Un des premiers enregistrements sonores de ma jeune épouse (lien en bas d'article) qui doit dater de 1976 je suppose, année qui a marqué le début de nos séances récréatives qui ont commencé à être ritualisées avec une mise en scène... J'avais un gros magnétophone à bandes qui servait entre autres à enregistrer les confessions de Madame. Elle devait, comme au confessionnal, avouer ses bêtises, ses fautes...
Depuis quelque temps déjà, elle avait pris goût aux joies de la fessée et à ces petits jeux "d'éducation conjugale" qui l'excitaient énormément. Ils commençaient généralement par les aveux de Madame qui devait ensuite me dire ce qu'elle avait mérité: une fessée bien entendu.
Elle avait alors encore beaucoup de mal à verbaliser clairement ce mot magique: "fessée" qui la troublait autant qu'il l'excitait. Demander à recevoir une fessée quand on est une femme, restait pour elle un moment de honte. Elle marmonnait le mot "fessée" avec une toute petite voix timide.. Il fallait le lui faire répéter . Perfide, j'adorais la contraindre à dire à haute voix : "j'ai mérité ne fessée !"
Et bien évidemment j'accédais à sa demande !😁
Attention le lien n'est valide que quelques jours.
https://gofile.io/d/HET9v1
Dimension:
317 x 533
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Zen
Très émouvant : cette petite voix qui contraste avec les grandes claques sur son cul ^ ^
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28/09/25
fessee21
@Zen.... Petite voix timide effectivement... Elle était encore très jeunette et découvrait les jeux d'éducation conjugale qu'elle a très vite adoptés mais ce n'était pas facile pour elle, une jeune femme encore timide et prude, de verbaliser qu'elle avait "mérité une fessée" ! L'aveu était encore humiliant. Délicieusement honteux... et très excitant à dire comme à entendre.
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02/10/25
leloveboat
excellent souvenir !!!
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03/10/25
fessee21
@leloveboat... Oh oui... Cette délicieuse petite phrase, je l'ai entendue durant 35 ans, toujours avec le même plaisir et pendant 35 ans ma chère épouse a toujours eu autant de difficultés à la verbaliser. Au début c'était le sentiment de honte et d'humiliation qui dominait: humiliation désirée mais qui est aussi pour une jeune femme ramenée à l'état d'enfant une délicieuse régression. Le passage de femme libérée à celui de femme soumise redevenue une petite fille est compliqué à assumer même si on en a très envie. Avouer qu'on a mérité une fessée et donc accepter la perspective d'être retroussée, humiliée commue une fillette, c'est toujours un délicieux challenge. Par la suite, c'est surtout l'appréhension de la fessée qui dominait quand nos jeux se sont orientés vers des fessées punitives (désirées mais punitives ou faussement punitive selon le scenario) et donc la peur d'une "vraie" fessée qui pouvait s'avérer douloureuse, s'ajoutait au sentiment de honte... d'où l'appréhension dans la voix quand la "punie" murmurait: "J'ai mérité une fessée".
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04/10/25
Edité