Bonjour,
Je souhaiterais étoffer mon profil, mais j'ai un gros souci de mise en page. J'ai tenté un copié/collé d'une partie d'un texte que j'avais écrit sur le forum, mais quand je fais "envoyer" ça ruine toute la mise en page. Pourtant dans le menu édition les paragraphes sont bien espacés. Après avoir effacé le texte collé tout est entré dans l'ordre.
J'ai alors réécrit le paragraphe mais dès que je valide, le problème revient. Tout le texte est condensé en un immense pavé qui ne donne pas du tout envie de lire.
Existe-t-il une solution pour contourner le problème ?
Salut à toutes et à tous,
Je suis nouveau dans cet univers et j’aimerais beaucoup échanger autour des pratiques BDSM, notamment sur la place du dominant/dominatrice et comment bien commencer sans se tromper.
Je suis conscient que c’est un sujet délicat qui demande confiance et respect. Mon but ici n’est pas de forcer les choses, mais de discuter, apprendre et créer des amitiés complices. J’aimerais aussi avoir des retours d’expérience, des conseils pratiques ou même des lectures/ressources pour progresser.
Je suis ouvert à toutes les discussions merci.
Dans un post du murgé décrivant une relation dite CNC, j'ai lu dans des commentaires polémiques, le rappel du consentement, de la bienveillance, du respect en étendards éthiques et le safeword et la communication comme remparts aux dérives.
Je ne vois pas comment on peut lâcher prise, et le pouvoir, être sous emprise (parce que sinon je ne vois pas bien à quoi on joue, ou plutôt je verrais bien qu'on joue) en réclamant le respect, la bienveillance et le consentement. Ces 3 composantes doivent être suffisamment digérées, intégrées, assimilées en amont, au niveau de la relation humaine, pour être oubliées au moment de l'expression de sa domination.
Je ne veux pas de sa bienveillance, je ne veux pas qu'elle me respecte et respecte mes limites, je veux son arbitraire et son emprise. Chez nous, pas de limite verbalisée, pas de safeword, pas de scenario à approuver sinon... bah on joue et je ne suis pas dominé. Pourquoi je me soumettrais si elle ne me domine pas ?
Elle ne sait qu'elle a franchi une limite dure qu'après coup, parce qu'à ce moment là, je l'informe, je communique.
Et si elle se plante, si elle dépasse mes capacités, ma résilience, je sors de son emprise. Et comme nous avons une relation humaine en amont de son expression bdsm, où règne la bienveillance, le respect et le consentement, elle s'en rend compte et en tient compte.
C'est la façon dont nous ressentons la domination, son arbitraire qui s'impose. Et puisqu'il faut des cases, je pense qu'on est dans le CNC.
Suis-je vraiment une victime d'une perverse parce que tout se passe au delà de mon choix ?
Edit : En fait, la question posée était purement rhétorique et inappropriée, je sais justement qu'elle n'est pas perverse et que si je lui exprimais mes désirs et mes limites à priori, elle en tiendrait compte et orienterait ses demandes.
Les questions sous jacentes seraient plutôt, est-ce que demander et respecter le consensus ne bride pas la domination, ou ne pas demander ou respecter une limite, est-ce éthique ou pervers ?
Première divagation
Un genoux à terre, perdu dans mes penser,
Non obstance les difficulté à faire le vide
Souvent dans le but de trouver une idée
Immédiatement elle surgis limpide
Métamorphosant cette insécurité gravé
Plusieurs chemin maintenant s'offre à moi
Le choix hasardeux que je ferais
Etablira dans un prochain émoi
Beaucoup de sacrifice a n'en pas douter
On ne le dit jamais trop souvent
Ne jamais faire un choix que l'on pourrais regretter
Jouer, explorer, inventer, succomber, partager
Oh oui rien que pour une fois redevenir un enfant
Un instant redevenir insouciant comme avant
Regard comment c'est amusant maintenant
A vous de trouver ce qui est cacher.
Deuxieme divagation
Les mots dans les maux
C’est quand la jouissance des maux remplit un esprit de mots,
Que la libération s’étend dans un paroxysme de sensations.
Un temps donné, les maux s’estompent à l’aube de la libération,
Tandis que les mots se perdent dans les brides lointaines d’un écho,
Au firmament imminent d’une séparation impromptue,
Les mains, paumes offertes, se tendent vers l’inconnu,
Comme un fragment de mot, après les maux,
Une supplique ininterrompue dans le chaos.
Alors s’ouvre l’abîme, miroir de l’âme fissurée,
Où chaque larme devient étincelle de vérité.
Et dans la fracture, jaillit l’ombre d’une lumière nue,
Révélant qu’au cœur du silence, les maux deviennent vertu.
Sans pourtant cesser d’être des mots,
Mais le geste qui accompagne et soumet les maux
N’a pour trace que la peau de chagrin
De ceux qui s'y sont perdus, sur ce chemin incertain.
