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Dans la chambre tiède, où la lumière s’attarde comme un souvenir d’été, une flamme tremble, fidèle sentinelle du soir. La jeune femme penche son visage vers le papier, et la plume, docile, glisse dans un murmure d’encre. Chaque mot qu’elle trace semble flotter entre deux mondes : celui des pensées secrètes et celui des songes confiés à la page. Sa blouse de lin respire le siècle ancien, ses doigts tiennent la plume comme on tiendrait une main aimée. Autour d’elle, les livres sommeillent, la fenêtre voile le jour, et le silence, vaste et doux, fait vibrer le cœur des choses. C’est un moment suspendu, où rien n’existe que la lenteur du geste et la promesse invisible que l’écriture scelle dans l’ombre dorée.

Studieuse ...

Oui très en effet, je bosse depuis l'aube.

Votre côté acharnée..a toujours fait volée votre carne en éclat. La pièce se réchauffe a mesure que votre corps se dénude ou bien que vos doigts se lient a la plume de l oiseau..

Encore absorbée par l'écriture, ou déjà à la sieste ?

J'étais partie en courses avant qu'il fasse chaud. Si j'ai bossé ce matin ? Oui vraiment et bien en alternant la suite de mon récit avec maîtresse Kate et en supplément en travaillant mes chapitres de mon roman. Trop contente. Il y a encore a peaufiner mais je trouve honnêtement que ça prend forme Faudra voir le résultat de la mayonnaise.

En espérant qu'elle ne tourne pas 🤣

Avec cette chaleur...

On risque la confusion avec certains fertilisants....