jeune femme agenouillée

VIVE LES COURBESOde aux femmes aux courbes généreusesVos corps, ô dames aux courbes généreuses, sont jardins de délices,Irrésistibles traits que le ciel en personne voulut parfaire.Vos seins, ronds et fiers, éveillent des ivresses douces et complices,Et vos hanches mènent l’homme au bord d’un mystère millénaire.Les drapés glissent sur vos formes pleines comme l’eau sur le marbre,Et l’œil s’y perd, charmé, brûlé d’un feu sans fin, noble et discret.Sous la soie, la chair respire, s’offre, et d’un simple souffle enflamme l’arbredu désir, qu’un seul pas, qu’un seul regard a déjà fait naître.Ces fesses, firmaments sculptés au matin d’un monde plus sensuel,Ont renversé des rois, troublé des saints, ému des conquérants.Un galbe, une ombre, et c’est l’éternité qui s’ouvre dans ce rituel,Révélant que la beauté vit d’abord dans les courbes et le sang.Bienheureux l’homme épris de vos hanches vastes et souveraines,Elles valsent, elles dictent la loi d’un royaume où l’on s’incline.Soyez louées, ô femmes de chair exaltée — reines terriennes,de vos courbes jaillit la divine ou diabolique allégresse féminine.