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J'ai été invité à dîner en tête à tête avec une femme charmante au restaurant.J'en ai immédiatement informé Maitresse qui s'en est réjouie et m'a autorisé à m'y rendre en m'imposant juste d'orner mon phallus de sa cage.Maitresse tient à mon épanouissant sociale jusqu'à certaines limites.C'est important pour Maitresse comme pour moi que j'alterne entre des sentiments de liberté et d'asservissement.A être trop libre on en oublie le sens, comme à être trop longtemps emprisonné, on en oublie ses chaînes.Ce compromis, chaud-froid me convient à merveille.Je suis moi-même sérieux et très rieur. Et Maitresse semble apprécier mes multiples facettes.Un chien courageux et joueur ^^J'ai pu mettre un pantalon (bien sûr) par dessus ma cage, mais pas de sous vêtements.Si la cage rigide diminue mon sexe, elle se dissimule, assez mal sous un pantalon. Elle se devine sous la bosse dure qu'elle produit.Quand Vous vous adressez à quelqu'un les yeux dans les yeux, les siens descendent irrémédiablement au niveau de votre braguette.C'est embarrassant car difficile à justifier. Et sa fait penser au rire moqueur de Maitresse. J'ai pris la dame en bas de chez elle pour la conduire jusqu'au restau.Assis dans la voiture, la cage est invisible. Il n'y a que moi, et Maitresse qui le savons, je la sens constemment, j'y suis parfois très à l'étroit.Arrivé au restaurant, je fais abstraction, je tiens à avoir l'air à l'aise et décontracté. Je suis plutôt charmeur dans l'âme, et c'est bien comme ça. Le serveur qui nous accueille ne rate pas ma braguette du coin de l'œil, évidemment. Gêne troublante et previsible, pensée pour Maitresse. Nous sommes très vite passés à table. La discussion allait bon train.Ce qui est génial avec la cage, c'est qu'à tout moment elle vous rappelle sa propre présence, celle de Maitresse et que malgré tout vous n'êtes qu'un esclave soumis.Vous le sentez que les autres sont libres sous leur vêtements. Ça vous fait vous savoir d'une caste inférieure.Vous les savez, tous plus à l'aise que vous alors que vous devez leur donner le change.C'est vraiment enrichissant et attise l'humilité. A table votre verge fait des contractions pour apprécier sa niche, fière d'être prisonniere par Maitresse. Un délice mélangé à la peur d'être découvert.Le repas était bon et un peu arrosé. La dame a beaucoup ri, et était d'humeur guillerette.Je l'ai raccompagné chez elle.Mais sur la route pendant que je conduisais, j'ai senti ses doigts frôler ma cuisse.Oups !?Maitresse au secours, je crois que j'ai un problème ! Et puis sa main vient s'étaler plus franchement sur ma cuisse en faisant des petites caresse.Normalement c'est appréciable.Mais là, j'étais saisi par la peur que ses doigts frôlent ma cage et qu'elle découvre mon secret.J'avais une boule dans le ventre. Je parlais pour masquer mon embarras en sentant sa main faire des voyages aléatoires sur ma cuisse, de plus en plus près de la cage de Maitresse ou s' étouffait ma verge qui tentait de gonfler.On est arrivé près de chez elle assez vite, je ne traînais pas, pressé d'échapper à ces doigts cavaliers.Et hop, elle a touché... Oh non !Et hop elle y revient comme pour vérifier... J'ai honte, je la devine tourner son visage vers moi.Maitresse, faites quelque chose ! On est arrivé. Ouf ! Elle me fixe du regard.Croit-elle que je bande ?A t'elle compris ?Je lui trouve un drôle de sourire...Maitresse aidez-moi, qu'est ce qui se passe ? Elle sait ? Vous l'avez prévenue ?Grand moment de solitude.Elle descend de la voiture. J'en fais autant.On se dit au revoir, ses yeux quittent les miens un instant, et fixe mon sexe, comme pour me faire comprendre quelque chose que je ne comprends pas.Et elle part.Il y a des moments comme ça, on ne sait pas si c'est bien ou mal.C'est intense, c'est à vivre, mais on ne sait pas ce qui s'est passé.Alors on voudrait le re-vivre pour comprendre quel sens donner à tout ça.Maitresse veut que je vous dévoile cette anecdote, peut-être pour que je ne garde pas cet épisode pour moi tout seul, ou pour que certains se reconnaissent ou aient envie d'être encâgés...