Bonsoir à Toutes et à tous,
Je voudrais... je cherche... Non... ELLE sera au centre de tout, pour l'instant rêvée mais de tout cœur espérée.
Nos chemins se croiseront éventuellement, par bonheur, un jour, une nuit.
Elle appréciera peut-être ma dévotion, mon abandon, corps et âme, à l'écoute anticipée de Son plaisir et de Sa satisfaction.
Peut-être La ferai-je vibrer, frissonner, mais une Histoire j'espère réaliser.
Salutations,
ocytodiem
Derniers sujets du forum
Bonjour à toutes et à tous,
Cet écrit est une sorte de questionnement à haute voix, mais je serais ravi d'avoir vos retours. Je vous prie de m'excuser d'avance pour la longueur du texte et, le cas échéant, de l'utilisation maladroite de certains termes dont je ne connais peut être pas encore la signification exacte, si tant est qu'il y en ait une.
Tout d'abord, je dois préciser que je suis un homme et que je m'identifie en tant que soumis. Cependant, vu mon manque d'expérience en la matière, je ne sais pas si c'est très pertinent et légitime.
Il me semble que la définition d'une Dominatrice, ou de toute personne occupant le rôle de Dominant en général, varie beaucoup d'une personne à l'autre. Et c'est tant mieux, je n'aime pas trop les cases, qui au final, ne servent qu'à nous limiter. Par contre je vois des soumis qui disent chercher des Dominas pour <les détruire>, et même des Dominas qui promettent de nous détruire aussi bien physiquement que mentalement. J'imagine bien que c'est une image, du moins la plupart du temps, mais ça m'a quand même interpellé. Perso, je la vois plutôt comme une architecte, donc dans une démarche de création. Avec sa vision personelle de ce qu'elle souhaite "créer" tout en gardant à l'esprit la faisabilité du projet et les éventuelles contraintes techniques. C'est là qu'entre en compte la notion d'épanouissement par la soumission qui me fascine. J'ai lu beaucoup de témoignages en ce sens, mais toujours émanant de soumises en relation avec un Dom et jamais d'hommes soumis avec une Domina. Je sais pas si j'ai mal cherché ou s'ils en parlent moins, mais ça m'interroge.
Ensuite, ce qui m'attire dans le rapport D/s ce sont toutes les petites subtilités, par exemple, cette sensation de rester figé après avoir dit quelque chose ou répondu à une question, en comprenant immédiatement que cela pourrait être interpréter comme une provocation, ou encore mieux, que cela pourrait faire germer une idée perverse dans l'esprit de la Domina, et à terme, ce retourner contre nous. Ou encore le fait de savoir que je ne suis jamais à l'abri d'une surprise. Ce moment ou je perçois une étincelle dans le regard ou un petit sourire en coin, et je me dis <Qu'est-ce qui lui est encore passé par la tête ? De toute façon je vais pas tarder à le savoir> Ce paradoxe me fascine égalament. On dit que la prévisibilité donne un sentiment de sécurité, et qu'à l'inverse l'inconnu peut être source d'angoisse. Je pense être plus anxieux que la moyenne, mais pourtant, j'imagine cette dynamique D/s au sein d'une relation saine comme réconfortante. Je sais pas si c'est le bon terme, mais en tout cas je ne perçois pas ça comme quelque chose d'anxiogène alors que cela devrait être le cas pour une personne "normale".
Enfin, je suis clairement plus maso que la moyenne. Je ne peux pas dire à quel point car il faut que je travaille encore à ce sujet pour le découvrir:smirk: mais j'aime l'impact. Je comprends le côté punition pour avoir fait une "bétise", voir faire volontaraiment une bétise pour être sanctionné. Mais perso ce qui me plaît le plus, c'est encore l'idée d'être "puni pour rien", juste pour le plaisir, juste car elle en a envie et que je suis à sa disposition, sans avoir à chercher un prétexte comme s'il falait se justifier. Uniquement le sadisme d'une personne qui rencontre le masochisme d'une autre, et qui mène à la satisfaction commune en créant au passage un lien aussi fort que particulier.
Cela me fait penser à une vidéo que j'ai vu, une séance de caning d'un soumis par une Domina. On voyait clairement qu'elle prenait beaucoup de plaisir, peut être que c'était de la comédie, mais j'aime à penser qu'elle ne faisait pas semblant. Vers la fin elle était quasiment nue, elle portait juste encore ses bottes il me semble, et elle se caressait de plus en plus ostensiblement. Je crois qu'au début le soumis comptait les coups de canne, mais à ce moment précis il n'était plus question d'atteindre un nombre spécifique, ils avaient tous les deux un nouvel objectif commun : la jouissance de la Dominatrice. D'ailleurs elle ne semblait plus vraiment se soucier de l'intensité qu'elle y mettait, elle était trop près du but. Les gémissements du soumis s'étaient transformés en suppliques et la peau de son cul avait abdiqué par endroits, laissant perlé quelques gouttes de son liquide vital (j'aurais bien aimé savoir combien de temps il a gardé les traces). Mais ils ont atteint leur objectif commun ! La Domina, soulagée et reconnaissante à réconforté son soumis, qui était maintenant à genoux face à elle, en pressant son visage contre son intimité. Ils avaient l'air si heureux et comblés d'avoir partagé cet instant d'une intensité folle. C'est typiquement le genre de choses que je trouve très belles, voir romantiques, et que je ne pourrais, ou n'oserais partager qu'avec très peu de personnes, de peur d'être interné d'office, ou, a minima, catalogué comme un psychopathe fini :sweat_smile:
Voilà en partie ma vision perso d'une Dominatrice, de LA Dominatrice de mes rêves. Ce qui amène tout un tas de questions : Existe-t-il des femmes ainsi ? Je pense que oui. Sont elles nombreuses ? Je ne sais pas. Quelles sont les chances d'en croiser, ne serait-ce qu'une, au cours d'une vie ? J'imagine que ça dépend beaucoup de comment on s'y prend. Et surtout, la question qui tue, quelles sont les chances qu'elle s'intéresse à moi ? Aucune idée.
Tout ce dont je suis sûr, c'est que je ne suis pas trop vieux ni trop désabusé pour croire en LA Dominatrice ! Je sais, je sens qu'elle existe quelque part...
Bonjour à tous,
Je suis nouveau sur ce site, je recherche une relation durable avec une femme un homme ou un couple dominant. Je recherche une emprise et un contrôle total, l'expérience de la déshumanisation, la dégradation, la séquestration nu et enchainé en cachot ou lieu sordide, les exhibitions publiques entièrement nu avec collier, les exhibitions forcées et risquées (exhibitionnisme), les châtiments corporels, le viol (CNC).Ma recherche concerne uniquement les dominants très froids et distants, méprisants et sans aucune empathie pour leur esclave.
Voilà, voilà.
Bonsoir à toutes et à tous,
En cette veille de rentrée, symbole pour nombre de jeunes gens de nouvelle page qui s’écrit à l’échelle d’une vie, je viens ici pour en tourner une. Je viens faire mon coming-in BDSM, ou coming-out, tout dépend de la façon dont on voit les choses. Je veux dire concrètement que je prends une dernière fois la plume pour annoncer à cette communauté et plus particulièrement aux gens avec qui j’ai interagi durant mon périple ici, que je ne fais pas partie des vôtres, que je me sens intrinsèquement, profondément vanille. Ni dominant, ni soumis, ni switch, juste vanille. Peut-être un peu épicé, avec des notes florales ou boisées, peu importe : je ne me sens à l’aise dans aucun des rôles classiques du BDSM.
Je suis juste un gars qui aime bien baiser assez sauvagement, qui aime bien donner une petite fessée de temps en temps, ou encore bloquer les bras de sa partenaire, ou encore lui tenir fermement la nuque ou les épaules. Je n’ai rien contre l’idée de me faire tripoter la prostate de temps en temps et disons plus globalement l’idée de me laisser faire. Mais tout ça est trop superficiel, trop fluide pour vraiment entrer dans le champ du BDSM tel qu’il est conçu ici. Je n’arrive pas à entrer dans la tête d’un(e) dominant(e) ou d’un(e) soumis(e), je me sens extérieur à ce monde même si il est vrai qu’il m’excite. Mon seul lien avec votre univers hors norme serait peut-être une forme de voyeurisme que je ne nie pas.
Je sais, les gars comme moi foutent globalement la rage aux « vrais », juste des fantasmeurs un peu plus motivés que la moyenne, mais ayez conscience du fait que lorsque le feu de la frustration sexuelle brûle, il est parfois difficile de voir clair au travers de la fumée noire qui se répand à grande vitesse. Un jour, quand ce feu s’éteint, la plupart des gens comme moi retrouvent leur lucidité, et suivent la route qui est la leur, sans se laisser torturer par le chant des sirènes.
Je peux dire avec pas mal de certitude que certaines personnes ici ont, d’une manière indirecte voire très indirecte, contribué à éteindre ce feu, à éclaircir ma vision. Je leur suis infiniment reconnaissant, évidemment.
Au delà de ça, le temps passé ici m’a permis d’aller plus loin dans l’introspection, de ne pas avoir honte de qui je suis, et au contraire d’en être fier. Et aujourd’hui, je suis très heureux et épanoui. Dans un monde vanille.
Alors je ne vais pas continuer à squatter abusivement les bancs de votre belle communauté, de toute façon je ne viens pour ainsi dire plus ici.
Et au passage, je vais vous avouer que c’est la deuxième fois que je vais disparaître de ce site, ça pourra faire sourire ceux qui ont de la mémoire (pour peu que j’ai marqué quelques esprits sous les traits de mon premier avatar) : j’avais fini banni sous les huées de la foule sous le nom de « Drzoidberg » il y a peut-être un an, après un post amer, écrit sous le coup d’une intense frustration et d’une rechute dans les opiacés. Je pensais savoir mieux, valoir plus, je ne supportais donc pas d’en obtenir moins en retour. J’aime bien la façon dont la boucle se boucle, dans la sérénité et la conscience profonde.
Merci à vous, aux piliers de cette communauté, continuez d’épauler les aspirants BDSMers comme vous le faites, cette votre nature de révéler aux gens leur vraie nature.