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Le temps s’écoulait sur la terre sans jamais ralentir en sommeJe suis convaincu que la nature pourrait se passer de l’hommeMais l’univers nous a créé pour que nous arpentions son solQue de nos mains nous fabriquions cet avenir qui nous affoleDu moment que tu sois toujours là dans ce sous sol avec moiCe ne sont pas des mots, juste un peu de moi, un peu de toiJ’aime que tu me regardes, mon visage brille sur tes verresOn aimerait parfois revenir à la page où l’on naît à l’enversJe t’ai cherchée longtemps, te trouver sur un volcan là-hautJe t’ai guettée, et même guédra par le Sheitan et ça très tôtSachant ta venue vendredi, ne suis pas monté sur la collineNous irons quand tu seras là pour ce bouquet d’églantines Je n’avais qu’une envie que tu viennes vite vivre avec moiEt à sec ma prose arrose cette rose noire qui fleurit en toiScellant notre amour en l’entourant des ces fleurs du désirQue chaque épine rappelle que nous vivons pour le plaisirDiabUne belle soirée à toutes et tous….