Écrire... ...

Finalement, j'aime bien les fesses... En-faim, j'aime bien, c'est peut-être encore beaux-coups dire. C'était une limite, je ne sais plus quand on l'a pété -la limite, pas mon cul- il y'a quelques petites années maintenant, le temps passe d'autant plus vite avec Toi...Parfois je m'en veux de ne pas plus écrire, ou d'écrire (trop) à retardement. Ça aurait être cool de faire l'historique de mes fessiers^^.Mais chez moi, c'est ainsi, je n'écris pas sur commande, qu'heureusement tu ne me demandes pas. La requête, la mendicité on doit tous les deux trouver qu'il y'a un truc qui cloche, que ça ne nous correspond pas. J'écris à la spontanéité, à l'en-vie, et c'est rarement dans les moments cruciaux que je prends mon stylo. C'est comme si mon cerveau avait besoin de d'emmagasiner et gérer un surplus d'émotions avant de le retranscrire à les-cris. Je le savais, je l'ai "juste" réalisé d'autant plus, le jour de la fête des mamans. Quand c'est trop intense, mon crayon se tait, une pause dans la danse, j'ai besoin de respirer. C'est trop dense, j'étouffe, je m'asphyxie, j'agonise, je reste en apnée. Mes fesses, tu les a depuis longtemps malmenées, je crois n'avoir jamais écrit dessus, toi tu y as déposé tes traits, petite hypoxie maîtrisée...Et quand j'ose te confier, à présent, avec mon air boudeur et blasé que " je n'aime [toujours] pas les fessées bouh. " c'est avec plaisir que je déclare que la badine sur mes fesses c'est une inspiration, une insufflation qui me ramènent totalement à la vie. Ré-animation.