Torture intime

Le groupe me plaît mais je ne sais pas qui torture qui ni qui aime quoi. Moi, je suis surtout soumis.e. Mon amant et Maître, qui a une queue de longueur normale surmontée d'un gros gland brutal m'a l'autre jour pénétré.e sans préparation progressive ni gel comme il le fait d'habitude, avant de me pilonner méchamment en me pinçant les tétons et en me cravachant le cul. Là, sans prévenir, il a juste craché sur le bouton bien clos de mon anus et m'a soudain planté son gros gland difforme qui m'a meurtri.e au plus intime, élargissant de force mon petit trou et j'ai hurlé et chouiné comme une truie ! C'était une espèce de viol, et très vite en me pilonnant à fond, il commençait à me meurtrir la pointe des seins en les tirant avec une cruauté inhabituelle, j'avais l'impression que mes aréoles brunes allaient être arrachées de ma poitrine, et pendant que son gland monstrueux me dilatait au-delà de toute obscénité et que ma verge molle ballotait comme une ridicule petite nouille, il se moquait d'elle en me disant que ce n'était qu'un clito de femme, son gland me dévastait tellement que je me suis uriné dessus, perdant toute dignité, et là il a voulu m'enfoncer le rectum de sa main gantée en m'ordonnant de tout lâcher et de me vider le ventre comme "la merde que tu es, pauvre salope !" - alors j'ai vraiment essayé de me retenir mais sa main m'écartelait de plus en plus et me fouillait de plus en plus loin, c'était un cauchemar dont je n'ose pas vous raconter la suite en détail, et où j'ai connu la honte de ma vie... Pendant que je gisais par terre éclaboussé.e par les résidus de mon ventre, mon Maître, debout au-dessus de moi jambes écartées et un pied de chaque côté de mes hanches, finissait de se branler en me regardant d'un air dégoûté, je voyais ses gros testicules aller et venir comme un balancier menaçant, et soudain il a giclé comme un goret impérieux, me balançant une cascade de sperme jaunâtre sur les seins, les yeux et les cheveux, ça n'en finissait pas d'inonder mon pauvre corps déjà souillé par ce que vous savez... Depuis, je sais définitivement à quel point je ne suis rien.