Infantilisation

Une fois rentré, je me suis installé sur le lit de la chambre d'amis et comme prévu par Maîtresse, tout était prêt pour que je puisse m'attacher. Avant de m'installer, j'ai reçu l'ordre de boire 1 litre d'eau pour l'hydratation nocturne, mais aussi pour que je puisse utiliser mes couches plus facilement. Simplement vêtu de mon incroyable épaisseur de couches, j'ai commencé par attacher mes chevilles. Puis mise en place du bâillon. Le bâillon n'avait rien de compliqué puisqu'un scotch BDSM entourant ma tête a suffit. L'avantage de ce scotch est qu'il n'abime pas la peau. Ensuite je me suis entravé le poignet faible, le gauche. Pause des loups afin de me masquer la vue et j'ai fini par mon poignet droit. Me voila totalement entravé, prêt à dormir, ce qui ne manque pas d'arriver rapidement. Etrangement, je n'entends pas Maîtresse rentrer. D'habitude, je reste aux aguets afin d'être rassuré sur sa sécurité ou que tout va bien pour elle. Mais pas cette fois, bizarre. Lorsque je me réveil, j'entends parler dans la chambre. Si je reconnais la voix de Maîtresse facilement, je peine a reconnaitre l'autre voix féminine. Encore dans les vapes et ayant la tête qui tourne, je peine a mettre un prénom sur cette voix qui me semble pourtant familière. La discussion me glace le sang : " Donc, c'est bien cette épaisseur de couches qu'il portait hier soir. - Oui, tout à fait. - Tu n'y es pas allée de main morte. Tout le monde l'a remarqué. - Alors là, vois-tu, je m'en fou totalement. Je ne lui ai pas mit cette épaisseur pour que ce soit discret. - Pour ne pas être discret, ce n'était pas discret. Surtout avec ce petit short blanc qui ne servait à rien. Il n'en aurait pas mit, ca aurait été pareil tellement ses couches se voyaient. Tu n'imagines pas le nombre de personnes qui se sont moquées de lui. - Tant mieux, c'est exactement ce que je voulais. - En tout cas, j'ai beau le savoir qu'il porte des couches, mais le voir, c'est quand même quelque chose. Surtout avec une telle épaisseur. - (Rires de Maîtresse). - Mais je reconnais que ca va bien avec sa position de soumis. Et donc, c'est bien la clé à ton cou qui ouvre la cage de chasteté que tu lui a mit? - C'est ça, tu as tout comprit. - Je m'en doutait. Déjà l'autre jour lors du barbecue, j'avais un doute. - C'est à ce moment la que tu as deviné pour ses couches? - Non! Même si l'autre jour m'a confirmé qu'il porte des couches, je l'ai découvert au début du mois, quand je rentrais. Je sortais du virage après le stop et au loin, j'ai vu un mec bizarre, nu à nos boites aux lettres. Mais en me rapprochant, j'ai remarqué qu'il portait une couche et, pressé, il retournait vers nos maisons. En le suivant de loin, je me demandais ce que ce type voulait chez nous. Mais en me rapprochant discrètement, je l'ai reconnu. son stress devait être très fort car il n'a même pas entendu ma voiture même si j'étais éloignée. - Bah si, il m'a dit qu'il a entendu une voiture, mais il doutait avoir été vu. - Oh si, je l'ai vue et bien vue. Un mec nu en couche, ça ne passe pas inaperçu. Il m'a entendu car à la fin, je voulais aller lui parler mais je suis arrivée trop tard à son niveau. Il venait de rentrer et après, je n'ai pas osée aller lui parler." (Plus de doute possible, elle parle avec la voisine. Je suis totalement attaché, une énorme épaisseur de couches à l'air devant ma Maîtresse et ma voisine. Donc elle sait tout depuis le début du mois. La suite va me le confirmer.) " Tu aurais du, il t'aurait déjà tout avoué. Et je dois avouer que j'aurais aimé voir sa solitude à ce moment là. - Oui, c'est idiot car je suis restée avec ce doute. Mais tu lui mets des couches depuis un bon moment déjà. Du coup, je me demande si ça ne date pas de plus longtemps. - En effet, il porte des couches depuis début mars. - (Voix masculine) C'est comme ça que tu fais pour recevoir librement tes amants, comme cette nuit? - Exactement. quand il est attaché au lit, avec ses couches, je n'ai plus a m'inquiéter pour lui, je peux être totalement libre pour mes amants comme ceux que j'ai reçu cette nuit. - Waouh, vous avez une vie incroyable tous les deux. Et ça ne le gène pas d'être cocu comme ça? - Demande le lui, il ne dort plus." Cette fois, je ne dors pas. Donc la situation est bien réelle et parfaitement humiliante. J'ai confirmé à mon voisin, par hochement de la tête, tout le plaisir qu'est le mien à vivre cocu, en couches et à être humilié de la sorte. Maîtresse et nos voisins ont convenus que plus jamais, il ne sera question de passer une soirée, un week-end ensemble sans que je ne porte des couches, parfaitement visible et sans rien pour les cacher. J'ai appris que nos voisins sont libertins et qu'ils ont déjà eus envies de ne proposer un plan couple. Sauf qu'en cage de chasteté, je ne serais jamais inclus dans le jeux libertins avec nos voisins, Maîtresse m'a dit : "Non, mon soumis ne sera pas libéré pour un plan couple. C'est pour ça qu'il porte une cage de chasteté. En revanche, nous pouvons jouer tous les 3 sans soucis, si cela vous convient. - (La voisine) Cette idée est folle, mais je dois reconnaitre que ça me plait bien. - (Le voisin) Oui, c'est une bonne idée, car en plus, je vais avoir 2 femmes pour moi tout seul." Le trio s'est éloigné sans me libérer. Destination plaisirs dans la chambre conjugale. Je me sens une nouvelle fois idiot d'aimer être à ce point humilié, à ce point soumis. Que j'aurais aimé être avec eux et ainsi pouvoir m'occuper de cette jeune voisine qui est vraiment si jolie. Mais cette fois encore, je suis définitivement exclu des jeux de Maîtresse et ma cage de chasteté me rappel que je ne peux bander qu'avec l'accord de l'unique femme de ma vie. Bizarrement, je repars dans une légère somnolence. Quand je suis réveillé par la voisine. elle m'enlève mon bandeau, mon bâillon pour m'apparaitre habillée normalement. Tout en me détachant les membres fortement ankylosés, elle me dit : " Ecoute bien. Tu vas préparer le barbecue pour ce soir. en parallèle, tu prépares 3 apéros. Tu restes juste avec tes couches et rien d'autres. La soirée va être longue donc montre moi que tu es vraiment soumis. si tu te demandes ou est ta Maîtresse, sache qu'elle est avec mon chéri et qu'elle ne veut pas être dérangée. allez au travail le soumis, je te garde à l'œil. - Oui Madame" J'ai passé la soirée avec cette énorme épaisseur bien lourde car elles ont servies, à servir Maîtresse et ses invités. Notre relation avec nos voisins à définitivement changé puisque je ne peux plus passer une journée ou une soirée sans devoir porter des couches bien visible. De plus, je suis devenu la boniche de leurs soirées à devoir les vouvoyer et en les appelant Maîtresse, Madame ou Monsieur tout en devant porter des couches. Cet été la, en juillet 2017, nous sommes partis en vacances 2 semaines ensembles ou j'ai conduis ce trio, en couches, devant en porter également durant les 2 semaines du séjour mais aussi les 2 autres semaines de vacances de jours, comme de nuits avec la même épaisseur que ce 21 juin. Je n'ai pas été libéré de ma cage de chasteté de tout l'été, de début juin à fin septembre. Au 1er octobre, libération pour une banale masturbation face à ma Maîtresse seule puis remise en cage de chasteté après une bonne douche surveillée puis en couches. Ce trio, par la force des choses et sans en avoir convenu avec Maîtresse ou moi-même, sont devenus mes Maîtres durant les vacances. J'obéissais aux 3 sans distinctions. La voisine prenait même un ascendant naturel que ma Maîtresse laissait faire. En début septembre, elle m'a imposé le port de couches jours et nuits, y compris au travail. Maîtresse n'a pas désavoué notre voisine qui continuait de prendre des directives fortes. En octobre, il devenait compliqué de rester les couches à l'air libre. Ma jeune voisine a proposé puis mit en place une tenue de soubrette. Mais pas question que ce soit vulgaire ou grossier. J'ai rapidement eu tout l'équipement nécessaire pour devenir une vraie soubrette féminisé. Mais une fois encore, pas question d'arrêter de porter des couches, ce qui devenait une banale habitude. Je commençais a prendre beaucoup d'aise a me placer en soubrette et le voisin à pousser le bouchon à me féminiser partout, tout le temps or travail. Mais en début 2018, nos voisins ont du mettre leur maison en vente, car Madame était mutée loin de chez nous. Maîtresse a gardé l'héritage de nos voisins puisque depuis, je porte des couches en quasi permanence et je suis féminisé dès que possible. Il n'est pas rare de passer des vacances avec ces voisins dès que possible.