Bonjour,
Parisienne de 37 ans, Brat (mais switch possible). Heureuse d'être ici.
Je rêve de pouvoir assumer la brat que je suis dans un couple amoureux.
Cérébrale avant tout.
J'aime séduire, provoquer, pousser à bout... et j'attends de mon homme qu'il me résiste,puis finisse par me maintenir fermement et calmement ...pour me montrer qu'il est le chef. C'est ainsi que je vois la dynamique de mon futur couple.
L'appartenance réciproque est fondamentale pour moi. Je veux qu'il me marque comme je le marquerai.
Je sais ce que je veux et ce que je ne veux pas. Je sais reconnaître "un homme malintentionné/un pervers narcissique" qui voudrait se faire passer pour un homme dominant... Popffff 🙃
Est dominant l'homme que je décide de voir dominant,... inutile, en réalité, de vous présenter d'emblée à moi comme dominant.
La relation Brat/Dominant se crée de façon progressive. Elle est cérébrale avant tout, elle est passionnée.
Pour aimer une brat, il faut être sûr de soi, patient, calme, très protecteur, possessif, savoir se contrôler. Il faut aimer être provoqué, désobéi... Savoir être doux et amoureux comme ferme et autoritaire.
La Brat vous teste. Jamais elle ne se soumettra à n'importe qui.
Elle se sent protégée avec un homme qui lui résiste et qui sait la maintenir dans ses bras quand il le faut . Elle se sent merveilleusement bien quand son homme la prend avec autorité et fermeté, l'obligeant à un total lâcher prise et à l'obseissance.
Elle veut que son homme lui prouve qu'il est le chef. Un chef bon pour elle. Elle ne se soumettra qu'à lui. Elle se rebelle pour le plaisir d'etre dominée ensuite. Elle aime être autant sa femme, sa p'tite reine que sa pute et sa chose.
Je souhaite vivre pleinement une telle relation. Officiellement: un couple vanille (d'ailleurs...j'aime bien la vanille aussi). Officieusement: un couple Brat/Dominant.
Quelques mots sur moi : plutôt mignonne, je plais, on me dit souvent "solaire", j'adore rire, je suis très souriante, un peu curvy, typée méditerranéenne (je suis française d'origine marocaine), très sensuelle sans le rechercher, douce. J'ai du caractère (Pas un mauvais caractère, et rien à voir avec ces personnes qui s'énervent et crient, moi je ne crie pas ou rarement..). Pas trop bête, très cérébrale, positive, un peu "femme-enfant", ambitieuse..
J'aime les hommes forts : pas les haineux complexés, les homos refoulés, les masculinistes/incels et trucs de ce genre.
J'aime les hommes qui ont des valeurs fortes, les gentlemen, les hommes sûr d'eux qui n'ont pas peur de paraître faibles en étant gentils.
J'aime la gentillesse, la vraie, que seuls les forts savent exprimer ! Pas la faiblesse qui consiste à donner en espérant obtenir quelque chose (souvent disproportionnée) en retour.. Je n'aime pas ce genre de faiblesse, surtout chez un homme.
J'aime l'homme intelligent. Je suis clairement sapiosexuelle. Je ferai de toi mon professeur... et je suis une étudiante sérieuse.
Je suis autiste Asperger.
J'aime chanter et écrire...
Je suis la maman de deux beaux enfants, en garde alternée.
Je t'imagine : solaire, très intelligent, protecteur, possessif, faux calme, parisien (ou proche), célibataire, joueur, excité à l'idée de dominer une Brat, patient, à l'écoute, empathique, tu as envie d'être en couple/de t'engager... Tu es capable d'être mon homme, mon dominant, mon maître, ma proie que je pousserai à bout, mon confident... Tout ça ! 😊
A tous, au plaisir de vous découvrir et de vous lire
Belle journée
A
Derniers sujets du forum
Bonjour a tous,
Je m'appel Nicolas j'ai 46 ans et je suis fiancé avec Malika 24 ans , nous sommes dans une relations depuis plusieurs années D/S , ce n'est pas ma premiere relation de ce type mais
c'est la premiere fois depuis longtemps que c'est en mode permanent et fait pour durer, nous nous trouvons sur la région de clermont Ferrand. Je viens ici pour rencontrez du monde , discuter et pourquoi pas ce faire un café ou un restaurant le cas échéant, le but étant premierement de découvrir plus de chose dans le monde de la domination soumission et d'échanger a ce sujet .
Cordialement
Nicolas
Il est de plus en plus courant de voir des femmes mariées ou en couple s’intéresser au BDSM virtuel. Bien souvent, cette recherche se fait dans la discrétion, loin des regards extérieurs. Pour certaines, cela peut être un moyen d’exprimer des désirs ou des fantasmes qu’elles n’osent pas partager dans leur relation de couple. Le BDSM en ligne offre un espace d’expérimentation et d’expression qui peut sembler plus sécurisé, loin des contraintes et des jugements que l’on peut parfois ressentir dans la vie réelle.
Le BDSM virtuel devient un terrain où l’on peut prendre ou perdre le contrôle, sans qu’il y ait de répercussions directes sur la vie de couple. Certaines femmes y trouvent une forme de liberté, un espace privé pour se réinventer ou jouer des rôles qu’elles ne peuvent pas assumer dans leur quotidien. Ce n’est pas nécessairement un moyen de fuir leur relation, mais plutôt un espace parallèle pour explorer une facette différente de leur sexualité.
Une constante dans ce phénomène est la discrétion. Beaucoup de ces femmes souhaitent garder cette activité secrète, souvent par crainte du jugement de leur partenaire ou pour maintenir une séparation entre leur vie intime et leur vie quotidienne. Cette discrétion est souvent perçue non pas comme un manque de confiance, mais plutôt comme un moyen de préserver un certain équilibre, un espace privé dans lequel elles peuvent explorer leurs désirs sans perturbation.
Mais cette recherche de discrétion peut aussi engendrer une dynamique émotionnelle complexe. Le BDSM virtuel, même lorsqu’il est pratiqué de manière anonyme, peut créer des liens intenses. Les interactions, bien qu’immatérielles, peuvent générer des émotions puissantes, parfois contradictoires. Le plaisir et la satisfaction vécus dans ces moments peuvent être accompagnés de culpabilité ou de confusion, surtout quand cette activité se déroule dans le secret. Certaines personnes se retrouvent à vivre deux vies parallèles, l’une dans la réalité de leur couple et l’autre dans la virtualité, ce qui peut engendrer des tensions intérieures.
Il apparaît ainsi que cette pratique, même si elle reste souvent invisible, touche un nombre croissant de femmes. Elle répond à des besoins d’expression personnelle, de liberté, et parfois même de déconnexion par rapport à leur quotidien. Le BDSM virtuel devient pour elles un moyen de vivre une sexualité qui n’a pas sa place ailleurs, mais qui, paradoxalement, reste dans l’ombre, loin des autres aspects de leur vie.
Couple s'étant découvert des attraits vis à vis de la domination/soumission et ayant commencé à s'épanouir en pratiquant cherche des conseils de couples pratiquant, ayant des enfants et qui ont réussis à continuer.
Pour l'instant nous ne cherchons qu'à discuter, pourquoi pas rencontrer pour en parler en direct (Bas-Rhin) et nous aider à trouver un équilibre entre notre vie sexuel orientée vers le BDSM et notre vie de famille (récente, enfant de 2 ans)
Merci à ceux ayant vécus notre situation qui seront d'accord pour nous aider.