
Tomdivari Madame
Bonjour ravie de faire connaissance je je suis de Biscarosse Je serai ravi de vous rencontrer
Soyez la première personne à aimer.
🤖 Oui, j’utilise ChatGPT… et alors ?
Petite confession.
J’ai une alliée de taille dans mes publications : l’intelligence artificielle.
Pas pour penser à ma place — NON.
Mes idées, mes fantasmes, mes coups de fouet verbaux sont les miens.
Mais j’avoue avoir un défaut de fabrication : je suis
DYSLEXIQUE
Et parfois, mes mots s’emmêlent comme un soumis trop impatient.
Alors plutôt que de vous infliger des textes qui saignent des yeux plus que mes martinets ne saignent vos fesses,
je m’offre une relecture automatisée.
Un peu d’ordre dans le chaos.
Parce que je suis exigeante — même avec la syntaxe.
Parce que je veux que vous ressentiez mes mots avec clarté et intensité.
Parce qu’une Domina, même dyslexique, reste maîtresse de son discours.
Ceci n’est pas un mea culpa.
C’est une précision.
Une main tendue à ceux qui, comme moi, jonglent avec des lettres rebelles.
#dysgirlpower #handicapinvisible
Et une fessée virtuelle à ceux qui jugent sans comprendre.
Dominante, oui.
Sincère, aussi.
Et toujours un mot d’avance.
La photo c'est moi, je ne me cache pas
Le prompt c'est moi aussi
La belle écriture sans fautes , j'espère 😅 c'est mon alié chatgpt 🥰
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🎩 Tous les Dominants ne se ressemblent pas… Et c’est tant mieux.
Photo du net
Dans mon travail — autant en tant que praticienne qu’en tant que femme Dominante — je rencontre toutes sortes de Doms.
Et devine quoi ? Ils ne rentrent dans aucune case rigide.
Le BDSM, ce n’est pas un seul moule… c’est un terrain de jeu de styles, d’énergies et de sensibilités.
Voici un petit panorama de types de Dominants que l’on croise régulièrement, sans prétendre à l’exhaustivité bien sûr.
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🪢 Le Ropper
Le dominant qui pense en spires, tensions, symétries.
Chaque nœud est une intention, chaque suspension, un langage.
Le plaisir passe par l’art du détail. Son fétiche ? Le silence qui tombe quand tu es parfaitement ligoté·e.
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🧠 Le Mindfucker
Il te murmure trois mots et tu fonds. Il sait déclencher le doute, l’excitation, la confusion et l’abandon.
Il joue à l’intérieur de toi. Pas besoin de cordes quand on maîtrise le mental.
C’est le Dom des cerveaux sensibles (et sensibles à la domination mentale).
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🔥 Le Sadique
Il aime faire mal… mais juste ce qu’il faut.
Il écoute, il ajuste, il fait durer. Chaque soupir devient sa récompense.
C’est un artisan de la douleur consentie, parfois mélangée à du rire ou des larmes. Et non, il ne déteste pas ses partenaires : il adore leurs réactions.
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😈 Le Brat Tamer
Il aime le challenge. Les regards effrontés. Les réponses impertinentes.
Il fait danser la discipline avec humour, et sait exactement quand te recadrer.
Un partenaire de jeu qui adore les joutes psychologiques… et les punitions bien senties.
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🛐 Le Dom Sacré
Chez lui, chaque geste a du sens. Le cadre est rituel, presque spirituel.
Il voit dans la relation D/s un art sacré, avec ses mots-clés : respect, présence, offrande.
Ce Dom-là t’invite dans une expérience au-delà du corps.
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🧤 Le Protecteur
Il dégage de la sécurité. Tu baisses les yeux parce qu’il est stable, fiable, cohérent.
Son autorité n’a pas besoin d’éclat. Il est là, toujours, au bon moment.
Parfois silencieux, mais terriblement intense.
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Et il y a les Dominants multiples, les caméléons, les switchs, les discrets, les poètes, les instructeurs, les mentor·es, les joueurs…
Il n’y a pas une façon d’être Dom. Il y a la tienne, la leur, la vôtre.
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✨ Et toi, comment tu les aimes tes Doms ?
Ou mieux : quel genre de Dom es-tu ?
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Merci Lady Hydre d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Honte, désir et pouvoir : quand le BDSM devient guérison
Tu connais cette sensation, n’est-ce pas ? Ce moment où l’excitation est là… et où, soudain, la honte surgit.
“Je ne devrais pas aimer ça.”
“Pourquoi est-ce que je mouille/dures en imaginant ça ?”
“Je ne suis pas normal·e.”
Dans mes accompagnements, je vois la honte comme un signal. Un marqueur d’un conflit intérieur. Elle parle de limites culturelles, d’injonctions morales, de traumas parfois.
Mais elle parle aussi de désir vivant.
Pour les soumis·es, la honte d’avoir besoin d’être guidé·e, puni·e, humilié·e peut être immense.
Et pourtant… quand cette honte est contenue, ritualisée, traversée, elle devient un moteur érotique puissant.
L’excitation est dans la transgression — choisie, consciente, consentie.
Pour les dominant·es, il y a aussi des blessures.
La honte d’aimer contrôler, de jouir de la reddition, de fantasmer une posture de pouvoir peut être lourde.
Mais elle n’enlève rien à l’éthique, à la bienveillance, à la conscience du jeu.
En tant que Domina et Sexothérapeute, je ne cherche pas à enlever la honte.
Je t’invite à l’apprivoiser.
À l’écouter.
À t’en servir comme tremplin vers une sexualité libre, créative, profonde.
La honte est une porte.
Oseras-tu l’ouvrir ?
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Je suis une Dominante. Une vraie.
Et je ris. Je souris. Je joue.
Parce que dominer, ce n’est pas écraser. C’est créer un espace où l’autre ose être lui-même.
Un regard de défi, une phrase impertinente, un rire mal placé ?
Ce sont parfois les clés d’une dynamique excitante.
Alors non, le BDSM ne doit pas être triste.
Il peut être sérieux sans se prendre au sérieux.
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Une douce poésie attirante , envoûtant, des phrases sucrées , un arc en ciel 🌈 de saveur 





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30/05/25
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