris étouffés par le gode dans ma gorge. C'est indescriptible, la vision est monstrueuse et pourtant je sens un afflux de sang, dû à l'excitation, arriver dans mon sexe, tirant sur la peau agrafée. La vis bute sur le bois de la table, elle a tout traversé, Charlotte appuie plus fort, voulant la faire pénétrer, il reste 5 centimètres qui rentrent et disparaissent de ma vue. J'ai une chute de tension, mais une gifle de ma sadique préférée me ramène. Pas question que je rate le spectacle.
-Il ne t'en reste plus que 9 il faut bien que tu profites, je ne sais pas si on pourra recommencer un jour, et dans quel état sera ton pauvre sexe inutile.
Elle répète l'opération 4 fois, et chaque fois c'est la même sensation incroyable de voir la vis disparaître puis s'enfoncer dans le bois. Elle visse jusqu'à ce que la tête émerge à peine de ma chair. Je suis surpris que cela ne saigne pas. Et effaré de me voir dur comme la pierre malgré les agrafes, ce qui la fait rire! Je suis complètement vissé à la table, la sensation est folle, j'ai la tête qui tourne. Elle me sourit, me passe un shot de notre rhum préféré et s'attaque aux choses sérieuses. Je crois que je suis plus terrorisé par l'après que par la douleur actuelle.
La sixième vis est pour mon prépuce. Je tremble de tout mon corps, la douleur est immense et les sensations incontrôlables. Je me mets à uriner, elle lèche tout le liquide avec volupté. La vis en s'enfonçant doucement me procure des sensations inconnues, je crois que je vais jouir, je suis couvert de spasmes, de sueur, mais non, je ne jouis pas, c'est autrement plus fort, douloureux, transgressif. Mon prépuce est écrasé par la vis qu'elle enfonce à fond, la sensation est délirante. Je n'en peux plus depuis longtemps!
-Et maintenant, la partie que je préfère, tu vas voir. Je pense que tu vas déguster quand je vais te ravager les couilles. Mais déjà ton sexe est plus beau que jamais, regarde le bien car quand je vais enlever les vis, je crois qu'il va être pas mal détruit.
Je m'attendais à une seule vis dans les couilles, pourquoi deux? Pour doubler le plaisir me répondrait-elle taquine. Je voudrais que ce soit déjà fini. Je regrette là mon fantasme, déjà ce que j'ai subi est totalement délirant. Je ne peux rien faire pour l'arrêter. Nous n'avons jamais eu de safeword.
J'ai le souffle coupé, le ventre est tordu de douleur, un voile noir devant les yeux. Je pends par les bras, je suis parti, j'adore cette sensation, je ne sens plus rien. C'était trop douloureux. Charlotte me gifle longuement, je ne suis pas trop motivé pour revenir, mais je n'ai pas le choix. Sadiquement elle n'a pas fini le travail, la vis est à moitié enfoncée, elle reprend, me forçant à regarder ma couille se faire éclater, puis compresser, comme coupée en deux. Sur la plus grande moitié, elle prend une autre vis, la positionne, appuie, l'enfonce, puis me gifle à nouveau. J'étais en train de partir. Je pleure de souffrance, je n'en peux plus. Il ne reste que deux vis, mon calvaire va s'achever, je crois.
En fait non. Je regarde mon sexe et mes couilles crucifiées, la vue est dantesque, je sais que Charlotte aura des centaines d'orgasmes en regardant les photos et le film, que je serais hyper excité de cette vision, que j'aurais envie de recommencer, que je vais me dire que je n'en aurais pas assez profité, mais là je n'en peux plus. Charlotte me dit que c'est la dernière haie. Ses mains tremblent, la tension est maximale pour elle aussi, je remarque ses cernes noires, elle est épuisée. Se saisissant d'un crayon à cautériser, elle l'approche de mon prépuce cloué à la table. D'un côté elle dessine au feu l'initiale de son prénom. L'odeur est horrible, la sensation supportable, et le dessin plutôt joli. Elle marque son œuvre. Elle va inscrire sa deuxième initiale quand je la vois basculer et s'effondrer par terre. Elle ne bouge plus. Merde!
***
Nous nous sommes rencontrés il y a un plus d'un an. La première vision que j'ai eu de Charlotte, ce fut au travers des barreaux de la cage où j'étais enfermé depuis trois jours, dans la cave de ma Maîtresse d'alors. Sa vue était spectaculaire, menée à 4 pattes par ma Maîtresse, portant un masque à gaz impressionnant. Elle était jeune, peut-être trente ans, la peau très pâle et tendre, mais que je sentais pleine de tension et de fermeté. Ses seins étaient magnifiques, à couper le souffle, je me demandais ce qu'une si belle jeune femme venait faire dans la cage au-dessous de la mienne. Nous n'étions séparés que par deux treillis métalliques bien douloureux.
Nous sommes restés plusieurs heures ainsi, sans échanger un mot, moi ne sachant pas si j'en avais le droit, et elle entravée par son masque à gaz. Quant Maîtresse est venue nous chercher, elle m'a demandé si je n'avais pas envie de me soulager. Une réponse négative aurait été surprenante puisque j'avais du boire un litre d'eau juste avant l'arrivée de l'inconnue. A ma grande honte, elle me demanda de me soulager à même la cage, inondant ma voisine d'infortune de ma pisse abondante, sous le rire de ma Maîtresse.
La jeune femme ne réagit guère et nous avons été extraits de notre cage pour suivre ma propriétaire jusqu'à son salon. Les tapis avaient été retirés pour que la soumise ne fasse pas de tâches partout. Ma Maîtresse avait organisé une soirée avec un autre couple, lui dominant et Charlotte soumise. La soirée fut plutôt étrange, tant les deux dominants semblaient se séduire et vouloir surtout être ensemble. Ils nous firent nous dominer l'un l'autre. Ainsi Charlotte me défonça longuement le cul d'un gode ceinture impressionnant au vit recouvert de petites boules stimulantes. Non seulement l'impression était très profonde, mais la jeune femme s'en donna à cœur joie, je sentais en elle une violence terrible, que les coups de cannes qu'elle m'asséna ensuite, sur l'ordre de ma Maîtresse, me confirmèrent. Jamais je n'avais été battu aussi fort.
Quant à elle, je la défonçais alors tout autant après qu'elle ait nettoyé le gode, sorti de mes entrailles, de sa bouche gourmande, et que j'ai alors enfilé la culotte gode. Pas question de me servir de mon sexe! Il ne fut libéré que pour qu'elle me le nettoie consciencieusement, à ma grande honte. Je n'avais pas eu le droit de me nettoyer depuis une semaine et ma propre odeur me donnait envie de vomir. Charlotte semblait adorer, et elle me confirma plus tard son goût insatiable pour le crade. Elle était servie.
J'eu alors l'énorme plaisir de me venger de ses coups de canne assassins, ayant carte blanche pour marquer ses seins magnifiques et puissants. Elle était allongée sur le dos, les bras tirés derrière elle, m'offrant ainsi toute la surface de ses mamelles et surtout ses tétons bien positionnés. Quand j'arrêtais, un peu hagard, les trainées violettes et rouges zébraient toute la surface, les tétons saignaient et les yeux de Carlotte étaient dans le vague. Les deux maîtres ne faisaient que s'embrasser, sans trop se soucier de nous et nous remirent rapidement à la cave pour la nuit. Je me sentais un peu mal de m'être laissé aller ainsi, sans trop comprendre pourquoi j'étais allé aussi loin.
-Ça va? Tu n'as pas trop mal aux seins (nous étions de retour dans nos cages respectives. Maîtresse m'avait refait boire avant de m'enfermer dans le but de continuer d'asperger Charlotte, qui commençait à bien sentir)
-Oh si, tu m'as fait mal comme jamais. J'ai adoré!
-Oh! moi aussi, tu m'as tellement donné envie de te taper.
-Luc ne me frappe pas assez fort, je le lui dis, mais il n'y arrive pas. Là c'était super. Et toi?
-Pareil, je n'ai jamais été fouetté ainsi, je sens encore mes fesses et mes cuisses. Mon cul aussi, quel Gode!
-Mon préféré, je peux passer des heures à m'empaler dessus. Je rêve d'une fuck machine qui me défonce ainsi toute la nuit, et passer ensuite à la taille supérieure.
-C'est trop excitant. Tes seins suscitent tellement d'envie, tu sais, prendre un couteau, ouvrir toutes tes marques, faire couler le sang, planter la lame dans le téton.
-Mmmhhh tu me fais jouir, c'est tellement ce dont j'ai besoin (et elle jouit bruyamment, encore une fois, n'ayant cessé de jouir tout à l'heure que ce soit sous mes coups de ceinture gode, ou lorsqu'elle me léchait si dégueulasse.)
Enfermés pour la nuit, nous avons longuement échangé sur nos fantasmes, nos frustrations, nos désirs. Je réalisais qu'en fait je suis largement insatisfait, ma Maîtresse n'était pas assez exigeante, très peu sadique et finalement plutôt vanille. Charlotte s'excitait à ce qu'elle pourrait me faire subir, tout autant que moi ce que je pourrais lui infliger. Quant à son Maître, il était de pacotille et elle le manipulait comme elle voulait, quoiqu'il était bien trop soft à son goût.
Avant de rentrer chez elle au petit matin, elle me laissa son tel, j'avais trop envie de l'embrasse, de la prendre, de la battre. Elle dégageait une violence incroyable, enrobée d'une sensualité que je trouvais torride. La cave était bien vide sans elle. Ma Maîtresse vint me chercher et nous reprîmes le cours de notre relation, ma tête ailleurs. La sienne aussi. Elle ne s'en cachait pas, elle avait flashé pour Luc le Maître de Charlotte, qui aimerait se soumettre à elle, et elle était très partante. Moi là-dedans? Elle était évasive, cela ne présageait rien de bon. Elle me négligeait, revoyant souvent Luc en m'enfermant dans mon placard, je décidais alors que j'étais dégagé de mon engagement et j'appellais Charlotte. J'avais inscrit précautionneusement son numéro pour le cas où.
C'est curieux comme des choses très compliquées au premier abord, peuvent se dérouler simplement. Luc est venu prendre ma place auprès de ma Maîtresse, je retrouvais mon appartement avec plaisir, Charlotte ne rêvait plus que de sévices extrêmes, d'humiliations immondes avec moi, et toute cela sans le moindre heurt, et finalement sans la moindre émotion négative. Notre relation avec ma Maîtresse était arrivée au bout, et je ne l'avais pas réalisé. J'avais le cœur battant en attendant l'arrivée de Charlotte, tout à moi pour un week-end entier. Nous n'avions pas encore discuté du mode opératoire entre nous, il allait falloir inventer un truc nouveau. J'avais préparé de quoi manger et boire pour les deux jours, sorti tous les accessoires que j'avais, ainsi que de nouveaux que j'avais commandé en prévision. Je tressaillis quand la sonnette retentit. Je me sentais, plus que jamais, face à mon destin. Je craignais tellement d'être déçu.
Je la regardais pour la première fois vraiment. Ses yeux noirs et brillants, intenses. Sa peau si claire, si douce. Ses cheveux raides, noirs, au carré. Ses lèvres pulpeuses, tellement pulpeuses. Son corps puissant, solide, magnifique, les hanches larges, le ventre à peine marqué. Elle était un peu plus petite que moi, mais mesurait au moins un mètre soixante-quinze. Nous nous sommes regardés intensément, quelque chose de fou en nous. Ou peut-être notre folie s'exhalant enfin. Elle sauta sur moi, me dévora la bouche. Je ne fus pas en reste, je saisis ses mamelles, qu'elle avait laissé libres sous son chemisier, je les serrais et les pétris tandis qu'elle envahissait ma bouche, et cherchait mes couilles pour les serrer.
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J'aime la publication de Pierrot 72, j'imagine le plaisir humiliant si un jour des Mâles me bloqueraient de cette manière le visage et la bouche dégoulinant de leur noble semence pendant que l'on me dilate mon petit orifice
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Salutations, il aurait été plus logique d'écrire ce commentaire en dessous de la publication en question.
Bonjour,
J'aimerais rencontrer une soumise pour soumission buccale hardcore et plus encore sur Metz, si en couple, monsieur pourra mater.
mp moi pour plan réel
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Lui lécher le clito en même temps et me prendre de grands coups de couilles sur le visage 🤪
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Exigeante, capricieuse, sadique et sans pitié pour te mener sur la voie de l'excellence. .:.
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Comme je l'ai déjà dit j'adorerai être forcé à le faire, même à plusieurs doms...
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Pour moi ce n'est pas du bdsm...on peut faire ça en mode vanille . Donc mes sentiments... Le sexe c'est très courant.. rien d'extraordinaire.
Non je l'ai fait avant d'être dans le bdsm, avec 2 amis et c'était très soft , pas de bdsm.
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alliance de la cérébralité et du sadisme (mais sans hard).
vos motivations devront être à la hauteur de mes exigences .:.