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J’ai posté dans mes articles une « nouvelle à chute », Milena, consultable ici
Pour ne pas divulguer tout de suite cette chute, mais permettre aux lecteurs qui le souhaitent d’échanger sur la (ou les) morales qu’ils voient dans ce récit, j’ai eu envie d’ouvrir ce petit espace d’échange (un prétexte pour ma première participation en forum - outre ma présentation à mon arrivée sur le site).
Pour ceux qui ne veulent pas de « divulgâchage » : allez donc lire la nouvelle avant de regarder les réponses dans ce fil de discussion, et peut-être donner votre avis / faire part de retours ?
Voilà, cette précaution oratoire étant prise, je serais heureux d’avoir vos avis et peut-être des échanges sur ce que vous inspire ce récit.
Et ce qui peut éventuellement, selon vous, être généralisé à certains aspects de « vie du net » et de la recherche / exposition de la vie des gens en général, de la focalisation sur l’histoire passée d’une personne, etc.
Je reviens sur forum après un premier passage il y a quelques années. Plusieurs expériences de soumission à mon actif aussi bien avec des femmes que des hommes. J'aime assouvir mes envies qui viennent compléter une vie vanille très épanouissante.
Que pensez-vous de mon popotin ? :relaxed::relaxed:
Je n'ai jamais été pro écologie (je ne dis pas que je suis contre...le débat n'est pas là)...
mais j'ai decouvert les plaisirs de la nature, lorsque à l'occasion de ballades bucoliques, j'ai du sermoner ma soumise.
Forcement n'ayant pas mon outillage sous la main, j'ai utilisé batons, bois, trainant dans la nature, pour marquer, non pas au fer rouge, mais au baton naturel, les douces fesses de ma soumise.
Quel plaisir et satisfaction de voir le cuir boursouffler, rougir, et parfois sangloter de petites larmes rouges.
Oui je l'ai ainsi appris, notamment, que j'avais un coté sadique, que je ne connaissais pas autant.
La finesse ou l'epaisseur du bois, marquant ainsi differement le cuir de ma soumise, chaque baton a ainsi eu son utilité...
Bois epais, tige, brindille, longue, courte, bref...chaque forme et epaisseur de bois laissait sa propre marque, bien specifique.
Nous avons ainsi parcouru de longs kilometres, alternant plaisirs de la marche, douceur de punitions...
Finalement en chacun de nous someille un écologiste.