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Je m'installe à genoux sur le sol de la chambre, vêtue d'une robe en dentelle noire et de mon collier de soumise. Je porte dans mes mains l'une des ceinture de mon Maître que je tends en avant. Je baisse le visage ainsi que le yeux, je regarde le sol. J'attends patiemment en posture de Soumise. Je sens mon entrejambe se mouiller. Quelques minutes passent avant que mon Maître passe devant la chambre et me découvre ainsi, prête pour lui. Lorsque je le sens s'approcher, je n'arrive pas à garder mon sérieux, je relève légèrement les yeux et j'ai du mal à contenir mon sourire. Il me prend en photo puis baisse son pantalon, dresse son sexe devant moi et m'ordonne de le sucer. Je lui dis que j'ai des choses à lui demander. Il me répond sèchement "Suce moi avant". Je m'exécute et me mets à l'oeuvre avec quelques gorges profondes. Mon Maître retire son sexe de ma bouche et me demande ce que j'ai à lui dire. Je sais bien qu'une soumise ne devrait pas demander quoi que ce soit à son Maître mais je prends mon courage et je lui demande s'il est possible d'avoir certaines évolution dans l'humiliation tel qu'être tenue en laisse, devoir marcher comme une chienne. Avoir plus de moment d'inconfort, aller plus loin dans la douleur et susciter plus mon côté cérébral. Je ne sais pas encore à quel point mon Maître va réaliser mes demandes mais pas exactement comme je l'imaginais. Mon Maître m'ordonne de le sucer à nouveau. Ensuite il m'ordonne d'aller m'allonger sur le carrelage un petit peu plus loin dans la pièce comme une chienne. Je m'allonge sur le sol froid, mes jambes repliées sur moi-même. Je dois ensuite me mettre à quatre pattes, me cambrer, allongée mon visage et ma poitrine contre le sol froid. Je sens le regard de mon Maître sur moi, totalement offerte à lui. Il se positionne derrière moi, tire sur mes tétons et entre son sexe en moi d'un coup sec. Je suis totalement mouillée. Mon Maître me baise sauvagement, je jouis. Il me dit qu'il baisera d'autres soumises, que je suis une chienne parmis d'autre. J'essaie de ne pas prêter attention à ce qu'il vient de me dire mais il m'ordonne de répéter. Je dis sur un ton hésitant "Je suis une chienne parmis d'autre." Je me sens vulnérable, effectivement humiliée. Il m'ordonne de lécher le sol tout en continuant ses vas et viens en moi. J'exécute. Je me sens être une véritable chienne. Mes doigts se crispent sur le sol voulant l'agripper. Je jouis alors que je lèche le sol. Il retire son sexe de mon vagin et retourne à l'emplacement où j'étais au départ. Il m'ordonne de ramper jusqu'à lui. En arrivant à ses pieds, je me redresse pour me mettre à genoux. Il empoigne mes cheveux et les tire pour me faire marcher à quatre pattes jusqu'au lit comme une chienne. Je me sens mouillée de plus en plus. Me voici à quatre pattes sur le lit. La ceinture claque à plusieurs reprises sur mes fesses. La chaleur est intense et me procure un bien-être dans tout mon corps. Mon Maître m'ordonne ensuite de m'allonger sur le dos, la tête hors du lit. Je sais ce qu'il m'attend. J'ouvre la bouche et son sexe pénètre entièrement ma bouche jusqu'à la gorge. J'aime sentir son sexe dur aller jusqu'à la glotte. C'est une sensation si intense. Je tiens cette position jusqu'à ce que je ne puisse plus. Je finis par avoir besoin d'air. Il vient alors entre mes cuisses ouvertes et offertes pour lui. Il entre son sexe dans mon vagin. Je jouis à l'instant où il s'enfonce en moi. Mon Maître me redis à plusieurs reprises que je ne suis pas là seule pute qu'il va baiser. J'essaie de tenir bon et de rester dans les sensations que son sexe me procure mais je craque. Les larmes coulent dans ses bras. Cela annonce la fin de la séance. Le lendemain matin, lors de notre petit déjeuner, j'explique à mon Maître que j'ai besoin à ce moment précis de ressentir de la douleur. Il va dans l'autre pièce et reviens avec deux pinces à linge en bois. Il les installe sur mes tétons. La douleur se fait douce mais elle est bien présente. Elle se diffuse à travers mes seins puis à travers tout mon corps. Cela m'apaise instantanément. Je termine mon petit déjeuner ainsi. Au moment de retirer les pinces, la douleur se fait beaucoup plus intense. Mes tétons en ont pris la forme. La sensation reste un moment pour se dissiper peu à peu.