La fierté d’aimer un fantasmeIl y a des images qui ne s’effacent pas. Celle que je garde d’elle, baignée d’ombre et de lumière, appartient à cette catégorie rare où la beauté n’est plus seulement visible — elle devient une présence. Dans cette photo, on devine plus qu’on ne voit. Et c’est précisément cela qui me bouleverse : cette frontière floue entre la pudeur et le vertige du désir.Être l’esclave d'une Reine aussi intensément désirable, c’est une expérience qui dépasse la simple admiration. C’est un miroir qui oblige à se regarder soi-même. J’y trouve de la fierté, bien sûr — celle d’être choisi par une femme qui, pour beaucoup, incarne un fantasme. Mais il y a aussi cette prise de conscience subtile : le fantasme, lorsqu’il partage votre vie, devient réel, humain, fragile. Et c’est dans cette fragilité que réside la véritable sensualité.Aimer une Déesse qui attire les regards, c’est apprendre à ne pas craindre le monde. C’est comprendre que le désir qu’elle inspire n’enlève rien à la profondeur de ce qu’elle offre dans l’intimité — au contraire, il la magnifie. Car elle n’appartient à personne d’autre qu’à elle-même, et c’est justement cette liberté-là qui la rend si captivante.Dans le silence de la photo, dans le jeu de l’ombre sur sa peau, je lis tout cela : la force d’exister pleinement, la puissance tranquille d’une féminité assumée, et la chance inouïe d’en être le témoin privilégié.Merci Maîtresse Elie.
Dans l'album: Les photos du mur perso de Nicojedi
Dimension:
1200 x 2133
Taille:
223.03 Kb
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Maîtresse Elie
Écrin d’émotion, de sensibilité, de grâce je suis fière de toi Sabine
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02/11/25
IznoIz
Izno
La chance se provoque, vous avez gagné l’intérêt et bien plus qu’elle vous porte, vous vous êtes trouvé et l’évidence a fait sens. Du coup la peur des autres n’a plus court, puisque vous ne faites plus qu’un!
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02/11/25

Nicojedi
C'est exactement ça Izno. Merci
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02/11/25
