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SélèneTG
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Fanpage dédiée à tous les pratiquants de la Fessée qu'elle soit éducative, punitive ou simple jeu.

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Maîtresse Amélia
Tout a commencé un jour de juillet, un jour de trop grande chaleur que mon robot mixeur n'a pas pu supporter. Je suis une femme décidée, je n'allais pas abandonner la confection d'une recette à la première panne mécanique. Je sonnai chez les voisins de palier que je connaissais de vue en espérant que la fille possède un appareil similaire et qu'elle accepte de me le prêter. La fille en question qui m'ouvrit la porte était vêtue d'un short et d'un débardeur largement échancré sous les aisselles. Je n'avais fait que la croiser, et ne l'avais jamais vraiment regardée. Je ne suis pas spécialement attirée par les femmes bien qu'un corps féminin bien proportionné ne me déplaise pas. Elle avait visage avenant aux traits réguliers, le cheveu châtain, un sourire engageant mais légèrement contraint. Un corps de taille moyenne, que j'estimais à un mètre soixante-neuf (parce que c'est un bon nombre, mais en vrai, j'ignorais totalement sa taille), des seins qui semblaient vouloir profiter des échancrures du débardeur pour afficher leur rondeur, une taille bien marquée (l'ensemble étant mis en évidence par le débardeur très échancré et vraiment court), et pour finir, des cuisses et des jambes bien galbées. Je lui exposai le but de ma visite. Elle réfléchit un instant, puis me répondit qu'elle devait avoir ça, rangé dans un coin. Elle me pria d'entrer. Lorsque je fus dans le couloir de son appartement, elle se tourna vers moi et se ravisa: -- Vous n'êtes pas choquée par la nudité? me demanda-t-elle. Je fis la moue, une moue interrogative. Elle était vêtue légèrement ce qui pouvait se comprendre au vu de la chaleur qui régnait depuis plus de quinze jours et dont notre étage accumulait allègrement les degrés comme un écureuil les noisettes, cependant je me demandais si ce tissu était encore trop pour elle. -- Non, pas particulièrement. Je n'ai pas la réputation d'une fille coincée, ce serait plutôt le contraire, pourquoi cette question? Vous avez trop chaud? lui demandai-je sur le ton de la plaisanterie. -- Oh, pour ça oui, je crève de chaud. Mais, non. C'est mon copain, il s'est endormi sur le canapé, et il est nu. Elle pivota et reprit sa marche en avant. Je la suivis, je ne lui avais pas menti, le cul ne m'a jamais effrayé. Encore moins celui des mecs que celui des nanas. Effectivement, son copain pionçait à poil sur le canapé, étendu à plat ventre sur l'assise. Je ne pouvais pas voir grand-chose de lui, car son visage était enfoui dans la pliure de son avant-bras. Mais ses fesses attirèrent mon regard, un fessier particulièrement rebondi, impression accentuée par le creusement du corps au niveau de ses reins. Incontestablement, il captivait le regard. -- Il a un beau cul, n'est-ce pas? Sa copine s'était-elle aperçue que mon regard avait un peu trop trainé sur le fessier de son copain? -- Heu, oui, il semble bien galbé, dis-je un peu gênée. -- Ne te sens pas gênée, j'aime bien qu'on le regarde... et lui aussi. Je regardai la fille, d'un regard interrogateur et probablement stupide. Je notais que les fesses de son copain nous avait fait basculer dans l'intimité du tutoiement. Je me rassurais en me disant que les histoires de cul rapprochent ou créent des conflits. Immanquablement. Je ne tarderais pas savoir sur laquelle des fesses de son copain nous nous situerions: amicale ou conflictuelle. -- Assieds-toi, me dit-elle en me désignant un fauteuil, je vais chercher l'engin. Tu veux boire quelque chose? Je refusai poliment. Elle s'éclipsa. J'en profitais pour mater son copain sans aucune retenue. Je forçai mon regard à ne pas se focaliser sur sa partie postérieure. Je remarquai son abondante chevelure bouclée débordant du repli de son bras. Le dormeur ne paraissait pas très grand, mais assez bien fait et pas très costaud. N'y tenant plus, je me soulevai du siège pour voir son dos, et admirer un peu mieux son fessier, lorsque la rougeur de son cul m'interpela. Une rougeur très localisée sur chacune des fesses. Mon esprit se mit à examiner toutes les possibilités sans trouver une raison satisfaisante. -- Je ne l'ai pas trouvé! Je vais secouer Tony, il doit savoir où il est. La fille ne s'était pas absentée très longtemps. -- Non, non ce n'est pas néces... Mais déjà secoué par sa copine, le copain émergeait de sa sieste, la chevelure en bataille et le visage éberlué. -- Bonjour, fit-il à moitié ensuqué. Je lui rendis son salut. Sa copine ne lui laissa pas le temps de reprendre ses esprits et lui demanda immédiatement s'il se souvenait où le robot mixeur était rangé. -- Secoue-toi, insista la fille comme le gars mettait du temps à répondre. -- Je vais chercher, dit-il d'une voix pâteuse. Il se leva. Je pus admirer le garçon. Comme ma première impression me l'avait laissé entrevoir, il n'était pas immense ni très musclé, presque efféminé, notamment du fait de sa taille très marquée pour un homme. Cependant son corps était équilibré par une musculature fine, mais présente. J'essayais de ne pas m'attarder sur ses attributs virils, qui démontraient une masculinité tout à fait convenable et prête à l'emploi. Lorsqu'il nous tourna le dos, je n'eus plus de doute. Ses fesses bien galbées présentaient une rougeur nettement marquée, le contraste avec le reste de sa peau était saisissant. -- Moi, c'est Marielle, dit la copine pour attirer mon attention. Et mon copain se prénomme Antoine. Toi, c'est? -- Mélanie, répondis-je encore perdue dans des pensées rougeoyantes. J'eus envie de lui poser la question, mais je me retins. En regardant Marielle, je compris qu'elle savait que je m'interrogeais à propos de la rougeur du cul de son copain. Mes yeux avaient trop trainé sur ses fesses pour que mon intérêt ne se porte que sur leur rondeur. -- Antoine et moi, on a une relation de couple un peu... originale. On pratique la discipline domestique, dit-elle. -- C'est quoi? Je posais cette question bien que je comprenne le sens des mots. J'étais étonnée par l'aveu de but en blanc, presque de rose en rouge, de cette pratique qui me paraissait relever de l'intime. -- En gros et en résumé, si Tony ne se comporte pas comme je l'attends de lui, je le châtie. -- Tu le punis comme un enfant? lui demandai-je sidérée, autant abasourdie que curieuse. Piquée au vif, rouge vif. -- Pas vraiment comme un enfant. Il doit se conformer à une sorte de règlement non écrit, une discipline du foyer, sinon il est sanctionné. -- Et il est d'accord? -- Bien évidemment, c'est même la raison de la persistance de notre couple. C'est d'ailleurs Tony qui en est à l'origine. -- Comment ça? Je n'en revenais pas que ce soit lui qui demande à être puni. -- C'est l'histoire de notre relation de couple, chaotique. On est guidé par une relation que je ne sais pas très bien qualifier... Proches, on en arrive presque à se détester. Et dès qu'on s'éloigne l'un de l'autre, c'est le désespoir, le manque, le vide. -- À ce point? -- Oui. C'est un équilibre dans le déséquilibre... -- Je ne comprends pas. -- C'est l'inégalité entre nous qui crée l'équilibre de notre couple. -- C'est un peu étrange... -- Laisse-moi te donner un exemple. Il y a quelque temps, Tony était nu comme un ver comme souvent lorsque je suis habillée, voilà une inégalité. Et il m'a fait faire une bêtise. J'ai râlé et je lui ai mis deux claques sur les fesses en lui disant d'arrêter de me troubler, qu'il me faisait faire des idioties. Sur ce, il m'a embrassée avec fougue. Un vrai baiser passionné! -- Ce n'est pas bien méchant. Si? -- Non, bien entendu. Le surlendemain alors que j'étais prête à partir au boulot et lui complètement à poil, c'est lui qui a fait une bêtise. Il a souillé ma robe, mais comme il était coupable, je l'ai claqué plus fort, plus longtemps et vraiment sévèrement. Sauf qu'il s'est mis à bander très fort. Il bandait si fort que j'ai saisi son sexe et que je l'ai masturbé. Je ne sais plus si je voulais le faire débander... Je le grondais méchamment, mais je continuais à lui claquer les fesses et il ne protestait pas. Au contraire, il m'a embrassé à pleine bouche et son baiser m'a fait chavirer. Nous avons fini par faire l'amour sur le sol de la cuisine où nous nous trouvions. Et j'avoue que sa langue m'a particulièrement bien gâtée. Mais les préliminaires de ces épisodes m'ont troublée. J'étais sidérée par son récit! Enfin quoi! J'étais juste une voisine de palier, une connaissance "bonjour, bonsoir" et voilà qu'elle me confiait son intimité, une intimité assez salace comme si on était les meilleures amies depuis toujours. Et moi, bien sûr, je gobais ses paroles, avide de connaître la suite, friande de tous les petits détails croustillants. -- Et ensuite? dis-je. -- Des épisodes de ce genre se sont reproduits. Marielle resta pensive comme si elle revivait quelques-uns de ces moments. -- Tony en est venu à m'avouer ses penchants et à me dire à que, dans un couple, il y en avait toujours un des deux qui dominait l'autre, en me désignant comme celle qui devait dominer. Au bout d'un certain temps, il m'a fait comprendre qu'il ne voyait aucun inconvénient à ce que je prenne totalement l'ascendant sur lui, mais que ça impliquait que je le domine également sexuellement. Complètement, et bien plus qu'avec de simples fessées. Son récit commençait à me renverser les sens. -- Comme ça? Il te demandait de devenir sa dominatrice comme s'il discutait du cuir de ta nouvelle robe? -- Non. Le cuir et tout le tremblement ne l'attirent pas spécialement. Mais d'un autre côté, ça va plus loin. Il veut ma domination sur lui, il me veut en tant maitresse-femme en même temps que mère sévère dans notre relation de couple. -- Comme te l'a-t-il dit? m'étonnai-je. -- Progressivement, j'ai compris qu'il essayait de me le faire ressentir à travers son comportement antérieur. Par exemple, le plaisir qu'il prenait à être nu devant moi alors que j'étais habillée ou bien à ce que je le fesse sous n'importe quel prétexte, surtout le plus injuste. J'ai interprété ça comme un besoin d'infériorité, et il n'a pas nié. De la même manière, quand la fessée sert à me défouler comme tu as sûrement remarqué dans les exemples que j'ai cités. -- La rougeur d'aujourd'hui, c'est pour ça? -- Une fessée, oui. Une petite punition pour désobéissance. -- Et ça suffit? -- Non, mais sans cette discipline domestique, notre couple n'existerait plus. Mais elle n'est pas suffisante pour Antoine, il a vraiment besoin de se sentir inférieur, d'être humilié et que nous ne vivions pas notre relation en la cachant aux autres. Je ne savais quoi penser de cette fille. Elle m'exhibait son mec à poil. Non seulement à poil, mais elle me déballait leur intimité et les penchants de son mec sans me connaître. Et moi, je prenais plaisir à ce voyeurisme, et j'avais moins de scrupules ou je me trouvais des excuses. §§§§§§ -- Je ne l'ai pas trouvé. Antoine revint penaud, tête basse. -- Tu as mal cherché, gronda Marielle. Ou bien tu ne sais pas où tu ranges les affaires, ce qui est pire! Tony tenta une timide, mais vaine protestation. -- Viens t'assoir ici! ordonna sèchement Marielle en pointant de l'index une place sur le canapé en face de moi. Je vais chercher à nouveau, et gare à toi si je le trouve. Antoine vint se placer exactement à l'endroit désigné par sa compagne. Je remarquais qu'il gardait les cuisses un peu écartées, comme pour m'exposer sa verge et ses testicules ou me démontrer qu'il ne devait pas me cacher leur état. Ce qui était le cas. Son membre était gonflé, semblait battre au rythme de son cœur parallèlement au sol. J'eus le temps d'apercevoir un petit sourire dessiné par les lèvres de Marielle avant que celle-ci ne quitte la pièce. Je soupçonnais une complicité bien établie entre les deux tourtereaux dans ce petit manège. Marielle m'en avait suggéré les contours peu auparavant. -- Vous avez une relation particulière Marielle et toi, commençai-je pendant que sa copine cherchait le robot mixeur. -- Elle t'en a parlé? -- Un peu, oui. -- Sans ça, on n'arriverait pas se supporter. Ou plutôt, on ne pourrait pas vivre ensemble. -- Alors tu acceptes qu'elle te domine... Il ne répondit pas tout de suite. -- Oui. Elle fixe des règles, qui n'ont qu'une importance relative. Ce qui compte c'est l'objectif. -- L'objectif? -- Oui, le plaisir qu'on en retire pour vivre notre relation. Il n'eut pas le temps d'en dire plus, Marielle était là. -- Qu'est-ce que c'est, ça? Tu vois que tu n'as pas cherché! Elle brandissait le robot sous le nez de son copain. J'étais presque persuadée qu'elle avait fait exprès de ne pas le trouver lors de sa première recherche, que Tony l'avait imitée à son tour pour qu'elle puisse trouver l'objet et lui en faire le reproche. J'étais curieuse de ce qui allait suivre, car tout ce qui avait précédé était sûrement destiné à cette conclusion. -- C'est toujours pareil avec toi! Tu ne fais jamais aucun effort! Je prends Mélanie à témoin. Tu ne travailles pas, tu n'as qu'à rester à la maison pour faire l'entretien... et pour quel résultat? c'est nul, nul. Tu nous fais perdre notre temps, voilà à quoi tu sers. À nous faire perdre notre temps! Elle se tut et me regarda. Je supposai qu'elle me jaugeait pour voir si je rentrais dans son jeu. Je ne dis rien, mais je ne la détrompai pas en ne détournant pas les yeux. -- Voilà ce que tu vas faire... tu vas demander pardon à Mélanie. Tony s'apprêtait à ouvrir la bouche. C'est à cet instant que mon attention se porta sur lui et que je remarquai qu'il bandait. Jusqu'à présent je suivais Marielle des yeux et je ne m'étais pas aperçue de l'état changeant de Tony qu'il exhibait pourtant sans mystère. Là, il n'y avait aucun doute: l'humiliation que lui infligeait sa copine en ma présence, loin de l'accabler, lui procurait une érection monumentale. -- Pas comme ça! Pas assis sur le canapé! éructa Marielle. À genoux à ses pieds. Elle tira Antoine par le bras. Il se laissa entrainer sans résistance et s'agenouilla face à moi. Son érection n'avait pas faibli. Je faisais des efforts pour ne pas la fixer sans y parvenir. -- Allez, qu'est-ce que tu attends, demande-lui pardon pour ton incompétence. Elle le fessa sans ménagement à plusieurs reprises. Visiblement, autant l'un que l'autre appréciaient l'instant, car Antoine ne se pressait pas pour entamer sa contrition. Je m'attendais à ce que sa demande de pardon soit insuffisante aux yeux de Marielle. Ce fut le cas, elle lui claqua les fesses à nouveau plusieurs fois en lui répétant que ce n'était pas de cette façon qu'il obtiendrait mon pardon. Sa bite n'arrêtait pas de danser suivant le tempo des claques. Cette vision me mettait dans tous mes états. Je commençai à ne plus savoir comment croiser les jambes. Cette fois j'étais prise dans le jeu, si c'était bien un jeu. Tony réitéra sa demande de pardon à de multiples reprises. Marielle rejeta chacune d'elles en humiliant son copain, en le dégradant, en l'avilissant jusqu'à un point tel que je ne trouvais plus de mots pour décrire ses récriminations. Pourtant lui bandait toujours aussi fort, comme si se retrouver nu, à genoux, aux pieds d'une inconnue dans cette posture de soumission en étant traité comme un moins que rien lui procurait une excitation extrême. Il était presque évident que Marielle prenait tout autant de plaisir que son copain à cette séance d'humiliation publique. Je devais m'avouer que mes sens bouillonnaient. Je ne pouvais rester insensible à la jouissance que prenait ce mâle fier à être soumis à une telle dévalorisation. Mon cerveau et ma raison pouvaient bien argumenter dans un sens, ma vulve témoignait ardemment d'un émoi trouble complètement opposé. -- Je vous supplie de me pardonner pour ma nullité crasse qui vous a fait perdre votre temps. Aussi, je vous prie de m'infliger la punition que je mérite et qu'il vous plaira que je subisse. -- Qu'en dis-tu? me demanda Marielle. Es-tu prête à accepter la demande de punition de cette loque? -- Il faut que j'établisse son châtiment? -- Bien évidemment. Et que tu le lui infliges. Tu es la personne lésée. Des sentiments contradictoires se bousculaient en moi. Je n'avais jamais puni, ni frappé quiconque. Mais ce gars me suppliait de le punir, en bandant si dur, preuve de son désir intense de voir sa supplique se réaliser... cela rendait le renoncement difficile. Étaient-ils un couple de pervers désirant m'entrainer dans sa turpitude ou alors prévoyaient-ils de me faire chanter lorsque j'aurais cédé à leur perversion? Ou bien tout simplement des malades? Cette question m'obnubilait et m'empêchait de prendre une décision. -- Je ne pourrais pas, dis-je finalement. Ce serait trop difficile. Antoine me regarda avec un air de chien battu. Il avait l'air vraiment déçu. Je compris qu'il n'y avait aucune intention cachée dans la requête du couple, juste une réelle déviance pervertie. -- Tu assisteras à sa punition alors? s'enquit Marielle. -- Oui, c'est d'accord, répondis-je spontanément. J'avais bien fait de ne pas réfléchir. §§§§§§ Je suis surprise par la simplicité. Pas de décorum, pas de rituel. Juste un homme jeune, un peu frêle, mais bien proportionné, nu, tenu par la queue, une queue bien raide, bien épaisse, une queue pleine de promesses de jouissances et qui, pourtant, ne sert que de laisse. Car elle est tirée par une femme à peine plus petite que lui, à l'allure décidée qui l'amène jusqu'à une chaise basse toute simple sur laquelle elle prend place. Le mec s'allonge en travers des cuisses dénudées dépassant du short court de la femme, il se tortille pour que sa bite s'écrase sur la cuisse droite de sa copine. Le jeune homme est juste assez grand pour que la pointe de ses pieds et ses paumes de mains reposent sur le sol. Au pied de la chaise, la femme a disposé quelques instruments dont elle se servira peut-être pour exécuter le châtiment. Elle use de mots choisis pour décrire la punition, des mots tels que châtiment, correction, sanction. Je ne suis pas connaisseuse, mais je reconnais quelques objets qui ressemblent à un martinet, une ceinture sans en être une, un brumisateur, et d'autres dont je ne connais pas le nom. Marielle débute en caressant Antoine. Elle lui caresse les fesses, sa main semble à la fois érotique et maternelle. Maternelle, car elle est rassurante, comme si elle cherchait à lui dire qu'elle va le punir pour son bien, que c'est un mal nécessaire, pour qu'il apprenne et se comporte mieux à l'avenir. Qu'il lui obéisse. Mais qu'avant tout, il sache tout l'amour qu'elle lui porte. Si cette main pouvait parler, elle traiterait Antoine de chenapan, de vilain garçon, elle lui dirait: « qui aime bien, châtie bien ». Érotique, car Marielle fait pénétrer cette main droite entre les globes de chair, la laisse descendre profondément pour atteindre les couilles qu'elle manipule sans que je ne puisse voir son action. Puis elle remonte jusqu'à l'anus, Tony écarte les cuisses pour lui en faciliter l'accès. Elle joue un moment avec la rondelle, elle l'agace comme si elle voulait le pénétrer. Soudain, la main femme et mère claque la fesse droite, externe, puis la gauche. Une paire de claques brusques qui résonne et ouvre la séance comme les premiers éclats d'un feu d'artifice sur ce cul rebondi à la tension si tentatrice. Après une brève pause, les claques sur les fesses mâles se succèdent, rapides, intenses, sans aucun répit évoquant un orage de grêle. La chair réagit qui s'agite en vagues successives et rugit en grondement de plus en plus grave comme la main frappe de plus en plus fort. Violente et passionnée.
9 personnes aiment ça.
Franchement bien écrit et histoire tout à fait belle. Vivement la suite, je m'en réjouis d'avance !😍
J'aime 14/07/25 Edité
Benoît
C est magnifique Moi sa me plairait recevoir ma première fessée maîtresse Amélia
J'aime 15/07/25
Benoît
Comment allez-vous aujourd'hui
J'aime 15/07/25
Benoît
Maîtresse Amélia
J'aime 15/07/25
Francois
très joli texte qui me fait rever
J'aime 16/07/25
Benoît
C est super sympa que vous faites maîtresse Amélia
J'aime 17/07/25
Rich
Je me suis surpris à apprécier la qualité d'écriture de ce texte. Elle est bien au-dessus de ce que j'observe habituellement, quel que soit le domaine considéré. Bravo !
J'aime 19/07/25