Le repas touchait à sa fin et nous prenions tous un digestif que nous avions depuis quelques années. Un bon Cognac de 30 ans d’âge que nous savourions dans le petit salon.
Madame avait mis les petits plats dans les grands. Fine cuisinière, elle nous avait régalées et la convive ne manqua pas de la féliciter. Durant le repas les conversations allaient bon train. L’ambiance y était détendue. Ce fut préférable, car j’aime l’humour sans tabou. Humour noir, piquant et parfois un peu osé. Je n’avais pas de honte devant cette amie de longue date. Nous nous connaissions depuis le collège, mais ne nous étions pas revu depuis que ma femme et moi étions venus vivre dans sud de la France. Nous discutions régulièrement via les réseaux sociaux et connaissions nos vies, nos évolutions professionnelles et pour elle, ses nombreuses déceptions amoureuses. Elles ne s’étaient jamais rencontrées toutes les deux, mais entendait parler l’une de l’autre par mon intermédiaire. Ce fut lorsque Ludivine, mon amie, vint sur Toulouse pour y rencontrer je ne sais qui qu’elle profita de l’occasion pour nous rendre visite et rencontrer Vanessa, ma femme.
J’avais vu quelques photos d’elle sur internet, mais je constatais que les photos ne reflétaient pas la vraie beauté qu’elle était devenue. Ses yeux bleus et ses longs cheveux noirs furent d’ailleurs un sujet de conversation à table. Ma femme ne tarit pas d’éloges d’ailleurs à ce sujet et de son physique en général. Je craignais d’ailleurs que ce ne soit pour me faire remarquer une pointe de jalousie. Les compliments, à ma grande surprise, rendirent les deux femmes assez complices. Ce fut moi qui ressentis une pointe de jalousie lorsque Ludivine me sembla plus intéressée par la conversation avec ma femme. Je tentais quelques blagues afin de m’immiscer dans la conversation. Elles souriaient par courtoisie, mais continuaient leurs discussions. Je prie alors soin de m’éclipser pour aller chercher des glaçons. Occupées par leurs points communs, je profitais pour scruter discrètement Ludivine qui portait une robe assez courte d’où je pouvais apercevoir le haut des ses bas en dépasser. Elle était chaussée de jolis talons aiguilles qui lui donnait un air très pin-up, très sexy. Mes yeux furent stoppés quand je compris que ma femme avait plongé ses yeux dans les miens. Un flagrant délit en bonne et dût forme. Je souris bêtement quand je compris que Ludivine avait tourné la tête et me regardais par-dessus son épaule en souriant aussi. J’étais un peu gêné, mais je fis l’air de rien et j’en profitais pour la complimenter de nouveau sur son physique et sa tenue très sexy me disant que la meilleure défense, c’est l’attaque.
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Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé…
Seul le bruit de ses talons aiguilles sur le parquet et sa robe frottant sur ses hanches rompt le silence.
Elle tournoie autour du fauteuil sur lequel je suis attaché les yeux bandés à attendre.
Elle s’est fixée devant moi. Plus de pas. Plus de mouvements.
De ses genoux, elle écarte un peu mes jambes me découvrant et lui laissant une pleine vue sur ma nudité et mon sexe déjà tendu par la situation. Elle sourit ? Sans doute..un petit sourire narquois, je l’imagine aisément.
Je sursaute. Je n’avais pas anticipé son mouvement.
Un doigt ganté effleure mon gland et descends le long de ma verge. Douce sensation en appelant plus mais rien ne vint. Juste encore une attente de quelques minutes qui semblèrent être des heures.
Elle se déplace de nouveau relançant le balais des claquement de talons sur le sol et la mélodie du vêtement sur les hanches. Un baiser se pose sur mes lèvres auquel je répond tendrement. Nos lèvres se séparent et c’est sa langue qui prends le relais, léchant sensuellement mais fougueusement mes lèvres comme pour indiquer que c’est elle qui mène la danse. Un passeport à la luxure dont elle seule pourrait valider le voyage.
Le fauteuil tremble. Je devine qu’elle vient de prendre une position d’où elle me surplombe. La chaleur de son corps emplit mon visage. Elle écrase ses fesses sur celui-ci me demandant prestement d’user de ma langue. Quelle diable de position doit-elle avoir pour être ainsi ? Je meurs d’envie d’avoir les yeux libérés de cette étoffe et profiter de cette vue osée et imprenable. Elle le sait et en joue, balançant son cul de gauche à droite en me cognant le visage comme pour me narguer.
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Depuis déjà des mois j’occupe la maison de par une activité professionnelle néant. Ce temps de recherche d’emploi me laisse aussi beaucoup de temps pour développer mon imaginaire sexuel et imaginer de nouveaux fantasmes dont je sais, certains ne caresseront pas son esprit que j’aimerais plus audacieux et pervers.
Pourtant je soulage ma conscience de son énergie sexuelle en remplissant quelques articles sur mon blog à caractère informatif avec une touche de pornographie. Cela m’occupe et me donne l’impression de faire une thérapie ou je me révèle à elle comme si elle lisait régulièrement ces pages qui livrent parfois entre un article futile traitant d’un incident sexuel ou d’une loi ayant comme sujet le sexe ; un fantasme que je glisse aux yeux des quelques internautes curieux qui passent par ici juste attirés par une image tirée d’un film X.
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