Il ne vont pas plus loin que l'excitation ; ils ont des fantasmes, voient quelques vidéos sur Pornhub et ça s'arrête là. Du coup, c'est comme essayer de draguer en n'ayant comme seule référence des rapports de séduction que les œuvres complètes de Rocco Siffredi.Du coup ils ne s'investissent que dans des situations, des mises en scène, sans se soucier de ce qui est le plus important, l'avant, l'après,le relationnel. Ce qui les motive, c'est l'action, mais pas l'intention qu'il y a derrière.Et donc, des fantasmes formatés, gode-ceinture/cocu/cage, de l'obséquiosité mal calibrée, et un comportement de consommateur zapeur.D'ailleurs, ils ne cherchent pas une femme, ils cherchent une maîtresse. Ils ne cherchent même pas, en fait, puisqu'ils sont disponibles. L'enveloppe de leurs désirs n'inclut pas celui des autres. C'est symptomatique.C'est valable pour les autres orientations, ce n'est pas l'apanage des hommes soumis. C'est le même processus que la photo de bite sur Meetic.C'est comme ça qu'on fonctionne, nous les mecs. Guidés par notre queue. Il faut être capable d'avoir un peu de recul sur ses motivations pour comprendre son propre fonctionnement.
10 personnes aiment ça.