A propos du groupe
slavenico69
Créateur

ce groupe est destiné à tous ceux et Celles qui croient à la suprématie féminine (Female Lead Relationship en anglais) et à la nécessaire soumission des hommes aux Femmes

Mur de commentaires

Maîtresse Amélia
Ce soir était un soir comme les autres pour Coralie. Elle était devant son ordinateur, elle surfait sur un site où Elle avait pris l'habitude de se rendre lorsqu'elle se sentait seule, lorsqu’elle était un peu déprimée. Elle papotait avec les autres internautes par le forum et le chat, ça lui redonnait un peu de courage, de tonus. Depuis la rupture avec pierre, elle s'était Renfermée, se sentait complètement invisible et ne se sentait plus capable de plaire. Pourtant, cette jeune fille de 22 ans était une petite brune aux yeux bleus, très bien faite, ni trop grosse, ni trop maigre, des formes là où il faut, une Poitrine assez volumineuse, des fesses bien rondes... le type même de la silhouette d'une femme comme la plupart des hommes les aiment. Depuis quelques temps, elle avait sympathisé avec Sylvie une autre fille du site, avec qui elle parlait par email en parallèle. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle avait raconté à Sylvie ses tractas, ses soucis, sa rupture difficile avec pierre, Comme si elle la connaissait depuis toujours. Ce soir, Sylvie parlait sans retenue et posait des questions à Coralie sur sa sexualité d'avant, d'aujourd'hui. Et sans comprendre pourquoi, ce qui la poussait à faire cela, Coralie Répondait sans mentir. Au fur et à mesure de la discutions, Coralie fini par dire que ce qu'elle appréciée c'était de suivre et non de conduire le jeu de la relation sexuelle. Sylvie ne sembla pas se troubler de ça mais n'en dit pas tellement plus. Lorsque Coralie s'endormit, elle pensa aux questions de Sylvie et cela la troubla de plus en plus. Comment avait elle pu se confier comme cela à une femme qu'elle connaissait à peine. Quelques jours plus tard, Coralie reçut un mail de Sylvie lui disant : " Coucou Coralie, Je dois pour des raisons professionnelles, me déplacer dans ta région, si cela te tente on pourrait se rencontrer et manger un morceau ensemble Tiens-moi au courant Bizou Sylvie" Coralie sourit en voyant cela et répondit immédiatement à cette invitation : " Coucou Sylvie, Ça sera avec plaisir que nous pourrons nous rencontrer donne moi tes disponibilités et je m'en accommoderai. Bizou" Coralie « Le rendez vous fut fixer dans un petit café restaurant, et au jour dit, Coralie, se rendit alla rencontre de Sylvie. Lorsqu’elle rentra dans le café restaurant, Coralie chercha du regard son amie, dont elle avait eu une photo afin qu'elle puisse la reconnaître. Elle ne la trouva pas et s'assis donc à une table libre. Quelques minutes à peine être assise elle sentit une main sur son épaule. « - "Coralie? - euh oui? Répondit-elle. - bonjour c'est Sylvie." Coralie se retourna et découvrit Sylvie debout derrière elle. Elle se leva et les deux femmes se dirent bonjour comme si elles se connaissaient depuis leur tendre enfance. Elles finirent par s'asseoir l'une en face de l'autre et commandèrent à boire et à manger. Elles dégustèrent leurs repas tout en discutant de tout et de rien. La main de Sylvie frôla celle de Coralie, et celle ci déjà troublée d'être en face de celle à qui elle avait tout révéler d'elle, se sentit de plus en plus submerger par le trouble et l'émotion. Le genou de Sylvie vint se glisser entre ceux de Coralie, qui la laissa faire, complètement hypnotisée par son amie. La main de Sylvie passa sous la table et frôla la jambe de Coralie, puis la caressa à plusieurs reprises. Les deux femmes se sourirent Au bout de quelques moments, et après avoir bien discuté, Sylvie regarda sa montre : " Je vais devoir y aller j'ai un rendez vous pour une réunion, mais j'espère que la prochaine fois nous pourrons nous voir plus longtemps? demanda Sylvie en souriant. - oui bien sur j'aimerai beaucoup. Acquiesça Coralie. « Sylvie se leva et embrassa Coralie. Sa main vins caressé les fesses de la jeune fille qui tressaillit mais se laissa faire. Les deux femmes se séparèrent devant le café après avoir payer. Après les quelques minutes de trajet qu'il fallait à Coralie pour rentrer chez elle, celle ci arriva devant sa porte. Elle entra, se mi alaise, s'Assi et repensa à ce repas auquel elle venait de participer et où elle s'était complètement laissée engloutir par son envoutante amie. Elle resta pendant plusieurs minutes immobile, plongée dans ses pensées les yeux perdus dans le vague comme après avoir pris un tranquillisant. Après quelques minutes, elle sortit de son songe contemplatif et se dirigea vers son ordinateur. Elle s'installa en face, l'alluma, et lorsqu'il fut prêt, consulta ses mails. Ses mails apparurent au fur et à mesure, elle les parcourut rapidement. Il ne semblait pas avoir de choses importantes. Elle s'apprêtait à fermer sa messagerie lorsqu'un mail arriva qui attira son attention. C’était un mail de Sylvie. Elle l'ouvrit et lu : " Coucou ma petite Coralie, Je t'écris car je veux te remercier de ce très agréable moment passé à tes cotés. Et pour être tout à fait franche avec toi, je crois bien que nous sommes faites pour nous entendre. Si tu es d'accord j'aimerai que l'on puisse se revoir. Ainsi je t'invite à passer une journée chez moi pour que nous fassions plus connaissance et repasser un bon moment. Si tu es d'accord réponds-moi, sinon je ne t'en voudrais pas. Je t'embrasse À bientôt Sylvie" Coralie resta perplexe. La proposition de Sylvie lui faisait très envie mais elle ne savait pas trop quoi faire. "Après tout, je ne risque pas grand chose" Coralie décida donc d'accepter la proposition de Sylvie et lui répondit favorablement. Le rendez-vous Fu fixé au surlendemain. Le jour dit, Coralie se prépara et monta dans un taxi pour prendre la direction de chez Sylvie. En arrivant devant chez son amie, Coralie découvrit une maison imposante, et isolée. Sylvie l'accueillit à la grille du parc qui entourait la maison. Coralie suivit son amie dans la demeure. Elles s'assirent toute deux au salon en buvant un verre puis deux et en discutant. Elles mangèrent tranquillement puis burent un café. Sylvie dit : « - Nous nous distrairons après. - oui bien sur comme tu veux. S’empressa de répondre Coralie." Pourtant quelques minutes après Coralie commença à avoir la tête qui tournait, à ne pas se sentir bien. Tout se troubla et tout bougea devant ses yeux, se fut le noir, elle tomba évanoui. Chapitre 2. la prise en main. Lorsque Coralie se réveilla, sa première impression fut celle du froid. Elle essaya de bouger, pas moyen, elle n'y arrivait pas. Elle sentait ses mains dans son dos mais elle n'arrivait pas à les bouger. Ses jambes, pareils comme si elles étaient comme dans un étui duquel elles ne pouvaient sortir. Elle ne pu pas commander ses yeux non plus, le noir absolu régnait. Elle voulu appeler, quelque chose dans sa bouche la bloqua. Peu à peu, elle se rendit compte qu'elle était complètement attachée et ne pouvait pas faire le moindre mouvement. Le froid qui la piqua lui révéla qu'elle était nue. Ne pouvant faire quoi que ce soit, elle se résigna à attendre. Après un temps qu'elle ne pu définir, Coralie entendit un bruit de clé et un pas qui descendait des escaliers. Le pas se rapprocha, et quelque chose la frôla. Elle frémi. Une voix qu'elle n'osa reconnaître dit: « Ah je vois que tu es réveillée? Je t'avais dit qu'on se distrairait et bien voilà. On va pouvoir passer à autre chose maintenant que je te tiens. » Des mains saisirent fortement Coralie par les épaules, et la firent se mettre à genoux. Une main se posa sur sa tête et elle entendit un bruit de fermeture éclair derrière celle-ci. Elle sentit quelque chose qui glissa vers le haut et ses yeux retrouvèrent leurs capacités. En levant ces derniers, Coralie découvrit Sylvie qui avait complètement changer de tenue. Une combinaison intégrale de vinyle noire la recouvrait, elle portait de longs escarpins, et tenait une longue cravache souple à la main. Sylvie tapota la joue de Coralie avec le bout de sa cravache en disant : « Qu’est ce que tu es belle tu sais comme ça? Je ne me lasse pas de te regarder. Tu vas voir maintenant tu es en mon pouvoir nous allons vivre de bons moments. » Elle s'éloigna et revint avec un collier métallique, qu'elle passa au cou de Coralie, et le referma avec un petit cadenas. « Tu n'es plus rien maintenant; plus rien qu'à moi. Annonça-t-elle. » Coralie aurait voulu s'enfuir disparaître, elle se maudit de ne pas être restée chez elle. Sylvie attacha une chaîne au collier, et libéra enfin les jambes de Coralie. « Debout dépêche toi nous avons beaucoup à faire! S’écria-t-elle. » Coralie hésita. La cravache siffla et vint s'abattre sur ses fesses, ce qui lui enleva son doute immédiatement. Elle se leva péniblement Sylvie referma une paire de menotte sur les chevilles de Coralie, et tira sur la chaîne qui la reliait au collier en disant « Suis-moi ! « Coralie t'en bien que mal suivit sa gardienne, monta l'escalier, et manqua de tomber. En effet la chaîne des menottes était juste assez longue pour lui permettre de marcher à petit pas, et de monter les escaliers. En arrivant en haut elle passa la porte, et se retrouva dans le jardin. Le vent qui soufflait la fit frissonner. Ce moment de déconcentration la fit tomber à genoux. La cravache la rappela à l'ordre immédiatement. Elle poussa un cri qui fut étouffé par la boule qu'elle avait encore dans la bouche. Les deux femmes traversèrent le jardin et entrèrent dans la maison. Sylvie fit descendre sa prisonnière dans un sous sol par un petit escalier. « Voilà te voici dans ta demeure ! déclara-t-elle. Viens ici et couche-toi là! « Coralie obéit tant bien que mal, et Sylvie lui attacha poignets et chevilles en croix, sur la table sur laquelle elle venait de s'allonger. Sylvie pris sur un meuble à proximité, un nécessaire de toilette, et commença à raser et à épiler intégralement la pauvre Coralie, qui ne pouvait rien faire ou dire pour l'empêcher. Lorsqu’elle eu fini, elle détacha sa prisonnière et la tira vers un placard d'où elle sortit une petite robe très courte, une paire de bas et des escarpins vertigineux. « Enfile ça et dépêche-toi! Plus vite que ça. » Coralie regarda les vêtements que lui tendait Sylvie, les pris et les enfila. « Un vrai petite saloppe, c'est parfait. » Sylvie rattacha les mains de Coralie dans sons dos, et la tira par la chaine toujours attaché à son collier, vers un coin de la pièce. Elle la fit mettre à genoux, et lui enleva la boule qui bloquait toujours sa bouche. Elle déposa devant Coralie une assiette avec de la nourriture. «- Mange tu en as besoin, dit-elle en regardant la jeune fille. - Mais ! Mais ! Mais ! Je ! Je ! Balbutia Coralie. -Si tu ne mange pas, plus rien avant de min lui renvoya Sylvie. - Mais je ne peux pas manger comme ça? Protesta la jeune fille. - Et pourquoi pas ? répondit sévèrement Sylvie, tu n'es qu'une petite chienne, une esclave maintenant c'est ton statut et tu ne mérite pas de manger autrement alors dépêche toi. » Accompagnant les paroles de Sylvie une paire de grands coups de cravache vinrent s'abattre sur le cul de Coralie. La jeune femme, complètement anéanti, se plia donc à la volonté de Sylvie. Elle s'allongea, et comme elle pu, mangea le contenu de l'assiette. « À genoux si tu as fini souillon! Cria sa gardienne. Tu va avoir droit à un dessert. » Sylvie s'approcha de Coralie, et d'une main vint pousser la tête de celle ci pour venir la mettre entre ses cuisses. « Lèche maintenant! Souffla-t-elle. Lèche ta maitresse! Aller exécution! » Coralie tenta de tourner la tête, mais Sylvie l'attrapa par les cheveux et de l'autre main lui administra une paire de gifles magistrales « Comment tu n'obéis pas? Je vais t'apprendre à obéir moi. Cracha Sylvie. » Des larmes coulèrent des yeux de Coralie. La min de Sylvie lui recolla la bouche sur sa vulve. Coralie pleurant anéanti par la violence avec laquelle elle était traitée, sorti la langue et commença à lécher. Très vite, le bassin de Sylvie commença à se balancer, son mouvement s'accélèra, et Coralie reçut un jet de plaisir de Sylvie. Elle voulu retirer sa tête, mais la main la maintint coller. « Nettoie moi ça petite gouine! » Coralie se soumit donc. La main défit son étreinte, et la lâcha. Coralie retomba sur le sol, elle pleurait toutes les larmes de son corps. Sylvie s'accroupit et lui caressa la joue. « Là c'est tout c'est tout, murmura-t-elle doucement. C’est fini. Tu viens de passer le cap c'est normal. Sylvie prit Coralie dans ses bras et la berça doucement. Elle approcha ses lèvres de celle de Coralie et l'embrassa tendrement. La pauvre fille, vidée de son énergie, et ne pouvant résistée se laissa faire. Peu à peu elle se calma, Sylvie la relâcha, et se remit debout. Elle tira sur la chaîne du collier en disant « Aller viens te reposer, tu en as besoin, et demain sera une rude journée pour toi. » Coralie se leva lentement, et suivit sa kidnappeuse jusqu'à une petite cage. « Déshabille toi ! » Coralie s'exécuta sans chercher à comprendre, après que Sylvie lui eu détachée les mains. « Mets toi à quatre pattes! Ordonna Sylvie. Ne bouge plus! Là écarte un peu les jambes! Comme ça! C’est bien! On ne bouge plus ! » Sylvie s'accroupit à coté de sa prisonnière, lui passa autour de la taille une ceinture, de laquelle partait une chaîne qui passait entre ses jambes, pour remonter derrière elle en s'insérant entre ses fesses. Elle prit deux petits godes en métal, qu'elle planta dans la chatte et l'anus de la jeune fille toujours immobile. Coralie sursauta en poussant un cri de surprise et de douleur. La main de Sylvie s'abattit sur la fesse gauche de la jeune fille. « Je t'ai demandé de ne pas bouger, alors arrête. dit-elle sévèrement. » Sylvie tendit la chaîne de la ceinture, et la bloqua avec un petit cadenas. Elle posa un autre cadenas sur la ceinture en elle même, et bâillonna Coralie qui n'osait plus bouger tellement elle était paralysée par la peur. La jeune fille rentra dans la cage sur l'ordre de sa maîtresse, et celle ci lui rattacha les mains par des menottes. Puis elle referma la cage à clé. La cage était de dimension telle que Coralie ne pouvait s'y allonger complètement, ne s’y asseoir confortablement. Elle eu du mal a trouvé une position dans laquelle elle était à peu près bien. Sylvie sorti, éteignis la lumière, et ferma la porte à clé. Coralie, seule attachée dans cette cage, complètement à la merci de cette femme qu'elle croyait son amie, n'arriva pas à trouver le sommeil immédiatement, mais la fatigue, les derniers évènements, eurent bien vite raison de sa résistance et elle s’endormit enfin. Chapitre 3. l'apprentissage au quotidien. Un bruit infernal tira Coralie de son sommeil. Elle ouvrit les yeux et pendant une fraction de seconde se demanda où elle était. Mais les menottes, le collier, son bâillon, et les godes qu'elle avait en elles, lui rafraîchirent aussitôt la mémoire. Sylvie se tenait près de la cage, et tapait sur les barreaux de celle-ci à l'aide d'une règle de bois. « Ah ça i est? Tu te réveille enfin ! » Sylvie posa la règle, détacha Coralie et ouvrit la porte de la cage. Elle l'en fit sortir, et la fit lever. Elle lui passa des menottes aux chevilles, puis fixa une chaîne au collier. Elle passa sa main entre les jambes de Coralie, et constata avec satisfaction que la jeune femme montrait des signes d'excitation. « Petite vicieuse tu aimes ça hein? Demanda-t-elle en la fixant en souriant. Aller dépêche toi suis moi! » En disant cela elle saisit la chaîne fixée au collier et entraîna Coralie vers l'escalier. Elle la conduisit à travers la maison, jusqu'à une grande salle d'eau. Elle lui enleva la ceinture et la chaîne qui retenait les godes, la libéra des entrave qui bloquaient ses cheville et ses poignets, la tira vers la baignoire, la fit grimper dedans après lui avoir retiré le bâillon. « Voilà de quoi te laver, dit-elle, du champoing, du savon, une brosse à dents, du dentifrice, je mets une serviette ici, tu te nettoie minutieusement, et tu te sèche. Je reviens dans 15 minutes te chercher alors, dépêche toi. » Sylvie sortit Coralie se lava et se sécha donc, en pressentant bien que si elle ne faisait pas ce que lui disait Sylvie ou si elle n'était pas prête au moment où celle ci reviendrait, elle aurait de gros ennuis. Sylvie revint bientôt. Elle lui repassa les menottes aux chevilles et aux poignets. Elle la tira hors de la pièce et la fit redescendre dans la pièce qu'elle lui avait indiquée comme sa demeure. Elle la fit revenir près de l'assiette et elle lui dit. « Aller mange petite chienne, tu dois avoir faim? » Coralie hésita pendant une seconde mais le souvenir de la cravache effaça instantanément son doute. Elle se pencha donc et lapa le contenu du plat que Sylvie avait posé par terre. Puis elle bu comme elle pu. Sylvie attendit que Coralie finisse pour la relever. Elle l'amena près de l'armoire et en sortit plusieurs vêtements. Coralie regarda Sylvie préparer ces vêtements et la suivit jusqu'à une petite table d'examen médical. Elle s’assit sur la table à l'ordre de Sylvie. « Quand j'étais petite, lui dit-elle, j'ai beaucoup joué à la poupée et j'aime toujours ça. Alors comme tu es devenu la mienne, je vais un peu joué avec toi. » Coralie lança un regard suppliant sa maîtresse d'arrêter cette humiliation. Sylvie fixa Coralie dans les yeux et sourit. «- Tu feras une très jolie poupée tu vas voir. Déclara Sylvie. - Mais qu'aller vous faire de moi? S’inquiéta Coralie. » - La main de Sylvie s'abattit sur la joue de Coralie. « Madame Sylvie je t'ai déjà dit. S’écria-t-elle. - Madame Sylvie qu'allez vous faire de moi? Murmura Coralie angoissée. - Tu verras bien sois obéissante pour le moment.lui répondit-elle simplement. - Bien madame.dit la jeune fille d’une petite voix. » Coralie baissa la tête. Sylvie prit les vêtements qu'elle avait préparé, et les enfilas à Coralie. Bientôt celle ci se retrouva en string bas et robe très courte avec un décolleté très provoquant. Puis Sylvie lui mit aux pieds des escarpins, avec un talon de 10 centimètre environs. « Ne bouge pas je reviens. » Elle revint vite avec une trousse de maquillage, et décora le visage de Coralie. Enfin elle la coiffa, et se recula pour admirer son œuvre. « Humm tu sais que je t'aime comme ça? Une vraie petite catin. » Sylvie relia les mains de Coralie avec une chaîne qui passait dans un anneau au niveau de sa taille, lui permettant de faire des mouvements, mais en l'empêchant d'écarter les bras plu que la largeur de ses épaules. « Aller debout petite pouf, tu as du pain sur la planche! Commanda-t-elle. » Coralie se leva. Sylvie lui passa un petit tablier et la tira vers l'escalier. Arrivé au ré de chaussée, elle l'emmena dans une petite pièce et lui dit en montrant une armoire un peu plus loin. «- Je veux que tu fasses le ménage complètement et que tu prépare à manger pour ce midi. Tout ce que tu peux avoir besoin se trouve là. Je suis dans mon bureau je t'ai à l'œil. Gare à toi si tu fais une erreur. C’est bien compris? » - Oui acquiesça Coralie. » Une paire de claque s'abattit sur les joues de Coralie « - Oui qui connasse? Gronda Sylvie. - Oui madame Sylvie. Chuchota la jeune fille apeurée. - Ah! Quand même! Aller file! Grommela Sylvie. » Coralie s'éloigna et commença ses travaux. La matinée passa assez vite. Sylvie vint jeter un coup d'œil sur sa jeune soubrette. Lorsque Sylvie vint vers 11 heures, Coralie finissait ses travaux. «- Voila la fiche qui te donnera les instructions pour le repas de ce midi. Annonça-t-elle - Bien madame. Répondit Coralie. » Coralie prépara le repas de Sylvie et lui apporta après avoir mis le couvert. Sylvie la fis se mettre à quatre pattes à coté d'elle le temps de déguster son déjeuner, puis la fis redescendre. « Je dois sortir cette après midi, annonça-t-elle, Alors tu resteras là. » Sylvie enleva la chaine qui reliait les poignets de Coralie et la remplaça par une chaîne beaucoup plus courte. Elle lui fit enlever les escarpins qu'elle portait aux pieds, la tira au milieu de la pièce et lui attacha cette chaîne à un crochet pendu à une corde descendant du plafond. Après avoir hotté les menottes qui lui emprisonnait les pieds, elle lui fit écarter les jambes, et lui attacha les chevilles à une barre qui obligea la pauvre Coralie à garder les cuisses largement écartées. Elle lui mit un bâillon bien solide dans la bouche, puis lui posa sur le nez, une paire de lunettes possédant des verres un peu brouillés à travers desquels la jeune fille ne distinguait plus bien les choses devant elle. Elle compléta l'équipement de Coralie en lui retirant le string et le remplaçant par la ceinture qu'elle avait dû porter la nuit précédente. Elle augmenta le diamètre des godes qu'elle enfourna dans le vagin et l'anus de son esclave. Coralie hurla de douleur lorsque le gode lui transperça sa fleur annale, mais le bâillon étouffa totalement son cri. Enfin, Sylvie, après avoir fixé la chaine pour assurer la bonne fixation des godes, appuya sur un interrupteur. Coralie senti ses mains monter, et elle se retrouva bientôt pratiquement suspendu par les poignets, n'ayant plus que le bout des pieds qui touchaient le sol. Sylvie se recula et contempla la jeune fille. « Il manque quelque chose? Dit-elle pensive. Ah oui je sais! » Sylvie alla chercher une paire de pince métallique, et passant la min dans la robe de Coralie, vint lui fixer sur les tétons. Coralie eu l'impression qu'on lui arrachait la poitrine, et mordit son bâillon de plus belle. Sylvie lui tapota les fesses avec une expression de contentement. « Je m'en vais à toute à l'heure petite poupée. » Sylvie appuya sur un bouton avant de sortir, et referma la porte derrière elle. Un carré lumineux se dessina devant la figure de la jeune fille, et des formes étranges comencèrent a défilaient en se fondant entre elles devant les yeux de Coralie. Au fur et à mesure les yeux de la jeune femme se troublèrent les formes flottant devant sa tête apparaissant et se fondant dans l'obscurité et la lumière du carré en étant amplifiées par les verres des lunettes. Coralie resta donc ainsi à moitié suspendue, ne pouvant plus faire le moindre geste. L’étirement qu'elle subissait lui était difficilement supportable. Elle sentait ses entrailles comme déchirée par les deux objets qui la remplissaient. Lorsque Sylvie revint, après une durée que Coralie ne put définir, elle fit disparaître le carré lumineux, enleva les lunettes de la jeune fille qui lui déformaient la vue. Sylvie était revêtue d'un ensemble de latex et tenait sa cravache à la main. Elle lui enleva les pinces des seins ce qui fit gémir de plus belles la pauvre jeune fille. Elle appuya sur l'interrupteur après avoir longuement regardé sa jeune esclave qui la suppliait du regard. Lentement la corde se détendit et Coralie retrouva pied sur le sol. Sylvie la détacha de la corde et de la barre. Coralie tomba à genoux. Sylvie lui caressa les cheveux. Elle lui rattacha les mains et les chevilles, puis la fit remonter à la cuisine. Coralie dut préparer le repas pour sa maîtresse, comme le midi, mais au lieu de devoir se mettre aux pieds de Sylvie celle ci, lui ordonna de s'allongé sur la table. Coralie se retrouva donc couchée sur le dos, sur la table, à coté de l'assiette de Sylvie. Celle ci lui relia les pieds avec une barre rigide de fer, de sorte que la jeune fille ne pu pas serrer les jambes, puis lui attacha les poignets en passant sous ses genoux Les trous de Coralie furent donc exposés complètement à la vue de Sylvie. « Je souhaite dîner aux chandelles, mais je n'ai pas de chandeliers c'est donc toi qui va jouer ce rôle, dit Sylvie en riant. » En disant cela, Sylvie planta profondément dans le cul et la chatte de Coralie deux bougies de cire rouge. Coralie poussa un petit cri. « Oh arrête un peu tes trous sont encore dilatées ça rentre tout seul! Grommela Sylvie agacée.» Sylvie alluma les bougies et commença à manger. Au bout de quelques instants, Coralie sentit la bougie qui commençait à fondre, puis les premières gouttes de cire tombèrent sur ses lèvres et coulèrent sur son corps. Elle aurait voulu s'enfuir, retirer ses bougies qui la brulait et lui infligeait la plus terrible des torture. Sylvie la regardait se tortiller vainement. « Arrête un peu, lui ordonna-t-elle, tu va tomber! Lui» Après quelques minutes les bougies avaient coulées abondamment sur la fente, le cul, le pubis, de Coralie. Sylvie détacha sa prisonnière, après avoir fini son repas, et la fit redescendre dans sa demeure, après que Coralie eu débarrassé le couvert. Arrivée en bas, Sylvie passa sa main entre les cuisses de Coralie. « Mais tu mouille ma cochonne! S’amusa-t-elle. Pour ta peine, interdiction de te laver avant demain matin. » Sylvie lui remit la ceinture avec les godes puis verrouilla le tout avec un cadenas. Elle la tira dans le coin où se trouvait la gamelle, et fit manger Coralie comme le matin. Lorsque celle ci eu fini, elle l'emmena devant sa cage et la fit se déshabiller avant de l'enfermer. « Dors tu en as besoin. Lui dit-elle doucement» Coralie, épuisée par ses travaux, ses postures inconfortables tenues pendant un temps interminable, ses brulures, s'endormit immédiatement. Le lendemain Coralie se réveilla et Sylvie vin la chercher peu après. Comme la veille elle dut manger et aller se laver. La cire avait complètement durci pendant la nuit, et Coralie eu énormément de mal à décoller la pellicule qui s'était formé, sans se faire mal. Sous la conduite de Sylvie, elle redescendit dans la pièce à vivre, celle ci l'habilla comme si elle était une poupée, et elle dut recommencer ses tâches ménagères. Les jours passèrent et Coralie dut apprendre son rôle de soumise. Chaque matin était consacré au tâche ménagère et l'après midi, Sylvie lui appris toutes les postures à adopter, la façon de se comporter en présence et en l'absence de sa maîtresse et de personne invitée. Peu à peu Coralie s'habitua à sa vie nouvelle et pris presque goût à cela. Mais un jour que Sylvie vint jeter un coup d'œil sur sa soubrette qui faisait le ménage, elle la trouva en train de se toucher et de se masturber. Elle repartit sans bruit et sans que Coralie ne la voit. Une fois que Coralie eu fini et que Sylvie eu déjeuné, les deux femmes descendirent dans la pièce qui servait de donjon à Sylvie et de salle de vie à Coralie. « Déshabille toi! » Sylvie avait un ton plus dur que d'habitude. Coralie s'exécuta. « Mains dans le dos! Ordonna-t-elle.» Sylvie passa une longue gaine de cuir qui recouvrit et enveloppa les deux bras de Coralie et les immobilisa dans le dos. Puis elle la bâillonna et lui fixa un masque de latex sur les yeux. « Allonge toi ici sur le dos allez dépêche toi! S’écria-t-elle impatiemment.» Coralie s'agenouilla se demandant ce que Sylvie allait encore inventer pour l'humilié, puis s'allongea. « Lève tes jambes! Commandât-elle. » Coralie obéis et Sylvie lui passa une autre gaine de cuir lui immobilisant également les jambes. Sylvie prit des menottes qu'elle passa aux chevilles de Coralie puis fis descendre la corde du plafond. Elle fixa la corde sur la chaîne de la menotte et appuya sur l'interrupteur. Immédiatement Coralie sentit ses pieds monter, sans pouvoir s'arrêter. Elle sentit son bassin faire de même, et bientôt se retrouva complètement suspendu la tête en bas. La tête à environs 50 centimètres du sol, elle ne pouvait plus bouger ni échapper à sa maîtresse. « Alors comme ça on se tripote sans me demander la permission? Demanda Sylvie d’un air cynique. » Coralie compris soudain qu'elle avait été prise sur le fait, et devina qu'elle allait regretter amèrement d'avoir faibli. Le silence qui régnait maintenant ne lui annonçait rien de bon. Un sifflement, et une horrible douleur à la fesse' gauche qui irradia de plus en plus, fit savoir à la jeune fille qu'elle venait de recevoir un grand coup de la part de Sylvie. Soudain c'est sa fesse droite qui commença elle aussi à bruler. Elle mordit son bâillon pour ne pas hurler de douleur. Les coups se furent réguliers, tantôt très lourd et brutaux, tant léger et piquant. Les chocs firent osciller le corps de la jeune fille qui se balança sans pouvoir échapper aux morsures des coups. Elle se tortilla de douleur et serra le plus possible son bâillon mais ne put s'empêcher de pousser de petits cris plaintifs. Sans pouvoir se contrôler elle tournait sur elle même ce qui n'aidait pas la jeune fille. Les coups ne se localisaient plus maintenant que sur ses fesses mais sur son dos ses épaules, ses hanches, puis son ventre, ses seins. Coralie pleurait maintenant comme jamais elle n'avait pleuré. Tout son corps la brûlait, elle sentait les zébrures et les marques que les coups lui avaient laissé, lézarder son corps. Au bout d'un long moment la pluie de coups s'arrêta enfin. On entendait plu que la pauvre jeune fille qui pleurait à chaud de larmes. Sylvie saisit les godes de métal et les enfoui dans la vulve et l'anus de Coralie. Celle ci ne pu résister. « Là comme ça tu ne pourras plus te toucher petite saloppe! Hurla-t-elle. Si tu veux aller la toilette tu devras avoir mon autorisation! » Sylvie fis redescendre sa prisonnière, la détacha et fixa la ceinture afin de bloquer les gode dans la chatte et le cul de Coralie. Elle lui enleva son bâillon et le masque. Elle garda le silence jusqu'à ce que Coralie se fût enfin arrêtée de pleurer. «- Maintenant j'espère que tu as compris? demanda-t-elle avec un air plus doux. - Oui madame renifla Coralie. - Bien je crois que là tu ne peux t'en prendre qu'à toi même n'est ce pas? - Oui madame c'est vrai c'est de ma faute je n'aurais pas du sans vous demander la permission. - Tu va passer le balai ici! Aller file! Ordonna Sylvie en souriant d’un air étrange. » Coralie recula lentement et remonta rechercher son balai. Les marques des coups la mordaient profondément, sons corps bouillait comme si elle sortait d'un bain bouillant. Soudain alors qu'elle revenait le balai à la main, elle se contracta violemment. Les godes vibraient en elle. Elle dut s'appuyer contre le mur. Elle reparti mais dut s'immobiliser une fois encore l'excitation qui montait en elle prenait le dessus sur sa douleur. Elle gémi. Les mouvements s'arrêtèrent. Elle repartit avec difficultés. Lorsqu’el arriva dans la pièce, Sylvie était assise dans un fauteuil «- Et bien tu en as mis du temps? Demanda Sylvie. - Je m'excuse madame mais… bredouilla Coralie. - Il n'y a pas de mais dépêche toi souillon! Répondit Sylvie. » Coralie commença à balayer. Les vibrations recommencèrent et se furent de plus en plus pressantes « -Qu’est ce que tu as? S’enquit Sylvie. - Madame…. Articula la jeune fille. » Coralie ne pu parler plus longtemps, elle tomba à genoux tellement le plaisir montait en elle avec une vitesse sidérante. Elle parvint à articuler «- Oh madame sil vous plait faite moi jouir faites moi jouir je vous en supplie! - Ah! Ah! Tu jouiras quand j'en aurai envie! S’esclaffa Sylvie. Tu oubli que tu m'appartiens et que tu ne décide de rien! - Oh madame je vous en supplie! Blêmit Coralie. Vous me contrôler! Je le sais! Je! Je! Je! » Coralie ne put parler plu, le spasme lui ôtant toute capacité d'articuler Après quelques secondes, Sylvie fit un mouvement, Coralie se contracta et dans un grognement joui violemment. Après quelques instants, Coralie repris difficilement ses esprit, tellement l'orgasme qui venait de la parcourir avait été violent. Sylvie regarda Coralie « Alors qu’as-tu à dire? demanda-t-elle. - Euh! Merci madame de m'avoir permis de jouir. Répondit Coralie encore sous le coup du choc émotionnel. Pff c'et tout? Tu va devoir apprendre à t'appliquer si tu veux que je sois satisfaite. Soupira Sylvie. À quatre pattes maintenant! Fini de rire! » Coralie obéit. Sylvie attacha une laisse au collier de Coralie en disant « Je veux que pour l'après midi tu sois une vraie chienne obéissante, soumise, et disciplinée. Lui dit-elle. - Bien madame. Vous faites ce que vous voulez de moi. Répondit Coralie. Une grande claque s'abattit sur la joue de Coralie « Les chiens ne parlent pas? Enfin je n'en né jamais entendu, alors si tu veux parler tu abois comme un chien! Compris ? s’exclama Sylvie. » Coralie regarda Sylvie interdite. Et fini par dire timidement «- Ouf ! Ouf ! - Comment je ne t'entends pas? - Ouf! Ouf! Ouf! » Coralie jappa comme un chien, aussi fort qu'elle le pu. Elle se senti plus ridicule que jamais. Sylvie la promena dans la pièce, s'arrêtant de temps en temps, puis repartant. Les poignets et les genoux de la pauvre fille rougissaient déjà à force de heurter le sol dur de la pièce. Après quelques minutes Coralie se laissa prendre au jeu et lorsque Sylvie s'arrêta elle lui lécha la main. Sylvie sourit « Là brave chienne c'est bien. Tu as mérité de pouvoir te détendre, on va aller jouer dans le jardin. » Coralie en entendant cela reçu comme un coup de marteau sur le crâne. L’idée d'être à l'extérieur et de pouvoir être vu, l'effrayait totalement. Mais Sylvie ne lui donna pas le choix, et l'entraina vers l'escalier, lui fit monter, et toute deux traversèrent la pièce et sortirent. Sylvie détacha la laisse du collier, et imprima une claque sur le postérieur de Coralie en disant. « Aller va jouer! Aller file! » Coralie s'éloigna de quelques mètres. Les bruns d'herbe lui piquaient les jambes et les mains. Sylvie alla s'asseoir dans un fauteuil et après quelques minutes elle siffla. Coralie devina qu'elle avait intérêt à rejoindre sa maîtresse sous peine de sanction immédiate. Lorsqu’elle arriva aux pieds de Sylvie, elle lui lécha les chaussures délicatement. Ce comportement fit sourire Sylvie Elle lui flatta la tête. « Là brave fille c'est bien! Félicita Sylvie. « Ouf! Ouf! Ouf! Jappa-t-elle.» Le jeu continua comme ça pendant quelques minutes. Sylvie laissait la jeune fille s'éloignait, et Coralie revenait auprès d'elle lorsque celle-ci la sifflait. Les godes qui étaient en elle, en bougeant, à cause des chocs provoqués par la marche sautillante de la jeune fille, travaillaient sa chatte et son anus et la faisaient souffrir. Après avoir rattaché Coralie à sa laisse, Sylvie rentra dans la maison et fit redescendre Coralie. Elle lui apporta une gamelle d'eau que Coralie bu sans hésiter. Les jours continuèrent à passer. Coralie poursuivit sans tellement sans rendre compte, son apprentissage de soumise se pliant parfois de gré, et parfois de force aux jeux de Sylvie. Un soir Sylvie sonna la petite cloche qui indiquait à Coralie qu'elle devait être au garde à vous devant elle. Coralie arriva immédiatement, se mit à genoux, cuisses légèrement écartées, mains sur la tête, cambrant les reins et bombant la poitrine puis baissa la tête, comme elle l'avait appris. «- Ma petite poupée, lui dit Sylvie, tu vois, au début tu ne voulais pas, tu ne savais pas, et maintenant te voilà complètement soumise. - Oui madame. C’est vrai, je suis à vous, et je vous obéis, vos désirs sont des ordres. Répondit Coralie docilement… - Mais ton éducation n'est pas complète, précisa Sylvie, mais ne t'inquiète pas je vais remédier à cela. Maintenant file! " Coralie se prosterna et déposa un baisé sur les pieds de Sylvie avant de reculer lentement et de sortir de la pièce. Elle descendit dans la pièce qui lui servait de chambre. Elle vérifia son épilation avec précision, se rafraîchit à un petit lavabo. Sylvie la rejoignit et la fit se déshabiller Coralie regarda Sylvie, hésitante, mais celle-ci ne réagissant pas, elle n'osa pas protester. Celle ci la fit entrer dans sa cage pour la nuit. Le lendemain, Sylvie vint délivrer Coralie et l'envoya faire sa toilette. Lorsque Coralie redescendit, Sylvie lui remit sa ceinture ainsi que les godes, qu'elle verrouilla au cadenas. Sylvie la fit manger comme à l'accoutumé dans la gamelle. Une fois fini, elle lui attacha une clochette au collier qu'elle portait autour du cou, et la tira à l'extérieur. la jeune fille eu bientot l'impression que le sol se dérobait sous ses pieds, et suivit Sylvie en titubant. Cette dernière ouvrit le coffre d'une voiture garée devant le perron de la maison. Coralie sentit ses jambes s'écrouler ne soutenant plus son corps, et s'éffondra dans la voiture, inconsciente.Chapitre 4. séjour éducatif. La voiture roulait depuis maintenant un long moment. Coralie enfermé dans sa boîte réfléchissait à ce qu'elle était devenue en quelques semaines. Alors qu'elle avait était jusqu'à ce qu'elle rencontre Sylvie, une jeune fille jolie, appréciée, et même si elle avait était seule, elle avait était libre, Maintenant, elle obéissait à une femme, dont elle devait se l'avouer, dont la beauté la subjuguait. Elle était devenue une femme objet, une bonne à tout faire. Son esprit, son corps obéissaient pratiquement mécaniquement aux volontés de Sylvie. Pendant qu'elle analysait les évènements de sa vie, la voiture s'arrêta, et le moteur fut coupé. Elle entendit la portière claquer, puis le silence. Après un moment, le coffre s'ouvrit, et Sylvie apparut. La nuit était tombée, et La jeune fille pu sortir de sa prison, à l'ordre de Sylvie. Elle se dirigea vers la maison, monta le perron et entra. Coralie observa les alentours, l’endroit ressemblait à une grande propriété. Un grand bâtiment semblait être la maison principale, des bâtiments se dressaient un peu plus loin, mais il faisait trop sombre pour qu'elle puisse discerner leurs formes. Sylvie sortit de la maison et rejoignit Coralie. « Aller viens je t'amène à ta chambre. Annonça-t-elle. » Sylvie accrocha une corde au collier de Coralie et l'entraina vers les bâtiments se dressant au bout d'une allée. Elle s'arrêta devant une lourde porte de bois, l'ouvrit, et poussa Coralie à l'intérieur. Après avoir marché pendant quelques secondes, elle ouvrit une grille et fit entrer Coralie dans une cage, puis la verrouilla à l'aide d'un cadenas, et ressortit. Coralie entendit du bruit non loin d'elle. Elle essaya de percer l'obscurité et parvint à discerner des formes humaines dans d’autres cages. Coralie finit par s'endormir. Elle fut réveillée en sursaut par un coup de sifflet. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle vit une femme vêtue de cuir une cravache à la main. « Allé réveiller vous bandes de fainéantes! Aller on se dépêche! Hurlait-elle. » La femme ouvrit toutes les cages à l'exception de celle de Coralie. Au fur et à mesure de la progression de cette femme , des jeunes filles la tête et le corps criblés et enserrés de lanières de cuir formant sur ceux-ci un enchevêtrement compliqué d'arabesques se coupant et s'entrecoupant à plusieurs reprises, et les pieds vraisemblablement enfermés dans de lourd cônes rigides, en sortirent et partirent en trottinant. La femme leur appliqua un bon coup de cravache à leur passage. Elle sortit enfin sans un regard pour Coralie. Après quelques minutes, Sylvie entra, libéra Coralie, et la fit sortir par l'extrémité opposé à celle par laquelle elles étaient arrivées la veille. Le vent frais donna des frissons à la jeune fille. Sylvie conduisit Coralie à la femme qui était entré dans le bâtiment où avait dormi la jeune fille. La femme examina Coralie minutieusement. «- Elle est en parfaite santé apparemment! C’est bien! Apprécia-t-elle. Mais je vois qu'elle n'est pas immatriculée? - Non je n'ai pas eu le temps encore. Répondit Sylvie, c'est encore tout récent. - Oui mais tu sais que si tu as un contrôle tu risque gros? Demanda la femme. - Oui je sais. Acquiesça sylvie. - Nous allons le faire ce matin même comme ça tu n'auras pas à te soucier de ça. Déclara la femme en souriant. -Ok ça marche je te laisse faire ma chère. » Sylvie se tourna vers Coralie. « -Ma petite Coralie, dit-elle, je te laisse dans les mains de mon amie Diane, que tu devras considérer comme ta maîtresse également. - Bien madame. Répondit Coralie en baissant la tête. - Tu verras elle fera quelque chose de toi! Je lui fais confiance! » Sylvie donna la chaîne à son amie qui la saisit et entraîna Coralie vers une aile du bâtiment qui ressemblait plus à une étable. Elle tira la jeune fille jusque dans une pièce qui sentait l'hétère et le désinfectant. Elle la délivra des ceintures, et entraves qui décoraient le corps nu de la jeune fille, et la fit allonger sur une table médicale. Elle lui attacha les poignets au dessus de la tête et les chevilles de part et d'autre de la table. Coralie vit la femme s'éloigner, puis revenir près d'elle, et lui appliquer une grande compresse sur le nez et la bouche. Coralie tenta de fuir de ce paquet odorant qui lui emprisonnait le nez, la gorge, et qui gagnait progressivement sa poitrine, mais elle ne pu résister longtemps et perdit conscience après quelques secondes. Lorsqu'elle se réveilla, la tête lui tourna un peu, et la jeune fille ne se rendit pas compte de ce qui s'était passé. Les éléments se remirent petit à petit à leur place dans sa tête, et elle gémit en sentant son épaule la brûler affreusement. Elle tenta de bouger, mais réalisa qu'elle était toujours immobilisée dans la même position, et que ces efforts seraient vains. La femme apparut bientôt auprès d'elle, la délivra, la fit se relever, et l'équipa de la même façon que les jeunes filles que Coralie avait vu sortir le matin même de là où elle avait du passer la nuit. Coralie fut bientôt enfermé dans une toile complexe de lanière de cuir qui lui enserraient la tête, descendaient sur les tempes et sur le nez, dessinaient des escarboucles sur ces joues, entouraient ses oreilles et sont menton, tombaient sur ses épaules, se fixaient sur d'autres boucles, qui maintenaient ses épaules vers l'arrière, rehaussaient ses seins, quadrillaient ses flancs, son ventre et son dos, l'obligeant à rester droite, et agrippaient sa taille pour plonger dans ses entrejambes, s'insinuer entre ses lèvres intimes, et remonter entre ses fesses pour gravir son dos. Elle avait la bouche obstruée par une épaisse barre métallique, qui la contraignait à saliver abondamment, ne pouvant avaler correctement ses sécrétions buccales. De part et d'autre de ses yeux, se trouvaient des plaques métalliques qui empêchaient Coralie de voir sur les côtés, et qui pouvaient se rabattre complètement sur ses yeux, l'aveuglant de ce fait intégralement. La femme vérifia le serrage de chaque lanière afin de s'assurer que le corps de la jeune fille ne pourrait se soustraire à ce harnais compliqué. Elle lui enferma les tibias, et les pieds, dans d'étranges tube rigide de forme conique, qui obligèrent Coralie à rester sur la pointe des pieds, et a marché maladroitement. Ainsi commença le séjour de Coralie, elle apprit pendant trois jours les travaux d'un poney girl, en compagnie d'autres jeunes filles équipée de façon identique. Après ces trois jours, Diane lui enleva les cônes et le harnais, pour lui faire enfiler une épaisse combinaison de fourrure, qui obligea la jeune fille à se tenir à quatre pattes. Puis elle lui fit desserrer les dents pour lui enfiler un appareil simulant la dentition d'un chien, et qui était montait sur un lourd masc. lui aussi recouvert de fourrure. Coralie sentit bientôt un épais repli de la combinaison se refermer sur sa tête, la cloitrant intégralement dans cette combinaison. El sentit que des mains repliaient et bloquait la fente de la combinaison sur ces lèvres intimes, lui permettant si elle en sentait le besoin, de se soulager. Le masc. possédait deux lentilles translucides, à travers lesquelles Coralie voyait son environnement en noir et blanc, de façon floue, ce qui lui procura un sentiment troublant, qui lui fit perdre ces repères. La combinaison qu'elle portait donc à présent étant épaisse et hermétique, Coralie commença à sentir la chaleur l'envahir, et frissonna lorsque la transpiration commença à perler sur son corps. Bientôt elle haleta pour tenter de trouver un PE d'air, sa poitrine sursautant convulsivement sous la chaleur qui la submergeait. Un collier de cuir épais lui fut passé au cou, et elle dû suivre sa maîtresse, qui la tirait par la laisse fixé au collier. Elle fut emmenée dans une grande cage, où elle se retrouva face semblait-il à d'autre jeunes filles, recouvertes elle aussi, d'autres combinaison. Durant les jours qui suivirent, Coralie dû jouer le rôle, d'une petite chienne de compagnie, et apprendre toutes les règles et les obligations qui découlaient de ce statut. Lorsqu'elle pu retirer sa combinaison après une semaine, elle n'eût pas le temps de se reposer, car elle fut rééquipé par un harnais compliqué du même type que celui qu'elle avait dû porter précédemment, à la différence, que celui qu'elle portait laisser ses seins libre et qu'elle devait se tenir à quatre pattes. Elle fut conduite dans une petite pièce, et y fut attaché à un anneau celé au mur. Le sol de la pièce était recouvert de paille, ce qui diminuait les chocs de ses genoux, et lui évitaient des douleurs insupportables. Elle attendit plusieurs heures, immobile, ne pouvant faire le moindre geste, seule, l'esprit complètement anéantie de toute résistance qu'elle aurait pu encore posséder en arrivant dans ce domaine. Elle comprit pourquoi sa poitrine était libre, lorsque Diane vint la voir quelques heures plus tard. Celle-ci s'accroupit au coté de Coralie, et lui caressa les seins du bout des doigts. La jeune fille frémit, en sentant sa peau parcourut ainsi. Diane vint placer sur chacun des tétons un petit tube, relié à une machine, et appuya sur un bouton. Aussitôt Coralie sentit ses tétons se durcir malgré elle, et grandir, et enfler. Elle gémit en sentant sa poitrine aspirée dans ces tubes, et les plaintes remplacèrent les gémissements. Les larmes vinrent bientôt rejoindre les cris de la jeune fille. " Il faut te traire ma fille, tu as des mamelles de vache tu sais? s'exclama Diane." Lorsque elle arrêta la machine, et qu'elle retira les tube de la poitrine de la jeune fille, les tétons, restèrent pendant plusieurs minutes ainsi, violacés, étirés, et très sensibles. Diane sortit laissant seule Coralie, encore larmoyante du traitement qu'elle venait de subir. Les jours suivants, Coralie se fit traire de la même façon deux fois par jours. Au soir de la quatrième journée, après le même traitement, Diane fit enlever le harnais que portait Coralie, et la laissa inerte, sur le sol, trop fatigué pour réagir. Le lendemain, Diane vin la chercher mais ne lui remit pas son harnais. Elle la fit sortir du box, et la conduisit dans une petite salle. Elle lui passa des sangles qui tombaient du plafond, et qui lui interdirent bientôt tout mouvement. Elle enfonça ensuite une grosse boule de latex dans la bouche de Coralie. Celle ci cru étouffer tellement la boule était enfoncée profondément. Coralie vit Diane s'éloigner et revenir avec une seringue à la main. Elle la regarda affolée « Ne t'inquiète pas ma jolie, tu va voir ça n'est pas grand chose.dit Diane en souriant lugubrement. » Coralie essaya de reculer, mais les sangles l'empêchèrent d'éviter ce qui l'attendait. La jeune fille sentit l'aiguille s'enfoncer dans sa cuisse droite et tomba endormie quelques secondes après. Son corps bascula en avant, et tomba lentement, ralenti par les sangles, et enfin se posa sur le sol. Chapitre 5. transformations, et retour en enfance. Lorsque Coralie se réveilla elle ressenti immédiatement une vive douleur sur le bout de ses seins, et entre ses jambes. Elle ne pu pas bouger. Elle tourna la tête et se rendit compte qu'elle était dans une petite pièce où en son centre se trouvait une table sur laquelle elle était t allongée. Elle constata que la pièce n'était pas celle dans laquelle Diane l'avait conduit juste avant que celle ci la pique et que Coralie ne s'endorme. Ne pouvant pas faire le moindre mouvement, elle attendit donc patiemment. Le temps passa sans que personne ne vienne. La douleur était de plus en plus présente et intense au fur et à mesure que son corps se réveillait. Elle finit par sentir des larmes couler le long de ses joues. Elle pleura de plus en plus fort. La porte s'ouvrit soudain et Diane et Sylvie entrèrent. Les deux femmes s'approchèrent et Sylvie caressa la joue de Coralie en essuyant les larmes qui coulaient encore. «- Et bien et bien ma belle ! Pourquoi pleures-tu encore? Demanda Sylvie. - Mais que m'est il arrivée madame s'il vous plait expliquez moi. J’ai mal j'ai mal. Sanglota Coralie. - Ça n'est rien ma jolie, dit Diane d’une voix rassurante, j'ai juste fait en sorte que tu sois plus belle que lorsque tu es arrivé chez moi en accomplissant le souhait de ta maitresse. Je t'ai juste percé les tétons et les lèvres de ta fleur intime pour y poser des petits anneaux. Ne t'inquiète pas je vais vérifier tes pansements, et les changer. » Diane joignant le geste à la parole retira d'un coup sec les pansements des tétons de Coralie. « Bien regarde moi ça comme elle est belle! S’écria Diane. Bien sur elle est encore un peu gonflé par le choc mais ça va disparaître assez rapidement. - Oui en effet ça risque d'être pas mal. Acquiesça Sylvie. - Je vais désinfecter tout ça et changer les pansements mais il faudra que tu le fasses deux fois par jour jusqu'à ce que ça soit complètement cicatrisé. - Oui bien sur c'est évident. » Diane nettoyât les seins de Coralie, refit ses pansements et fit de même avec le pansement qui couvrait la chatte de la jeune fille. Après avoir fini, Diane donna un cachet à Coralie «- Tiens ça calmera tes douleurs après tu mangeras. Dit Diane. » Coralie pris les cachets bien volontiers. Puis elle fut dessanglée, et Sylvie lui donna à mangé à la petite cuillère. Coralie fut rallongées, puis les deux femmes sortirent après l'avoir sanglé, et fermèrent la porte à clé. Coralie, encore à moitié assommé par la piqure qu'elle avait reçu et les médicaments qu'el venait de prendre, s'endormi. Elle fut réveillée par un bruit. El ouvrit les yeux et vit Sylvie et Diane suivit de deux jeunes filles portant un grand coffre. «- Nous devons partir maintenant ma chérie. Annonça Sylvie à Coralie. Je te demanderai de remercier Diane pour tout ce qu'elle t'a appris durant ton séjour. - Merci madame pour tout ce que vous m'avait enseigné je vous dois beaucoup et ne l'oublierai jamais. bredouilla Coralie. - Mouais tu m’as déjà habitué à mieux! Mais on mettra ça sur le compte des médicaments. Répondit Sylvie en faisant la moue. Comme tu ne peux pas marcher, vu ta faiblesse, nous allons t'aider à sortir. Allez! » Sylvie se recula, les jeunes filles s'approchèrent, retirèrent les sangles qui entravaient Coralie, la saisirent, la soulevèrent, et la déposèrent dans le coffre qu'elles avaient ouvert. Coralie s'enfonça dans la mousse contenu dans le coffre. Celle ci se modela autour d'elle et l'empêcha de faire le moindre mouvement. Diane lui fit ouvrir la bouche et lui introduisit un tuyau de caoutchouc assez profondément dans la gorge, si bien que Coralie ne pouvait que le garder. Les jeunes filles déposèrent des grandes plaques de mousse, qui recouvrirent Coralie intégralement. La jeune fille était maintenant complètement ensevelie sous la mousse, qui lui empêchait maintenant tout mouvement. Elle ne voyait plus rien, la mousse qui l'entourait étouffer énormément les sons et atténué fortement son audition. Elle ne pouvait respirer que par le tube qu'elle avait dans la bouche Elle senti que quelques choses coulissait puis se fut le noir complet. Elle se senti soulever et balancer. Elle comprit que le coffre dans lequel on venait de la mettre avait était soulevé et qu'on le déplacer. Puis après quelques instants elle senti qu'on posait le coffre et qu'on le faisait glisser sur un planché. Elle senti un moteur qui démarrer, et elle comprit que le véhicule dans lequel le coffre avait était mis, commençait à rouler. Coralie fini par se rendormir. Elle se réveilla en sueur. La voiture roulait toujours lui semblait il. La douleur à sa poitrine et entre ses jambes était moindre. Après quelques minutes, la voiture s'arrêta, et le moteur fut coupé. La jeune fille senti qu'on la soulevé et qu'on déplaçait le coffre dans lequel elle était enfermé. Elle sentit quelques secondes après qu'on la posait et que quelque chose coulissait au dessus d'elle. Puis les plaques de mousse furent retirées, elle entendit la voix de Sylvie dire « Lève toi allez sort de là! S’écria Sylvie.» Coralie se redressa lentement. Elle réalisa qu'elle était dans le salon de Sylvie. Tout son corps dégoulinait de transpiration. « Aller sort de là dépêche toi. répéta Sylvie impatiente. » Coralie sorti de la boite et se trouva assise par terre. Les deux filles qui l’avaient mise dans le coffre étaient là, accompagnant Sylvie et Diane qui se tenait en retrait. Elles ramassèrent les plaques de mousses, les remirent dans le coffre, et le fermèrent avant de l'emmener hors de la pièce. Diane embrassa longuement Sylvie et les deux femmes se séparèrent après que Sylvie l'ai raccompagné à la porte. Coralie toujours assise par terre, entendit un bruit de moteur qui démarrait et qui s'éloigna peu après. Elle observait le pansement qui recouvrait ses seins et sa chatte. Sylvie revint. Elle s'assit dans un fauteuil, et fit mettre Coralie à genoux à ses pieds. Elle lui caressa la joue, puis les cheveux en disant: «- Alors ma chérie tu es contente de ton séjour? - Oui madame répondit Coralie… - Tu a beaucoup appris et beaucoup progressé tu sais. - Oui madame je sais et je vous en remercie. Souffla la jeune fille. - Mais ne te fais pas d'illusions, tu ne connais pas tout, et tu découvriras toujours des choses nouvelles dans ton rôle et dans ta mission de satisfaire ta maîtresse. - Oui madame je ferai de mon mieux pour vous convenir en tout point. - Oui je te fais confiance pour ça ma chérie. Mais pour l'instant, je vais te laver et te faire manger, et nous ferions mieux de nous coucher, car demain est une autre journée, qui risque de compter dans ton apprentissage et ta progression, comme toute les journées qui se sont écoulées depuis que tu es là, et comme celles qui s'écouleront encore. Allez! Maintenant, va préparer la salle de bain, pour que je te nettoie. - Bien madame. » Coralie partit après avoir embrassé les pieds de sa maitresse, dans la salle de bain, où Sylvie la rejoignit quelques moments plus tard. Celle ci nettoya la jeune fille intégralement, et lui renouvela ses pansements. «- Le pansement à l'épaule nous pourrons l'enlever d'ici deux ou trois jours. Déclara-t-elle. Nous verrons pour les autres selon la cicatrisation. Tu verras tu seras toute belle après. - Oui madame, si ça vous fait plaisir de me voir ainsi je le serai. » Après avoir finit la toilette et les pansements de sa protégée, Sylvie la conduisit dans sa chambre, et la fit comme à l'accoutumée manger, et l'enferma dans sa cage pour la nuit. Le lendemain, Coralie repris les habitudes de la maison en faisant les tâches ménagères le matin, et en obéissant aux fantaisies de Sylvie l'après midi. Les jours continuèrent à passés lentement, et les pansements de Coralie furent enlevés. Les petites cicatrices aux tétons et aux lèvres intimes de la jeune fille ne la faisaient plus souffrir, tant que celles ci n'étaient pas trop mises à l'épreuve. Coralie arborait donc maintenant un petit anneau qui pendait aux tétons, quatre autres sur chacune des lèvres de sa fleur intime, et enfin un dernier sur son clitoris. Le tatouage de son épaule avait lui aussi complètement cicatrisé, et Sylvie fit revenir Diane afin que celle ci puisse raviver l'encre de ce dernier lorsqu'il pâlit. Diane trouva que la jeune fille avait embellit avec les anneaux qu'elle lui avait posé, et fit remarqué à Sylvie que pour véritablement marqué sa propriété de son nom, elle devrait faire tatoué son emblème sur la poitrine ou les fesses de Coralie. Sylvie sourit: « Mouia tu as raison c'est quelque chose à envisagée. » Une semaine après que Diane soit venue confirmer le tatouage de Coralie, Sylvie fit venir Coralie et lui présenta un petit livret. « Ma petite chérie, dit-elle, il faut que nous parlions sérieusement. Car comme tu l’as déjà compris, le matricule qui t'a été posé sur l'épaule, donne, et affiche ta condition et ton statut aux yeux de tous. Cependant, voici par ce livret, le document officiel qui défini ton appartenance à moi, ou une autre personne. Il te faut choisir, si tu veux devenir officiellement à moi, ou si tu décide de refuser mon offre. Au quel cas, je devrais te confier à un placeur qui te vendra au marché au plus offrant. Et là, soit tu seras juste bonne à faire le ménage chez des personnes qui ne se soucieront pas forcément de toi, ou autre possibilité, tu seras prostitué dans un bordel de la ville, et sera considéré comme objet à plaisir. Alors, que choisis-tu? - Euh je ne sais pas ! Je ! Je… bredouillai la jeune fille. - Tu dois choisir ma chérie. Reprit Sylvie. Mais je t'avoue sincèrement, que je me suis attaché à toi, et que je t'aime. Ça me ferait donc beaucoup de peine de te perdre. Ma décision dépendra de toi, car je ne veux pas te forcer, bien que je le puisse totalement, car normalement je n'ai pas à te demander ton avis. C’est pour ça que si tu refuse, tu accepte en même temps de te livré a n'importe qui. - Euh madame, je vous aime aussi, et je ne veux pas tellement tombé avec des gens méchants. - Alors si je comprends bien tu te confie à moi? Demanda Sylvie. - Euh ben je préfère madame vous confier mon corps et ma vie plutôt que de risquer de trouver moins que ce que j'ai maintenant. - Bien je vois. Alors nous irons chez l'avocat demain en fin d'après midi pour remplir le livret et valider officiellement le document. » Le lendemain, Sylvie fit descendre Coralie dans sa demeure, comme elle aimait appeler la pièce qui lui servait de donjon et de salle de jeu avec sa soumise, et l'habilla de bas, d'une jupe très courte en cuir, et d'un haut moulant qui faisait ressortir la poitrine de la jeun fille. Elle la fit monter à l'arrière de sa voiture, après l'avoir maquiller, et l'avoir chaussé de talon aiguille. Elle lui attacha les mains par des menottes, elles partirent, et après plusieurs dizaines de minutes, arrivèrent en ville, et se garèrent dans un parking. Sylvie fit descendre Coralie de la voiture, et lui mit une laisse à son collier; Elle la guida jusqu'à un bureau. Sylvie s'adressa à la secrétaire. « -Bonjour j'ai rendez vous avec maître DURL. - Oui je vais le prévenir de votre présence. Asseyiez vous je vous prie. Répondit la secrétaire. » Sylvie s'assis donc en laissant Coralie debout à coté d'elle, et en la tenant toujours par la laisse. Une porte s'ouvrit, et un homme sorti. Il accueillit Sylvie, et fit entrer les deux femmes dans son bureau. « -Bien c'est pour? Demanda-t-il. - Pour une validation d'appartenance pour mademoiselle. Répondit Sylvie. - Bien, bien. Nous allons procéder. Je vous rappelle qu'après avoir signer ce document, vous serez lié l'une à l'autre et il n'y a que la mort qui pourra rompre l'effet de ce document devant la loi. Êtes-vous décidé à accepter cette condition? - Oui moi je le suis.dit Sylvie. - Et vous mademoiselle. - Euh oui monsieur. - Bien alors signez ici et vous ici. » Sylvie signa à l'endroit indiqué et Coralie en fit de même. Il reprit le livret et commença à le remplir. « -Elle a déjà fait des stages? demanda-t-il. - Oui au centre de dressage équestre de madame OURILAN. - Bien, d'autres? - Non. - Vous savez qu'il en faut au moins deux>? - Oui je le sais. Acquiesça Sylvie. - Vous connaissez donc la procédure, si vous voulez que je valide définitivement le document. - Oui bien sur. » Il sortit un classeur et le feuilleta. -« Bien elle ira donc au centre de l'enfance. annonça-t-il en consultant une feuille. - Bien. - Le stage se fera pendant deux semaines. Continua-t-il. - D’accord, quand doit elle partir? - Je peux l'insérer dès tout à l'heure il reste de la place. - Bien oui, au moins ça sera fait. » Il referma son classeur, finit de remplir le document, et le tendit à Sylvie. Celle ci se leva et le rangea dans sa poche. «- Bien laissez la moi, je la ferai partir avec les autres. - D’accord. » Sylvie donna la laisse à l'homme, embrassa Coralie, puis sorti. La jeune fille ne comprenait pas ce qu'il se passait. L’homme tira sur la laisse en disant « Aller suis moi toi! dit-il. » Il l'emmena dans une petite pièce, et lui dit: « Maintenant tu te déshabille, et tu mets toutes tes affaires dans ce sac. reprit-il. Et tu te démaquille complètement, là au lavabo, voici du produit. Et tu te tiens tranquille. » Coralie obéit. Il lui passa un collier de cuir au cou, qui était relié par une chaîne, à des sangles qu'il fixa au poignet et aux chevilles de la jeune fille.IL lui enfourna un bâillon dans la bouche qu'il serra derrière sa tête. Il lui fit descendre un escalier, et la conduisit dans une petite pièce où d'autre jeune fille étaient enchainé l'une à l'autre. Il saisit les chaînes de la dernière jeune fille de la file, et enchaina Coralie par les chevilles, les poignets, et le collier, à cette dernière. Il sorti ensuite, et quelques heures après, revint avec d’autres jeunes filles qu’il enchaina de la même façon derrière Coralie. Au total, Coralie compta 10 jeunes filles. Elles furent emmener, et conduites à travers le couloir puis, les rues de la ville. Les passants les regardaient en les pointant du doigt, en faisant des remarques sur elle, s'imaginait Coralie. Elle dut monter sur la plate forme d'un camion, qui partit peu après, pour s'arrêter devant un grand bâtiment en périphérie de la ville. Coralie et ses compagnes de voyage, furent débarquées, puis amenés dans une grande pièce. Elles furent détaché les unes des autres, et attachées chacune à un anneau celle au mur. L’une après l'autre, les jeunes filles étaient emmenés hors de la pièce, et ne revenait pas. Bientôt se fut le tour de Coralie. Un homme la détacha, et la tira hors de la pièce, pour la conduire à travers les couloirs Elle entra dans une salle, et l'homme lui enleva les chaines qui lui entravaient les mains et les pieds, et lui hotta le bâillon qui lui bloquait la bouche. Il lui fit un geste, en lui indiquant qu'elle devait s'allonger sur une table au fond de la salle. Coralie obéit sans dire un mot, trop terrifié de ce qui pouvait l'attendre. L’homme lui attrapa les bras puis les pieds, qu'il attacha en croix par des sangles de cuir. Il actionna un bouton, et Coralie senti que ses mains et ses pieds s'écarter de plus en plus. Lorsqu’elle fut complètement étiré, et incapable de faire le moindre mouvement, il stoppa le mécanisme. Il lui ouvrit la bouche, et lui fit mordre dans une patte molle, qui se fixa sur ses dents. La chatte, l'anus, et les seins de Coralie, étaient complètement à découvert, et complètement offerts. L’homme inséra un spéculum dans la chatte de Coralie, et un autre dans son anus. Il dilata complètement les orifices de la jeune fille, qui geignait de douleurs. Après quelques minutes, et après plusieurs manipulations sur les trous de sa pauvre prisonnière, l'homme lui provoqua plusieurs orgasmes consécutifs. Coralie avait la tête qui lui tournait, tellement les sensations et les émotions avaient étaient fortes et intenses. Lorsqu’elle eu repris ses esprits, et à peu près repris sa respiration, l'homme nettoya son intimité, et lui posa un lange comme elle en avait eu étant toute petite. Puis il actionna le mécanisme, afin de lui détendre les jambes et les bras. Il lui passa des sous vêtement de protection, et une grenouillère comme elle en avait vu porté par les bébés. Il lui mit un petit bonnet sur la tête, avant de la glisser dans un sac de couchage, qui se finissait par des bretelles, qui lui enfila. La jeune fille ressemblait à) un bébé qu'on aurait préparé pour le coucher. Il lui fit rouvrir la bouche, et constata que la patte avait durci. Elle essaya de parler, mais ne pu sortir que des sons monocordes. Il la prit dans ses bras, et la co