Dans un post du murgé décrivant une relation dite CNC, j'ai lu dans des commentaires polémiques, le rappel du consentement, de la bienveillance, du respect en étendards éthiques et le safeword et la communication comme remparts aux dérives.
Je ne vois pas comment on peut lâcher prise, et le pouvoir, être sous emprise (parce que sinon je ne vois pas bien à quoi on joue, ou plutôt je verrais bien qu'on joue) en réclamant le respect, la bienveillance et le consentement. Ces 3 composantes doivent être suffisamment digérées, intégrées, assimilées en amont, au niveau de la relation humaine, pour être oubliées au moment de l'expression de sa domination.
Je ne veux pas de sa bienveillance, je ne veux pas qu'elle me respecte et respecte mes limites, je veux son arbitraire et son emprise. Chez nous, pas de limite verbalisée, pas de safeword, pas de scenario à approuver sinon... bah on joue et je ne suis pas dominé. Pourquoi je me soumettrais si elle ne me domine pas ?
Elle ne sait qu'elle a franchi une limite dure qu'après coup, parce qu'à ce moment là, je l'informe, je communique.
Et si elle se plante, si elle dépasse mes capacités, ma résilience, je sors de son emprise. Et comme nous avons une relation humaine en amont de son expression bdsm, où règne la bienveillance, le respect et le consentement, elle s'en rend compte et en tient compte.
C'est la façon dont nous ressentons la domination, son arbitraire qui s'impose. Et puisqu'il faut des cases, je pense qu'on est dans le CNC.
Suis-je vraiment une victime d'une perverse parce que tout se passe au delà de mon choix ?
Edit : En fait, la question posée était purement rhétorique et inappropriée, je sais justement qu'elle n'est pas perverse et que si je lui exprimais mes désirs et mes limites à priori, elle en tiendrait compte et orienterait ses demandes.
Les questions sous jacentes seraient plutôt, est-ce que demander et respecter le consensus ne bride pas la domination, ou ne pas demander ou respecter une limite, est-ce éthique ou pervers ?
#FéministePasIntégriste
Bonsoir à T/toutes et à T/tous,
Que cela vous agace ou non, il est un fait indéniable, aujourd’hui, c’est la “Journée internationale des droit des femmes”. Et que c’est mon marronnier à moi.
Voici donc mon nouvel article : [https://lafilledemars.weebly.com/oulonparledearticles/la-soumise-est-une-feministe-comme-les-autres]
Parce que je suis une soumise, et que je suis féministe. Et que les droits des femmes, partout dans le monde est quelque chose qui me tiens à cœur. Mais que par ma position assumée de soumise, je me vois agresser par une certaine catégorie de féministes qui voient en moi une traîtresse à la cause.
Ce que je vais essayer de démontrer dans cet article, c'est que pour moi, oui, le BDSM est non seulement compatible avec le féminisme, mais que le BDSM est féministe !
Bien sûr, si vous pensez que cet article peut intéresser votre entourage, n'hésitez pas à le partager !
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La soumise est une féministe comme les autres...
Que cela vous agace ou non, il est un fait indéniable, aujourd’hui, c’est la “Journée internationale des droit des femmes” (et surtout pas “La journée de la femme. Si vous voulez en savoi
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