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Ce matin j'avais publié un texte écrit cette nuit, n'étant pas entièrement satisfaite je l'ai supprimé puis retravailler légèrement. Après des mois sans écrire dans ce style, difficile d'être satisfaite. ( Bref ce texte reste en majorité écrit dans la nuit soyez indulgent) ......... Cette nuit j'ai rêvé de lui. De son regard, de son sourire en biais. J'étais là devant lui, habillé simplement. Un jeans, une chemise transparente avec un débardeur dessous. Évidemment j'avais pris le soin de mettre un beau string assortie à mon soutien gorge. Je savais que ce soir je ne resterai pas longtemps habillée. ah ça non les vêtements, ce n'est pas ce qu'il aime. "Déshabille toi lentement, un vêtement par un. Laisse moi regarder à quelle point tu as envie de me plaire" Je ne réponds rien à quoi bon, j'essaie juste comme à mon habitude de garder ce fichu débardeur qui me fait me sentir en sécurité. Je le regarde, un mouvement de tête c'est non, puis cette phrase qui me fait frissonner. " Même le débardeur, perd pas de temps qui sait combien de temps je pourrais te faire attendre sinon" Ce salaud se joue de mon inconfort. Je commence à me déshabiller, je le regarde il sourit. Merde ce sourire est dévastateur. J'enlève mon haut lentement, je ne le regarde plus, je n'aime pas cette étape. Puis mon soutien gorge, me voilà la poitrine nue devant lui. Mes seins sont lourds, mes tétons pointes déjà, je vois son regard si attardé. "Déjà-excité ? " Évidemment que je suis déjà excitée comme ci il ne le savait pas. Alors je marmonne ..." comme si tu ne le savais pas". Il en rigole, je sais qu'il me le fera payer plus tard, mais il en rigole pour le moment. Je continue de me déshabiller, j'enlève mon bas, mon sting... Si beau mais si inutile, je prend mon temps, j'essaie de l'énerver comme il m'énerve à cet instant. Je le connais je sais ce qu'il veut. Il me veut debout les jambes écartées mains derrière la tête. Mille et une questions, suis-je bien positionnée , suis-je bien épilée, suis-je suffisamment belle pour lui. Il le sait, je le vois à son sourire, il sait très bien que les rouages de mon cerveau sont mis en route. Il s'en amuse, il tourne autour de moi ne dit rien, il fait monter cette putain de pression, me voilà soumise à lui, je me sens sienne, je me sens chienne. Puis le second ordre arrive enfin après ce qu'il me paraît être une éternité. "Allonge toi belle soumise, à même le sol, cuisse bien écartées". Il sait que je déteste ce mot, belle... Mais je ne peux rien dire, je le sais. Juste un regard, j'essaie de lui faire comprendre, je sais qu'il comprend. Et puis merde il n'a pas précisé où je devais mettre mes mains, et quand bien même l'envie de me cacher avec celles-ci est forte, je me contente de les poser sur le sol et attendre les cuisses ouvertes. "Tu es belle comme ça, à même le sol, tu ressembles à une petite chienne" Ouais il m'a conditionnée ce salaud, conditionnée à aimer autant que détester ses ordres, son regard, ses mots. Je le vois m'insepcter encore et toujours plus, ça l'amuse cette pression. Mais moi je n'ai qu'une envie à ce moment c'est d'hurler, lui dire de me toucher, de me parler. J'ai envie de lui hurler putain touche moi, baise moi. Mais je ne fais rien, je sais que si je dis mot, la prochaine fois ça serait encore plus long. Cependant je ne m'empêche pas de soupirer, de lui faire comprendre mon impatience. " Tu es bien pressée on ne fait que commencer" Il s'amuse de son regard pendant que moi je le hais. Il s'amuse de ses petites remarques. Je le hais, je l'adore... Puis enfin une action de sa part, il me caresse de sa main lentement , d'abord le genou, la cuisse, puis il remonte le long de mon ventre, puis vers ma poitrine qu'il évite, puis vient positionner sa main sur ma gorge, sa bouche sur la mienne, il serre. J'ai envie de me débattre, je déteste cette sensation, je commence à bouger, il me regarde droit dans le yeux " ne bouge pas". Obéir ou désobéir, dilemme, mais j'obéis je résiste, je ne veux pas lui donner satisfaction de désobéir aussi vite. Ça serait bien trop facile. Ça dure des secondes, des minutes, des heures, je ne sais pas. Puis enfin sa main descend sur mes seins, elle les tortures: caresses, pincements....puis vient sa langue, ses dents. Il joue de mes tétons à sa guise. Mais moi je ne désire qu'une chose, que sa main descende encore. J'essaie de prendre sa main, ça a me vaut une belle claque sur le sein...Fuck ça fait mal. Cette attente me fait mouiller. Son petit jeu me fait mouiller et il le sait. Et il le dit, il chuchote dans mon oreille "je sais que tu mouilles déjà belle chienne soumise". Encore ce belle... Il s'attarde sur mes seins et quand je n'y crois plus, quand je commence à bouger dans tous les sens à même le sol, enfin sa main descend... Je me sens sienne, je me chienne. Il arrive vers mon sexe et pouf le réveil sonne... Merde je suis mouillée. ...... #texteperso #photoperso