Chuuut... 🤫
Encore 24h pour faire partie des privilégié·es qui auront réservé au tarif super anticipé !
😈 Après, ce sera trop tard... et tu te mordras les doigts !
🖤 Alors, tu viens te créer des souvenirs (et quelques marques) avec nous cet été ? 🔥 #CestMaintenantOuJamaishttps://forms.gle/YgRgpmh5t4RRBiQS7
Avec Beyourself on rigole et on se taquine beaucoup. J'imagine bien que nous ne sommes pas les seuls.
J'aimerais créer un sujet léger où on se partagerait nos meilleures (ou pires !) anecdotes...
Exemple : A la terrasse d'un café où une écuelle avait été posée à côté de notre table, Beyourself m'a sorti spontanément " oh ils sont sympa dans ce bar ils t'ont mis une écuelle pour que tu puisses boire ! "
Vous pouvez aussi envisager ce post avec vos pires anecdotes et tout ce qui ne se passe pas comme prévu en séance ou hors-séance d'ailleurs.
Bonjour à toutes et à tous,
Cet écrit est une sorte de questionnement à haute voix, mais je serais ravi d'avoir vos retours. Je vous prie de m'excuser d'avance pour la longueur du texte et, le cas échéant, de l'utilisation maladroite de certains termes dont je ne connais peut être pas encore la signification exacte, si tant est qu'il y en ait une.
Tout d'abord, je dois préciser que je suis un homme et que je m'identifie en tant que soumis. Cependant, vu mon manque d'expérience en la matière, je ne sais pas si c'est très pertinent et légitime.
Il me semble que la définition d'une Dominatrice, ou de toute personne occupant le rôle de Dominant en général, varie beaucoup d'une personne à l'autre. Et c'est tant mieux, je n'aime pas trop les cases, qui au final, ne servent qu'à nous limiter. Par contre je vois des soumis qui disent chercher des Dominas pour <les détruire>, et même des Dominas qui promettent de nous détruire aussi bien physiquement que mentalement. J'imagine bien que c'est une image, du moins la plupart du temps, mais ça m'a quand même interpellé. Perso, je la vois plutôt comme une architecte, donc dans une démarche de création. Avec sa vision personelle de ce qu'elle souhaite "créer" tout en gardant à l'esprit la faisabilité du projet et les éventuelles contraintes techniques. C'est là qu'entre en compte la notion d'épanouissement par la soumission qui me fascine. J'ai lu beaucoup de témoignages en ce sens, mais toujours émanant de soumises en relation avec un Dom et jamais d'hommes soumis avec une Domina. Je sais pas si j'ai mal cherché ou s'ils en parlent moins, mais ça m'interroge.
Ensuite, ce qui m'attire dans le rapport D/s ce sont toutes les petites subtilités, par exemple, cette sensation de rester figé après avoir dit quelque chose ou répondu à une question, en comprenant immédiatement que cela pourrait être interpréter comme une provocation, ou encore mieux, que cela pourrait faire germer une idée perverse dans l'esprit de la Domina, et à terme, ce retourner contre nous. Ou encore le fait de savoir que je ne suis jamais à l'abri d'une surprise. Ce moment ou je perçois une étincelle dans le regard ou un petit sourire en coin, et je me dis <Qu'est-ce qui lui est encore passé par la tête ? De toute façon je vais pas tarder à le savoir> Ce paradoxe me fascine égalament. On dit que la prévisibilité donne un sentiment de sécurité, et qu'à l'inverse l'inconnu peut être source d'angoisse. Je pense être plus anxieux que la moyenne, mais pourtant, j'imagine cette dynamique D/s au sein d'une relation saine comme réconfortante. Je sais pas si c'est le bon terme, mais en tout cas je ne perçois pas ça comme quelque chose d'anxiogène alors que cela devrait être le cas pour une personne "normale".
Enfin, je suis clairement plus maso que la moyenne. Je ne peux pas dire à quel point car il faut que je travaille encore à ce sujet pour le découvrir:smirk: mais j'aime l'impact. Je comprends le côté punition pour avoir fait une "bétise", voir faire volontaraiment une bétise pour être sanctionné. Mais perso ce qui me plaît le plus, c'est encore l'idée d'être "puni pour rien", juste pour le plaisir, juste car elle en a envie et que je suis à sa disposition, sans avoir à chercher un prétexte comme s'il falait se justifier. Uniquement le sadisme d'une personne qui rencontre le masochisme d'une autre, et qui mène à la satisfaction commune en créant au passage un lien aussi fort que particulier.
Cela me fait penser à une vidéo que j'ai vu, une séance de caning d'un soumis par une Domina. On voyait clairement qu'elle prenait beaucoup de plaisir, peut être que c'était de la comédie, mais j'aime à penser qu'elle ne faisait pas semblant. Vers la fin elle était quasiment nue, elle portait juste encore ses bottes il me semble, et elle se caressait de plus en plus ostensiblement. Je crois qu'au début le soumis comptait les coups de canne, mais à ce moment précis il n'était plus question d'atteindre un nombre spécifique, ils avaient tous les deux un nouvel objectif commun : la jouissance de la Dominatrice. D'ailleurs elle ne semblait plus vraiment se soucier de l'intensité qu'elle y mettait, elle était trop près du but. Les gémissements du soumis s'étaient transformés en suppliques et la peau de son cul avait abdiqué par endroits, laissant perlé quelques gouttes de son liquide vital (j'aurais bien aimé savoir combien de temps il a gardé les traces). Mais ils ont atteint leur objectif commun ! La Domina, soulagée et reconnaissante à réconforté son soumis, qui était maintenant à genoux face à elle, en pressant son visage contre son intimité. Ils avaient l'air si heureux et comblés d'avoir partagé cet instant d'une intensité folle. C'est typiquement le genre de choses que je trouve très belles, voir romantiques, et que je ne pourrais, ou n'oserais partager qu'avec très peu de personnes, de peur d'être interné d'office, ou, a minima, catalogué comme un psychopathe fini :sweat_smile:
Voilà en partie ma vision perso d'une Dominatrice, de LA Dominatrice de mes rêves. Ce qui amène tout un tas de questions : Existe-t-il des femmes ainsi ? Je pense que oui. Sont elles nombreuses ? Je ne sais pas. Quelles sont les chances d'en croiser, ne serait-ce qu'une, au cours d'une vie ? J'imagine que ça dépend beaucoup de comment on s'y prend. Et surtout, la question qui tue, quelles sont les chances qu'elle s'intéresse à moi ? Aucune idée.
Tout ce dont je suis sûr, c'est que je ne suis pas trop vieux ni trop désabusé pour croire en LA Dominatrice ! Je sais, je sens qu'elle existe quelque part...
Bonjour à tous,
après avoir cherché sur le forum, je n'ai pas trouvé grand chose pour répondre à mes questions.
Je souhaite depuis longtemps essayer les jeux urétraux en commençant soft, par l'exploration douce et progressive de cette sensation.
J'ai pu me fournir des petites tiges en silicone, de petits diamètres (3mm pour la plus petite, jusqu'à 9mm pour la plus imposante). La vendeuse m'a conseillée de prendre du silicone car plus souple donc plus doux pour commencer.
N'ayant jamais pratiqué, je souhaitais avoir des retours d'expériences de personnes qui ont déjà pratiqué voire qui ont l'habitude et qui pourraient me conseiller au mieux. Comment s'y prendre ? Quelle méthodologie appliquer ? Quelles précautions d'hygiène ? Quelles précautions tout court d'ailleurs ? Enfin, tous les conseils qui pourraient m'être utiles pour ne pas faire de bêtises et, si possible, prendre un peu mon pied :D
Merci à tous pour votre aide !
NB : une photo d'illustration (ça ressemble peu ou prou à ce que j'ai acheté).
Dans un post du murgé décrivant une relation dite CNC, j'ai lu dans des commentaires polémiques, le rappel du consentement, de la bienveillance, du respect en étendards éthiques et le safeword et la communication comme remparts aux dérives.
Je ne vois pas comment on peut lâcher prise, et le pouvoir, être sous emprise (parce que sinon je ne vois pas bien à quoi on joue, ou plutôt je verrais bien qu'on joue) en réclamant le respect, la bienveillance et le consentement. Ces 3 composantes doivent être suffisamment digérées, intégrées, assimilées en amont, au niveau de la relation humaine, pour être oubliées au moment de l'expression de sa domination.
Je ne veux pas de sa bienveillance, je ne veux pas qu'elle me respecte et respecte mes limites, je veux son arbitraire et son emprise. Chez nous, pas de limite verbalisée, pas de safeword, pas de scenario à approuver sinon... bah on joue et je ne suis pas dominé. Pourquoi je me soumettrais si elle ne me domine pas ?
Elle ne sait qu'elle a franchi une limite dure qu'après coup, parce qu'à ce moment là, je l'informe, je communique.
Et si elle se plante, si elle dépasse mes capacités, ma résilience, je sors de son emprise. Et comme nous avons une relation humaine en amont de son expression bdsm, où règne la bienveillance, le respect et le consentement, elle s'en rend compte et en tient compte.
C'est la façon dont nous ressentons la domination, son arbitraire qui s'impose. Et puisqu'il faut des cases, je pense qu'on est dans le CNC.
Suis-je vraiment une victime d'une perverse parce que tout se passe au delà de mon choix ?
Edit : En fait, la question posée était purement rhétorique et inappropriée, je sais justement qu'elle n'est pas perverse et que si je lui exprimais mes désirs et mes limites à priori, elle en tiendrait compte et orienterait ses demandes.
Les questions sous jacentes seraient plutôt, est-ce que demander et respecter le consensus ne bride pas la domination, ou ne pas demander ou respecter une limite, est-ce éthique ou pervers ?