En voiture Simone !S. est une femme comme on en croise peu ou pas. Une femelle qui a appris son corps, qui a appris encore et qui apprendra en corde. Elle a bien eu quelques coups de mains c’est vrai et ne compte plus les coups de reins qui l’ont rapprochée d’elle. Des kilomètres de queues parcourus pour trouver son essence et prendre son pied en léchant la botte de celui qui la conduit: C. Oui mais voilà, là où elle va, il faut un co-pilote et ça tombe bien, j’ai pour moi d’avoir sang froid fait les 24h d’amant et je connais des routes sinueuses qui la feront vibrer. Elle va se pisser dessus la salope! Et la connaissant elle va jouir avant même d’avoir joui jusqu’à ce que je lui interdise de jouir. J’aime le verbe « jouir ». Ça tombe bien comme je disais, et ça continuera à tomber bien bas. S. m’attend. Elle renifle mon odeur à des lieues parce que S. est une femelle mi-humaine, mi-chienne. Elle a passé commande pour me plaire, pour exacerber sa féminité et pour couvrir ce qu’il me plait de découvrir quand je déchire ses robes… C’est mon côté explorateur ça. Je peux gratter sous le vernis pendant des heures et s’il le faut, je veux bien me salir les mains. Parce que S. est une femelle mi-humaine, mi-chienne, et qu’elle aime que je révèle la pute qui sommeille en elle. Moi je crois que S. est insomniaque parce que le vernis est fin. Elle doit se demander ce qu’elle verra par sa fenêtre, le long des routes sinueuses. Elle ignore qu’elle sera ligotée dans le coffre et bringuebalée une partie du chemin. Que je décrocherais ma ceinture pour la lui foutre autour du cou avant de la fouetter. Et au diable la sécurité routière!C. me balance ses destinations bien salaces depuis ce matin. Des endroits qu’on trouve pas sur les cartes comme ce bar enfoui sous la capitale où on a fait bouffer des bombecs crocodiles à S. par le cul devant le serveur impuissant mais heureux. Un vrai ravi de la crèche celui-là, aussi mou que ses crocodiles et moins ennivrants que ses Amaretto Sour. Un message tiens !« Vous arrivez B. ? »« Je mets mon pantalon. Je mets ma chemise. Je mets mes chaussures. J’arrive! »B.
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Delena
Deux ou trois écrits que je lis de vous....un petit côté à la Saez.... Mais avec votre empreinte.... j'apprécie vos textes...durs et fragiles.... c'est très "joli".....et au final d'une grande sensibilité....un plaisir de vous lire sur le Mur....vous sortez du lot....
Bonne soirée.
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2
20/08/25

AppelezmoiB
Merci Delena pour ce retour. Et la sortie du lot! Je me sentais étriqué là-dedans.
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20/08/25

Clara 🌹
Décalé…. Vos mots sonnent plus fort qu’une gifle. Merci pour le partage.
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1
20/08/25

AppelezmoiB
Plus fort dîtes-vous? J’aimerai vous croire Clara, mais j’ai le gifle sacrément chauffante. J’espère que vous tenderez l’autre joue au prochain texte.
Merci
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1
20/08/25