Parloire
le 03/10/18
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Les épines du mâle
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+1 Aujourd’hui, encore. A force tu les cumules!
Ma beauté.... Princesse de chaque instants..
Hier aussi, tu étais quelque part à +1.
En patience, tu t’inclines sur mes cuisses, en « pourquoi? ».
Subjugué perpétuel, j’observe ton obsessionnel entêtement.
Ta quête du vrai, amnésie sélective des marches inacceptables.
Mes violentes pulsions aux lèvres mordues des silences d’acceptation.
Ma bouche gonfle en silences, ton insouciance.
De plus en plus pesants, les non de ton abandon.
Mon esclave sans lendemain, marquages au passé, sans permanence.
Ta peau blanche impossible, mes raisons valables
Mes épines.... parlent à mon emprise.
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Mon objet. Mes doigt tapotent sur le rebord de tes questions..
Tout m’appartient à ta façon, regardes où je pointe ?
Le doigt de mes raisons t’imprime en absences..
Victorieuse de mon abandon, tronquant mes envies sadiques
en montées fantasmatiques ruinées. Cumules ta peine.
Apothéotique sourire triomphant. Tes dents brillent éclatantes.
Plongée abyssale, encore plus loin dans le sombre,
confins des souffrances; convergences expressives.
mâle épineux opprimant, j’avance en quête.
Je dé-marque sans un mot. Inexorable, le temps oppresse ton mur.
Tes petits doigts se tordent à ma mesure.
Tu le sais. T’avilissant pour moi.
Ooh tu paieras ma patience. Des-comptes, ton audace, ta fronde.
Parceque je compte !
.
Je ramolli ma démesure, profites, chicanes à mes choix.
Sens ta force, à ma peau de velours. Recherche le dur.
Rebrousse poils aux caresses autochtones.
Enfonce bien tes ongles, dans ta priorité : exprimes. Possèdes. Imprimes..
Je suis à toi. Ton amour.. ta raison.
ta soumission.
Forte d’arrogance, je te cède encore. Papillonnes libre d’avantage .
Explore libre et tu reviens toujours à moi .
La queue entre tes cuisses , prête à recevoir.
Je comptes depuis combien de temps déjà?
+1 depuis 3 fois. Goût d’impatience.
Trouver l’équilibre, en réparties sublimes. Funambules...
L’avenir nous dira, combien tu saisit mâle, parfois.
Mes épines à chaque doigts.
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Délaissant mon pantalon, j’enlace ma frustration. Câline, tu jappes. Le mâle exprime à peine.
Oreilles basses, chienne coupable. Les murs rasent.
Tu mouilles où tu passes. J’impose,
ton corps sex-prime, retire tes épines du mâle.
J’attends tout ce temps en souffrance, toi, tu gambades.
Délivres moi du mâle. L’âme impétueuse et froide:
Bien cadrée en désespoir, les cuirs impatients, dé-comptent.
Théâtrale expression publique, les coudes se serrent
T’es yeux flattent, et s’installent confortablement.
Tu t’écrases. En Lordose, prête à prendre.
Je re-marque ton esquive. .. et je rompt.
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+1 encore, et encore un, et encore..
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La marque des épines du mâle sur le cuir,
Mon amour. Je t’imprime.
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Parloire.
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20 personnes aiment ça.
Lady Hydre
Très beau à lire et à écouter vos bruits à tous les deux ..
J'aime 03/10/18
Wann
Magnifique et émouvant Merci Parloire
J'aime 03/10/18
Toubo59
Magnifique déclaration....merci pour le partage
J'aime 03/10/18
Diab
Très beau.. tout...Un sacré parloire pour Linsoumise... les autres paroissiens risquent d'attendre des heures... ou de revenir une autre fois...
J'aime 03/10/18
Parloire
Merci à vous 1f642.png La file s’allonge Diab^^
J'aime 03/10/18
Diab
ahahahaha oui , je veux bien te croire....la queue s'allonge toujours....
J'aime 03/10/18
Parloire
Merci oups , ça me fait plaisir si ça vous touche. Diab, plutôt mal organisée d’ailleur , donc assez large ^^
J'aime 03/10/18
Lilo
Merci Que c'est beau !! Vous l'êtes tous deux.
J'aime 04/10/18
Parloire
Mes épines à chaque doigts, elle encaisse
J'aime 04/10/18
Parloire
Merci Lilo 1f642.png
J'aime 04/10/18
Parloire
Sweethell, nous sommes bientôt par chez vous, je vous expliquerais que la chance c’est une fraction de secondes. Celle où nos chemins se sont croisés. Depuis je cultive les germes de ma chance^^ Hummm Cx ... le doigt de mes raisons est silencieux et marque par la place qu’il laisse. Révérence sans un bruit, il appuie sur la conscience de manière laconique, et le temps fait son office avec ses griffes... Elenia, sur le rebord de sa conscience je joue de mon innocence, pendant qu’elle m’éblouit de sa superbe, en guerrière implacable ^^
J'aime 04/10/18