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Bonsoir le MGVoici une publication de Clara 🌹 "Quand le mur devient mon meilleur ami ...Hier lundi ...Je savais que j’allais être punie… 20 coups. Vos mots avaient rendu le chiffre inévitable, comme une sentence tombée d’avance.L’éducation commençait dès le matin. La journée s’annonçait chargée : d’abord, le façonnage cérébral, où chaque mot, chaque regard, chaque instruction me remodelait, mon passé décortiqué afin de mieux me cerner …Ensuite, la séance de piercing, aiguilles froides qui traversaient ma chair avec votre consentement, sous votre regard sadique, admiratif et sous votre contrôle… chaque pic douloureux comme un rappel de ma soumission.Et au bout de ce parcours, la punition m’attendait, implacable, comme la conclusion inévitable d’un rituel parfaitement orchestré. J’évitais d’y penser …Debout ventre et seins contre le mur, entièrement nue, le souffle court, j’attendais. Quand le premier claquement a frappé ma peau, j’ai bondi malgré moi, un petit saut ridicule qui vous a sûrement amusé ou excité, je ne sais pas en fait …Le deuxième a brûlé plus fort, et j’ai compris que je ne pourrais pas cacher mes réactions. Mon corps vous appartenait, mais il me trahissait à chaque impact, sautillant, tressaillant, incapable de rester digne.Je comptais lentement, devant votre remercier à chaque coup … Trois. Quatre. Cinq. Chaque coup me faisait onduler, un m’a fait plier, vous m’avez redressez et coller d’une main ferme contre le mur …. les larmes me montaient aux yeux. Dans la tête : jamais je ne pourrais en tenir 20 de cette intensité …Je savais que je vous offrais un spectacle humiliant : ma chair marquée, mes jambes tremblantes, mes sautillements pathétiques.À dix, ma peau vibrait encore de douleur, constellée de vos empreintes. Je retenais mes sanglots, fière d’avoir tenu, honteuse d’avoir tant bougé.Puis vos mots sont tombés, froids, tranchants : vous m’aviez épargné les dix coups supplémentaires, parce que la progressivité était de mise, elle était convenue ainsi …. Une indulgence cruelle, parce qu’elle ne durerait pas. Vous m’avez rappelé que votre sadisme n’est jamais rassasié, et qu’un jour, je n’aurai pas ce répit.Je suis restée là, la peau brûlante, le cœur battant, marquée de votre signature et d’une certitude : je n’ai fait que goûter à votre clémence. La prochaine fois, vos vingt coups tomberont.Et moi, je sautillerais encore, jusqu’à me briser sous votre main.Moralité : Toute audace mal placée sera corrigée : l’obéissance est la seule voie."#texteperso#photoperso