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Une brune entreprenante… ou une tempête en velours noir, qui passe sans bruit mais emporte tout. Dis-moi, Mia, veux-tu vraiment croiser son chemin ?

à Thanariel : si c'est une gentille tempête, bien sûr.

Je suis en pleine catharsis émotionnelle...

à Thanariel : demande conseil à l'IA, je fais ça souvent

Clairement , elle prend les choses en main !

à Marc Nancy : j'aime les brunes dominantes....

Moi également

Elle était blonde, solaire, le regard ourlé de lumière et les lèvres pleines de promesses non tenues. L’autre, brune comme une nuit sans lune, avançait avec la lenteur des félins qui savent ce qu’ils veulent : tout. Leurs corps s’approchèrent dans un silence dense, chargé de tension électrique. Leurs mains n’osaient encore, mais leurs souffles s’accordaient déjà. Et puis, sans avertissement, sans pudeur, sans peur, leurs bouches s’unirent. Un baiser. Un long baiser. Langoureux, profond, indécent dans sa douceur. Comme si le monde, soudain, n’avait plus besoin de lois, de morale ni de prétextes. La blonde gémit contre les lèvres de l’autre. La brune soupira dans sa bouche. Leurs langues se parlaient un dialecte oublié, fait de soif, de feu, de caresses muettes. Leurs doigts, enfin, trouvèrent les courbes interdites. Mais ce fut ce baiser, ce baiser-là, qui alluma la première étincelle d’un incendie délicieux, que nul ne viendrait éteindre...

à Marc Nancy : à moi : les brunes dominantes avant la douche

à Thanariel ; Quel beau message, tu est gentil et doué....