A propos du groupe
severin kusiemski
Créateur
Bℓσσ∂яєιиα
Ce soir, vous avez prévu de me teaser. Peu importe où nous nous sommes rencontrés ou comment. Le fait est que je suis là sur votre perron, le souffle court, les mains moites, mon stress est visible. Les raisons de ce stress sont innombrables. La première : c'est la première fois que nous allons nous rencontrer en vrai. La seconde : dans votre dernier message, vous me disiez vouloir faire durer le plaisir, pour votre plaisir et pour le mien. J'espère être à la hauteur de vos exigences. Car ce soir, vous avez prévu de me teaser. Seulement, je n'imaginai pas une seule seconde d'aller avec vous, de surprise en surprise. Lorsque je sonne et que vous ouvrez la porte, bien que la lumière de la pièce soit tamisée, je suis ébloui. Votre beauté ? Votre tenue ? Sans doute les deux. Vous annoncez d'emblée la couleur en apparaissant vêtue d'un superbe body en dentelle noir et d'une jupe en similicuir rouge. Le contraste tranchant du rouge et du noir marque votre taille gracieuse. Grâce à vos talons aiguilles d’au moins 10 cm, vous me dominez du regard. Un regard intense qui s’accorde parfaitement avec votre visage angélique. Mais, méfions-nous des apparences, elles sont parfois trompeuses… Mon cœur bat déjà la chamade et je sens l’excitation de la nouveauté et de l’abandon monter en moi. J’avance d’un pas pour rentrer, mais vous m'arrêtez net d’une main ferme sur le plexus. Vous me dites alors d’un ton ferme, mais avec un petit sourire narquois : « Aucun homme n’entre habillé chez moi », et vous croisez les bras me regardant de haut en bas en attendant que j'agisse. Surpris, je reste sans bouger, hagard… bloqué sur votre décolleté et vos seins mis en valeur par vos bras croisés. Après quelques secondes, mon cerveau se réactive, je comprends que si je souhaite pénétrer dans votre appartement, je dois me mettre nu sur le palier… rougis de honte, mon sexe ignore s'il doit se déployer ou au contraire se cacher tel un bigorneau dans sa coquille. Après un regard furtif à droite puis à gauche pour vérifier que le couloir est bel et bien vide, je me déshabille devant vos yeux. Une fois terminé, je suis nu devant vous, impressionné par votre prestance et votre aura. J’essaie de cacher mon sexe avec mes mains, mais votre regard me somme de ne pas le faire. Vous me reluquez, fière et peut-être même impressionnée par mon abnégation dans cette situation. Vos yeux pétillent de malice et le sourire qui se forme sur votre visage est une invitation au jeu. Bien que l'attente me paraisse interminable, je reste là, devant vous, priant tous les dieux pour que vous m'invitiez à rentrer avant que quelqu'un ne surgisse au bout du couloir. Vous rompez le silence : « Tournez-vous. » Ce ne sont pas les mots que j'attendais, néanmoins, c'est un soulagement d’entendre le doux son de votre voix. Je m'exécute rapidement pour abréger le plus rapidement possible cette situation terriblement stressante. Je vous entends attraper quelque chose, mais je ne sais pas quoi exactement. « Je ne sais pas si je l’ai précisé, mais aucun homme ne voit l’intérieur de mon appartement. » Vous joignez le geste à la parole et me passez sur les yeux un large tissu de soie. Je n'ose pas parler… je n'ose pas bouger… Je me laisse porter… je me laisse doucement prendre dans votre toile. Lorsque vous serrez le bandeau derrière ma tête, je sens votre corps contre le mien. Je sens votre cœur, ses battements cadencés me montrent que pour vous aussi la situation est nouvelle ou excitante, je ne sais pas quelle option choisir, peut-être les deux. Vous vous rapprochez de mon oreille et tout en passant vos ongles sur mon corps, de mes aisselles à mes hanches, vous me dites : « Vous voilà fin prêt… jouons maintenant… » Vous attrapez mon sexe et le serrez avec fermeté. « J’ai vu mieux, mais nous ferons avec », me dites-vous avec le sourire dans la voix. « D’ailleurs, il faudra être patient pour vous en servir… si je vous l’autorise bien entendu… vous êtes chez moi après tout… dans mon royaume. Alors maintenant, venez me divertir. » Sans attendre, vous tirerez sur mon sexe pour m’emmener quelque part, je ne sais pas où exactement… Désorienté. C’est bien le terme qui est approprié à ma situation. Après avoir posé une oreille attentive à la situation, je conclusque nous devons être dans le salon. Vous m’avez laissé là, au milieu, le sexe tendu, les joues certainement encore rouges et les mains le long du corps. Pooom… je sursaute, vous rigolez de me voir ainsi aussi craintif. Finalement, c'était seulement le bouchon de la bouteille de champagne que je vous ai offert en arrivant. « Vous n’en voulez pas je suppose ? » Après quelques balbutiements, je comprends que c’est une question piège et que vous n’avez pas prévu de m’en donner. Alors, je réponds simplement et humblement : « Non Madame, elle est tout à vous. » « Merci, c’est si généreux de votre part », me dites-vous en vous versant un verre puis en vous assaillant dans votre canapé. Je vous imagine, me regardant, m’analysant tout en buvant votre coupe de champagne. Le silence s’installe, je me sens épié comme si je n’étais qu’un objet. Vous rompez finalement le silence : « Votre sexe est vraiment petit finalement, je vais devoir boire la bouteille pour pouvoir l’approcher… » dites-vous en rigolant aux éclats. Je sens la chaleur me monter aux joues et mon sexe sursauter d’excitation… deux émotions contradictoires. Comment la honte peut-elle exciter autant quelqu’un ? Sortie de mes pensées par le son sublime de vos talons qui claquent sur le parquet, je vous entends me dire : « … à moins que… j’aie une idée ! » Vous vous éloignez, puis revenez. Grâce à vos talons, je sais exactement où vous vous trouvez. Vous êtes tout proche de moi et de mon sexe… Je sens que vous vous agenouillez face à moi. Je me dis que peut-être vous allez le prendre en bouche. Mais, vous n’en faites rien. Au lieu de ça, j’entends le son du latex qui claque. Je m’agite un peu, car je prends peur, mais vous saisissez mes bourses avec une main que je constate gantée. « Ne bougez pas mon garçon. Fais-moi confiance. » Alors, je me calme et je vous écoute. Je ne sais pas pourquoi, mais avec vous, je me sens en confiance. J’entends de nouveau le bruit du latex, puis je sens la pointe de votre index parcourir ma verge et récupérer mon liquide séminal. « Vous êtes bien excité. C’est parfait ! J’aime les hommes passionnés. Mais, j’ai envie de voir votre sexe au repos. » Alors que vous me parlez, je sens du froid autour de mes testicules, j’en sursaute de nouveau… Finalement, ce sont uniquement des glaçons que vous utilisez pour calmer mes ardeurs. Vous êtes toute proche de moi, je sens votre respiration en face de moi. Votre souffle m'enivre, mais je m'efforce tant bien que mal de penser à autre chose pour abréger ma glaciation. Une fois ma verge demie molle, vous me passez un anneau autour des couilles et un tube métallique le long de la verge. Je me sens piégé… car vous enfermez mon sexe dans un petit dispositif. Je panique brièvement lorsque je réalise ce qu'il est en train de m'arriver... Mille choses passent dans ma tête... Finalement, je ne vous connais pas si bien que ça. Peut-être que vos intentions ne sont pas si louables que ça. Une fraction de seconde, j'hésite à partir en courant, car finalement rien ne me retient. Vous devez voir mon désarroi. Je sens votre main se placer sur mon pectoral au niveau de mon cœur. Rien que votre main me rassure et apaise mon cœur qui bat la chamade. Puis, d'une voix douce, presque maternelle, vous me dites ces mots : « Calme-toi mon garçon. Nous sommes ici pour jouer, rien de plus. Si cela ne va pas, tu peux utiliser ton mot de sécurité. Souhaites-tu continuer ? » Vos mots me rassurent tant, votre voix est douce. « Ou.... Oui Madame, je souhaite continuer de m'abandonner à vous ». « Tu m'en vois très heureuse, j'ai très envie de jouer avec toi... » me dit-elle en me caressant la joue de sa main toujours gantée. Puis, dans un murmure quasiment inaudible : « Tu es mignon et ton sexe n'est pas si petit… » « J'aime juste l'humiliation et je sais que toi aussi. » Un large sourire se dessine sur mon visage. Je suis ravi de vos mots et reste là pour devenir votre prisonnier consentant. Après ce moment hors du temps, vous reprenez la parole. « Voilà qui est bien mieux ! » me dites-vous en tournant la clé dans la petite serrure, puis en vous relevant, vous m’embrassez langoureusement tout en caressant mon sexe maintenant enfermé qui cherche à se débattre. Puis, en caressant mon visage, vous me chuchotez. « Nous ne ferons rien sans votre consentement, le code pour tout arrêter est « liberté »… Maintenant, je vais vous montrer qu’un homme n’a pas besoin de son sexe pour faire l’amour ! » Je vous entends enlever vos gants et vous rassoir dans le canapé. « Je prends une nouvelle coupe pour fêter ça ! À la vôtre, mon cher ami. » Je reste alors là, à genoux, exposé, heureux de ce moment, heureux de votre contrôle… Après quelques minutes d'attente, le temps pour vous de boire votre coupe, vous vous levez et vous rapprochez encore de moi. « vous avez bien le droit à un peu de champagne finalement… ouvrez la bouche. » Je m’exécute, complètement sous le charme de ce que vous voulez bien me donner. Je vous entends alors prendre une gorgée du précieux nectar et me le déposer dans la bouche. Je vous remercie chaleureusement et tente de vous enlacer avec mes bras dans un élan de passion. « Stop » me dites-vous d’une voix calme mais forte. Je ne vais pas plus loin et reprends ma position. « Pardon…Madame » dis-je de façon presque inaudible. « Il vous faudra bien plus que des mots pour vous excuser… et peut-être plus qu’une seule soirée, » me dites-vous en caressant ma cage avec votre pied. « Savez-vous ce qui me fait mouiller ? C’est de voir de petits oiseaux en cage… pensez-vous que je mouille ? » J’arrive difficilement à extraire un oui Madame de ma bouche alors que vous m’invitez à vérifier en dirigeant ma main sous votre jupe. Je sens alors une légère tâche humide sous mon majeur. J'eus à peine le temps de sentir votre intimité que vous repoussez ma main. « Ça, c'est pour les hommes sages, ceux qui n’essaient pas d’enlacer les Dames de force. » Puis à nouveau, vos talons s’éloignent et se rapprochent. Je sens le similicuir de votre jupe sur mes fesses, une sensation très agréable parcourt mon corps et réveille mon sexe enfermé. Je sens alors vos seins se coller contre mes omoplates et de nouveau votre cœur. Avec vos mains, vous passez mes bras dans le dos, puis menottez mes poignets. Vous me chantez alors à l’oreille « Je ne vous avais pas dit par message que vous seriez tout à moi ce soir ? Visiblement, c'est chose faite… » « Si j’avais une culotte, elle serait dans votre bouche… mais ce n’est que partie remise. » Vous vous dirigez vers le canapé et vous installez confortablement. « Vous n’avez pas le droit de jouir, mais ce n’est pas mon cas… » Clic, clic, clic, j’entends les trois pressions du bas de votre body s’ouvrir. Vous commencez à vous caresser, d’abord avec la paume de votre main, puis avec votre index et votre majeur. Des mouvements lents, enveloppants, envoûtants. Votre plaisir monte, je sens le cuir de votre canapé se froisser sous vos mouvements, vous vous agitez, vous haletez, puis de petits sons de plaisir commencent à sortir de votre bouche et vont crescendo jusqu’à une jouissance bruyante et magnifique. Puis plus rien. Mon sexe est, lui aussi, à l’agonie dans sa cage. Il aimerait pouvoir sortir, mais est prisonnier. Mes mains aimeraient le toucher, mais elles aussi sont attachées… Je suis malheureusement impuissant, debout, mais mis à terre par la beauté d’une femme. Je patiente, encore et encore, puis je vous entends vous relever et m’approcher. C’est alors que je sens vos doigts à l’entrée de ma bouche, vos divines effluves envahissent mon nez et je suis transporté dans un espace lointain. « Goûtez-moi monsieur, faites que je devienne votre addiction » vous me dites en pressant contre ma bouche. Je n’oppose aucune résistance et je suce vos doigts et me délecte de votre saveur. Plus le temps passe et plus je deviens dépendant de vous… Tout en gardant vos doigts dans ma bouche, vous m’appuyez sur les épaules afin que je me baisse et que je tombe à vos genoux. Vous vous accroupissez à hauteur de mon visage et avant de vous allonger sur le tapis du salon… vous me dites d’une voix suave, « Je veux mon second orgasme de la soirée… » et tout en joignant le geste à la parole, vous tirez sur ma nuque et me faites basculer. Les mains toujours attachées dans le dos, je bascule en avant et plonge directement dans votre paradis. Votre toison est humide, elle possède encore les effluves de votre précédent orgasme. Je m’applique à lécher l’intérieur de vos cuisses, puis progressivement, je me rapproche de vos lèvres, excitées, gorgées de sang. Je les attaque sans ménagement, je mets toutes mes forces dans la bataille et je sens en vous le plaisir monter. Vos cuisses se ressentent sur ma tête par moments et vos mains me guident vers la zone vous procurant le plus de plaisir. Votre mouille est abondante, elle me remplit le visage, mais je continue à vous donner passionnellement mes coups de langue. Je continue jusqu’à ce que vous placiez mes lèvres sur votre bouton d’or, que je mordille, lèche et aspire afin de le titiller, et ainsi vous emmener dans d’autres abysses. Votre main s’agrippe à mes cheveux. Ne suis-je donc qu’un objet de plaisir pour vous ? À ce moment-là, je le crois bien. Alors, je donne toute mon âme pour vous satisfaire et je continue ma divine besogne. Vous gesticulez dans tous les sens, votre souffle est court. Puis, d'un coup, dans un râle profond et intense, vos cuisses compressent mon visage et vous jouissez de la plus belle des manières, de façon sonore. Je découvre que donner du plaisir à une créature telle que vous est un accomplissement. Mon sexe est sans doute cramoisi, il me fait mal. Voilà peut-être une heure qu’il est en érection constante dans un espace trop petit pour lui. Vous me poussez sur le côté et reprenez progressivement votre souffle. Si vous me demandez si je veux être libéré de cette cage, je ne saurais pas quoi répondre. D’un côté, j'ai une intense envie d’éjaculer et de l’autre, je voudrais que ce moment ne s’arrête jamais. Mais, vous ne le faites pas… vous avez prévu bien d’autres choses pour ce soir. Une fois votre souffle repris, vous me regardez. Je suis à genoux, la tête contre le tapis, la main s’attache dans le dos. Dans le feu de l’action, mon bandeau a quitté en partie mes yeux. « Je rêve ou vous essayez de tricher, vilain coquin. » Me dites-vous en rigolant… « Ce n’est pas grave, il peut être intéressant que vous voyiez la suite des événements. » Vous vous déplacez vers votre table basse. Étant plus bas qu’elle, je peine à apercevoir ce que vous faites. Vous attrapez une paire de gants noirs en latex, les jetables, comme les tatoueurs. 1000 idées me passent dans la tête mais je n’ai pas peur, j’ai confiance en vous. La confiance est la base de toute relation de ce type. Vous les enfilez, ils vous vont divinement bien, ils sont parfaitement ajustés. Vous venez à genoux à côté de moi et me murmurez à l’oreille : « Je vous avez dit que je vous montrerai comment l’on peut prendre du plaisir sans utiliser son sexe… vous avez eu un aperçu de la première, je vais vous montrer la seconde. » Je sens alors un liquide froid parcourir ma raie et votre main qui l’aide à se répandre. Votre autre main caresse ma cage et mon liquide pré-éjaculatoire. « vous avez taché mon tapis, il faudra nettoyer tout ça monsieur. En attendant, détendez-vous, je suis certaine que vous allez adorer. » Tout en passant votre majeur dans la raie jusqu’à mes bourses. Je suis terriblement excité et il me tarde de partager ce moment de complicité intense avec vous. Je vous dis alors : « Je m’offre à vous Madame ». L’insertion de votre doigt me fait lâcher un petit cri de surprise. De votre autre main, vous me mettez une légère tape sur les fesses : « Détendez-vous, tout va bien se passer. » Avec votre majeur, vous faites de longs va-et-vient qui vous font retirer et insérer de nouveau votre doigt. À chaque fois, je suis pris par la surprise et je sursaute. Vous êtes douce, mais votre main est ferme. Il n’y a pas d’alternative. D’un coup, votre annulaire se joint à la partie et voilà que deux doigts me pénètrent. Le lubrifiant rend les choses agréables. Je me laisse peu à peu bercer par vos doigts et le son de votre voix. Tout en me dépucelant, vous utilisez votre autre main pour parcourir mon dos, caresser le creux de mes reins, puis remonter le creux de ma colonne vertébrale jusqu’à ma tête. La sensation du latex sur ma peau m’émoustille alors que vos doigts me procurent un plaisir intense jusqu’alors inconnu. Puis, sans crier gare, vous saisissez mes cheveux et les tirez légèrement en arrière. À votre respiration courte et saccadée, je sens que la situation vous excite autant que moi. Une fois la secousse dans votre bas ventre passée, vous relâchez mes cheveux et ma tête retombe sur le tapis. Mon Dieu, que la sensation était agréable. Vous retirez vos doigts et vous levez… Non, non, non, ça ne peut pas être fini, pensais-je doucement dans ma tête. Vous retirez vos gants, je perds espoir… Je souhaiterais protester mais je n’ose pas. En vous approchant de votre table basse, vous saisissez un petit objet fuselé avec une queue en silicone. Après l’avoir lubrifié, vous l’insèrerez dans votre paradis et refermez votre body. À l’aide d’une télécommande, vous l’enclenchez et je vois déjà les vibrations vous parcourir. Il est si beau de voir une femme prendre du plaisir. En vous approchant, vous me faites tomber sur le côté pour me mettre sur le dos. Vous me chevauchez, votre intimité au niveau de ma tête. Je sens les vibrations de l’objet dans mes oreilles et votre excitation humidifie mon visage. « Vous m’excitez Monsieur » me dites-vous… Je crois que je vie un rêve éveillé. J’entends de nouveau le bruit caractéristique des gants que vous enfilez. Vous vous allongez sur moi, embrassant chaque centimètre de mon corps, de mon cou jusqu'à ma verge. Je sens vos seins et vos tétons gainés se poser sur mon ventre. Chacune de vos mains saisit l’une de mes fesses et vous les écartez afin de laisser arborer mon trou qui appelle vos merveilleuses mains. Votre douce voix vient rompre ce moment hors du temps : « Êtes-vous prêt pour un second round ? » J’essaie de vous répondre mais vos fesses sur mon visage m’en empêchent. Un oui Madame étouffé finit par sortir difficilement de ma bouche. « Alors jouons Monsieur. Si vous êtes sage, je vous laisserai sucer mon sextoy… oui, celui-ci » me dites-vous en faisant de légers mouvements avec votre bassin. C’est bien celui qui est entre vos jambes… Une seule question me traverse l’esprit, comment vais-je pouvoir maîtriser mon excitation ? Je sens vos divines effluves accrues par votre excitation. Je suis les vibrations de votre jouet dans mon oreille. Vos doigts se rapprochent de mon trou et vous le caressez avec douceur. Vous lui tournez autour, comme nous nous sommes tournés autour lors de notre première rencontre. Un long filet de bave vient lubrifier vos gestes, puis sans attendre, vous me pénétrez avec deux puis trois doigts. Fermement mais doucement. « j’aime votre position monsieur » mon trou enserre vos doigts et s’ouvre peu à peu. Je suis dans un moment de plaisir intense, quelle découverte extraordinaire vous êtes en train de me faire vivre. De votre autre main, vous frappez ma cage déjà tendue par l’excitation. Mon sexe me fait mal après vos sollicitations incessantes. Vais-je fauter ? Vais-je jouir ? Je n’espère pas… Comme si vous lisiez dans mes pensées, vous prenez la parole. « Je vous interdis de jouir » une voix ferme mais douce, un conseil plus qu’un ordre mais un conseil qu’il vaut mieux respecter à mon avis. Vous vous relevez et me demandez de me remettre sur mes genoux. Les difficultés que je rencontre vous font rire, un rire taquin qui me vexe tout autant qu'il me rend dépendant de votre personne. De nouveau dans mon dos, et après quelques griffures sur ce dernier, je sens un objet se présenter à l’entrée de mon orifice. « Détendez-vous » Je sens alors que vous lubrifiez abondamment ma raie puis mon trou avant d’insérer un petit plus dans mon anus. Vous m’avez parfaitement préparé et il passe sans difficulté. Lorsque ma chaire se referme autour de lui, j’expulse un grand râle de plaisir. Vous m’aidez à me redresser et détachez les liens de mon dos. Je suis là, à genoux, face à vous, accroupi devant moi. J’allais ouvrir la bouche pour parler mais vous m’en empêchez de votre main encore gantée en me plaçant un doigt devant la bouche. C’est vous qui prenez la parole : « relevez-vous, allez prendre une douche et rhabillez-vous… nous sortons… mais avant, rangez-moi ça ! » Vous joignez le geste à la parole et élevez vos gants avant de me les fourrer dans la bouche. Je sens alors votre odeur, comme si je m’imprégnais de vous. Je les garde en bouche un long moment et c’est vous qui me sortez de mon petit nuage. « La réservation est pour 20h30. « Dépêchez-vous » Je vous regarde l’air interloqué, j’ai le sexe en cage et un plug dans les fondements… vous comprenez mon interrogation et me dites qui j’irai ainsi. Mon sexe palpite de nouveau, quelle femme débordante de ressources vous êtes… Je me lève à la hâte en direction de la salle de bain. Il est 20h15 je dois faire vite.
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Youky le soumis
Quel beau récit très exitant, j'avoue que mon sexe aurait aussi mérité d'être encagé pour le controler lors de cette lecture Hâte de lire la suite Merci beaucoup
J'aime 15/07/25
SwitchLoicbidu59
Bonjour, j'ai très envie d'essayer une, suis plusieurs fois par jour en errection. Une fois on a essayé de m'en poser une, impossible bien trop petite. Si un jour je trouve, je me demande si avant d'essayer il me faudrait me mettre un sachet rempli de glaçons de manière à la contracter. Cherche conseil et essai
Soyez la première personne à aimer.
blous62
J'ai eu le même problème...
J'aime 06/07/25
Faut penser à autre chose et mettre du gel lol !
J'aime 06/07/25
Alleraubout
FAites vous branler avant.. ou alors prenez un bain avec de l'eau tiède....
J'aime 06/07/25
Enzo133
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LASSYE
👍🏻❤️
J'aime 03/07/25
Reine soumise
Bonjour a tous, Soumise depuis peu, je souhaiterai des informations sur les ceintures de chasteté feminines. Certaines en ont elles deja porté ? Cela etant bien moins commun que pour les hommes, je trouve moins de temoignages... Merci pour votre aide. Belle journee Kiara
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Erik75
Très intéressant Reine Soumise..🙏😍
J'aime 27/06/25
Maîtresse yaya
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La petite nouvelle pour ma Sissy Kim 😁
Alleraubout
Je me souviens. Elle m'avait dit : "Tu vas mettre un double de la clé dans un bocal que je scellerai à la cire. Si tu ouvres le bocal, attends toi a en baver. L'autre clé, sache qu'elle sera toujours sur moi. Maintenant, je te tiens pas les couilles alors n'essaye pas de jouer au plus malin avec moi !" Une fois j'ai essayé. J'ai vite compris car elle a su me recadrer immédiatement. Et ne laisser aucune marge de manœuvre est nécessaire pour éviter les tentatives de manipulation. Soyez forte, soyons humble.
Maîtresse Amélia
Deux semaines ! Deux semaines qu’elle avait fermé la clef du cadenas de ma ceinture de chasteté. Sans doute les deux semaines les plus longues de ma vie. Certes, je l’avais bien cherché. J’avais choisi et acheté une cage de chasteté modèle « Revenge ». Je l’avais essayé, porté chaque jour un peu plus longtemps pour m’habituer. Elle regardait tout cela d’un air amusé, un peu indifférent à cette lubie toute masculine, à ce fantasme qu’elle ne comprenait pas. Puis un jour, je me suis senti prêt. J’avais acheté un collier, un joli collier en or, au bout duquel j’avais mis la clef en pendentif. Dans la boite, il y avait également le cadenas, celui qui fermerait la cage et qui allait avec la clef. Je lui avais offert le tout un soir, à la fin d’un dîner aux chandelles dans un de ces restaurants sur la rive gauche. Il bande, mais dans quelque instant elle sera enfermé dans sa cage de chasteté Cage de chasteté en acier sur mesure Revenge de Steelworxx Une heure plus tard, nous faisions l’amour, un peu comme d’habitude finalement. Un petit peu comme si c’était une soirée normale. Excepté à l’instant ou finalement, elle m’annonça : « Et si on enfermait finalement la bestiole ! ». On a beau s’y attendre, on a beau l’avoir voulu, l’avoir cherché, ce moment où l’on perd pied, où l’on donne la main à l’autre, où faire l’amour ne se finira pas par un orgasme parce que l’autre en a décidé ainsi. Cela vous coupe le souffle, un sentiment très fort de frustration vous envahit. Je regardais mon sexe tendu. Le mettre dans la cage de chasteté allait être très très dur. J’avais beaucoup de mal à croire qu’il n’allait rien se passer d’autre. C’était il y a deux semaines ! Depuis, il ne s’est rien passé de plus que cette fois-là. Certes, nous avons fait l’amour plusieurs fois, enfin, je l’ai fait jouir plusieurs fois. Mais en dehors des opérations d’hygiène, je n’ai pas quitté ma cage de chasteté. Jusqu’à ce soir, peut-être, où elle m’a promis le grand jeu. Elle venait de jouir entre mes mains, croulant sous mes baisers. Elle rigolait de mes yeux de chiens battus, regardant mon sexe compressé dans la cage de chasteté. Je crois qu’elle m’a pris en pitié lorsqu’elle m’a dit : « Ok, ça commence à faire longtemps que la bestiole n’a pas pris l’air. Samedi prochain on fera quelque chose pour elle ! » À suivre dans « L’incident ». « L’INCIDENT » Elle m’attendait là, allongée sur le lit, langoureuse, aguichante, attirante et follement excitante. Elle portait un petit ensemble noir composé d’un string, d’une petite musette transparente et de bas résille. Je sentais mon sexe gonfler dans la cage de chasteté, restreint et compressé, il ne pouvait prendre sa pleine érection. Mes testicules, tirés par la cage, étaient douloureux, délicieusement douloureux. Autour de son cou, le collier avec la clef pendait. J’étais fou de désir et d’espoir qu’elle utilise la clef maintenant, là ce soir, tout de suite. La voici maintenant verrouillée dans sa petite cage de chasteté Cage de chasteté Revenge Steelworxx Poussé par l’excitation, je me dirigeais vers elle. C’était comme une force irrésistible. En deux semaines de chasteté, je l’avais déjà fait jouir de nombreuses fois tout en restant chaste. Mais ce soir, c’était différent, elle m’avait promis quelque chose de spécial et j’espérais bien qu’elle allait tout simplement me libérer et m’offrir cet orgasme tant attendu. Je la fis jouir en quelques minutes, c’était comme si elle faisait sienne mon excitation. Ma frustration devenait la sève de ses orgasmes, moins je jouissais plus elle jouissait. À peine nous finissions que nous recommencions, encore et encore… Puis elle prit la clef, celle en pendentif au bout de son collier, elle la glissa dans le cadenas de ma ceinture de chasteté. Elle fit tourner la clef et ouvrit la cage. Libéré, mon sexe semblait s’étendre en prenant son temps. Il semblait chercher les limites, il n’avait plus connu cette liberté depuis longtemps et il semblait hésiter. Elle mit mon sexe dans sa bouche. Je l’avais rêvé, c’était une sensation indescriptible après deux semaines de chasteté. Elle allait doucement, très doucement, j’aurais voulu jouir dans sa bouche, mais elle faisait durer le plaisir et se contentait de bouger sa langue en faisant des mouvements très lents. Après quelques minutes, elle arrêta et me dit : « C’est fini pour aujourd’hui, elle retourne en cage ! Je ne veux pas que tu jouisses aujourd’hui ! ». C’en était trop, cette simple phrase, juste après une fellation, eut raison de moi et sans que ni elle ni moi ne touchions mon sexe, j’éjaculais. La jouissance en soi n’était pas très forte, mon sexe avait décidé seul qu’il ne retournerait pas en cage sans en avoir profité, il se débrouillait seul. Elle riait, elle trouvait que ce sexe qui reprenait ses libertés avait quelque chose d’amusant. Quand j’eut finis, elle se contenta de dire : « Allez, on remet la bestiole en cage. Elle en a bien profité, maintenant elle va sagement attendre la prochaine fois… s’il y a une prochaine fois… » À suivre dans « Le remplaçant ». « LE REMPLAÇANT » Depuis mon éjaculation accidentelle lors de nos derniers ébats sexuels, je n’avais plus quitté un seul instant ma ceinture de chasteté. À chaque fois que nous avions fait l’amour, j’avais pu user de mes doigts ou de ma langue, mais à aucun moment je n’avais pu utiliser mon sexe pour faire jouir ma compagne. Une fois, prise par le plaisir, elle avait attrapé mes testicules et remontait sur la cage à la recherche de mon pénis. Puis elle s’était reprise et cela n’avait pu aller plus loin. Depuis qu’elle avait découvert les avantages d’un homme chaste, elle tenait particulièrement à ce que je ne jouisse pas. Et bien que je sente que mon sexe en elle lui manquait, elle se contentait de mes attouchements et préférait me laisser à mes tourments plutôt que de risquer encore une fois une éjaculation involontaire, un incident. Un soir, avant que je ne commence à la toucher, elle sortit une boite et me la tendit. Dans la boite se trouvait un dildo assez réaliste, d’une taille assez proche de celle de mon sexe en érection et une sorte de harnais. Elle m’expliqua : « Voilà le harnais, tu le portes. De cette façon, tu pourras me faire l’amour tout comme avant tout en restant dans ta cage de chasteté. » J’étais sidéré, mon sexe ne servait plus à rien. J’allais me tromper moi même avec un simple sex toy attaché là où devrait normalement se trouver mon pénis. Mais dans sa cage, ce dernier avait beau tenter une érection, il se retrouvait bloqué, compressé. Ce n’est pas ce soir qu’il allait sortir. Je mis le harnais comme il se fallait et je fis l’amour à mon épouse, aidé par cet appendice artificiel. Je le regardais entrer en elle, la faire jouir de plaisir pendant qu’il me volait le mien. C’était une sensation étrange que de voir disparaitre ce pénis de plastique à l’intérieur de son sexe et de ne rien sentir, une sorte de frustration et l’impression qu’un autre faisait l’amour à ma femme. Je la fis jouir plusieurs fois. La pénétration lui avait manqué et elle se rattrapait. Jamais je n’aurais tenu aussi longtemps moi même, jamais je n’aurais pu la faire jouir aussi fort et aussi longtemps. Après que nous eûmes fini, elle s’endormit comme une masse, lessivée, fatiguée, éreintée. Je restais là, j’avais retiré ce faux sexe. Bien que n’ayant pas eu d’orgasme, j’étais fatigué également et je m’endormis bientôt, de ce sommeil lourd de l’homme qui a rempli sa tâche.
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Passact34
Excellent et très excitant comme récits !!!!!
J'aime 22/06/25
Erik75
Magnifique récit Maîtresse...très excitant j'avoue 🔥🔥🙏💜🖤... Je recherche une Dominatrice.. Bien à vous Maîtresse...
J'aime 22/06/25
Youky le soumis
Merci pour ce beau récit qui me fait rêver mais peut-être un risque de déchanter si ma femme y prend goût aussi
J'aime 22/06/25
Enzo133
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Bonjour a tous. En cage de chasteté depuis quelques mois déjà, ma maîtresse vient de m'obliger à passer sur cette micro cage en acier et a publier ce post. Elle espère ainsi que mon sexe rétrécira au maximum. Je ne suis autorisé à la retirer que pour la douche et certaines nuits. N'hésitez pas si vous avez des remarques.
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Passact34
Déjà, cest une petite bite !!!
J'aime 19/06/25
Enzo133
Oui mais elle veut qu'elle devienne encore plus petite. Pour être sûr que plus aucune Femme ne veuille plus de moi à l'avenir.
J'aime 19/06/25
Passact34
Madame est cruelle.....😲👌👌
J'aime 20/06/25
Passact34
Peut être avec des hormones pour développer les seins, on m'a toujours dit que la queue retrécisser.... à confirmer.
J'aime 20/06/25
Enzo133
Je n'ai jamais testé les hormones. Je ne sais pas si c'est facile de s'en procurer non plus
J'aime 20/06/25
Passact34
Par internet, sur X ex Twitter, tu a une société qui fait de la pub, je les avait contacté, il vende sans problème, puis j'ai laissé tombé Mme voulait pas d'une petite bite, mais voulait que mes seins ce développe !....
J'aime 21/06/25
Necalli
Je ne croyais pas aux épiphanies, à ces bouleversements capables de changer profondément quelqu'un suite à une rencontre, un voyage, ou n'importe quel autre événement. Même si on a tous entendu parler d'histoires de personnes ayant soudainement tout plaqué pour se lancer tête baissée dans une nouvelle vie, personnellement ça m'avait toujours semblé un peu artificiel, comme une espèce de feel good story qu'on raconterait de temps en temps pour générer de l'audience ou du clic, ou pour se consoler dans les moments difficiles. Jusqu'à ce que ça m'arrive. "On vient pas de passer devant? - T'es sûre? J'ai rien vu... Ah mais oui le GPS nous dit que c'était là! - On va pouvoir faire demi-tour? Ah merde il faut aller jusqu'au bout... Non mais sans déconner..." Je vous plante le décor : nous sommes trois dans une voiture roulant sur une départementale, il fait nuit noire, il n'y a pas d'éclairage autre que les phares de la voiture, et le lieu où nous devons nous rendre n'ayant strictement aucune indication, nous venons de rater le moment où nous devions bifurquer. Après avoir fait demi-tour, nous arrivons sur le parking quelques minutes plus tard. La première chose qui m'a marqué est le nombre de véhicules présents, j'apprendrai par la suite qu'il y avait une grosse quarantaine de personnes prévues. J'avais déjà participé à plusieurs munchs, mais c'est la première fois que je participe à un munch and play, et pour ma première soirée c'est un joli nombre! En ce qui nous concerne nous sommes venus à sept. Pour des raisons de discrétion je ne donnerai aucun pseudo et resterai assez vague, à l'exception de ce que je serai assez à l'aise pour révéler me concernant. Je vais commencer par me décrire : à l'époque de ce récit je suis un homme de 38 ans, ayant eu jusque-là une sexualité très "vanille" mais qui ne m'avait jamais véritablement satisfait. Cela faisait déjà quelques années que j'avais découvert le BDSM, et notamment la domination, mais je n'avais jamais vraiment osé franchir définitivement le pas. La faute à la peur de l'inconnu? Au fait que quelque part au fond de moi je voyais encore la domination comme étant quelque chose de "mal"? Quelle qu'en soit cette raison, toujours était-il qu'une sorte de déclic s'était opéré en moi après bien des mois à réfléchir et j'avais enfin compris qu'une relation domination -- soumission, voire Maître - esclave était quelque chose qui m'attirait terriblement. Le principal problème qui me retenait encore était le fait que j'avais tendance à beaucoup (trop) réfléchir, mais que passer à l'action était encore quelque chose de compliqué chez moi. Ce trait de mon caractère avait été très bien perçu par une autre membre de notre groupe, et j'étais présent ce soir à l'initiative de cette personne. J'avais fait la connaissance de cette femme quelques mois plus tôt sur internet, et après avoir appris qu'elle pratiquait le BDSM en tant que soumise depuis quelques années, elle m'avait proposé de venir la rejoindre sur son serveur Discord et nous avons beaucoup échangé et discuté elle et moi. Une relation amicale a fini par naître, et elle m'avait proposé de venir la rejoindre à l'occasion de cette soirée pour que je participe à ma première soirée BDSM, en louant un AirBnB pour notre hébergement et en nous rencontrant IRL pour la première fois au passage. À la réflexion je pense qu'elle a perçu bien avant moi le fait que cette soirée m'apporterait beaucoup. Elle n'avait peut-être pas idée d'à quel point. Cinq autres personnes étaient également présentes : une soumise et un Maître avec lesquels j'avais déjà beaucoup discuté sur le serveur Discord, l'esclave de ce Maître, ainsi qu'un autre couple en relation Maître -- esclave. Ces trois dernières personnes m'étaient inconnues et je les rencontrais pour la première fois C'est au sein de ce groupe que je me suis avancé sur le chemin de gravier qui menait du parking vers le lieu des festivités. Nous avons immédiatement été accueillis par les organisateurs, qui ont vérifié nos billets avant de nous faire entrer dans une pièce à vivre, avec une grande table et des chaises, un buffet froid, des plaques chauffantes sur lesquelles réchauffaient un chili con carne, un chili végétarien et du riz, un frigo avec des boissons... Ah, et beaucoup d'accessoires divers et très variés qui ne laissaient aucun doute quant à l'endroit où nous nous trouvions. L'essentiel des participants était pour le moment réuni ici. Nous y avons retrouvé la dernière personne qui nous a accompagné pendant cette soirée, une Domina qui a passé un malin plaisir, après que je me sois présenté comme Dom, à me provoquer régulièrement afin de voir quelles étaient mes réactions. Pour le coup, étant d'une nature assez timorée amplifiée par le fait que c'était ma toute première soirée, elle a dû être bien déçue. En passant par l'extérieur, une autre porte nous a amené aux premières salles de jeux, incluant notamment pilori et croix de Saint André. En montant dans les étages, nous sommes d'abord passés devant les chambres destinées aux personnes qui allaient passer la nuit sur place, puis avons déambulé dans le reste des salles : encore des piloris et des croix de Saint André, un prie-dieu, des cages, des tables médicales, des bambous pour faire du bondage ou de la suspension, des cravaches, badines, fouets, paddle... Le décor n'était clairement pas là pour faire de la figuration, et les installations arrachèrent quelques murmures d'approbation aux membres de mon groupe. Puis nous sommes redescendus dans la pièce à vivre pour nous rafraîchir et nous détendre. Un verre de jus de fruit à la main, j'observais les personnes présentes, et c'est là que j'ai été confronté à la première chose qui m'a marqué pendant cette soirée. J'observais les Dominant.e.s et leurs soumis.e.s dans la pièce et au sein de notre groupe, leur dynamique, leurs façons d'être et d'agir vis-à-vis de leur partenaire... C'était la première fois que je pouvais voir ce genre de relation d'aussi près, et cette observation m'a troublé. Quelque chose que je n'arrivais pas précisément à définir résonnait en moi d'une façon étrange. Je ressentais la dévotion, la confiance d'un.e soumis.e envers son ou sa propriétaire, l'envie de servir. Mais aussi la fierté des Maîtres.ses envers leurs propriétés, la jouissance réciproque et complémentaire de cette hiérarchie qui était mise en place : pas d'égalité, mais quelqu'un qui, de manière libre et consentie, avait accepté de se soumettre à l'autre, de servir, d'être inférieur.e. À ce moment précis de la soirée, je n'avais pas encore mis les mots sur ces ressentis, ces émotions. Ce n'est venu que plus tard. Après une petite heure, d'un commun accord il fut décidé que le temps du jeu était venu. Nous sommes montés dans les étages, avec les affaires que certains parmi nous avaient amené pour l'occasion. Les sacs étaient bien remplis et leur contenu apparut bientôt : furent sortis divers instruments d'impact, tels que des martinets, cravache, planches de bois, badines... Le pilori fut promptement utilisé et la séance d'impact commença. Après avoir observé pendant plusieurs minutes, j'allai dans une pièce voisine accompagné de la Domina de notre groupe et de la soumise à l'origine de ma présence, qui se proposa pour être ma play partner pour l'occasion. Elle se retrouva promptement penchée sur une table et m'exposant son cul, sur lequel je jouai sous la supervision de la Domina. D'abord avec un martinet pour l'échauffement, puis une cravache, une badine, et pour finir une planche à saucisson qui me fut tendue avec un grand sourire par la Domina comme preuve du principe suivant : « Pas besoin de mettre des mille et des cent dans des instruments spécifiques quand des alternatives existent, sont bien moins chères, plus facilement disponibles et font très bien l'affaire ». Cerise sur le gâteau : la planche en question était gravée d'une citation initialement destinée à l'apéritif, mais qui s'appliquait également très bien au moment que nous étions en train de vivre : « Avec toute l'affection du chef »... Pour parler franchement, sur le coup je me suis senti un peu con. Déjà je n'avais pas l'habitude d'utiliser ce genre d'outils donc en terme de précision dans les frappes et d'aisance dans les gestes, je devais me sentir aussi à l'aise avec les divers instruments qui sont passés entre mes mains qu'un pingouin qui aurait soudainement trouvé une banane. Ensuite, n'étant pas capable de doser ma force correctement je craignais d'y aller trop fort et me retenais beaucoup, peut-être même trop? Cependant, le débriefing avec ma partenaire de jeu a été très élogieux, plus que je ne l'imaginais. Elle m'a décrit cette expérience comme étant très plaisante et agréable, et elle était enchantée que nous ayons pu partager ce moment ensemble. L'excitation de la séance retombant, j'entendis près de moi des bruits d'impact, suivis de gémissements. Dans la pièce où je me trouvais, il y avait un escalier qui donnait sur une mezzanine qui nous surplombait. De là où j'étais, je pouvais voir un autre couple qui s'était installé sur cette mezzanine et qui était en train de jouer également. Les réactions de cette femme en train de recevoir les attentions de son partenaire étaient différentes de celles de ma partenaire quelques instants plus tôt. Je pouvais voir une forme d'abandon, de lâcher prise. Une confiance qui s'était développée dans le cadre d'une relation qui avait déjà duré un certain temps. Une relation qui allait au-delà d'une relation de play partner, au-delà de ce que je connaissais. Quelque chose que je n'allais pas tarder à voir de beaucoup plus près un peu plus tard. Nous sommes retournés vers notre groupe, et j'ai assisté à la fin d'une séance de wax play. Le dos des deux participantes était constellé de traces de cire, et quelques esprits taquins en avaient profité pour tracer leur signature. C'était très amusant de voir à quel point les réactions pouvaient varier : l'une des participantes réagissait comme si la cire la chatouillait, elle ne pouvait pas s'empêcher de glousser et de rire. Concernant la seconde par contre, c'était très clairement la douleur qui avait pris le dessus en terme de sensations : chaque goutte la faisait crier et se tordre lorsqu'elle entrait en contact avec sa peau... Voir ces deux réactions si distinctes me donnait vraiment envie d'apprendre à utiliser les bougies, une case de plus à cocher dans ma to-do list! Et après quelques minutes pour laisser aux participantes à la séance de wax play la possibilité d'aller prendre une douche, j'ai pu assister à une autre séance d'impact. Cette fois, y participaient un des Maîtres de notre groupe, et son esclave. J'étais assis sur un canapé à quelques mètres d'eux. Ce fut un moment fort. Je pouvais percevoir la complicité entre eux deux, la confiance dans le jeu, un épanouissement mutuel et asymétrique, pour Lui dans l'utilisation, la jouissance de cette liberté qui lui avait été offerte, et pour elle dans cet état de propriété qu'elle avait consciemment embrassé en s'offrant tout entière à celui qu'à partir de ce moment elle avait appelé Maître. La puissance des frappes variait, les instruments utilisés aussi. Elle était attachée à la croix de saint André et recevait les coups, criait, gémissait, sans défense. Lui cherchait où frapper, avec quelle puissance, anticipant les réactions de son esclave pour obtenir l'effet qu'il recherchait, qu'il voulait obtenir. Ce fut un moment long et court à la fois. Un moment pendant lequel, presque sans m'en rendre compte, je me suis retrouvé à serrer le poing jusqu'à ce que mes phalanges blanchissent, transpercé par des émotions brutes, des sensations que je n'arrivais pas à décrire. Je ne sais pas quelle tête je faisais alors que j'assistais à cette séance, mais après qu'elle soit terminée, alors que j'étais toujours assis le Maître m'a regardé et s'est dirigé vers moi. « Est-ce que ça va? Comment tu te sens? » Il s'était accroupi en face de moi et me regardait. Est-ce qu'il avait perçu que quelque chose au fond de moi était en train de se produire, qu'une réaction s'était enclenchée même si je ne la percevais que d'une manière encore très indistincte? Comme si l'énorme couvercle que j'avais posé sur mes émotions, mes sensations, mes ressentis commençait à se fissurer? « Ce que j'ai vu en vous observant tous les deux... C'était quelque chose de très marquant pour moi, de très fort. Quelque chose qui m'a vraiment remué, même si je ne saurais pas encore exactement dire en quoi. Peut-être aussi un but à atteindre, une relation vers laquelle j'aimerais tendre à l'avenir? Je n'arrive pas encore à trouver les mots pour pouvoir dire exactement ce que je ressens mais... merci de m'avoir permis d'assister à cette séance ». Il a hoché la tête avec un léger sourire avant de se relever. Ce Maître et son esclave sont ensemble depuis presque 10 ans. La soirée s'avançant, nous sommes redescendus dans la pièce à vivre pour nous reposer un peu, nous réhydrater et pour que l'aftercare de la précédente séance d'impact puisse avoir lieu. Après une bonne demie-heure, il était temps pour la soumise de notre groupe de payer de sa personne pour plusieurs transgressions au savoir-vivre qu'elle avait eu ces dernières semaines vis-à-vis du Maître qui m'avait tant impressionné un peu plus tôt. Elle se retrouva promptement attachée à la croix de saint André, à moitié dévêtue et fut généreusement punie pour ses offenses par une nouvelle séance d''impact.. Puis le Maître fouilla dans ses affaires et en sortit un couteau, qu'il fit promener à plusieurs reprises sur le dos de sa partenaire. La réponse fut immédiate : elle se retrouva sur la pointe des pieds alors qu'un long frisson la parcourait. Une fois, deux fois... De là où j'étais, je ne voyais pas exactement comment le Maître maniait sa lame, jusqu'à ce qu'après une brève conversation à voix basse avec la soumise, il se tourne vers moi pour me dire « Isley, est-ce que ça t'intéresse? Tu veux que je te montre comment on fait? ». Je me retrouvai donc dans le dos cette soumise pour un cours de knife play auquel je ne m'attendais certainement pas! « Un point très important, c'est déjà de ne jamais mettre la lame à la perpendiculaire de la peau, tu la mets toujours parallèle. Ensuite, tu ne vas jamais vers l'intérieur, tu n'avances jamais sinon tu vas couper ou percer la peau : tu poses la lame, tu la relèves légèrement pour jouer avec la pointe, et tu recules, dans la direction du manche. Tu ne joues non plus sous aucun prétexte au niveau de la colonne vertébrale ou des reins et tu gardes une distance de sécurité avec ces zones. C'est bien compris? Très bien. Pour manier correctement ta lame, tu la prends de cette manière, et tu varies la pression que tu exerces en jouant uniquement avec ton pouce : plus ton pouce exercera de pression, plus la pointe de la lame appuiera elle aussi. Le but n'est pas forcément de chercher à appuyer comme une brute en permanence, des pressions légères ont aussi un effet très sympa : observe ta partenaire, regarde comment elle réagit et agit en conséquence. Le plus simple pour toi, ce serait d'abord de positionner le pouce de ta main qui ne tient pas le couteau sur la peau, puis tu poses le couteau à côté et tu le déplaces comme je t'ai montré. Dernier point : là on joue sur son dos, ne fais pas le tour de son corps avec ta lame jusqu'à te retrouver sur son ventre ou l'avant des cuisses, reste sur l'arrière du corps. Mes explications étaient assez claires? Tu as envie d'essayer? » Pendant toutes ses explications, il avait joint le geste à la parole en utilisant le dos de la soumise pour sa démonstration. Les explications étaient très claires, je me sentais en confiance et j'étais supervisé. Le Maître me prêta un couteau et je me positionnai sur le côté gauche du dos de ma partenaire. D'abord poser le pouce de la main droite, puis la lame du couteau à côté en la gardant bien parallèle à la peau, relever un peu la lame et la faire partir vers l'extérieur dans la direction du manche... « Hmmmmmm!!! » Je venais d'entendre un gémissement de plaisir, bien audible, s'échapper des lèvres de ma partenaire. Dire que je fus encouragé par sa réaction serait en-dessous de la vérité : c'était beaucoup plus fort que ça. Et si maintenant je me mets là, avec un peu plus de force... Et là, dans cette direction... Et au lieu du dos, jouer au niveau des fesses, ou de la cuisse... En voyant que j'avais bien compris ses instructions et que je respectais les règles de sécurité, le Maître qui me supervisait avait lui aussi repris son activité. Pendant plusieurs minutes, nous avons ensemble pratiqué un beau concerto à quatre mains et deux lames, qui nous a permis d'entendre de jolis gémissement divers et très variés qui émanaient de cette soumise sur laquelle nous nous faisions une joie de pratiquer. C'était très amusant de la sentir à notre merci et de pouvoir jouer avec elle selon nos envies. Bref, cette première approche du knife play fut un très bon moment, et une découverte de cette pratique dont je n'avais jusque là qu'entendu parler. Après cette séance mémorable de knife play, moi et la soumise sur laquelle nous avions pratiqué étions restés assis à discuter et nous reposer. La nuit était déjà bien avancée, il devait être aux alentours d'une heure du matin. Ce qui avait deux conséquences : je commençais à être fatigué, et j'avais faim. Genre, très faim. Le genre de faim qui méritait d'être comblée par une (ou plusieurs) assiette généreuse de chili con carne, de riz et de fromage râpé. Pile le genre de chose qui nous avait été montré dans la pièce à vivre du rez-de-chaussée. Le besoin d'une pause étant partagé par ma partenaire de jeu, nous nous sommes dirigés vers l'escalier qui nous ramènerait vers le rez-de-chaussée. Nous devions traverser la pièce dans laquelle se trouvait la croix de saint André où nous avions joué du couteau un peu plus tôt. L'endroit où le Maître et son esclave m'avait fait ressentir toutes ces émotions indéfinissables. Je poussai la porte pour entrer dans la pièce. L'espace d'une fraction de seconde, je vis que la même croix de saint André était occupée par une femme qui y était attachée, son dos exposé. Son Dominant, son Maître, son monsieur.. se trouvait derrière, un objet ressemblant à une badine dans la main au niveau de ses fesses. Avant que j'eus le temps de réaliser ce qu'il se passait, il leva la badine et en porta un coup. Un coup de grâce. La femme cria. Un cri qui me prit complètement par surprise. Un cri qui dura environ une seconde. Un cri dans lequel j'entendis de la douleur. Du plaisir. De l'abandon. Du lâcher-prise. Un cri presque primal, comme si la douleur était nécessaire pour enfin le faire sortir. Un cri qu'elle poussa avec tous les muscles de son corps contracté. Un cri au terme duquel ses jambes ne la portaient plus. Elle ne serait pas tombée car elle était attachée par les poignets à la croix de saint André, mais son partenaire la rattrapa, la soutint pour éviter qu'elle se blesse. Un instant auquel j'assistai comme un voyeur, spectateur involontaire d'un événement si intime qu'il n'appartenait qu'à eux. J'ai pris l'escalier pour redescendre dans la pièce à vivre, me suis servi une généreuse assiette de riz et de chili. Je l'ai mangée en discutant avec la soumise que j'avais suivie. Le Maître et son esclave qui m'avaient tant montré, ainsi que l'esclave qui m'avait proposé de venir à cette soirée nous ont rejoint également pour se restaurer. Après que nous ayons terminé, nous sommes remontés dans les étages pour assister ou participer à une séance d'électrostimulation, mais la fatigue commençant sérieusement à se faire sentir, nous sommes partis environ une demie-heure plus tard. Une fois arrivé au AirBnB que nous avions loué, nous nous sommes réunis autour d'une bouteille de vin blanc avant d'aller nous coucher.
Soumisdevouepourelle
Soumis novice en quête de guidance et d’appartenance Je suis un homme soumis, débutant sur ce chemin que je ressens profondément comme le mien. Docile par nature, respectueux dans l’âme, je me tiens avec humilité devant l’univers de la domination féminine, prêt à écouter, à apprendre, et à me façonner sous la volonté d’une Maîtresse authentique. Je n’ai pas d’orgueil à préserver, seulement un désir sincère de plaire, de servir, et d’évoluer sous une autorité féminine forte, bienveillante mais exigeante. Mon respect est total, mes intentions sont sérieuses. Je cherche à m’épanouir en appartenant à Celle qui saura voir en moi un potentiel à développer, un esprit à éduquer, un corps à modeler à Son image et selon Ses désirs. Je suis à l’écoute, discipliné, et avide de recevoir des ordres, des règles, et des marques d’attention qui me guideront dans ce rôle que j’embrasse avec dévotion. Mon objectif n’est pas le jeu, mais une dynamique réelle, fondée sur la confiance, le respect mutuel et la volonté de construire quelque chose de vrai. Si Vous êtes une Maîtresse cherchant un soumis loyal, curieux, et prêt à tout apprendre, alors je suis là, à genoux, attendant humblement Votre regard et Vos directives.
slavsanscollier
Male soumis,mental "esclave,tres Ds et cerebral,respectueux et docile,region Languedoc 34/30/66 a disposition de Dominant,Femme ou couple durant l été pour assouvir leur plaisirs et service..recherche serieuse..
JuliaTV
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Bonjour le groupe, J'aimerais savoir si certains possèdent ou ont essayé une cage avec un système pour le prince Albert comme sur les photos? Serrez il possible d'avoir vos retours? J'aimerais bien m'en acheter une , mais savoir si portable en permanence . Merci d'avance Julia
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Saly
Jamais testé car pas percée mais ca m’attire beaucoup beaucoup 1f60d.png
J'aime 09/05/25
Collin35
a partagé une photo
l ideal c'est d avoir un Maitre qui garde la clef, mais j ai pas le Maitre hihi
4 personnes aiment ça.
Saly
Tu as chasterapp.com qui fait très bien le taff 1f60f.png1f607.png
J'aime 09/05/25
je suis en recherche d'un nouveau soumis fétichiste motivé pour s'investir dans une relation suivie, je ne suis pas intéressée par du ponctuel .:.
slam
Bonsoir , j'ai acheter une cage de chasteté en faite en la portant au début ajusté, et maintenant devenue un peut grande Du coup je bande dedans rien qu'en la sentant, quand je mouille un peut, une sensation de frais ce fait sentir, la sensation me fais avoir une érection en ressentant les parois de la cage j'ai donc tenté en diminuent la taille du cerclage, je galère pour le mètre, une foie passé en diminuant de 2 taille, là ça serre vraiment beaucoup, donc je ne peut pas bandé mécaniquement Mais le truc c'est que je le supporte très peu de temps, une douleur de plus en plus présente ce fait sentir jusqu'au moment ou je le support plus et il me faut le retiré Le cercle que je supporte bien fais 50mm avec le model suivant : https://www.boystore.com/cage-de-chastete-rigide/5955-sexshop-gay-cocklock-cage-de-chastete-cb-3000-noir-3662811048595.html à l'idéal que faudrait t il que je face ? ou quel model me conseillez vous ? je précise que c'est pour la porté en longue duré 7/7j 24/24h (sauf entretien) et en métal quel est la différence en pratique en une cage avec incère de l'urètre par rapport à celle qui ne l'on pas ? merci
t'éduquer te dresser et te guider sur le long chemin de ta soumission Maîtresse Leyane .:.
Alleraubout
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Imposez-la moi et partez avec la clé, humiliez-moi je ne mérite rien d'autre
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TedS41
Sa doit être tellement agréable
J'aime 30/01/25
Collin35
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c'est mieux avec une ceinture de chasteté
10 personnes aiment ça.
En effet j'en possède une similaire et je confirme, rien ne bouge là dedans. Ma bite est archi coincée 😉
J'aime 15/01/24
LASSYE
Oui une sacré expérience quand tu commence à porter une ceinture
J'aime 15/01/24
Loos72belg
Cela ne doit pas être facile de porter celle-ci sous un jeans et sortir..
J'aime 16/01/24
Collin35
biensure quelle se porte sous un jean"s
J'aime 16/01/24
Il en existe une autre ou le tube est inversé, la bite contre l'intérieur. C'est top
J'aime 16/01/24
DANDY83
De la belle ouvrage! Esthétique très réussie, même si j'en conviens, le port doit être inconfortable...
J'aime 15/01/25 Edité
LASSYE
DANDY83 non c estcoas inconfortable du moment que tu bien choisi ta ceinture. J en ai une et ca m arrive de la porter 1 semaines
J'aime 15/01/25
DANDY83
Impressionnant!, belle dévotion!
J'aime 15/01/25
en recherche d'une nouvelle prise en main auprès d'un vrai guide digne de confiance .:.
Collin35
a partagé une photo
Chasteté et sodo avec gode, que du plaisir
11 personnes aiment ça.
DANDY83
La jouissance prostatique est excellente!
J'aime 15/01/25
Collin35
a partagé quelques photos
5 personnes aiment ça.
DANDY83
%ieux qu'une coquille de Hockey...
J'aime 15/01/25
Collin35
a partagé quelques photos
chasteté et boone paques
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DANDY83
Magnifique écartement des boules!
J'aime 15/01/25
en_cage
Salut a tous, Question il y a t il un risque de ce baigner a la mer avec une cage? Du style l eau de mer attaque la cage ou autre ? Merci
1 personne aime(nt) ça.
LASSYE
Non elles sont traité
J'aime 10/09/23
minipenis74
non aucun je l ai fait pendant des années
J'aime 10/09/23
TitbitSuck
L'urine est beaucoup plus corrosive !
J'aime 10/09/23
Chrysalide
Il est préférable d'huiler la serrure, et le trou de l'anneau, puis de manœuvrer plusieurs fois la clé pour bien faire pénétrer l'huile dans le mécanisme. 🤓👌 Bon amusement 😍
J'aime 10/09/23
en_cage
Merci pour toutes ces réponses et cela me rassure
J'aime 11/09/23
minipenis74
Je cherche mec ki gere mes profil gay / naturiste/ reseau social photo annonce ou autre et plus si il a envie avec anydesk ou teamviwer
J'aime 11/09/23
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