Dans l'album: Photo de couverture de Idaelle
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Hidden Side
Il y a un prix à payer, pour en passer par là.
J'imagine que certaines NDE mènent à un chemin similaire. Peut-être l'origine d'un mythe, pour ceux qui ont pu raconter, avant que le BDSM n'existe en tant que pratique "ludique".
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Il y a 11 heure(s)
Edité

Idaelle
J'avais vu un jour un reportage sur certains mystiques principalement dans le christianisme ( religion où le martyr est souvent sublimé) qui se plaisent à revivre la passion supplicié du Christ pour atteindre un état second. Dans la chimie cérébrale, ce doivent être les mêmes substances qui sont libérées et leurs effets recherchés. A se demander ce que désirent profondément ces personnes.
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Il y a 10 heure(s)
Edité

Hidden Side
Une des soumises (très) masochiste avec qui j'étais ami m'a pas mal parlé de ces sujets - beaux textes d'elles, sur un site "prototype". C'est un peu la même chimie que pour les marathoniens, les coureurs de l’extrême, et donc aussi "les mystiques du chemin de croix" , qui s'accrochent aux pics d'endorphines / récompense. L'accès à un autre espace mental... une drogue naturelle.
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Il y a 10 heure(s)

Idaelle
Je confirme l'existence de l'usine a endorphines qui sommeille en chacun de nous.
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Il y a 9 heure(s)

Hidden Side
Notre joli blonde, attachée et livrée, en est certainement la preuve. Trop "douillet" (et pas assez endurant en course à pied) pour avoir testé. Si les conditions s’y prêtaient, je me verrais bien en libérateur de ces pauvres "neuropeptides opioïdes endogènes". Une vocation…
(et, peut-être que l'Olympe m'enverra un message, un jour, dans une bouteille en verre, sur ma plage de l'Anse-Vata, pour reprendre du service)
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Il y a 8 heure(s)
Edité

Idaelle
Je découvre vos plages, qui sont de toute beauté.

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Il y a 8 heure(s)

Idaelle
Concernant la pratique du sport, l'endurance que cela réclame et douleur liée à elle, je confirme pour avoir pratiqué quelques années en club, ça aide certainement à absorber avec moins de dégâts certains chocs propres aux pratiques masochistes
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Il y a 8 heure(s)

Hidden Side
(Une joli naïade sur son paddle... un plan d'eau réputé pour la planche à voile, le windsurf, etc .... du vent fort presque tous les jours - j'étais dans le resto, au fond de l'image, "Le Fun", le week-end dernier).
Equitation et... sports nautiques ?
Endurante au mal. J'ai une nouvelle sur ce sujet, un peu personnelle (pratique en couple).
C'est rassurant, pour le dominant, de savoir que vous êtes "taillée" pour recevoir sans occasionner des blessures.
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Il y a 8 heure(s)
Edité

Idaelle
Sympa le resto avec vue imprenable sur le lagon aux eaux turquoises, l'endroit doit être paradisiaque.
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Il y a 8 heure(s)

Hidden Side
Je vous y invite pour un cocktail au soleil couchant ? (de toute beauté, en Calédonie)
(OK, je vais me faire gronder... pardon, erodess !)
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Il y a 8 heure(s)

Idaelle
Pour le gabarit taillé c'était surtout pour la gymnastique. Trop nulle dans les autres disciplines. Concernant l'équitation c'était uniquement lors de vacances que je pouvais pratiquer. Et côté blessures , si , malheureusement il est impossible de pratiquer plus de douze années la gym sans passer par la case urgence , béquilles et atteles.
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Il y a 8 heure(s)

Hidden Side
Très bon niveau, sur le coup... et oui, sport à haute dose, ça multiplie les risques... et les conséquences en terme de blessures.
Est-ce que le fait de supporter / aimer la douleur et le dépassement de soi dans la gym vous a "façonnée", selon vous, pour goûter le plaisir dans la douleur ?
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Il y a 8 heure(s)

Idaelle
Franchement...non aucune relation de cause à effet.
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Il y a 7 heure(s)

Hidden Side
Chaque personne est bien sûr différente. Je posais la question car l’amie dont je parlais portait, ado, un corset lié à une sévère scoliose. Et alors qu’elle voulait absolument faire de la danse classique (déconseillée) elle a du prendre sur elle pour « supporter » la douleur, qui ne l’a pas empêchée d’arriver à un niveau en danse surprenant, vu son handicap. Pour elle, c’est une clé importante de son appétence pour le masochisme.
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Il y a 7 heure(s)

Idaelle
Oui je comprends tout à fait dans un tel contexte qu'une douleur vécue durant une période longue puisse être de nature à générer une telle réaction et une appétence à la douleur/ plaisir. Je me souviens revenant d'une entorse sévère à la cheville gauche, m'être lancée de nouveau à la poutre dans un exercice plutôt périlleux et inapproprié à mon état encore faible mais c'était dans une période propice au tumulte familial, donc d'avantage dans une démarche d'auto destruction que de masochisme pur.
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Il y a 7 heure(s)

Idaelle
Mais c'est vrai qu'abimée, pansée, avec attelle ou béquilles, j'étais considérée autrement, y compris par mes paires donc peut être cela a qparticipé de façon dérivée à un besoin retrouvé plus tard dans une démarche cette fois sexuelle. C'est fou quand on décortique parfois. On appuie sur un mur qui déclenche un mécanisme ouvrant une porte donnant sur un couloir que l'on ne soupçonnait pas.
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Il y a 7 heure(s)
Edité

Hidden Side
Même si votre hypersensibilité vous a sûrement porté à vivre d’autant plus mal le tumulte familial que vous évoquez, l’expression « démarche d'auto destruction » fait frémir. J’ai bien compris : des explosifs plein la tête… et un lien avec vos fragilités.
Vous ne voulez certainement pas qu’on vous plaigne en quoi que ce soit, mais je ne peux m’empêcher d’être en empathie. Les drames vécus dans l’enfance et l’adolescence sont souvent indélébiles.
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Il y a 7 heure(s)

Idaelle
Ce que j'ai vécu comparé à d'autres n'est pas si grave. Il faut savoir relativiser les drames vécus. Et de pitié je ne veux point c'est vrai. Ça n'est pas, à mes yeux un sentiment noble.
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Il y a 6 heure(s)

Hidden Side
Il y a toujours plus grave, c'est certain. Et je respecte votre fierté.
Toutefois, je pense que l'empathie - l'opposé pour moi de la sociopathie - est un sentiment qui élève.
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Il y a 6 heure(s)
Edité

Idaelle
Si l'empathie élève , j'ai dû oublier de passer au service compta. 🤣🤣🤣🤣
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Il y a 6 heure(s)