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aussi loin qu’on puisse remonter, l’imagerie encore présente nous dévoile un contenu exhibitionnistes que des civilisations anciennes ont voulu nous montrer. Elles voulait qu’on les mate dans l’éternité. En d’autres lieux, d’autres temps, les raisons d’état ou les mœurs tribales laissaient libre-court au plus diabolique des sadique; à la possessivité souvent masculine (mais pas sue, n’ombres de sociétés martriarcales ont maintenaient été relégué les hommes à des rôles soumis, infantilisés, castratrices); comme à tous ces fantastiques phantasmes que force nous est bien de constater, traversent les siècles, les océans et se retrouvent encrés en nous avec la plus évidente et inée des flagrances, d’aussi longtemps dont on puisse se souvenirs.