sylvie35
par le 20/07/23
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"Le transfert a réussi ! The transfer was successful ! " (*)
Je hurle ma joie à destination de mon Maître et de Sonia, en espérant qu'ils m'entendent.
Je perçois la voix lointaine de mon Maître venant du canot en contrebas.
"Bravo! Qui est l'hôte ? "
"C'est moi ! It's me ! "
J'ai un sourire jusqu'aux oreilles - j'espère qu'il le voit sur l'écran de contrôle.

Le vent s'est levé et fait un bruit d'enfer à flanc de falaise. Les félicitations de nos propriétaires sont à peine audibles mais on les sent appuyées.

Le soumis, qui vient de retrouver les sensations dans sa bite, est très excité et me demande la permission de jouir dans mon cul.
Je ne sais pas - ce n'est ni à moi, ni à lui de décider.
Sa voix porte plus que la mienne. D'un commun accord, c'est lui qui pose la question à nos propriétaires, pour nous deux.
L'accord ne tarde pas à venir. J'en suis heureuse - il l'a bien mérité. Moi je n'ai plus aucune sensation dans le cul - deux paires de zébralyvox, c'est radical... - mais j'aime donner du plaisir.

La descente à flanc de falaise est presque plus angoissante que la montée - je ne ferai pas cela tous les jours! Le soumis descend après moi. Il n'est plus en érection. Sa bite pendante et ses couilles se balancent joliment pendant la descente. Je n'arrive pas à en détacher mon regard. Mon Maître l'a bien remarqué. "Salope...", me dit-il affectueusement à l'oreille.

De retour dans la crique, mon Maître me prend par la main. Le contraste entre nos couleurs de peau, sublimé par la lumière très particulière du Nord, me fait penser au Yin et au Yang. Noir et blanc entrelacés, complémentarité du Maître et de l'esclave, lien fusionnel. Le bonheur m'envahit.
Sonia et son soumis s'éloignent discrètement, nous laissant seuls. Sonia est intelligente - elle a compris qu'à ce moment-là nous avons besoin de nous retrouver à deux, seuls au monde.

Nous nous asseyons sur deux rochers qui semblent avoir été placés là à dessein et philosophons. Mon Maître me fait penser à un vieux sage africain. Je bois ses paroles. Il m'écoute attentivement aussi. Je ne me suis jamais sentie autant aimée et valorisée que depuis que je suis sa chienne. Aucun mot ne saurait exprimer le bonheur que je ressens à être là, nue, face à cet homme que j'admire.

Comment expliquer ce lien si subtil ? Comment expliquer le bonheur d'être esclave de l’homme que l’on aime ? C'est impossible je crois.

Il me met la laisse, pour rejoindre la cavité vaginale dans laquelle nous retrouvons Sonia et son soumis. Sur le trajet, je l'informe de la sollicitation du jeune homme sur le ferry. Il décide de ne pas me punir – il admet que matériellement il m'eût été difficile de le contacter.
"Il te reste trois jours sur l'île - Profites-en et donne-lui du plaisir"
"Je ne peux pas rester avec vous, Maître ? "
"Il y a certaines choses que je ne peux pas te dire. C'est mieux pour ta sécurité. Obéis et ne pose pas de questions ! "
Oui, bien sûr, j'obéirai. Sans discuter. Je l'ai toujours fait.
J'ai juste le temps de dire au revoir à Sonia et à son esclave. Mon Maître me rend le sac à dos contenant mes vêtements et m'ordonne de rejoindre mon hôtel.

De retour à l'hôtel, j'imprime le formulaire d'évaluation que j'avais sur mon PC et j'expédie un mail au jeune homme pour lui proposer de visiter l'île ensemble comme il le souhaitait.

Je me réveille brutalement au milieu de la nuit et j'ai l'illumination. Mon cerveau a travaillé pendant mon sommeil.  Depuis le début j'étais intriguée par le ballet parfaitement synchronisé du zébralyvox gémellaire dans le flacon. Il scannait son environnement, c'est sûr! Le couple de zébralyvox agit comme un capteur différentiel, et en se déplaçant en parfaite synchronisation il se construit une image tridimensionnelle de l'activité électrique dans son voisinage. C'est comme cela qu'il détecte précisément les foyers de douleur. C'est aussi comme cela, sans doute, qu'il détecte la présence d'autres zébralyvox. C'est pour cela qu'il a une grosse tête - enfin, deux grosses têtes... Deux cerveaux intriqués, dédiés à la localisation fine des impulsions nerveuses.

La grande quantité d'images Sonar géolocalisées mais de mauvaise qualité dont Sonia dispose, ne pourrais-je pas les traiter selon le même principe pour, par corrélation, calculer des images plus précises ?
 
Le lendemain matin je trouve sur mon mail une réponse enthousiaste du jeune homme, qui me propose un lieu de rendez-vous où se retrouver pour visiter l'île ensemble.
Je passe le prendre à l'endroit indiqué. Avec les contrôles aléatoires liés au fucking pass, il faut être très prudent. Je ne peux pas lui proposer de venir me baiser à l'hôtel. Un employé de la réception risquerait de nous dénoncer à la milice. Et puis, les échanges par mail sont peut-être surveillés. Il faut faire très attention à ce que l'on écrit.

Je m'habille en pute, un peu comme sur le ferry, mais en plus explicite - ordre du Maître. Sans culotte bien sûr. Collier d'esclave au cou. Autant qu'il n'ait aucun doute sur le fait que - certes nous nous retrouvons pour visiter l'île -  mais aussi qu'il pourra visiter mes orifices sur simple demande. Je me lubrifie le cul avant de partir.

Dès qu'il monte dans ma voiture, il remarque les lacérations du fouet et des ronces sur mes jambes, et m'interroge. L'occasion pour moi de lui expliquer, en rougissant, que je suis esclave, propriété d'un Maître, et ici avec son accord. Ouf! Ce n'était pas facile à dire pour moi qui suis une grande timide, mais comme ça c'est fait, les choses sont claires.

Après avoir visité les ruines spectaculaires du château Hammershus, qui surplombe la Baltique, nous trouvons une table de pique-nique à proximité. Je meurs de faim, n'ayant rien mangé à l'hôtel ni la veille au soir, ni au petit déjeuner.  Les insectes ça me dégoûte, mais malheureusement au sein de la Suprême Alliance Démocratique cela devient de plus en plus difficile de trouver de la nourriture traditionnelle.

Il a apporté un panier de pique-nique et pendant que nous déjeunons il finit de me raconter l'histoire millénaire et sanguinaire de ce château. Il est vraiment sympa. Je l'apprécie de plus en plus.

L'amélioration des images Sonar me trotte dans la tête. Après le pique-nique, je lui demande de m'accorder 30 minutes. Je sors mon PC portable pour tester une idée. Je suis comme ça. Quand une idée me trotte dans la tête, cela tourne vite à l’obsession. Il me pose des questions. Il s'intéresse. Je ne peux pas tout dire, mais juste un peu, ayant du mal à modérer mon enthousiasme. J'adore parler de ce qui me passionne - mais je ne dois pas être trop bavarde. Il me parle du lycée et des études scientifiques qu'il envisage. Tiens donc! Les sciences cela n'intéresse plus les jeunes en Occident. Il me plaît vraiment ce gars.

Alors que je m'apprêtais à remonter dans la voiture, il me prend par la main et m'attire dans un coin un peu isolé, au milieu des ruines. Le site n'est pas fréquenté en cette saison, heureusement. Je sais ce qui va m'arriver, et j'en mouille déjà.
Il me retire lentement ma robe, tout en m'embrassant, découvrant les marques de fouet qui me strient tout le corps. Il a un petit mouvement de recul, certainement surpris par ces marques qui ne laissent aucun doute sur la sévérité avec laquelle j'ai été fouettée. Puis il me complimente.  Je ne sais pas si c'est pour mon physique ou pour la perverse beauté de mes marques.
Il m'avoue que je suis la première femme qu'il va baiser et qu'il est un peu intimidé. Cela m'intimide aussi. Je vais essayer d'être à la hauteur et de ne pas le décevoir. Je lui dit de ne surtout pas s'embarrasser de préliminaires, de ne pas se soucier de mon plaisir. Mon Maître me baise ou m’encule toujours directement, sans ménagement, alors j'ai l'habitude, et j'adore être prise ainsi. Et puis, je suis déjà bien trempée. Je lui dit que mon cul est déjà lubrifié, s'il souhaite me prendre par là. Mais il préfère la chatte pour une première expérience. Tant mieux, moi aussi. Je jouis très vite et enchaîne orgasme sur orgasme. Visiblement, le zébralyvox n'a pas encore regagné mon clitoris.

Trois jours de tourisme agréable, en bonne compagnie, et de baise. On peut imaginer pire comme séjour! Cela m'aide à supporter l'absence de mon Maître.
Il a eu l’occasion de visiter mes trois orifices. Je lui demande lequel il préfère. La chatte ! Dommage que ce ne soit pas l’avis de mon Maître, qui me la met presque toujours dans le cul… Avant de le quitter je lui tends le formulaire d'évaluation, en lui demandant s'il veut bien le compléter, le signer et le mettre sous enveloppe cachetée que je remettrai à mon Maître. Je sais que si mon évaluation est mauvaise, je serai sévèrement punie. Mais je suis confiante - je suis certaine qu'il a passé un bon moment. S'il est honnête - ce que je crois - il devrait bien me noter.

Réveil de bon matin. Ce sont mes dernière heures sur l’île. La veille au soir j'ai travaillé jusqu'à très tard pour écrire un programme de traitement des images Sonar. Je n'ai aucun moyen de joindre Sonia. Je me lève très tôt et j’emprunte le sentier côtier au pas de course, pour redescendre dans la crique, en espérant qu'elle y est encore.
Je me déshabille entièrement avant d'entrer dans la cavité vaginale. J'ignore quelles sont les idées de Sonia, mais visiblement son esclave est toujours nu en sa présence, alors je ne voudrais pas commettre d'impair. Nous sommes complices, mais cela n'autorise pas les comportements déplacés. Même si je ne lui appartiens pas, elle est Dominatrice, je suis esclave. Me présenter habillée devant elle me semblerait impoli.

Je n'entends aucun bruit. Probablement qu'elle est déjà partie. Ah non! J’aperçois la lumière.
"Hello Ysideulte ! What are you doing here ? "
Son soumis, nu, me salue également. Sa bite est emprisonnée dans une minuscule cage métallique, dont l'intérieur est hérissé de longs pics acérés destinés à dissuader l'érection. Le pauvre... C'est inhumain de traiter un homme de cette manière, me dis-je.

Le temps d'expliquer mon idée à Sonia et de lui transférer les programmes que j'ai écrits, je dois déjà repartir si je ne veux pas rater le ferry.
Je n'ai pas le temps d’attendre les résultats du traitement, qui va nécessiter plusieurs heures de calcul. Espérons que ce sera concluant et que Sonia pourra en tirer quelque chose.
En guise d'au-revoir, elle m'embrasse tendrement tout en glissant ses doigts dans ma fente. Elle sait y faire... Je ne tarde pas à jouir. Décidément, moi qui me croyais 100% hétéro, mes convictions sont fortement ébranlées.
Elle me félicite chaleureusement de m'être présentée nue. "You behave in a manner that honours your Owner !".  Visiblement elle ne me tient pas rigueur de l'écart de comportement que j'ai eu. Emportée par mon enthousiasme quand je lui expliquais comment utiliser mon programme je me suis adressée à elle comme à une amie... "Lower your eyes, slavegirl ! No sustained eye contact without permission" m'interrompit-elle sèchement au milieu de mes explications.

Je reprends la route. Traversée sur le ferry, puis direction la Bretagne ! 20 heures de route ! Je fais une étape en Allemagne - J'ai trop peur de m'endormir.
Sur la route, les friches industrielles témoignent de l'effondrement de l'économie Allemande, autrefois florissante. Depuis le sabotage de 2022, la rupture irréversible de l'approvisionnement en énergie bon marché au profit du coûteux gaz de schiste américain a sonné le glas des industries qui faisaient autrefois la fierté du pays.

L'hôtel est de bon standing et je peux profiter d'un petit déjeuner classique. Cela fait du bien avant de reprendre la route.

En France, sur l’autoroute, les panneaux lumineux disposés à intervalles réguliers répètent jusqu’à l’écœurement le message du moment "Tous zébralysés - Tous protégés".
La campagne politico-médiatique en faveur de l'injection du zébralyvox génétiquement modifié vendu par la filiale pharmaceutique de la BAFC (Bill & Alvértos Fucking Corporation) bat son plein. L’injection fut d'abord réservée aux personnes âgées ou souffrantes. C'est maintenant la totalité de la population qui est incitée à se faire injecter le coûteux symbiote. Quelques complotistes, promptement censurés et conduits illico-presto en hôpital psychiatrique, ont prétendu que sans tarder des mesures plus coercitives seront mises en places. Mais ce sont des élucubrations sans fondements, assurent les fact-checkers, qui ont interrogé le Ministère de la Vérité.

Si mon hypothèse est la bonne, le zébralyvox OGM, stérile, cloné, privé de son jumeau, est incapable de localiser correctement les sources de douleur, incapable de scanner son environnement. Aveugle, privé d'énergie électrique, une mort rapide l'attend. Déjà, des messages commencent à circuler comme quoi la zébralysation devra être renouvelée fréquemment. Pour remplacer les symbiotes morts, sans doute... Et pour remplir par la même occasion les caisses de la BAFC.

Près de chez moi, un centre de zébralysation vient d'ouvrir, comme partout dans le pays.

C'est presque en larmes et désespérée par l'avenir qui nous attend que je sors la clé de ma maison. Mais la porte s'ouvre devant moi.
" Maître ! "
Enfin un rayon de soleil dans cette déprimante société démocratique.


à suivre


(*) Contexte

L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).


Dans mes articles, les quelques paroles laissées en langue étrangère (anglais, danois) ne sont pas indispensables à la compréhension de l'histoire. C'est un choix volontaire pour mieux coller à la réalité. Si vous souhaitez une traduction de certaines paroles n'hésitez pas à me le demander dans le champ de commentaires (un traducteur automatique peut aussi faire le job).

 

14 personnes aiment ça.
LE DEMON 83
Merci Sylvie de ton imagination, de la fluidité de tes écrits, une belle saga qui transpire a "grosses gouttes" ton bonheur de vivre ta soumission....dans un bel épanouissement.
J'aime 21/07/23
sylvie35
Merci pour vos encouragements LE DEMON 83. Quand on a la chance de rencontrer un Maître qui a de vraies qualités humaines, on peut aller très loin dans la soumission, en toute confiance, et c'est un grand bonheur. Essayer de faire ressentir cet état d'esprit, trouver les bons mots, n'est pas chose aisée, mais l'exercice est intéressant et j'avoue prendre goût à l'écriture, ce qui est assez cocasse car j'ai toujours été une bille en littérature... Les voies du bdsm sont impénétrables 1f642.png
J'aime 21/07/23
gitane sans filtre
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire la suite et découvrir un peu de vous ... (bon je cherche aussi qui est dans la vie réelle le BAFC ^^)
J'aime 22/07/23
sylvie35
Merci @gitane. Je crois que je suis moins courageuse que mon héroïne 1f641.png La BAFC n'existe pas encore en tant que telle, mais ses précurseurs et ses fondateurs c'est bien possible... Il y a un petit indice dans les prénoms des fondateurs, Bill & Alvértos, et dans celui de son directeur exécutif (cf. article 1), le Dr Tedros 1f642.png Je m'amuse à semer des indices, mais même si on ne les voit pas ou si on ne les décode pas, ça n'empêche pas d'apprécier l'histoire (enfin, j'espère). C'est juste pour faire sourire ceux qui verront certaines allusions.
J'aime 22/07/23
mael
Bonnes vacances Sylvie. Profites.
J'aime 22/07/23
sylvie35
Merci Mael. Fraîchement arrivée au Japon et la tête dans le pâté avec le decalage horaire 😁
J'aime 22/07/23
mael
1f44d.png super le Japon ! Tu nous raconteras.
J'aime 22/07/23 Edité
Quelle ingéniosité dans la manière d'agencer les briques de l'histoire article après article et de les amener avec fluidité, mine de rien. Franchement je suis épaté, et le mot est faible. Et bien sûr toute ressemblance avec des événements récents est purement fortuite 1f600.png1f600.png1f600.png L'illustration est de toi je présume? 👍👍👍1f602.png1f602.png1f602.png
J'aime 28/07/23
sylvie35
Merci Jakez. Oui, toute ressemblance avec des événements récents est purement fortuite, cela va de soi 😉 Allez, j'avoue, puisque vous avez reconnu la touche de l'artiste, l'illustration est de moi en effet. Est-ce que vous pensez que je suis mûre pour me lancer dans une carrière de graphiste ? 🤔😅😂
J'aime 29/07/23
Graphiste je ne sais pas 1f602.png, mais auteure, sans problème ! 1f44d.png
J'aime 30/07/23
Est-ce qu'il ne vaudrait pas mieux mettre le lien sur les articles précédents au début et pas à la fin ? Ceux qui tombent sur cet article sans avoir lu les précédents doivent être intrigués 1f914.png. Qu'en penses tu ?
J'aime 31/07/23
sylvie35
Bonjour Jakez. Je faisais comme ça pour les premiers articles et puis j'ai changé d'avis. C'est un peu lourd de commencer systématiquement par "Je vous conseille de lire d'abord les articles précédents blablabla..." (on fait mieux comme phrase d'attaque ). Et puis cela ferait sans doute fuir tous ceux qui se diront "Oh, la barbe, il faut lire tout ça ... - 12 articles. Et puis zut!" 1f602.png Finalement j'ai choisi de mettre le lien seulement à la fin. D'un certain point de vue, être intrigué, ne pas tout comprendre, peut être positif. Si on est curieux, cela peut donner envie d'en découvrir plus. Je crois qu'il n'y a pas de solution idéale. J'ai découvert le série Fringe comme ça, par hasard, en tombant sur un épisode dans un hôtel lors d'un déplacement à l'étranger. Je n'ai à peu près rien compris à l'épisode (Olivia Dunham parlait souvent de "l'autre côté", mais "l'autre côté de quoi ?", me demandais-je), mais j'ai aimé les personnages et j'ai été si intriguée qu'une fois de retour en France je me suis empressée de regarder les épisodes dans le bon ordre.
J'aime 31/07/23
J'imagine ceux qui vont chercher zébralyvox sur wikipedia 1f601.png
J'aime 31/07/23
Lady Spencer
Eh bien, lorsque l'on cherche "zébralyvox", Sir Gogole affiche l'article de BDSM.fr avec ce texte là, et offre en références, tous les articles de . Tu le savais, je pense, Sylvie ?
J'aime 01/08/23
sylvie35
Bonjour . Il y a quelques mois, j'avais vérifié que le nom n'existait pas avant de l'écrire ici pour la première fois, mais je n'avais pas regardé depuis. Intéressant... Être indexée par Gogol, c'est la gloire 1f602.png1f602.png1f602.png
J'aime 01/08/23
Lady Spencer
Et en plus, en 1ère ligne !
J'aime 01/08/23
bjr sylvie, est ce que tu sais quant tu ecrira la suite. j'ai hate! c vrai c la gloire sur google
J'aime 03/08/23
sylvie35
C'est amusant. En plus, sur bdsm.fr, quand on écrit des articles, on a le droit à un fanion qui apparaît de temps à autre à côté de l'image du profil. C'est mon Maître qui me l'a dit et me l'a montré, moi je ne peux pas le voir. C'est un peu comme une médaille, de quoi prendre le melon, mépriser tout le monde, et faire des caprices de star 1f602.png1f602.png1f602.png Pour l'épisode suivant, peut-être pas avant mon retour de vacances, donc pas tout de suite. Pour écrire j'ai besoin de me poser, tranquillement, avec un vrai clavier, et de me concentrer pour être à fond dans mon histoire. Là je suis souvent sur smartphone, ça va pour écrire quelques phrases, quelques bêtises sur le forum, mais pas pour écrire un vrai texte. D'ailleurs je m'étais dit que j'arrêterais d'écrire sur le forum pour me consacrer davantage aux articles, qui me permettent d'exprimer indirectement des choses qui me tiennent à cœur, mais je me suis encore laissée emporter - c'est un peu addictif si on n'y prend pas garde. Mais bon, parfois l'inspiration vient sans prévenir, donc je ne sais pas en fait.
J'aime 03/08/23
tu risuqe d'exploser ton forfait aussi. c super cher en dehors de l'europe je croix. fais attention.
J'aime 03/08/23
sylvie35
Non, ça va, nous avons acheté des cartes SIM locales prépayées pour l'accès à Internet. Sinon effectivement avec les SIM françaises ce serait la ruine ! Et puis il y a le WiFi dans les hôtels. Pour écrire c'est davantage une question de conditions: tranquillité pendant une longue durée pour permettre la concentration, vrai clavier, ..., que d'accès au réseau. Un article me demande beaucoup plus d'efforts qu'un message sur le forum, j'y mets du cœur et j'essaie de faire de mon mieux.
J'aime 03/08/23