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EvaD-

Femme switch. Vit à Île-de-France, France. 39 ans.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 07/10/25
  Alors que nous arrivons dans ma rue, mon regard se lève vers les façades. Les lumières encore allumées donnent une atmosphère feutrée, c’est un beau quartier. La porte de l’immeuble est en bois massif, avec des poignées dorées et une serrure ancienne. Il me faut une grande clé, comme celle que l’on ne fait plus. J’aime ce trousseau qui représente mon chez moi (bon et celui de quelques autres), les joies parisiennes de la co propriété. J’ouvre la porte et me décale pour laisser passer Mademoiselle. Une fois dans le grand hall devant l’escalier je lui dis: – Te voilà maintenant ma prisonnière petite souris, en lui montrant la clé… Je souris en me rappelant un conte pour enfants, où si je devais prononcer ces mots j’aurais une tenue de drôle de bonhomme avec un complet vert, des collants verts, des bottes rouges et un air de méchant lutin. Mes yeux se plissent tels ceux d’un chat. Je le sens moi-même sur mon visage. -Monte ! Passe devant. (Le privilège des Dames : Dans la bonne société il serait malséant qu’un homme laisse passer une femme au moment de monter un escalier car il aurait vue sur ce qu’il ne doit pas voir. Un “gentleman” dirait donc “après vous “dans toutes les circonstances, sauf celle-là). Ça aussi, ça me fait sourire. Arrivées au 1er, je lui ordonne de stopper. -Ote ton pull et ton chemisier. Elle s’exécute et après mon signe de tête le lui intimant, poursuit la montée, ses vêtements délicatement pliés sur son bras. Je vois son dos, sa jupette, ses bas et ses bottes. J’aime le demi nu, jusqu’au 2ème. -Stop. Ote ta jupe, dis-je sans baisser le ton. On entend des voix passant sous la porte, à cet étage ils ne sont pas couchés. Je la vois jeter un rapide coup d’oeil, comme au restaurant, se mordre la lèvre, et ôter sa jupe avec des gestes fébriles. -Continue… Une vue imprenable!3 marches d’avance, et un fort joli spectacle. Elle a vraiment un joli petit cul. A la façon dont elle a redressé la tête et les épaules, je pense alors qu’elle le sait, et cela me fait sourire de plaisir. 3ème étage… -Les bottes maintenant. Elle se penche, me révélant tout de son intimité, et du jouet encore fiché au creux de ses fesses. Trop tentant, comme on dit” tout cul tendu mérite son dû”. Je viens poser ma main sur le jouet, appuis dessus, joue un peu avec, et le lui retire. Elle soupire. -Toute nue, petite souris, même avec des bas. ajoutai-je avec un air malicieux. Monte… En effet, elle ne porte maintenant plus que le fin nylon de ses bas,  qui soulignent et galbent joliment ses jambes. Je suis (du verbe être ou suivre) un peu hypnotisée… 4ème. Elle s’arrête devant la porte, se retourne. Nos regards se croisent, mes yeux dévis des siens, et indiquent le sol. Immédiatement, elle baisse son regard d’un air un peu gêné, la tête, et se met à quatre pattes. Je souris, passe devant elle, ses yeux accrochent mes talons et elle me suit…
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Par : le 22/08/25
Hétéro 6 22h.Je suis assise à ma place à table. Je vagabonde entre mes messages, fet et un roman que je ne lis que d'un œil.J'entends vaguement qu'il se brosse les dents, mais ne porte pas attention à lui.Je poursuis une discussion houleuse avec ma demoiselle, lis trois lignes, reprends mon propos. Décidément quand elles ne veulent pas comprendre! Oh bon sang, ça y est je m'énerve, ah...si elle était en face de moi je l'attraperai et lui ferait ravaler sa mauvaise humeur.Je lui envoie un message cinglant. Mais c'est qu'elle me répond en plus!Tout à coup, je sens sa main sur mon épaule. Je me dégage abruptement. Sa main vient alors enserrer mon poignet et il me relève d'un coup face à lui. -Eva, ça suffit maintenant tu viens. -Non! Il tire sur mon poignet, ses yeux fermes plongés dans les miens. -Si! -Je n'ai pas fini mon message! Et puis pas maintenant !Mon chapitre non plus et... Il me pousse vers la porte de la chambre. -Avance Petite! Je me retourne furibonde. Mâchoire crispée et yeux fous. -Ah non! Je ne suis pas petite! Il me saisit par la taille et me jette sur le lit.Ses mains relèvent mes reins pour me placer à quatre pattes.Il soulève ma robe jusqu'au milieu du dos, baisse ma culotte en faisant crisser le tissu sur mes cuisses. Je continue à râler... -tais toi je n'ai pas précisé quel type de Petite.... Putain ce cul.... J'entends le cliquetis de sa ceinture, le bruit de son jeans qui s'abaisse.Cette attente m'énerve encore plus qu'elle ne m'excite. Mais je n'ai pas le temps de me languir. Je sens son sexe dur qui se pose sur mon cul, glisse entre mes fesses, trouve le chemin de ma fente. D'un coup de rein il me pénètre. Ah! Oh putain...je gémis.Je grogne, animale. En quelques coups de son boutoir, je suis au bord de la jouissance. Une pensée surgit, oh mais bordel ça faisait combien de temps?4 jours?Je me sens comme prise pour la première fois de ma vie. Je me sens plus serrée que d'habitude. Ma bouche est ouverte; je halète. Je sens ma salive humecter ma lèvre, oh mais merde je bave ! -Petite putain. Ces mots me font vriller, je cherche son sexe maintenant, je tends les reins et m'empale sur son vit. -Attends! -quoi? Non! Je vais jouir... Il se dégage, pour se dépêtrer de son jeans qui entravait ses chevilles.Ce court laps de temps m'exaspère. Je suis vraiment hargneuse ce soir....Sa main s'abat sur ma fesse droite.Ouch! Ça blesse mon ego ça.Je me fais la réflexion que vu mon humeur, c'est sans doute mérité.La gauche maintenant. Aie. Putain! Mais quand est ce qu'il a apprit à frapper aussi fort?! -tu vas voir...Je ne sais pas très bien si il répond à mon humeur ou à ma pensée. Il lit dans mes pensées, je le sais. Enfoiré. Il me tanne le cul pour ce mot. Oh le salaud.il sait! -Écarte. -Non. -Écarte. Je suis toujours à quatre pattes. De sa main droite, il force mes cuisses à s'ouvrir.Je résiste. Il m'en claque l'intérieur.Je couine, mais j'ouvre.Je l'entends farfouiller dans le panier des jouets.Je me demande ce qu' il va piocher. Pas la cravache quand même ? Oh...pas la petite trique? Oh...je n'ai vraiment pas envie là. Je deviens difficile à mater depuis quelques temps, et je n'ai aucune envie de me livrer à ce petit combat face à moi.J'entends le bruit caractéristique de l'emballage d'une capote.Le gode! -je sais que tu en as envie. Euh ...en vrai ...oui. mais je ne sais pas lequel il a pris.Oh putain! Celui là c'est le gros. Je le sens dès qu'il me le place à l'entrée de mon intimité.Il pousse fermement le jouet en moi. Je gémis sous la sensation qu'il est entrain de m'ouvrir. Petite douleur lancinante puis fulgurante quand mon anneau se crispe et se referme autour de l'objet. Il ne s'arrête pas là, il le retire, le repousse tout aussi fermement et plus loin. Puis il fait de petits mouvements avec qui me font crier. La douleur est remplacée par un début de plaisir.Je plaque ma main sur mon sexe, je mouille abondamment. J'ondule du bassin, en râlant sous cette prise profonde.Il laisse alors le jouet en place, s'assure qu'il ne ressortira pas et s 'invite dans mon sexe.J'ai la tête enfouie dans l'oreiller, ses doigts enfoncés dans ma bouche, je crispe mes poings sur les draps, je suis prise de tous côtés.Il attrape alors mes cheveux à la base de la nuque et me force à le regarder par en dessous. -tu aimes ça hein ma Petite salope. Dis le ... -oui! -dis ce "j'aime me faire enculer et prendre par tous les trous..." -hmmmm, je murmure la phrase -plus fort Putain! -oui j'aime me faire enculer et prendre par tous les trous. A ces mots le tourbillon m'emporte et m'engloutit. Enfin je jouis comme en rupture de barrage. Entre mes jambes , sur les draps une flaque... Je roule, plaque sa main sur mon sexe explosé , vais mordiller son cou. Je lui murmure un sourire dans la voix, dans les yeux et le coeur, -je t'aime mon homme hétéro cis. Il me répond en prenant un air offusqué mais le sourire dans les yeux: -I'm not a number! I'M A FREE MAN! Le fou rire nous prend autant que l'orgasme nous a saisi...
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