La question est dans le titre.
Ce 10 juin 2023 à 10h20 le nombre de membres était compris entre 64 646 et 142 162. Le nombre exact est probablement plutôt du côté de la borne inférieure, donc disons 80 000, à la louche. Sur ces 80 000, il n'y en a que quelques dizaines qui écrivent régulièrement sur le forum (disons 40 soit 0.05 % ...). On peut monter à quelques centaines si on compte ceux qui écrivent occasionnellement ou une seule fois (disons 400, soit 0.5%).
Les % mentionnés sont peut-être un peu plus élevés si l'on retire les comptes existants mais quasi-inactifs (mais, quoi qu'il en soit, ces % sont faibles).
On peut supposer que sur les 99.5% qui n'écrivent jamais, quelques % aimeraient bien le faire, au moins occasionnellement, mais ne le font pas. Pourquoi? (si vous êtes dans ce cas, bienvenue, c'est l'occasion d'écrire pour la première fois :grinning:).
On peut aussi supposer qu'une partie de ceux qui écrivent très rarement aimeraient bien le faire un peu plus.
Inversement, une partie de ceux qui écrivent régulièrement sont infatigables, jamais à cours d'énergie, jamais découragés malgré des réactions parfois "décourageantes". Quelle est la motivation ?
Je ne donne pas mon point de vue personnel, du moins pour l'instant, pour ne pas orienter les réponses, mais je peux dire que j'ai fait partie (successivement) des différents groupes, d'abord ne contribuant jamais, puis timidement un peu, puis un peu plus, puis, récemment, de moins en moins, donc je peux comprendre différents points de vue. Pour chaque période, je pense en connaître la raison, au moins approximativement.
Il n'y a pas de mauvaise réponse: c'est subjectif, donc votre avis, quel qu'il soit, est forcément le bon.
#KnifePlay
Et je descendis dans un abîme où le temps s’était éteint. Les âmes, nues et tremblantes, serpentaient entre les flammes froides, leurs corps griffés par des ombres que nul œil ne pouvait nommer.
Chaque pas laissait une empreinte de sang et de cendre, et des vers innommables rongeaient les plaies de ceux qui souffraient sans fin.
Des hurlements muets s’élevaient en volutes, mêlés aux cris des damnés, et l’air lui-même semblait saturé d’une douleur ancienne, inextinguible.
Je vis les visages, figés dans la terreur et la supplication, leurs yeux implorant des secours que nul ne pouvait donner.
L’ombre se mouvait autour d’eux comme un voile morbide, et la lumière s’éteignait à chaque respiration, laissant le monde dans un silence lourd et mortel.
#knifeplay #photoperso
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