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Je vous avais promis un texte. C'est chose faite !Bonne soirée le MGAllongée, je te demande de ne pas bouger.Comme tu es souple, je te ramène les jambes derrière les épaules.Tu es ainsi totalement exposée, totalement accessible, totalement impudique.Tu mouilles. Beaucoup. Ta chatte légèrement ouverte est luisante et laisse entrevoir carrément des filets de cyprine."Je te l'ai promis ce sera fort, très fort, mais je sais une chose, ton masochisme te fera jouir ma chienne "Alors doucement je te caresse la chatte, puis claques légères.Tu chauffes, tu pousses ton corps, tu cambres pour aller au devant des claques car tu aimes ça.Tu coules, tu sens, cela m'enivre.Je prends alors ma ceinture.Chlak, chlak, chlak ...Les coups tombent de plus en plus fort sur ta chatte. Tu aimes et pourtant tu lâches tes jambes et essaies de ramener tes mains devant. En protection.Claque sur la joue. Tes yeux grands ouverts, ta bouche aussi, à la recherche d'air.Mon regard est noir."Chienne, je t'ai dit de ne pas bouger"Tu me regardes, tu trembles mais tu reprends ta position, jambes derrières les épaules ...Plus simple d'être attachée. Là tu dois te donner entièrement et volontairement à moi, laisser ton masochisme décider pour toi. Tout cela te chamboule dans ta tête ...Tu attends, tu espères, au fond de toi, cette jouissance masochiste que tout en toi réclame.Et tu en étais au bord ..."Comme punition, tu m'ouvres avec tes mains ta chatte. Je veux voir l'intérieur, je veux voir ton clito sorti. Je veux que tu te donnes totalement. Je veux que tu me montres à quel point ton masochisme peut te faire jouir. Que tu me montres que tu es ma chienne, ma soumise, ma maso"Et tu le fais.Alors je frappe, fort, très fort.Ta chatte devient plus que rouge, gonfle, s'ouvre, coule. Quant à ton clito ...Tu cries, tu pleures, mais tu me dit "s'il vous plaît mon Maître, plus fort, oui je suis à vous, oui je suis votre chienne, oui je suis votre maso"Et là tu hurles, tu jouis. Un geyser !Puis plus rien, plus un bruit. Tu t'es effondrée, partie ailleurs. Apaisée. Juste ta poitrine qui se soulève dans une réparation nécessaire mais difficile. Vriller ainsi, c'est cela qui te plaît, c'est cela qui nous plait.Pour notre plaisir ....😈😈😈😈