Fessée

Je suis assis, nu, à la table qui fait face à votre bureau, les fesses et l'intégralité des cuisses incandescentes, zébrées des marques laissées par les lanière de votre martinet. Mon châtiment est loin d'être terminé, je le sais puisque vous me l'avez dit, je sais aussi que je mérite ce qui m'arrive et qu'en aucun cas je ne peux espérer votre grâce ou votre clémence. A plusieurs reprises déjà j'ai dû, en larme et à genoux, vous rendre hommage … je sais que je devrai le refaire encore. Vous m'avez donné l'ordre de rédiger sur mon cahier disciplinaire le récit de ces dernières heures sans rien omettre … je sais aussi ce que me coûterait le moindre oubli. Tout a commencé hier soir. Vous m'aviez donné l'ordre de nettoyer les vitres de votre bureau avant la fin de votre journée. A 18 heures, très en colère vous m'avez convoqué. Je n'avais pas fait le travail demandé. Bien sûr les reproches fusèrent puis vint l'annonce de la sanction : "je veux te voir dans ce bureau demain matin à 8 heures 30, tu auras évidemment nettoyé les vitres avant mon arrivée, il n'y restera pas la moindre trace. Pour cette fois la sanction sera légère, 20 coups de martinet te ramèneront à plus de sagesse. En attendant, tu es consigné dans ta chambre ce soir, interdiction de sortir avant mon retour demain matin sauf pour accomplir le travail que tu as oublié de faire … est-ce bien compris ? Timide je balbutiais _ oui … votre regard s'est enflammé _ Pardon ? j'ai mal entendu ? _ Oui Madame … je vous demande pardon … Madame … pardon _ Cela te coûtera 10 coups supplémentaires. File dans ta chambre , je ne veux plus te voir ! " Ce matin à 8 heures 30, je vins dans votre bureau … sans avoir accompli ma tâche … Vous sembliez furieuse : _ tu peux m'expliquer ? _ … je me suis endormi, Madame … je me suis réveillé trop tard … je vous demande pardon … je vais nettoyer les vitres tout de suite … _ tu t'es endormi ? je crois rêver ! alors oui, tu vas laver ces vitres mais pas avant d'avoir reçu les soixante coups de martinet qui t'attendent ! 20 pour le travail non fait hier, 10 pour avoir oublié les règles minimums du respect et 30 pour ne pas l'avoir fait avant mon retour. Déshabille toi ! _ … pitié Madame, je vais les laver tout de suite … _ Bien sûr tu vas les laver ! Pour l'instant déshabille toi ! à poil, tout de suite, face à moi et les mains sur la tête ! Un sentiment de honte m'envahit … je commençais à me déshabiller … honteux bien sûr … mais je ressentais une excitation coupable … je sentis mon sexe … se gonfler légèrement … pourvu que … mais le mouvement semblait inexorable … bien sûr, quand je fus nus, mains posées sur la tête, ce début d'érection ne vous échappa pas. Vous vous êtes alors levée, avez fait le tour de votre bureau, avez sans ménagement empoigné l'objet coupable : "tu peux m'expliquer ? L'effet fut immédiat, mon sexe s'érigeât totalement et se fit dur dans la main qui l'enserrait … je ne pouvais répondre … votre ton se fit impératif : _ j'attends une explication ! dans le même temps, votre majeur et votre indexe réunis giflèrent fermement l'extrémité de ce sexe indécent. _ je ne sais pas Madame … je ne peux pas m'en empêcher … Alors sans ménagement vous avez décalotté ma verge, 5 aller-retours de vos deux doigts réunis sur mon gland désormais sans défense m'amenèrent au comble de l'excitation … à tel point que j'eus peur de ne pouvoir retenir une éjaculation … Madame, je sais que je ne devrais pas vous le dire mais je dois pourtant vous l'avouer : cette situation m'excitait à un point que je n'avais jamais imaginé. _ je vais te dire ce qu'il t'arrive : tu es vicieux ! sais-tu comment je punis ce genre de comportement ? le martinet ne suffit pas ! la punition serait trop douce ... Après lui, la cravache t'attend. Tu ne l'as jamais reçu, en tout cas pas ici, tu vas apprendre sa dure loi ! Mais avant que je ne te fouette comme tu le mérites, dis moi ce que tu as fait réellement cette nuit _ mais Madame, j'étais puni dans ma chambre … je n'en ai pas bougé … _ tu en es sûr ? _ oui ... bien sûr ... Madame … Vous m'avez alors tendu une lettre signée d'une de vos amies et m'avez ordonné de la lire à haute voix. En rougissant, j'exécutais votre ordre : " Ma chère Yolande, comme tu me l'avais demandé hier, j'ai surveillé ta maison après ton départ. Et bien sûr, comme tu l'avais prédit, j'ai vu, aux environ de 21 heures, ton protégé s'éclipser discrètement de sa chambre pour rejoindre, à l'extérieur, un groupe d'amis qui l'attendaient. J'adore quand tu me confies ce genre de mission et j'imagine alors les conséquences pour le garnement fautif … Je te souhaite une très belle journée, je sais que la dominante en sera rouge et je sais combien tu prends plaisir à fouetter un fautif ! Je t'envie aujourd'hui " _ il y a un post-scriptum : lis le ! " PS : si ton garnement ne reconnais pas les faits, n'hésite pas à m'appeler, je me ferai un plaisir d'apporter les photos que j'ai prises … et bien sûr d'assister, participer peut-être si tu me le permets à son châtiment … tu sais combien j'adore entendre un coupable gémir et pleurer sous ta férule ! " _ Alors ? tu nies les faits ? _ … Madame … pitié … je reconnais … mais je vous en prie … pitié, j'implore votre clémence … _ Ma clémence ? tu veux rire ? pour la désobéissance, ce sera 100 coups de martinet. Pour le mensonge, deux séries de 15 coups de cravache que tu compteras à haute voix après les 15 que tu auras reçu pour ce sexe dressé. Tu recevra ces trois séries demain matin, tu auras ainsi le temps de méditer tes fautes et d'appréhender leurs conséquences. Et tu n'oublieras pas de me remercier après chaque impact ! Maintenant face au mur, les main largement écarté en appuis sur la cloison, les jambes tout aussi largement ouvertes et les fesses reculées pour être pleinement offertes aux lanières !